Chantal Élie TRA, Thérapeute en relation d'aide

Chantal Élie TRA, Thérapeute en relation d'aide Je me spécialise dans le soutien des personnes qui se sentent seules et vulnérables face à leurs difficultés.

J’accompagne avec humanité et respect les adultes qui veulent y voir plus clair et se donner des moyens d’agir et d’aller mieux. Mon unicité en tant que thérapeute repose sur la richesse de mon vécu personnel, mon lien étroit avec la nature, ma capacité à cultiver la gratitude face aux défis de la vie et à les surmonter avec résilience. Animée par un profond désir de favoriser et de soutenir la vie, je m'engage à offrir aux autres l'aide et le soutien dont j'ai moi-même bénéficié.

10/14/2025

ANDC-Aide pour enfants ✨ Parce que grandir n’est pas simple

Les enfants traversent aujourd’hui des périodes de déséquilibre émotionnel qui touchent leur vie familiale, sociale et scolaire.

Entre exigences de la performance, transitions de vie et défis relationnels, plusieurs jeunes manquent d’espaces pour s'exprimer.

C’est aussi pour eux que le service ANDC-Aide existe.

Avec ce service, vos jeunes bénéficient :
• D'un accompagnement gratuit offert par une ou un TRA, Thérapeute en relation d'aide® gradué et encadré par des superviseurs expérimentés dans le cadre de sa formation pour enfants et adolescents
• D'un espace d’écoute sécurisant confidentiel et bienveillant
• De l’Approche non directive créatrice® (ANDC®) de Colette Portelance, centrée sur le respect, l’accueil et l’authenticité

Concrètement
• 5 séances gratuites de thérapie individuelle pour enfants ou adolescents
• SANS frais d’inscription !
• Service offert en présentiel ou en ligne

Un service unique et porteur
Depuis 40 ans, des milliers de personnes ont bénéficié de ce service unique. C’est une porte d’entrée précieuse pour explorer ce que la relation d’aide peut offrir, tout en soutenant la formation de futurs TRA, Thérapeutes en relation d’aide® par l'ANDC® spécialisés auprès des enfants et adolescents.

🧡 Thérapie en Relation d’Aide – Gratuite pour Enfants (5-13 ans) et Ados (14-18 ans)Accompagnement émotionnel, renforcem...
09/17/2025

🧡 Thérapie en Relation d’Aide – Gratuite pour Enfants (5-13 ans) et Ados (14-18 ans)

Accompagnement émotionnel, renforcement de l’estime de soi
et soutien aux parents

Bonjour à tous,

Je suis heureuse de vous annoncer que je débute cet automne
la formation avancée en relation d’aide pour enfants et adolescents au Centre de Relation d’Aide de Montréal® (CRAM).

Dans ce cadre, j’offre des rencontres thérapeutiques gratuites,
supervisées par des professionnels, destinées aux enfants et adolescents, afin de les aider à mieux comprendre et exprimer ce qu’ils vivent tout en vous outillant, vous, les parents, dans votre
rôle quotidien.

Votre enfant sera accueilli dans un espace chaleureux, sécurisant et bienveillant où il sera respecté et accepté tel qu’il est.

🎯 Buts de la thérapie

👧🧑 Pour l’enfant ou l’adolescent :

🔸 Mieux comprendre les émotions, les interactions, les besoins et les limites.
🔸 Apprendre à nommer ce qui se passe à l’intérieur (émotions, malaises, inconforts).
🔸Développer des outils pour faire face aux défis relationnels
🔸Renforcer l'estime de soi

👨‍👩‍👧 Pour les parents :

🔹Recevoir du soutien et des pistes pour faciliter la relation avec votre enfant ou votre ado.
🔹Comprendre plus aisément ses réactions et adapter vos interventions.
🔹Résoudre plus rapidement les difficultés relationnelles.

📅 Rencontres par blocs de 5 séances / d’une heure / par semaine / par Zoom :

• Enfants (5 à 13 ans) : octobre à mars
• Adolescents (14 à 18 ans) : avril à juillet

📍 Les rencontres sont gratuites en inscrivant votre enfant au service ANDC-AIDE.
Ci-dessous le lien pour inscrire votre enfant :

https://www.cramformation.com/inscrivez-vous/service-andc-aide

PS : s’il-vous plait préciser mon nom dans la section : Thérapeute

Je pourrai également vous rediriger vers des collègues TRAᴹᴰ
si mes places sont déjà prises.

N’hésitez pas à m’écrire si vous avez des questions.

chantalelie17@mail.com

Au plaisir de vous rencontrer !

Chantal Élie
Thérapeute en relation d’aide®

🌱 Il existe un espace où l’on donne sa juste place à ce que tu vis.Plusieurs personnes hésitent à demander de l’aide pro...
09/12/2025

🌱 Il existe un espace où l’on donne sa juste place à ce que tu vis.

Plusieurs personnes hésitent à demander de l’aide professionnelle.
Souvent, on attend d’être sur le point de craquer ou « au bout du
rouleau », avant d’oser consulter.

🤔Mais pourquoi ?

Voici quelques freins, souvent inconscients mais bien réels,
qui nous empêchent de demander de l’aide :

🚫La peur d’être stigmatisé

— On préfère souffrir en silence plutôt que de risquer d’être mal vu.
🔸« Je ne veux pas qu’on pense que je suis "malade mental".»

🔸« J’ai peur que les autres me trouvent faible ou instable. »

À ce moment-là, on répond à des stéréotypes sociaux plutôt qu’à notre propre besoin d’être aidé.

🤐 La limite des mots

— Mettre des mots sur ce qu’on vit, voilà qui est plus facile à dire qu’à faire.

🔸« Je ne saurais même pas quoi dire si je consultais. »

🔸« Ce que je ressens est tellement flou, je ne vois pas comment l’exprimer. »

Même si les mots nous viennent difficilement, ils n’ont pas besoin
d’être parfaits pour faire du bien. Parfois, quelques mots suffisent
pour ouvrir une brèche dans ce qu’on porte en silence.

🧍 Les croyances limitantes

— Si on croit que réussir, c’est d’être autonome à tout prix, on peut
penser que notre valeur dépend du fait de n’avoir besoin de
personne.

🔸« Je dois être capable de m’en sortir seul. »

🔸« Demander de l’aide, c’est un signe de faiblesse. »

Les croyances, on les a souvent construites très tôt pour répondre aux attentes extérieures.
Elles deviennent limitantes parce qu’elles ne sont pas en lien avec nos besoins du moment.

🙅‍♀️ La banalisation

— On balaye sous le tapis et on passe par-dessus ce qu’on ressent.

🔸« Mes difficultés ne sont pas si graves que ça. »

🔸« C’est pas la mer à boire. D’autres vivent bien pire que moi. »

Même s’il semble plus simple de minimiser ce qu’on ressent, à la
longue, ça revient à porter seul un poids invalidant.

💚 Ces freins sont comme des cailloux dans une chaussure qui
peuvent rendre chaque pas plus douloureux que nécessaire. Les
retirer demande du courage et de l’engagement envers qui nous
sommes.

🌟 Demander de l’aide, c’est reconnaître que ce qu’on vit mérite
d’être entendu et que c’est là un vrai geste de compassion envers soi-même.

✨ Et toi, lequel ou lesquels de ces freins te font hésiter à demander du soutien ?

Image: Pinterest

Mieux faire face aux épreuves de la vie.Dans les périodes de vie plus difficiles,on risque de sombrer si on ne prend pas...
08/20/2025

Mieux faire face aux épreuves de la vie.

Dans les périodes de vie plus difficiles,
on risque de sombrer si on ne prend pas soin
de se concentrer sur ce qui fait du sens pour soi.

Quand on se retrouve face à un mur comme la maladie, la mort d’un proche ou une autre grande épreuve, on peut rapidement croire qu’il ne nous reste aucune autre option que de se soumettre à cette réalité.

En adoptant cette croyance, on se sent piégé
et on perd accès à une ressource importante :
celle de faire des choix.

En vérité, on peut toujours choisir notre façon de voir les choses.

Face à la maladie, on risque de se sentir écrasé sur le coup,
puis ensuite se voir debout traversant une tempête.

Soit on se dit : « Non, je ne ferai pas ce traitement, même si on me le recommande fortement. »
Ou :
« Oui, je vais le faire, malgré tous les inconvénients. »

Devant la perte, on peut d’abord se retrouver anéanti,
puis surmonter doucement cette peine en se concentrant
sur ce que l’autre a semé de précieux dans notre cœur.

En effet, ça a été une grâce de partager de si bons moments
avec cette personne.
Malgré l’immense douleur que je ressens de son absence,
elle restera pour toujours bien vivante dans ma mémoire.

Dans tous les cas, on peut voir le mur comme un obstacle infranchissable ou comme une occasion d’apprendre à l’escalader.

L’idée n’est pas de fuir la réalité mais de l’envisager autrement
et de traverser cette période comme une opportunité :

✨d’avancer,

✨ d’être à l’écoute de ce qui se passe à l’intérieur,

✨ de prendre conscience de ce qui fait du sens pour soi,

✨ de mieux identifier ses ressources,

✨ de se relier à ce qui nous donne de la joie.

Dans les moments intenses, c’est tellement important d’ajuster notre vision des choses.
🌸S’autoriser à recevoir de l’aide facilite l’accès à nos ressources intérieures et brise le sentiment d’être seul face à une immense épreuve.🌸

pour me contacter :
chantalelie17@gmail.com

Image: Pinterest

Ralentir pour se nourrir.Dernièrement, un client m’a dit : « Ça va trop vite. Ces derniers temps, je sens que mon cœur s...
08/13/2025

Ralentir pour se nourrir.

Dernièrement, un client m’a dit :
« Ça va trop vite.

Ces derniers temps, je sens que mon cœur s’essouffle.

J’ai l’impression d’un trop-plein de tout :

de bruits, d’attentes, du rythme imposé par le travail.

C’est comme si ma vie avançait sans moi.

Je cours, je produis, je réponds, je m’adapte, mais à quel prix ?

C’est fou, je ne peux même pas

penser à prendre du temps pour

m’arrêter… »

Actuellement, beaucoup de choses nous empêchent
de plonger en nous-même.

Il y a tellement de distractions et d’informations alarmantes
qu’on ne s’entend plus penser.

On est tenté d’accuser tout ce brouhaha
qui nous fait parfois perdre le fil et le sens de nos vies.

On en arrive à croire qu’on n’a pas le choix,
qu’on est prisonnier d’une condition de survie sans issue.
C’est possible que, par moment, elle le soit.
Tout coûte cher et c’est vrai.

Entretenir l’idée même qu’on est en mode survie
peut être un puissant moteur pour nous propulser
en avant afin de s’assurer d’avoir les revenus nécessaires.

Cette idée peut aussi être une illusion rigide
qu’on entretient et qui nous répète :
« Envoye ! T’as pas l’choix. »

Cette injonction nous garde un toit sur la tête et le ventre plein.
Par contre, elle peut nous affamer sur le plan affectif.
À la longue, on n’a plus que des relations de travail
et on n’a pas le temps de s’en créer d’autres.

S’arrêter pour répondre à nos besoins affectifs ?
Impensable !

On se sent pris au piège, fatigué, épuisé, seul.
On a soif de vraies relations.
On a perdu de vue ce qui nous nourrit.
On n’arrive plus à se relier.

Qu’est-ce qui peut nous aider ...quand on en arrive là ?
..Au fil de notre échange, mon client a pu identifier ce qui le sauve :

-son trajet à vélo pour se rendre au boulot,
-l’air frais, le vent, la nature,
-les petits animaux, le chant des oiseaux.

Et ce qui l’aide à se sentir en lien :

-ses cours de yoga où il peut avoir des échanges avec d’autres
et où il arrive même à méditer cinq minutes
parce ce que c’est la consigne et qu’il peut surfer sur l’énergie du groupe.

C’est en se donnant des rendez-vous réguliers avec soi-même,
en réévaluant nos priorités, en s’offrant du répit pour se rappeler notre propre rythme et en faisant une place au silence qu’on peut entrevoir d’autres options que la simple survie.

C’est dans le silence que les vraies réponses se font entendre.

La thérapie peut être un bon moyen
pour s’arrêter et porter attention à ce qui se passe en soi :
la nécessité de prendre du recul, de voir plus clair
et de redonner de l’importance à nos besoins affectifs.

N'hésiter pas à me contacter :

chantalelie17@gmail.com

Image : Pinterest

Un cœur en quête de liens Longtemps, j’ai cru que je devais tout affronter seule.Je pensais que c’était ça, être une per...
08/07/2025

Un cœur en quête de liens

Longtemps, j’ai cru que je devais tout affronter seule.

Je pensais que c’était ça, être une personne forte et autonome.

Derrière cette croyance se cachaient des peurs comme celle

d’être perçue comme dépendante, de me sentir redevable,

d’être envahie ou contrôlée au point de perdre mon autonomie.

Alors, j’avançais sans tenir compte de mes besoins affectifs.

Je cachais mes sentiments.

J’étais dans l’attente qu’on me devine.

Cette pseudo-autosuffisance m’emmurait
et me retranchait du monde.

J’étouffais à force de taire mes besoins et de camoufler mes élans.

Dans ces murs que j’avais érigés pour me protéger,

je me retrouvais seule, face au vide,

ce vide qui ne s’efface jamais vraiment malgré l’entourage.

En apprenant à mieux me connaître, j’ai réalisé que :
👉 vouloir être aimée, soutenue et reconnue n’est pas une faiblesse.
👉 C’est tout simplement humain.
👉 C’est même une force immense d’en arriver à dire :
« J’ai besoin. »

Cette réalisation majeure m’a permis de développer

des relations réciproques et plus nourrissantes.

L’amour, le soutien et la reconnaissance sont loin d’être des luxes.

Ce sont des nourritures essentielles à notre équilibre psychique.

Personne ne peut s’auto-suffire affectivement,

nous avons tous besoin d’être en lien.

Se montrer tel que l’on est, admettre nos besoins, c’est possible.
À condition qu’on choisisse des relations où on se sent en sécurité.

Photo : Pinterest

Honorer son chemin : entre cigale et fourmiIl nous arrive de juger sévèrement des décisions qu’on a prisesou des chemins...
07/30/2025

Honorer son chemin : entre cigale et fourmi

Il nous arrive de juger sévèrement des décisions qu’on a prises
ou des chemins qu’on a choisis alors que notre conscience,
nos connaissances et notre vécu étaient tout autres.

En rétrograde :
– On peut avoir du mal à se pardonner.

– On peut se comparer à d’autres qui semblent avoir mieux réussi que nous.

– On peut entretenir la croyance de ne pas avoir su faire les bons choix, générant en même temps de l’insécurité, de la culpabilité, de l’anxiété et un manque de confiance en notre capacité de se créer un avenir serein.

En jugeant et en comparant son chemin,
on perd de vue nos propres repères.

Il n’y a rien à pardonner, mais tout est à honorer,
chaque pas, chaque choix, chaque décision.

Toute vie humaine dessine son propre chemin.

Il suffit parfois de prendre un peu de hauteur,
de l’observer sans jugement pour lui redonner tout son sens.

✨ L’important est de reconnaître les ressources qui nous ont permis d’avancer, parfois à tâtons, parfois en conscience, mais toujours afin de s’améliorer et de mieux se connaître.

Comme la cigale célèbre l’instant présent pendant que la fourmi prépare demain, toutes deux participent à l’équilibre de la nature.

L’une vit pleinement l’instant,
l’autre prévoit prudemment
et... c’est parfait.

💛 Cultivons plus de douceur et de compassion envers notre cheminement car à chaque étape, même avec une vision limitée, nous avons fait de notre mieux.

Que nous soyons cigale festive, fourmi prévoyante
ou quelque part entre les deux,
n’oublions pas que notre voie est unique,
précieuse et incomparable.

🌍 C’est en s’accueillant et en continuant de s’améliorer que nous donnons un sens à notre participation unique au monde.

💬 Si ce sujet résonne pour toi et que tu ressens l’élan d’explorer ton propre cheminement avec plus de recul et de clarté.
Je t'invites à me contacter.

Image : Pinterest

Développer l’amour de soi…pas si facile quand on n’arrive pas à s’acceptertel qu’on est…mais c’est possible !C’est en tr...
07/23/2025

Développer l’amour de soi
…pas si facile quand on n’arrive pas à s’accepter
tel qu’on est…mais c’est possible !

C’est en travaillant à mieux me connaître
que j’ai pris conscience que j’entretenais
un discours intérieur destructeur
qui me maintenait dans l’incapacité
de me sentir légitime d’être ce que je suis.

Je reprends tout doucement mon pouvoir
en disant « Stop » à ce discours.
Dès que je le surprends à me chantonner son « ver d’oreille »,
je lui réponds en fredonnant ma rengaine :

Je fais de mon mieux.
J’ai ma place dans ce monde.
Je suis aussi valable qu’un autre.
Je suis ce que je suis pour le moment.
J’aspire à m’améliorer.

A chacun sa rengaine et toi, quelle est la tienne ?

Photo : Felix Koutchinski, Unsplash

💭 Les émotions ne prennent pas de vacances.On a beau être en plein mois de juillet, tenter de les fuir en relaxant à l’o...
07/17/2025

💭 Les émotions ne prennent pas de vacances.

On a beau être en plein mois de juillet, tenter de les fuir en relaxant à l’ombre, en trempant dans la piscine ou en s’occupant de nos tomates, elles nous retrouvent plus vite que les moustiques. 🦟

On peut être tenté de les ignorer, surtout quand elles sont :
-Difficiles
-Inconfortables
-Voire même insupportables

Pour contourner l’inconfort intérieur, on adopte toutes sortes de subterfuges.

🌀 Multiplier les stimulations extérieures :
Travail incessant, vie sociale effervescente, écrans omniprésents.

🍷 Chercher des échappatoires :
Les substances comme l’alcool ou les médicaments ou les drogues peuvent devenir des compagnons de fuite.

🧩 S'attacher à la logique :
On intellectualise nos émotions en leur donnant des explications rationnelles.

🌙 Se réfugier dans l’imaginaire :
La pensée magique offre des mondes parallèles où la réalité devient malléable, voire évitable.

🏃‍♂️ Autant de façons d'éviter le silence pour ne pas vivre consciemment les émotions qui nous habitent.

💡 À trop vouloir les éviter, on finit par se couper de ce qui se passe en nous.

Ces stratégies ne sont pas répréhensibles en soi.
À court terme, elles peuvent nous protéger de trop d’intensité.

Par contre, à long terme, lorsqu’elles deviennent des automatismes,
elles nous empêchent de répondre à nos besoins fondamentaux (être aimé, sécurisé, reconnu, entendu…).

L’important, c’est de prendre conscience des moyens qu’on utilise pour se sauver des émotions douloureuses (peur, culpabilité, honte, solitude) et de trouver des moyens pour les accueillir :

🔎 Prendre du recul pour y voir plus clair
🎯 Apprendre à les identifier
💛 Les accepter sans jugement
🌊 Rester présent à l’émotion, la vivre pleinement

💬 As-tu en tête des situations précises qui ravivent des émotions pénibles ?

💨 Te donnent-elles envie de fuir ?

🌀 As-tu du mal à identifier les détours que tu adoptes spontanément ?

Je suis là pour t’aider à y voir plus clair. ✨

photo : Pinterest/ Canva

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Victoriaville, QC
G6P3Z4

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