Anizen Méditation Hypnose - Anita Rossier

04/12/2025

Tu te sens coupable tout le temps…
Et tu crois que c’est “toi”, ta personnalité, ton hypersensibilité ?

En réalité, c’est juste la pointe de l’iceberg.
La culpabilité, c’est ce que ton corps a appris pour survivre dans une dynamique familiale où tu devais t’excuser, te surveiller, éviter le conflit.

La culpabilité n’est pas toi.
C’est un réflexe d’enfant qui a trop dû s’adapter.

Je t’en parle plus dans les prochaines vidéos.
Reste connecté(e). ✨

25/11/2025

17/11/2025

On apprend parfois à mériter l’amour…
et ça laisse des traces.

S’excuser. Se changer. Se suradapter.
Tout ça pour être aimé de ceux qui n’avaient pas la capacité d’accueillir.

La guérison commence quand on comprend ceci :
l’amour ne se mérite pas.

Il se reçoit quand on se sent en sécurité.
Quand on cesse de se trahir pour exister.

💛 Si ça résonne, tu n’es pas seul·e.





­de­conscience

15/11/2025

Respirer. Marcher. Se recentrer.

12/11/2025

Ce n’était pas toi le problème.

C’était ta vérité qui dérangeait.

Dans nos familles, dans nos sociétés,
on nous apprend à dormir, à taire ce qu’on sent,
à ne pas voir trop clair.

Mais ta sensibilité, elle, refuse de dormir.
Elle te garde en éveil, parce qu’elle est ton guide.

☀️ Ta lumière dérange ceux qui dorment,
mais elle éclaire ceux qui cherchent.

Et toi, tu ressens ça aussi parfois ?

07/11/2025

Quand tout va trop vite,
et que tu sens que tu perds ton discernement…

La vraie sagesse, c’est parfois de tout arrêter.
De souffler.

Et d’écouter à nouveau la voix de Dieu. 🌿

05/11/2025

Quand dehors la tempête gronde,
c’est au cœur même de la tourmente que les vents sont les plus calmes.

Quand on se raccroche à la foi,
on peut déposer ses peurs,
et une paix s’installe — au cœur du tumulte.

La paix ne dépend plus des conditions extérieures,
elle devient autorité intérieure — celle qui nous vient de l’au-delà.

☀️ Et toi, qu’est-ce qui t’aide à rester en paix quand tout bouge autour de toi ?

31/10/2025

Cette citrouille, c’est peut-être la plus belle du monde 🎃

Parce que je l’ai faite avec mon fils.
Un moment simple, un peu bancal… mais plein de lumière.

Halloween, c’est ce passage entre l’ombre et la clarté —
entre ce qu’on cachait et ce qu’on ose enfin montrer.

Plus besoin de masque pour être aimable.
Être soi, c’est déjà briller. 🌕✨

29/10/2025

🌾 Ce matin, en ouvrant la première page de la formation,

j’ai ressenti cette joie tranquille : celle d’un nouveau départ.

Samedi, nous commençons une aventure en deux temps —
entre science, conscience et présence —
un espace pour permettre aux thérapeutes d’approfondir leur posture,
de s’aligner intérieurement
et d’accompagner l’hypersensible avec justesse et douceur.

Entre les deux week-ends, la vie fera son œuvre :
les expériences s’intégreront,
la conscience mûrira,
et chacun trouvera sa stabilité intérieure, à son rythme.

J’aime ce moment d’avant…
celui où tout se prépare,
mais où tout reste encore ouvert au mystère de grandir ensemble. ✨

(Il reste une place, pour celle ou celui qui sent que c’est le moment.)
📍Bulle – Début samedi

27/10/2025

✨ La sensibilité n’est pas un défaut — c’est l’appel de ton âme.

On ne devrait jamais avoir à se trahir pour être aimé.

Pourtant, beaucoup de personnes sensibles l’ont appris très tôt.

On t’a peut-être dit d’être plus fort(e), plus simple, moins intense…
Alors tu as comprimé ta vérité pour rester en lien.

Mais chaque fois que tu t’es éloigné(e) de ce que tu ressentais…
chaque fois que tu as minimisé ce qui faisait mal…
chaque fois que tu as fait semblant pour ne pas déranger…
tu t’es éloigné(e) de ton âme.

La sensibilité n’était pas le problème.
Le problème, c’était de devoir t’éteindre pour être toléré(e).

La sensibilité n’est pas une faiblesse.
C’est un rappel.
Une boussole vers la vérité.

Et la vérité finit toujours par te retrouver.
Quand tu l’accueilles, même tremblant(e)…
elle te rend ton énergie, ton axe, ta lumière.

On ne perd jamais en choisissant la vérité.
On perd seulement les liens qui ne supportaient pas la lumière.

✨ Si ces mots résonnent :
as-tu, toi aussi, dû t’éteindre pour rester aimé(e) ?