Chloé Finiels: Accompagnement Émotionnel & Relationnel

Chloé Finiels: Accompagnement Émotionnel & Relationnel Chloé Finiels

Accompagnement Emotionnel & Relationnel

Petite pensée philosophique...Et si, porter la culpabilité faisait partie de l'attirail de la bonne mère ?Et si, la soci...
11/13/2025

Petite pensée philosophique...

Et si, porter la culpabilité faisait partie de l'attirail de la bonne mère ?
Et si, la société donnait le message que pour être une mère concernée et sensible il fallait forcément ajouter la culpabilité à la liste exhaustive de ses tâches?

Un peu comme le christianisme latent de notre culture qui induit au sacrifice, à ne pas prendre trop de plaisir, ne pas être trop tourné vers soi, ne pas se choisir au risque d'être vu comme égocentrique et surtout, ne pas mettre de l'avant ses propres réussites... Tiens tiens, de là apparaîtrait donc le jugement?

Alors, si la mère ne se sentait pas coupable, est-ce que ce serait l'anarchie ? Est-ce que le patriarcat perdrait le contrôle, est-ce que la femme ferait peur à cette société bien cadrée? Par sa liberté, sa nonchalance, sa créativité, son élan de vie, sa jouissance, sa position décomplexée?

Je me demande alors si, se sentir coupable serait le gage et la confirmation que la mère se contrôle et prenne soin définitivement, avant de prendre soin d'elle-même.

Et sans cette culpabilité, quelle femme et mère serions nous?

Ce que je trouve intéressant voire même perturbant, c'est cette différence de perception entre les hommes et les femmes quant à la culpabilité dans leur rôle. C'est pour cela que je questionne les injonctions sociétales et les attentes faites aux femmes, sinon hommes et femmes devraient avoir les mêmes émotions et inconforts non, étant de la même espèce?

La culpabilité maternelle est-elle une affaire de culture donc extérieure à nous ? Serait-elle rassurante pour éviter la rébellion et le chaos?

Bref, voilà, que ce carcan pourrait alors être vu sous en autre angle non, serait-ce un angle déculpabilisant justement, d'imaginer qu'on pourrait faire sans?

Tendresse à vous, qui ressentez fort cette pression, cette impasse face à ce malaise trop souvent présent.
Ces réflexions peuvent parfois soulager un peu la lourdeur du rôle ❤️.

Le trauma n'est pas à banaliser. Il habite nos vies comme des fardeaux lourds et étouffants.
11/13/2025

Le trauma n'est pas à banaliser. Il habite nos vies comme des fardeaux lourds et étouffants.

11/11/2025

Et si la relation thérapeutique n’était pas verticale, mais profondément humaine ?

Dans la vision classique, la thérapie a longtemps été envisagée comme un lien vertical : un modèle où le “sachant” guide, interprète, oriente… et où le “patient” écoute, applique, espère aller mieux.

Mais dans mon approche, c’est tout autre chose.

Deux personnes se rencontrent: chacune avec son histoire, sa richesse, sa vulnérabilité et sa responsabilité.

Mon rôle n’est pas de détenir un pouvoir, ni de dicter la marche à suivre.
Ma mission est de créer un espace de co-compréhension, de co-présence, de cohérence.

L’accompagnement prend racine dans l’horizontalité, dans cet espace vivant où deux êtres dialoguent, s’écoutent et se transforment ensemble.

Le pédagogue danois Jesper Juul parlait d’équidignité, un concept qui me touche profondément.
Elle ne nie pas les différences de rôle, mais elle affirme la même valeur humaine de chaque personne impliquée.

C’est cette posture qui guide mon travail : une relation dialogique, où la parole circule librement, où chacun peut se dire sans crainte, dans un climat de sécurité et de respect mutuel.
Un lieu d’exploration partagée, où les besoins, les émotions et les sens se rencontrent pour mieux se comprendre.

C’est dans cet entre-deux vivant et vrai que la transformation devient possible.

Cette façon d’être en relation me semble novatrice.
La thérapie n’est pas nouvelle, mais la réciprocité, la fluidité, la transparence et l’accessibilité, ça, c’est résolument moderne.

Merci à celles et ceux qui me font confiance, et choisissent cette approche du cœur.

Mine de rien, cela fait 10 ans que j’accompagne à temps plein… Et chaque rencontre reste, encore aujourd’hui, une découverte et un apprentissage.

Devoirs scolaires et santé mentalePersonne n'en parle et pourtant ... Sujet tabou par excellence, après tout, on n'avait...
11/09/2025

Devoirs scolaires et santé mentale

Personne n'en parle et pourtant ... Sujet tabou par excellence, après tout, on n'avait qu'à pas faire des enfants ...

Les devoirs avec nos enfants alourdissent tellement la relation au quotidien.

Quand j'étais enfant je me rappelle comme c'était sombre les devoirs et un tue plaisir. Long, fastidieux et chargé de tensions.

Je m'étais promis que je serai enjouée et disponible pour eux.

C'était sans compter, qu'en fait ils sont comme moi, neurodivergents. Ce qui amène du désintérêt, de la difficulté d'apprentissage et des efforts immenses, quotidiens, constants pour nous épargner et eux et moi...

Tous les jours à refaire, une charge mentale infinie, une montagne inatteignable, une danse longue et dissonante pour consolider leurs acquis.
Pourtant pleins de bonne volonté, même si parfois camouflée de prime abord, il nous arrive de nous heurter.

Toutes sortes de grimaces ou tentatives de fuites pour éviter l'inévitable, assoiffés d'un monde de jeux et de rigolade, le couperet qui chaque soir nous hurle sa sentence.
Ce peu de temps à leur accorder pour exécuter ce qui fait le moins de sens pour eux. Ironie inutile ...
Monde qui marche sur la tête, parent qui a un peu perdu le nord mais tente tant bien que mal d'avancer sans trébucher. Se disant que peut être, demain sera moins dur, plus joyeux et que la connexion reviendra, celle qu'on guette pour tenir notre promesse, qu'on tente d'aspirer avec une paille bouchée. Cette connexion au nom de l'amour qui se fait la malle trop de jours.

Je titube quand c'est l'heure, je cours à reculons et d'ailleurs j'ai à peu près tenter tous les fuseaux horaires pour espérer la lumière d'un créneau. Rien n'y fait, il faut en passer par là...
Je me tortille pour ne pas grincer, je ris jaune pour ne pas me faire démasquer.
J'échangerai bien la tâche contre une autre, trop nombreuses sur la liste de toute façon, les négociations sont fermées. Cette tâche à laquelle je ne peux échapper sinon ça se voit, ça se note par un tiers qui compte sur moi, pour faire son travail lui aussi.
Parce que c'est pour eux, et que jamais je ne voudrais qu'ils soient mis de côté ou catalogués.

C'est tant d'amour, tant d'amour, tant d'amour, et il ne se remarque pas. Pour eux, c'est juste pénible et dénué de sens. Je ne peux que les comprendre mais moi je m'étouffe à l'intérieur, je voudrais qu'il sachent traduire en mots doux ces investissement en dévouement pour que l'équilibre soit moins précaire.

Je vous aime, je veux être à côté de chacune de vos lettres moulées, je voudrais juste ne pas être obligée de traverser ces cahiers comme un périple qui me finit jamais.

Ce manque de lumière ne reflète tellement pas les intentions, quelle injustice. Chaque jour je renouvelle l'indulgence, la permission de prendre son rythme, leurs défis comme des droits.
On utilisera le temps qu'il faut, après tout, demain, les devoirs seront encore là.

LA PETITE VOIX INTÉRIEURE, LA GRANDE VOIE...Quand je me sens une mère nulle, ce n'est jamais la moi adulte qui rame et q...
11/07/2025

LA PETITE VOIX INTÉRIEURE, LA GRANDE VOIE...

Quand je me sens une mère nulle, ce n'est jamais la moi adulte qui rame et qui se torture. L'adulte est rationnelle elle a le recul. Elle tempère, elle analyse, elle trie. Cette adulte comprend la situation et la prend avec la distance nécessaire pour ne pas s'écrouler.

Mais la petite moi, elle galère. Elle souffre à voix haute.
C'est toujours la petite moi qui déborde, qui crie, qui doute, qui questionne. Toujours !!

C'est alors que je tente de réparer, mieux agir en conscience avec les maillons de la chaîne infinie et me reconnaître moi dans toutes mes blessures passées sous silence, jamais adressées.
Réparer c'est moins bien que mieux anticiper mais c'est déjà une forme de conscience qui se développe.

La petite moi a besoin d'indulgence, il faut que j'apprenne à lui en donner plus souvent.
Et ce n'est pas parce que je me donne à moi ce qui me manque, que je leur retire à eux quelque chose de précieux. On peut assainir toutes les sphères passées et futures. Créer le pont pour mieux s'aimer soi-même, mieux les aimer eux... Un jour à la fois ❤️

« Assieds-toi comme il faut », « Sois sage », « Mange proprement », « Dépêche-toi »…Ces phrases quee parent- perroquet r...
11/06/2025

« Assieds-toi comme il faut », « Sois sage »,
« Mange proprement », « Dépêche-toi »…
Ces phrases quee parent- perroquet répète des dizaines de fois par automatisme ne veulent rien dire pour nos enfants.

Quand un enfant ne réagit pas à nos demandes, ce n’est pas de la provocation.
C’est souvent que notre consigne est inaccessible. L’enfant ne peut pas se laisser guider si ce qu’on lui demande n’est pas concret.

Dire « Assieds-toi comme il faut », c’est une attente démesurée pour un jeune enfant.
Que veut dire “comme il faut” pour lui ?
➡️ « On s’assoit sur ses fesses », c’est déjà beaucoup plus clair !

Même chose pour « Sois sage »…
Faire moins de bruit ? Rester assis ? Ne pas courir ? Ne pas toucher ?
Ce “sois sage” est un fourre-tout, souvent flou même pour nous.

Et si on se demandait plutôt :
👉 Qu’est-ce que j’attends vraiment de lui ?
👉 De quoi ai-je besoin, ou qu’est-ce qui m’inquiète ?

Une consigne claire, courte et simple change tout :

« Ici, on marche sur la pointe des pieds et on regarde avec les yeux. »

L’enfant sait exactement ce qui est attendu de lui.
Et nous, on n’a plus qu’à l’accompagner vers ce comportement.

💡 Petit mémo utile

✅ Avant 2 ans (et parfois un peu plus t**d), les enfants sont en plein développement : leur capacité à suivre des consignes reste limitée.

✅ Une seule consigne à la fois, simple et précise.

✅ Se mettre à hauteur de l’enfant pour lui parler.

✅ S’assurer d’un contact visuel et, au besoin, physique.

✅ Répéter plusieurs fois avec les mêmes mots : « On marche », « On regarde avec les yeux ».

✅ Si ça ne fonctionne pas, se demander : est-ce trop complexe ? L’enfant est-il disposé à coopérer ?

Le cerveau des enfants est encore immature.
Même s’ils parlent, imitent et répètent, ils ont besoin de temps pour intégrer les règles, canaliser leur énergie et apprendre à tempérer leurs élans.

Le temps est notre meilleur allié.
En attendant, à nous de trouver un langage clair, doux et accessible pour leur permettre de grandir et de s’épanouir dans les règles sociales.

11/05/2025

Ils sont notre plus grande source de soucis et de joie. Ils ont pris toute la place et on a bien du mal à se retrouver soi, et même savoir comment on s'appelle depuis leur arrivée. La culpabilité est devenue une amie tenace, le sentiment d'incompétence un mode de vie.

Ils sont le tout, le centre et la lumière, tellement qu'on reste dans l'ombre alors qu'on devrait les faire graviter autour de notre propre phare.

Ils ont tout changé et questionné, ont fait le tri jusqu'à nos relations ou ce qu'on met dans notre assiette. Ils ont donné du sens, et ret**dé notre plein potentiel. Ils ont rempli le vide, alors qu'on cherche désespérément le silence.
Tout et rien, avec coeur et larmes. Notre demain, notre évidence et l'envie de fuir vers plus de soi. Conjuguer l'amour et le don de soi en toutes les langues...

C'est tout ça réuni dans la même phrase. On ne sait plus rien mais on le fait avec force, on a peur et on ne s'est jamais senti plus puissant. C'est tout, c'est rien en même temps, indescriptible...

N'importe qui nous aurait dit cela avant eux, nous aurions ri aux éclats en disant plein de certitude que rien ne changera, après tout des enfants faut pas charrier c'est pas si terrible. Et maintenant qu'ils nous ont passé dessus, et qu'ils sont sortis de notre corps on y a laissé toutes nos plumes et notre insouciance.

Plus jamais pareil et pourtant, une meilleure connaissance de soi, une conscience plus aiguë. Ça fait mal, mais quel apprentissage.

Nous avons tous appris l'humilité. Merci de nous y avoir initiés, aujourd'hui on comprend l'essentiel ❤️

Hier soir je réalisais que cela faisait déjà plus d'une décennie que je portais en mon ventre mon dernier bébé.Prise de ...
11/04/2025

Hier soir je réalisais que cela faisait déjà plus d'une décennie que je portais en mon ventre mon dernier bébé.

Prise de nostalgie je me suis dit que j'aimerais tant revivre tous ces moments.
Et pourtant, en un frisson, non impossible.

Impossible parce qu'à partir du moment où j'ai décidé de les fabriquer j'ai été prise par la dualité: entre joie et anxiété.
L'excitation et le désespoir.
La paix et l'enfer au même moment au même endroit à l'intérieur de moi.

J'étais loin de m'imaginer que l'anxiété des débuts demeurerait mais que j'apprenne finalement à l'apprivoiser et même m'y habituer, un peu comme une superstition bienvenue...
Je dis toujours aux jeunes mères que cette anxiété, cette inquiétude, se sentir concernée en permanence cela ne disparaît jamais mais cela se transforme en une part intégrante de notre maternité.

Cette anxiété en fait relève de la responsabilité. Cette responsabilité immense d'avoir entre les mains des petits cœurs qui battent pour qui je suis le système solaire tout entier, et eux, l'innocence en son nom.

J'ai manqué de légèreté souvent, je me suis rongée les sangs. J'ai eu envie de les remettre dans mon ventre pour qu'ils soient en sécurité et en même temps me rappeler comme j'avais peur de ne plus les sentir bouger.
Je me lève encore avant de me coucher pour les écouter respirer.
Je pensais que ça durerait quelques mois, c'est devenu ma réalité. Ils font partie de moi et ces TOC sont devenus une présence tenace mais en même temps un garde fou aiguisé pour ne surtout rien échapper, les lâcher.

Avant d'avoir des enfants je ne savais pas ce que cela voulait dire perdre son insouciance, et son propre centre.
Et, ne plus dormir sur ses deux oreilles était un concept que je ne pouvais même imaginer.
Aujourd'hui ils habitent toutes mes pensées, toutes les cellules de mon corps, mes rêves, mon quotidien et même des morceaux de mon repas.

Alors non je ne voudrais pas revivre tous ces moments qui m'ont laissée souvent dans une très grande détresse, dans une immense solitude où j'avais l'impression être la seule femme alentours à me soucier autant de ces détails qui devenaient pour moi l'unique réponse.

Je ne sais pas si j'aurais voulu vivre les choses autrement parce qu'aujourd'hui j'ai tant appris sur moi, creusé en profondeur les moindres recoins de ma personne, de mon histoire, de mes intentions et mes actions.
Avoir des enfants a été l'expérience la plus difficile que j'ai eu à vivre tout simplement parce qu'on est seul face à l'inconnu, à l'intangible et au grand vide.

Quand je vois encore aujourd'hui ces nouvelles mères le regard perdu j'ai tant d'amour et d'indulgence à offrir parce que je le sais qu'elles découvrent tout un monde jusque-là enchanté qui les transformera à jamais vers plus l'humilité, de connaissances, et d'authenticité.

Pour moi, c'était un attachement trop grand et démesuré: écouter leur respiration, avoir du mal à les perdre de vue, avo...
10/31/2025

Pour moi, c'était un attachement trop grand et démesuré: écouter leur respiration, avoir du mal à les perdre de vue, avoir des angoisses de mort tout le temps, s'inquiéter des chutes, blessures ou maladies ...Cela fait plusieurs années que j'accompagne les femmes qui vivent de l'anxiété maternelle. Ce n'est pas une fatalité, mais un système nerveux dérégulé, un système nerveux qui travaille un peu trop fort.

🔵 Si tu veux explorer cet état avec moi, contacte-moi !!

🔵 JE FAIS DE LA SUPERVISION AUPRÈS DES PROFESSIONNELS QUI VEULENT SE FORMER À L'ANXIÉTÉ MATERNELLE: MIEUX COMPRENDRE, ACCOMPAGNER ET GUIDER L'ÉCOSYSTÈME FAMILIAL VERS L'ÉQUILIBRE.

Traduction libre: Est-ce que c'est cette terreur constante qu'on appelle l'amour ?
Pour certaines femmes, l’anxiété est prédominante. Pour un petit moment, ou pour un long moment. Une anxiété sévère peut vous faire sentir déconnectée ou vous faire sentir trop attachée. Cela peut déformer votre façon de penser et vous amener à vous demander si vous vous sentirez un jour à nouveau vous-même.
Vous le serez.
Dites à quelqu'un en qui vous avez confiance ce que vous ressentez. ♥

10/30/2025

Hier je faisais une consultation d'une maman en post partum très difficile. J'adore ces rencontres. Elles sont authentiques, bousculantes et extrêmement touchantes.
Quand j'entendais ce qu'elle me racontait qui n'était jamais assez à la hauteur de ce qu'elle aurait voulu pour elle, pour son bébé. Pas assez bien fait, pas assez vite, pas comme elle l'aurait voulu. Quelle blessure cette réalité rude de comprendre qu'avoir des enfants c'est réel et qu'il faut se défaire de ses fantasmes de plusieurs années parfois.

J'ai décidé de la prendre en photo, pour qu'elle garde une image claire de ce que moi je voyais, avec des yeux plein d'indulgence qui étaient déjà passés par là et une énergie qui sait qu'un jour l'équilibre revient. Une photo où je voyais une mère pleine d'intentions délicates et adéquates. Un bébé lové dans son cou, déposé, qui caressait la joue de son premier berceau pour s'endormir, blotti, en pleine confiance.

Nous sommes nos plus dures juges, les plus sévères et souvent les moins objectives. Ce que vous êtes c'est tellement suffisant, ensuite quand le calme revient on peut prendre soin d'améliorer sa route, mais avant tout ça, il faut surtout reconnaître à quel point vivre une telle expérience nous métamorphose. Et si nous arrêtions de nous battre à essayer de nous faire croire que rien n'a changé, que rien ne changera.

Changer cela ne veut pas dire être moins bien, cela veut dire choisir de nouvelles possibilités pour continuer autrement ♡♡

On leur causera des blessures, on fera des erreurs…Notre plus grande inquiétude, en tant que parents conscients, est de ...
10/28/2025

On leur causera des blessures, on fera des erreurs…

Notre plus grande inquiétude, en tant que parents conscients, est de causer des dommages à nos enfants.
Cette idée nous hante, guide chacun de nos choix, et colore de culpabilité chacune de nos interventions inadéquates.
Jamais je ne voudrais qu’ils souffrent comme j’ai souffert, qu’ils manquent de quoi que ce soit, ou qu’ils portent les stigmates des blessures du passé.

Et pourtant… c’est inévitable.
Mais si on regardait les choses autrement ?
Et si ces blessures pouvaient aussi les rendre créatifs, résilients, sensibles, persévérants et conscients ?
Tout comme vous. Tout comme moi.

Je sais aujourd’hui que mon enfance douloureuse est devenue une force. Elle m’a menée là où je suis. Bien sûr que j’aurais voulu éviter la douleur, la solitude, l’injustice ou la violence. Mais tout cela m’a rendue sensible, ouverte et empathique.

Mon intention est de faire mieux pour mes enfants, de leur éviter certains maux. Mais ils auront les leurs, et ils trouveront leur voie. Faisons-leur confiance.

Et si, par malheur, un jour ils nous disent à quel point nous leur avons causé des tourments ou du tort, alors nous pourrons simplement répondre :
« Pardon. »
Et ajouter :
« Qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour prendre soin de toi, pour accueillir ce que tu veux me partager ? Qu’est-ce que je peux faire pour réparer ? »

Ce sera déjà mieux que tout ce que nous avons reçu, non ?
J’ai souvent eu besoin qu’on reconnaisse ce qui m’a blessée, ce que j’ai ressenti, même si, de l’autre côté, la réalité a été vécue différemment, sous une autre lumière.

Il n’y a rien de parfait, et ce n’est pas grave.
Ce qui compte, c’est ce qu’on fait avec ce qui a été.
Il n’est jamais trop t**d pour réparer, pour offrir une écoute, pour prendre soin de celui qui a le courage de se montrer vulnérable.

10/27/2025

D'ADVERSAIRES À PARTENAIRES

Le couple parental est un sujet sensible, mais ô combien riche et mystérieux.

La majorité du temps, je rencontre des personnes en concurrence de besoins : « Je suis plus fatigué(e) », « J’en fais plus », chacun cherchant désespérément à se faire reconnaître par l’autre, qui, lui aussi, a besoin d’être entendu. Le dialogue devient alors difficile, la compréhension s’effrite et la posture empathique semble hors de portée.
Peu à peu, on érige des murs pour se protéger, on rejette l’autre qui nous blesse, et l’on perd la connexion qui nous unissait.

La bonne nouvelle, c’est que je sais exactement ce qui se joue en vous, et comment vous outiller pour réapprendre à communiquer.

Et la deuxième très bonne nouvelle, c’est que vous pouvez entamer ce travail seul(e), même si votre partenaire ne souhaite pas (encore 🤪) s’engager dans un accompagnement.
Avec ces outils, vous deviendrez le ou la porteuse du changement, pour transformer vos relations et nourrir à nouveau l’intimité, la complicité, la proximité et la sexualité au sein du couple.

En quelques séances, mes clients constatent une amélioration nette de leur relation et de leur capacité à se mettre à la place de l’autre. Ils redécouvrent le respect mutuel, une communication plus profonde et apaisée.

« Simple comme bonjour... Je n’en reviens pas de ne pas avoir pensé à tout cela avant. J’ai enfin compris pourquoi E. était si distant et réfractaire à mes demandes, et surtout pourquoi je me sentais si seule et non respectée. En trois séances, nous avons pu enclencher un nouveau mode de fonctionnement qui nous aide chaque jour à éviter les dérapages. On arrive à se parler, à prendre du recul et surtout à travailler en équipe. Merci Chloé. »
Mélanie et E., parents d’un enfant et demi

Alors, contactez-moi ! Je serai heureuse de vous aider à retrouver plus de lumière, de douceur et de fluidité au sein de votre famille.

Toutes les rencontres se font par Zoom, au Québec et dans toute la francophonie.

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Trois-Rivières, QC

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