Vi'en Soi et Conscience

Vi'en Soi et Conscience Vie en Soi et en Conscience Méthode de libération des blocages (MLB). Conseils d'appoint en spagyrie, homéopathie, aromathérapie... .

Massothérapeute certifié asca et psychopraticien: Massages thérapeutiques, classiques, 5 continents, biomagnétisme développement personnel, coaching.

... Tu te rejette avant l'autre...
13/11/2025

... Tu te rejette avant l'autre...

💔LE REJET 💔
Rejeté hier, vide aujourd’hui,
en quête d’amour demain

🌧️ Introduction
Ce vide qu’on ne comprend pas.

Le rejet, c’est comme une gifle invisible.
Tu ne vois rien, personne ne crie, mais tout ton être se referme d’un coup.
C’est ce moment où tu tends la main et qu’on ne la prend pas.
Où tu veux parler, mais on t’écoute pas.
Où tu donnes ton cœur, et on te fait sentir qu’il dérange.

Et sans comprendre pourquoi, chaque fois que tu revis un petit “non”, une porte fermée, un regard froid ou une absence de réponse… ton cœur se serre comme s’il revivait quelque chose d’ancien.
Comme si quelque chose de mon enfance venait me hanter.

Parce que le rejet d’aujourd’hui, bien souvent, c’est celui d’hier qui n’a jamais été guéri.

👶 Le rejet
ça commence très tôt

Un bébé n’a pas besoin qu’on lui parle pour savoir s’il est désiré.
Il le ressent profondément.
Dans la chaleur d’un câlin , dans la douceur du regard, dans la patience du parent.

Quand un enfant pleure et qu’on lui dit : “Arrête de faire ton bébé”, il apprend vite que ses émotions dérangent.
Quand il cherche un câlin et qu’on lui répond : “Va jouer, je suis occupé”, il comprend qu’il n’est pas une priorité.
Quand il fait un dessin et qu’on ne le regarde pas, il retient une chose : "Ce que je donne ne vaut rien."

Et à force, il se construit un masque : celui du “pas besoin”.
Celui du “je suis fort”, “je suis capable tout seul”.
Mais derrière ce masque, c’est un petit cœur affamé d’amour qui attend encore qu’on le choisisse.

L’enfant rejeté,
devient un adulte gravement blessé

Ce rejet de l’enfance ne disparaît pas. Il se cache au plus profond de nos comportements.
Tu crois avoir tourné la page… jusqu’au jour où un événement te ramène dans une blessure, qu’un son, une couleur, une personne, un geste, vient réveiller et tu pars en vrille .

Exemple:
Quelqu’un ne te répond pas à ton message, te regarde différemment, ou t’oublie dans une invitation.
Et puis voilà, ton cœur s’emballe.
Pas à cause de cette personne, mais à cause de tout ce que ça réveille qui était brisé en toi.

Et voilà, tu redeviens ce petit enfant rejeté, celui qui avait été mis de côté, celui qu’on ne voyait pas et qu’on ne choisissait jamais.

C’est pour ça que certaines personnes deviennent dépendants affectifs et à la recherche de l’amour :
ils en manquent depuis trop longtemps.
Et d’autres c’est le contraire, ils se referment complètement :
ils ont peur d’être rejetés à nouveau .

Le rejet ne crée pas seulement de la douleur. Il façonne ta personnalité. Il t’apprend à te méfier, à tout prévoir et à ne plus vraiment espérer.

Mais surtout, il t’apprend à te rejeter toi-même avant que les autres ne le fassent. C’est pourquoi que, dans beaucoup de relations, tu as tout saboté.

🪞 Se rejeter
la plus cruelle répétitions

Quand on a grandi sans se sentir assez aimé, on finit par se convaincre qu’on ne mérite pas de l’être. Et là, le rejet devient un mécanisme de protection.

Tu t’excuses toujours pour tout.
Tu t’excuses d’exister.
Tu ne prends jamais ta place.
Tu ris de toi avant qu’on le fasse.
Tu te déprécies croyant que tu ne vaut rien.
Tu t’effaces dans les groupes.
Tu fais passer les autres avant toi, même quand ça te détruit. Etc…

Et quand quelqu’un t’aime vraiment pour qui tu es, tu doutes et tu fuis avant qu’il ne te rejette.
Tu cherches la faille dans tout les faits et gestes. Tu te dis :
ça ne durera pas, tôt ou t**d il ou elle va me laisser.

Alors parfois, sans t’en rendre
compte, tu provoques toi-même ce départ pour ne pas souffrir plus t**d.
Tu ne crois plus en l’amour et tu fermes ton cœur avant qu’il ne se brise.
Mais en vérité, c’est ce mur-là qui te fait le plus mal. Celui qu’on t’a imposé dans ton enfance.

💥 La peur du rejet
Cette prison invisible

Cette peur gouvernent la vie de millions de personnes sans qu’ils en soient conscients.
C’est cette même peur qui décide de leurs choix, de leurs relations, de leurs silences.

Tu veux parler, mais tu te tais, de peur d’être jugé.
Tu veux dire non, mais tu dis oui, de peur qu’on ne t’aime plus.
Tu veux exister, mais tu t’effaces, pour ne pas déranger.

Et tu crois que c’est de la gentillesse. Tu crois que les gens vont sûrement dire que tu es une bonne personne et qu’ils vont t’apprécier beaucoup plus.
Mais non, parce qu’en vérité, ton comportement est un mécanisme de survie.

Chaque fois que tu te renies pour plaire, chaque fois que tu souris alors que tu veux pleurer, chaque fois que tu restes dans un lien qui te fait mal juste pour ne pas être seul… tu rejoues ton histoire d’enfance et tu essaies encore de survivre.

🔍 D’où vient cette souffrance profonde?

Le rejet, c’est la blessure la plus ancienne de l’humanité.
C’est celle d’Adam et Ève, chassés du paradis.
C’est celle qu’on a transmise de génération en génération.
C’est celle du bébé qu’on laisse pleurer dans son berceau parce qu’on dit : "Laisse-le pleurer, il va s’habituer."
C’est celle du petit garçon à qui on dit : “T’es jamais correct.”
C’est celle de la petite fille qu’on compare à sa sœur à qui on dit :
" Pourquoi t’es pas comme ta sœur?"

C’est la douleur d’avoir cru, un jour, qu’on n’était pas “assez” pour être aimé.
Pas assez beau.
Pas assez gentil.
Pas assez intelligent.
Pas assez silencieux ou pas assez fort.

Mais l’erreur, ce n’était pas toi.
C’était le monde autour, incapable de s’aimer et d’aimer sans conditions.

🕯️ Comment guérir du rejet?

La première étape, c’est de reconnaître ta blessure.
De cesser de dire
“ce n’est pas grave”.
Parce que oui :
c’est grave, c’est même très grave.
Un enfant rejeté grandit en se croyant de trop et qu’il n’a pas sa place dans ce monde.

Ensuite, il faut oser ressentir.
Pleure, crie, hurle, si tu le dois.
Fais sortir tout ce que tu n’as pas pu dire, crier, pleurer.
Parce que tant que cette douleur reste coincée, elle continue de contrôler tes comportements.

Puis, apprends à te choisir toi-même.
Apprends à t’aimer.
Tu n’as plus besoin que quelqu’un te valide pour exister.
Tu existes.
Regarde-toi dans le miroir et dis-toi : “Aujourd’hui, je me choisis. Même si personne d’autre ne le fait.”

Et petit à petit, tu vas te réconcilier avec la plus belle vérité :
Tu n’as jamais été rejeté par la Vie.
Tu as juste grandit dans un monde qui avait été blessé par des âmes qui ne savaient pas aimer.

🌱 Apprendre à te protéger
sans te fermer

Guérir ne veut pas dire tout accepter.
Ça veut dire apprendre à dire non sans culpabilité.
NON est une phrase complète.
Apprends à poser tes limites sans peur de perdre l’amour de l’autre.
Parce que la personne qui t’aimes vraiment ne s’en va pas quand tu te respectes.

Protège ton cœur, mais ne le transforme pas en une tour sans porte ni fenêtre.
Laisse une porte et une fenêtre ouverte pour que l’amour puisse encore entrer.
Car chaque fois que tu repousses quelqu’un par peur d’être rejeté, tu t’enfonces et tu te prives d’une guérison possible.

🫶 Comment “dealer” avec le rejet aujourd’hui

Quand tu sens que le rejet te frappe :
respire profondément.
Rappelle-toi :
ce n’est pas le présent qui fait mal, c’est le passé qui revient.
Tu n’as plus 5 ans maintenant, tu as atteint la maturité affective et la force de t’aimer toi-même.

Ce que tu peux faire de plus:
👉 Écris ce que tu ressens.
👉 Parle à ton enfant intérieur. Dis-lui : “Je t’ai vu, je t’entends, tu n’es plus seul.”
👉 Entoure-toi de gens qui t’aiment sans condition — même s’ils sont rares.
👉 Prie, médite, marche dehors et respire à la vie.

Et surtout : ne fuis plus.
Quand tu restes présent avec la douleur, elle fond doucement.
Elle arrête d’être un monstre et devient un souvenir.

✨ La beauté derrière la blessure

Le rejet t’a appris à voir les autres.
À reconnaître la solitude derrière les sourires.
À tendre la main à ceux qu’on oublie.
Tu es devenu une âme profonde, sensible, humaine.

Tu n’as peut-être pas reçu tout l’amour que tu méritais, mais aujourd’hui tu es capable d’en donner comme personne d’autre ne peut le faire.

Et ça, c’est ta victoire.

❤️ Conclusion
tu n’as jamais été de trop

Si tu lis ces lignes avec les larmes aux yeux, c’est que ton cœur sait que tu n’étais pas le problème.
Tu étais juste un enfant qui voulait être aimé pour vrai. Et tu as porté ce vide comme un secret toute ta vie.

Mais ce vide peut devenir ton espace de lumière. Car c’est souvent dans le cœur le plus rejeté que Dieu plante la plus belle graine d’amour.

Alors relève la tête. Dis-toi que tu es exactement à ta place.
Pas à moitié, pas en option, pas en trop. Juste à ta place.

Et maintenant, choisis-toi.

🌟 Le rejet t’a fait croire que tu ne méritais pas l’amour… mais c’est justement ton cœur blessé qui en porte la plus belle preuve.

🧡Maintenant redonne cette amour généreusement.🧡

💚Daniel Lamontagne 💚
🤫🤫Le Poids Du Silence🤫🤫
@à la une







« La passion, c’est l’enfance de l’amour.»
12/11/2025

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Pourquoi les Éveillés ne Tombent Plus Amoureux – Carl JungL’épisode d’aujourd’hui explique pourquoi les éveillés ne “tombent” plus amoureux — ils ont repris ...

...Ton corps est le calice de la création, ton plaisir est prière, ton amour est magie...
10/11/2025

...Ton corps est le calice de la création, ton plaisir est prière, ton amour est magie...

SEXUALITÉ & SPIRITUALITÉ

La plus grande manipulation de l’Ombre fut de séparer l’humain de son essence divine, en rendant la sexualité honteuse, taboue, pervertie.
Ce qui, à l’origine, était sacré et créateur est devenu suspect, caché, détourné de son pouvoir.

L’Ombre a su frapper là où réside la force de la Vie : dans l’union du féminin et du masculin.
Elle a transformé la femme libre, sensuelle et consciente de son pouvoir en symbole de péché.
Ainsi, Astarté, déesse de l’amour, de la fertilité et de la puissance créatrice, fut reniée, déformée, transformée en Astharoth, démon biblique.
Pourtant, Astarté est sœur d’Ishtar, d’Inanna, mère d’Aphrodite et de Vénus, et liée intimement à Isis, la Grande Déesse aux mille noms, gardienne des mystères de la vie et de la mort.
La femme a été déchue, non parce qu’elle était faible, mais parce qu’elle détenait le pouvoir créateur, celui qui donne vie, celui qui relie le ciel et la terre.

Et que dire de Lilith, la première femme, le premier amour d’Adam ?
Créée égale à lui, façonnée de la même terre, elle refusa de se soumettre.
Lilith incarna la liberté du féminin, l’indépendance du corps et de l’âme.
Mais parce qu’elle osa s’affirmer, parce qu’elle revendiqua sa position — même durant l’acte d’amour —, elle fut rejetée, diabolisée, bannie de l’Eden.
Alors, Ève fut créée de la côte d’Adam, symbole d’une féminité docile, obéissante, dévouée.
Mais la vérité est ailleurs :
L’énergie sexuelle est l’un des plus puissants leviers de transformation spirituelle.
Elle est le souffle même de la création, le feu sacré de la Déesse, logé dans le temple du corps féminin.

Lorsque cette énergie est unie à celle de l’homme, dans l’amour véritable et la conscience, elle devient énergie d’éveil, force de guérison et d’ascension.
Autrefois, dans les temples d’Ishtar, d’Isis ou d’Aphrodite, les prêtresses sacrées honoraient cet amour divin.
Elles unissaient le corps et l’esprit, le plaisir et la prière, pour élever la vibration du monde.
L’acte d’amour n’était pas un péché : c’était une offrande, un rituel, une union entre le divin et l’humain.

Aujourd’hui, il est temps de reprendre ce pouvoir, de rendre à la sexualité son essence sacrée.
De libérer nos corps de la honte et de la culpabilité.
De reconnaître la beauté du féminin, temple de la vie, et d’honorer le masculin, gardien et initiateur.
Femme, souviens-toi : ce que tu portes en toi est saint.

Ton corps est le calice de la création, ton plaisir est prière, ton amour est magie.
Honore ta beauté, célèbre ta force, aime-toi dans toutes tes dimensions.
Homme, souviens-toi : la femme n’est pas à dominer mais à élever.
Accompagne-la, respecte-la, rends-lui la dignité divine qu’on lui a volée.
Car en honorant la femme, tu honores la vie elle-même, et tu rétablis l’équilibre sacré du monde.

Nous parlons souvent des blessures du féminin, mais le masculin aussi porte les stigmates des temps anciens.
Chacun de nous, au fil des incarnations, a connu les deux polarités.
Et c’est ensemble — femme et homme, âme et esprit, yin et yang — que nous pourrons guérir et retrouver la complétude.
L’union du féminin et du masculin, dans l’amour, la conscience et la liberté, est la clé de notre éveil divin.
C’est là que la sexualité rejoint la spiritualité.
C’est là que la vie redevient sacrée.
Le secret des druides

09/11/2025
09/11/2025

Quand le masculin détient force et sécurité, le féminin s'adoucit, et dans cette reddition, son potentiel orgasmique fleurit.

Voilà le pouvoir du divin homme masculin... il devient précieux pour son âme, pas seulement pour son corps.

Après des années, après des décennies, après des siècles, après des lustres - enfin, elle rentre chez elle. Une âme qui a voyagé à travers la vie, à travers les naissances et les morts, portant des souvenirs gravés dans la poussière d'étoiles, juste pour ce moment. Elle revient - non pas à un endroit, mais à une présence. Aux bras de celui que son âme a toujours connu.

Quand elle se sent vraiment en sécurité en sa présence, tout son être s'ouvre comme une fleur embrassée par le soleil. Elle n'a plus à tenir seul le poids du monde. Son souffle s'approfondit. Son corps se détend. Son cœur a confiance.

Elle a porté beaucoup de noms, vécu beaucoup d'histoires. Dans certaines vies, elle attendait. Dans d'autres, elle a cherché. Et dans chacun d'entre eux, elle ressentait la douleur de quelque chose qui manquait.. un désir silencieux dans sa poitrine que personne ne pouvait expliquer.

Le masculin divin n'est pas une question de domination, mais de présence. Il écoute sans réparer. Il voit sans jugement. Il touche non pas pour prendre, mais pour honorer. Dans ce genre d'amour, une femme se souvient à quel point elle est sacrée.

Elle n'a pas besoin de demander si c'est réel. Son corps sait. Son cœur se souvient. La façon dont il la regarde fait fondre le temps.
La façon dont il la tient... Elle est en sécurité. Elle est vue. Elle est sacrée.

Ses émotions ne sont plus trop. Son intensité n'est plus quelque chose à craindre. Il accueille ses vagues.. joie, rage, larmes, rires... avec une quiétude inébranlable. Et ce faisant, il devient la force de terre qui laisse sa tempête se transformer en calme.

Un homme qui comprend le pouvoir de sa propre énergie devient un médicament pour une femme. Il ne fait pas de force. Il est la force. Pas le genre qui contrôle.. mais le genre qui protège et procure la sécurité sans mots.

Il n'est pas parfait, mais il est vrai. Et dans cette vérité, elle trouve la paix. Le genre de paix qui ne vient que lorsque le destin expire enfin.

Quand elle pleure, il n'interrompt pas. Il garde de l'espace. Quand elle fête, il ne rivalise pas. Il admire. Quand elle a besoin de temps, il ne poursuit pas. Il a confiance. Sa sécurité intérieure lui permet d'être pleinement elle-même.

Dans ses bras, elle oublie le monde et se souvient d'elle. Sa sensualité s'éveille.
Son innocence revient. Sa créativité coule.
Parce qu'elle sait qu'elle n'est pas surveillée pour être utilisée, mais témoin pour être aimée.

Un homme divin masculin sait que son toucher n'est pas seulement physique - il est énergique. Il touche son âme avant de toucher sa peau. Il embrasse son front avec le respect d'une prière. Il lui tient la main comme s'il tenait la création la plus délicate de Dieu.

Ensemble, ils créent un amour qui ne guérit pas seulement. Ils guérissent leurs lignées.
Leur union n'est pas une romance. C'est un souvenir. Une réunion divine écrite à travers le temps.
(…)
Et comme elle repose en sa présence, son cœur murmure, je suis à la maison. Et son esprit répond : Bon retour mon amour. Je t'attendais.

Et en ce moment, l'univers sourit.. parce que quelque chose de sacré a été restauré.

Auteur: Abhikesh

Via Eveil et Couple Sacré✨

Empathes et hypersensibles... 🕊️
09/11/2025

Empathes et hypersensibles... 🕊️

"Si vous aimez un empathe, aimez-le franchement, honnêtement et de tout votre coeur. Les empathes ne prennent pas à la légère l’amour, ils ne font pas semblant. Quand ils ont vraiment choisi de vous ouvrir leur cœur, attendez-vous alors à être époustouflé. Leur amour est intense, puissant, désordonné et parfois difficile à gérer, mais il est réel. Les empathes ne savent pas comment aimer d’une autre façon.
Un empathe est quelqu’un qui est très sensible à l’énergie, aux humeurs, aux émotions des gens, aux situations et à leur environnement au point où ils peuvent ressentir les émotions comme s’il s’agissait des leurs.
Ils ont aussi une certaine capacité psychique à «savoir» des choses sans en avoir la preuve. Un peu mystérieuses et complexes, leurs émotions sont profondes, mais ce qui se trouve sous la surface est un monde qui lui est propre. Lorsque vous regardez dans les yeux d’un empathe qui a ouvert son cœur, vous y voyez de la vulnérabilité, de l’honnêteté, de la douleur, des rêves, du bonheur, de l’amour. Avec ces pensées, ces idées, ces émotions, ces désirs survoltés en continu, tout le monde ne peut pas être en couple avec un empathe. Ils ne peuvent pas changer. Rien n’éloigne plus un empathe que si vous essayez de changer sa sensibilité et ses capacités emphatiques.
Les empathes sont différents de la majorité des personnes que nous connaissons. Ils sont sensibles, intuitifs, facilement surexcités. Ils pleurent et voient la beauté partout. Ils ressentent la douleur des autres. Donc n’essayez pas de les changer, cela ne fonctionnera pas et ils vont se fermer immédiatement. Ils ont besoin que la personne qu’ils aiment soit honnête. La malhonnêteté ne fonctionne pas pour un empathe. Même s’ils ne sont jamais destinés à découvrir la tromperie, ils la ressentent souvent. C’est une petite torture pour eux de savoir qu’on fait quelque chose derrière leur dos et de ne pas avoir de réponse directe. Soyez honnête et sincère la première fois. En cage ils vont causer des dommages. Ils sont comme les oiseaux, ils doivent pouvoir voler librement à l’endroit où leurs émotions les guident. Les mettre en cage revient à leur couper les ailes. Ils perdront la lumière qui guide leur chemin si vous essayez de les contrôler. Si cela se produit, ils vont arrêter de s’ouvrir et ils cacheront l’amour qu’ils ont à donner assez profondément en eux. Les dégâts ne sont pas facilement réparables, mais on peut les éviter en ne cherchant pas à les mettre en cage.
L’ empathe que vous aimez a probablement eu le cœur brisé dans sa vie et doit être traité avec sensibilité concernant le rythme où les choses vont entre vous deux. Ne le précipitez pas. Il viendra de lui-même quand il sera prêt. Vous devez les laisser passer du temps seuls. Les empathes doivent se ressourcer dans un espace qui leur est propre. C’est différent pour tout le monde, mais ils ont besoin de temps pour être seul. Cela peut être fatigant de toujours ressentir l’énergie des gens qui nous entourent, s’il vous plaît ne soyez pas gêné ou ennuyé quand ils ont besoin de se ressourcer. Cela ne signifie pas qu’ils ne vous aiment pas ou qu’ils n’aiment pas votre compagnie. Cela signifie qu’ils doivent calmer leur esprit et renouveler leur énergie. Ils reviendront plus heureux qu’avant.
Souvent ils ne peuvent pas exprimer ce qu’ils ressentent. Les émotions d’un empathe sont incroyablement complexes.
A tel point qu’ils ont du mal à exprimer ce qu’ils ressentent. Donnez-leur de l’espace. Soyez compréhensif. Prenez au sérieux ce qu’ils disent.
Les empathes sont des gens extrêmement créatifs. Il y a toujours une idée qui surgit de leur esprit. Prenez-les au sérieux. Croyez en eux, même si l’idée peut vous sembler f***e. Les empathes, sans doute plus que quiconque, ont la capacité à vraiment changer le monde. Écoutez-les quand ils vous ouvrent leur cœur. Parce que quelque part entre leur enthousiasme, leur passion et les mots qu'ils utilisent pêle-mêle, quelque chose de tout à fait étonnant est sur le point d’être créé. Ils sont intenses. Les empathes ont tendance à être des gens assez intenses. Ils ne le disent pas, mais ils ressentent tout tellement profondément que cela vient naturellement à eux. S’ils sont exceptionnellement intenses, donnez-leur un peu d’espace. S’ils ont besoin de vous, restez près. Leur intuition est généralement bonne. Hé oui, contrairement à la croyance populaire, ils savent réellement de quoi ils parlent. Ils sont empathiques et ils sentent tout .
Donc, quand ils ont un bon ressenti sur quelque chose, faites-leur confiance. Lorsqu’ils ont un mauvais pressentiment pour quelque chose, faites-leur confiance. Quand ils vous parlent d’un rêve parce qu’il a touché leur cœur, faites-leur confiance. Quand ils pensent que quelqu’un ment, faites-leur confiance. Faire confiance à un empathe dans votre vie, c’est lui montrer que vous croyez en ce qu’il dit. Ils sont ici pour donner de la Lumière et de l’Amour. Explorez le monde avec eux et faites le Bien !"

09/11/2025

🌿🧘‍♀️ Nettoyage complet du corps : les aliments qui purifient naturellement ton organisme

Ton corps te parle — aide-le à se régénérer de façon naturelle et efficace 💚

🫀 FOIE : ail, curcuma, betterave, citron vert, pamplemousse, carotte
💨 POUMONS : ananas, gingembre
🩸 SANG : canneberge, gr***de, orange, gingembre
🍏 SYSTÈME DIGESTIF : pomme verte, concombre, aloe vera, fenouil
💧 REINS : concombre, céleri, persil, citron
🌸 PEAU : pomme, betterave, carotte

✨ Ces aliments favorisent la détox, l’énergie et la vitalité au quotidien.

08/11/2025

Il y a eu des nuits où j’ai dû me serrer moi-même dans mes bras pour ne pas m’effondrer.
Des journées entières où j’ai puisé ma force en silence, simplement pour tenir debout.
Des après-midi où je cherchais des réponses dans mon propre reflet, comme si mes yeux savaient ce que mon cœur n’osait pas avouer.

J’ai réglé des tempêtes seule, avec mes mains et mon courage.
J’ai essuyé des larmes que personne n’a vues, sans tendre la main, sans déranger qui que ce soit.

Et malgré tout, j’ai compris une chose essentielle :
Le monde peut me fermer ses portes, m’oublier, me juger ou se détourner…
Mais tant que moi, je ne me lâche pas, rien n’est vraiment perdu.

— Texte inspirant

07/11/2025

Si tu peux t’asseoir seule dans un café sans te cacher derrière ton téléphone…
Si tu peux aller au cinéma avec un siège vide à côté de toi…
Alors oui, tu peux faire face au monde entier.

Parce qu’être seule ne veut pas dire être abandonnée.
C’est une forme de force.
C’est avoir le courage de rester en ta propre compagnie,
sans chercher le bruit, l’attention ou la validation des autres.

Beaucoup fuient le silence,
la table pour une seule,
le billet acheté “juste pour soi”.

Pourtant, c’est dans ces moments en apparence vides
que ton âme se remplit le plus.
C’est là que naît l’indépendance, la vraie.
Celle qui ne demande plus la permission d’être heureuse.

Quand tu apprends à aimer ta propre présence,
tu ne mendies plus rien à personne.
Tu deviens ton refuge.
Et une femme qui s’est trouvée elle-même
peut traverser n’importe quelle tempête.

Vivre, tout simplement... 🕊️
05/11/2025

Vivre, tout simplement... 🕊️

Je me suis mariée à 65 ans. Mes enfants ont dit que je "trahissais" leur défunt père.

« Traîtresse. »
C’est le mot qu’a employé ma fille aînée lorsque je lui ai parlé de Carlos.
J’ai entendu sa respiration au bout du fil, ce silence lourd qui précède toujours la tempête.

— Maman, papa est mort il y a à peine quinze ans.

« À peine », ai-je répété, sentant le mot se briser dans ma bouche.
Quinze ans, ce n’est pas à peine.
C’est 5 475 jours à se réveiller seule.
Des milliers de dîners devant la télévision, à parler aux nouvelles pour entendre ma propre voix.
Des couchers de soleil sans fin, à fixer nos photos jusqu’à ce que les larmes cessent d’elles-mêmes.

Mon mari est mort d’une crise cardiaque à soixante-deux ans. J’en avais cinquante.
Une demi-vie devant moi, m’avait dit le médecin pour me réconforter.
Une demi-vie vide, avais-je pensé.

Les premières années furent de la pure survie.
J’ai appris à réparer le chauffe-eau, à tenir les comptes de la maison, à dormir en travers du lit pour ne pas sentir le vide à côté de moi.
Mes trois enfants venaient le dimanche avec leurs familles ; ils remplissaient la maison de rires et de bruit, puis repartaient, me laissant des restes pour la semaine et un silence qui résonnait contre les murs.

— Tu devrais sortir un peu, maman. Suivre un cours, te faire des amis.

J’ai essayé.
J’ai pris des cours d’aquarelle.
J’y ai rencontré d’autres v***es qui parlaient de leurs maris au présent, comme s’ils étaient simplement sortis acheter le journal.
J’ai quitté le cours au bout de trois mois.

J’ai rencontré Carlos au supermarché, de la façon la plus banale qui soit :
nos chariots se sont heurtés dans l’allée des conserves.
Il cherchait des olives vertes, moi des artichauts.
Nous avons ri. Il avait un rire chaud, de ceux qui vous contaminent sans que vous sachiez pourquoi.

— Soixante-cinq ans que je vis sur cette terre et je ne sais toujours pas lire les étiquettes, m’a-t-il dit en plissant les yeux.
— Soixante-cinq aussi, ai-je répondu. Et mes lunettes sont dans la voiture.

Nous avons pris un café à la cafétéria du magasin. Puis un autre. Et encore un la semaine suivante.
Carlos était veuf, lui aussi, depuis sept ans.
Nous avons parlé de nos mariages sans culpabilité, avec cette honnêteté tranquille de ceux qui n’ont plus rien à prouver.
Sa femme avait été une bonne femme.
Mon mari, un bon homme.
Nous les avons aimés.
Nous les avons pleurés.
Et nous avons continué à vivre, parce que c’est ce que font les vivants.

— Je ne le remplace pas, ai-je dit à mon fils cadet quand je les ai tous réunis au salon.
Carlos attendait dans la voiture, comme un adolescent nerveux.
— Ton père a sa place dans mon cœur. Il l’aura toujours. Mais il y a encore de la place.

— De la place ? a soufflé ma fille du milieu.
Il y a un an, tu refusais encore l’idée de sortir avec quelqu’un, et maintenant… te marier ? Que dira-t-on ?

— Qui, on ? ai-je demandé, sincèrement perplexe.

— La famille, les voisins, les gens de l’église ! Maman, tu as soixante-cinq ans ! C’est… c’est…

— Honteux ? Inconvenant ? Ridicule ? ai-je complété.

Aucun ne répondit, mais leurs visages dirent tout.

— Écoutez-moi bien, ai-je dit, la voix plus ferme que je ne l’aurais cru.
J’ai passé quinze ans à être la v***e de votre père.
J’ai été une bonne épouse pendant trente-deux ans.
J’ai cuisiné, nettoyé, élevé trois enfants, travaillé à mi-temps pour aider.
Je l’ai soigné quand il était malade.
Je l’ai enterré.
J’ai pleuré jusqu’à n’avoir plus de larmes.
Et ensuite, je me suis levée chaque maudit matin parce que c’est ce qu’on attendait de moi.

Ma fille aînée avait les larmes aux yeux.
— Maman, nous n’avons jamais…

— Ne m’interromps pas, ai-je coupé.
Maintenant, c’est à vous d’écouter.
J’ai rencontré un homme bon, qui me fait rire.
Qui me demande comment j’ai dormi.
Qui prépare un café affreux mais insiste pour me le servir chaque matin.
Qui me tient la main quand nous marchons, sans se plaindre de mon pas lent.
Et oui, nous allons nous marier, parce qu’à notre âge, à quoi bon attendre ?

— Mais papa… commença mon fils.

— Votre père est mort, ai-je dit.
Et la dureté de mes mots les glaça.
— Je suis désolée, mais c’est la vérité.
Il est mort, et il ne reviendra pas.
Et moi, je mérite de vivre.
Je mérite l’amour.
Je mérite de rire.
Je mérite de ne pas m’endormir chaque nuit en me demandant si c’est tout ce qu’il me reste avant de mourir à mon tour.

Le silence qui suivit fut différent. Lourd, mais autrement.

— Tu l’aimes ? demanda finalement ma fille du milieu, d’une voix faible.

La question me prit de court.
Ce n’était pas l’amour fou de la jeunesse, ni la passion des films.
C’était quelque chose de plus doux, de plus apaisé.

— Je l’aime bien, répondis-je honnêtement.
Il me fait du bien. Il me rend heureuse.
Et après tout ce que j’ai vécu, je crois que c’est suffisant.

Nous nous sommes mariés deux mois plus t**d, dans une cérémonie simple.
Juste nous deux, un juge, et deux témoins du club d’échecs de Carlos.
Mes enfants ne sont pas venus.
Ils m’en ont voulu de ne pas avoir insisté, supplié, attendu leur bénédiction.
Mais j’avais assez attendu dans ma vie.

Une semaine après le mariage, ma fille aînée m’a appelée.
Sa voix tremblait.

— Maman, je… je veux juste que tu saches que j’avais peur.

— Peur de quoi, ma chérie ?

— De te perdre.
De ce que cet homme t’éloigne de nous.
De t’oublier, papa.
De ne plus te reconnaître.

J’ai fermé les yeux, émue par ses mots.
— Mon cœur, je suis ta mère depuis ta naissance jusqu’à ma mort.
Rien ne changera cela.
Et ton père vit encore, dans mes souvenirs, dans les histoires que je raconte à mes petits-enfants, dans vos gestes à tous les trois.
Personne ne me l’enlèvera jamais, car il est ici — là — dans mon cœur.
Et il y restera.
Mais mon cœur est grand.
Il y a de la place pour le passé et pour le présent.

— Tu es heureuse ? demanda-t-elle, la voix tremblante.

— Je suis heureuse, répondis-je.
Pour la première fois en quinze ans, je suis heureuse.

Un long silence. Puis :
— Alors… on peut le rencontrer ? Pour de vrai cette fois ?

J’ai souri, sentant quelque chose se dénouer en moi.
— J’en serais ravie.

Aujourd’hui, six mois plus t**d, Carlos et mes enfants s’entendent mieux que je ne l’aurais cru.
Ce n’est pas parfait — ma fille aînée se crispe encore quand Carlos s’assoit sur la chaise de papa — mais c’est réel.
C’est sincère.

Hier soir, Carlos et moi étions assis devant la télévision, ma tête posée sur son épaule.
Je repensais à tout le chemin parcouru.
À la douleur, à la solitude, à la culpabilité que j’ai ressentie les premiers mois, en me demandant s’il était bien de sentir des papillons dans le ventre à soixante-cinq ans.

— À quoi penses-tu ? m’a-t-il demandé, caressant mes cheveux.

— Je pense que je mérite tout ça, ai-je répondu.
— Tu mérites l’amour, aussi, a-t-il murmuré en m’embrassant le front.

Et j’ai su, avec une certitude oubliée depuis longtemps, qu’il avait raison.

À soixante-cinq ans, je me suis donné la permission d’être heureuse à nouveau.
Et cela ne trahit personne.
Cela m’honore, moi.
Le monde littéraire

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