Sanna Menschakov, Pratique de thérapie

Sanna Menschakov, Pratique de thérapie Je suis psychanalyse et thérapeute analytique. Et je vous écoute.

"Le monde se divise entre ceux qui veulent être et ceux qui veulent paraître. Tu le vois chaque jour. Certains vivent av...
28/09/2025

"Le monde se divise entre ceux qui veulent être et ceux qui veulent paraître. Tu le vois chaque jour. Certains vivent avec cette lumière dans les yeux, cette force tranquille qui ne dépend pas des applaudissements extérieurs. Ils n’ont pas besoin de briller pour les autres, parce que leur feu intérieur brûle déjà assez fort. D’un autre côté, il y a ceux qui courent après les regards, qui se maquillent l’âme pour paraître plus grands qu’ils ne sont.

Ceux qui veulent être avancent en silence. Ils n’ont pas besoin de prouver. Ils savent que leur valeur ne dépend pas de ce qu’on pense d’eux, mais de ce qu’ils construisent dans l’ombre. À l’inverse, ceux qui veulent paraître dépensent leur énergie à bâtir une façade. Leur maison est belle de l’extérieur, mais à l’intérieur, tout sonne creux.

L’être, c’est une fondation solide. Tu peux traverser les tempêtes, et tu restes debout. Le paraître, c’est un château de sable. Dès que la vague monte, il s’effondre. La différence, c’est que l’un t’ancre dans la vie réelle, et l’autre t’enchaîne dans une illusion fragile.

Être demande du courage. Ça veut dire accepter de ne pas plaire à tout le monde, ça veut dire marcher parfois seul. Mais ce chemin solitaire forge des racines profondes. Le paraître, lui, cherche toujours la validation extérieure, et finit par s’épuiser dans une quête sans fin.

La société d’aujourd’hui pousse au paraître. Les réseaux sociaux, la comparaison constante, les filtres, les mises en scène… Tout pousse à jouer un rôle. Pourtant, au milieu de ce vacarme, ceux qui choisissent l’être deviennent rares et précieux. Ce sont eux qui inspirent, pas par leurs mots, mais par leur présence.

Alors demande-toi : veux-tu faire partie de ceux qui brillent parce qu’ils paraissent, ou de ceux qui rayonnent parce qu’ils sont ? Le monde se divise en deux, mais toi, tu as toujours le choix du camp auquel tu appartiens.

Francis Machabée

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Avant de discuter, demandez-vous si l’autre peut entendreHelen Mirren aurait un jour déclaré : « Avant d’entrer dans une...
25/09/2025

Avant de discuter, demandez-vous si l’autre peut entendre

Helen Mirren aurait un jour déclaré : « Avant d’entrer dans une discussion, demandez-vous si la personne en face est assez mûre pour comprendre qu’un autre point de vue puisse exister. Si ce n’est pas le cas, cela ne sert absolument à rien. »

Toutes les disputes ne méritent pas votre énergie. Parfois, vous aurez beau parler avec clarté, l’autre n’écoute pas pour comprendre : il écoute pour répliquer.
Coincé dans sa propre perspective, il refuse d’envisager une vision différente, et dialoguer avec lui ne fait que vous épuiser.

Il y a une grande différence entre un échange sain et un débat stérile.
Une conversation avec quelqu’un d’ouvert, curieux de grandir et de comprendre, peut être éclairante—même sans accord final.
Mais tenter de raisonner une personne qui refuse de voir au-delà de ses croyances, c’est comme parler à un mur : peu importe la logique ou la vérité que vous apportez, elle détournera, déformera ou rejettera vos mots. Pas parce que vous avez tort, mais parce qu’elle ne veut pas voir autrement.

La maturité ne consiste pas à « gagner » une dispute, mais à reconnaître quand elle ne vaut pas d’être menée. C’est comprendre que votre paix intérieure vaut plus qu’un point à prouver auprès de quelqu’un qui a déjà décidé de ne pas changer d’avis.
Toutes les batailles ne méritent pas d’être livrées. Tout le monde n’a pas droit à vos explications.

Parfois, le geste le plus fort consiste à s’éloigner—non parce que vous n’avez rien à dire, mais parce que vous savez que certains ne sont pas prêts à écouter. Et ce fardeau n’est pas le vôtre.

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"On t’a appris à réfléchir, à analyser, à calculer. Mais on ne t’a jamais appris à comprendre tes émotions. On t’a même ...
08/09/2025

"On t’a appris à réfléchir, à analyser, à calculer. Mais on ne t’a jamais appris à comprendre tes émotions. On t’a même dit de les taire, de les contrôler, de les mettre de côté pour « avancer ». Et pourtant, ce que tu fuis, ce que tu refuses d’écouter, c’est justement ce qui te gouverne en silence. Tant que tu n’auras pas compris tes émotions, tu resteras prisonnier de réactions automatiques qui sabotent ta vie.

Chaque émotion est un signal. La peur te montre où tu crois manquer de sécurité. La colère révèle ce qui viole tes limites. La tristesse te rappelle ce que tu n’as pas accepté. Et la joie, elle, t’indique que tu es aligné. Comprendre tes émotions, ce n’est pas les juger ou les refouler, mais apprendre à décoder le message caché derrière elles. Parce qu’en vérité, elles ne sont pas contre toi, elles sont pour toi.

Le problème, c’est que tu as confondu comprendre avec contrôler. Tu crois que tu dois dominer tes émotions, comme si elles étaient tes ennemies. Mais c’est l’inverse : elles sont tes alliées les plus précieuses. Elles te parlent en permanence. Et chaque fois que tu refuses d’écouter, elles reviennent plus fortes, plus intenses, jusqu’à exploser et t’échapper complètement.

Le jour où tu comprendras vraiment tes émotions, tu ne verras plus la peur comme une faiblesse, mais comme une invitation à grandir. Tu ne verras plus la colère comme un danger, mais comme une force pour te protéger. Tu ne verras plus la tristesse comme une chute, mais comme une guérison en cours. Tu réaliseras que tes émotions ne t’enferment pas : elles te libèrent.

C’est cette compréhension qui change tout. Parce qu’à partir de ce moment, tu ne subis plus ta vie, tu la diriges. Tu arrêtes de répéter les mêmes erreurs, d’attirer les mêmes relations, de vivre les mêmes échecs. Tu deviens conscient, tu reprends ton pouvoir, et surtout, tu arrêtes de croire que le problème est à l’extérieur. Tu comprends qu’il a toujours été en toi, et que la clé aussi est en toi.

Comprendre tes émotions, c’est réécrire ton histoire. C’est passer d’un pilote automatique à une vie consciente. C’est regarder en face ce que tu ressens, même quand ça fait mal, et accepter que ce ressenti est ton meilleur professeur. Parce que chaque émotion mal comprise devient une prison, mais chaque émotion décodée devient une libération.

Et ce jour-là, ta vie ne sera plus jamais la même. Parce que tu ne vivras plus comme une victime de tes émotions, mais comme le maître de ton monde intérieur. Tu réaliseras que les réponses que tu cherchais dehors étaient déjà là, dans le langage silencieux de ton cœur. Et cette vérité, une fois comprise, ne peut plus être oubliée".

Francis Machabée

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"Derrière chaque personne forte, il y a un moment précis où elle s’est écroulée... Ce n’est pas une force née dans le co...
05/09/2025

"Derrière chaque personne forte, il y a un moment précis où elle s’est écroulée... Ce n’est pas une force née dans le confort, mais forgée dans l’urgence de survivre... Tu crois qu’elle est née solide mais non… elle l’est devenue... Parce qu’à un moment donné, elle n’avait tout simplement pas d’autre option... Elle n’a pas demandé d’être forte, elle a dû l’être... Elle aurait préféré la douceur, la tendresse, la main qui rassure... Mais à la place, elle a eu le silence, les absences, ou pire les trahisons... Alors elle a appris à ne compter que sur elle-même et à se relever, encore et encore... Tu la vois sourire, briller, inspirer... Mais tu ne vois pas les nuits sans sommeil, les tempêtes intérieures, les larmes retenues... Elle a connu l’abandon, la peur, la déception... Et au lieu de s’effondrer pour de bon, elle a décidé de se reconstruire... À sa manière... À son rythme... Elle ne veut pas qu’on la plaigne, juste qu’on comprenne... Être forte, ce n’est pas toujours un choix... C’est souvent une réponse à un monde qui ne laisse pas le droit à la fragilité".

Jéjé Kuypers

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"Réapprends toujours à ajuster ton regard. La vie change, les situations évoluent, et ce que tu vois aujourd’hui n’est p...
01/09/2025

"Réapprends toujours à ajuster ton regard. La vie change, les situations évoluent, et ce que tu vois aujourd’hui n’est pas figé. Parfois, il suffit de déplacer ton angle de vue pour découvrir une vérité différente, plus douce, plus juste pour toi.

Apprends aussi à te poser les bonnes questions, celles qui ouvrent, qui éclairent et qui t’aident à avancer. Pas les questions qui te jugent ou t’emprisonnent, mais celles qui t’invitent à comprendre ce dont tu as vraiment besoin, ce qui nourrit ton cœur et ce qui honore ton chemin.

Car le véritable progrès commence là : dans ta capacité à changer de regard, à interroger ton propre monde intérieur, et à choisir consciemment ce qui te rapproche de toi-même".

Charlotte Cellier

C'est ce que la psychanalyse nous apprend. Mais se psychalyser, c'est aussi à apprend à se regarder le nouveau via l'inconscient ! À comprendre les soubassements inconscients, c'est la seule voie qui permet le changement durable. La prise de conscience doit suivre l'action. Sans action, rien ne peut changer.

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"Le conflit le plus profond que nous affrontons n’est pas entre le bien et le mal, mais entre ce que nous sommes et ce q...
26/08/2025

"Le conflit le plus profond que nous affrontons n’est pas entre le bien et le mal, mais entre ce que nous sommes et ce que nous prétendons être."

Carl Jung

Notre véritable lutte n’est pas extérieure mais intérieure : à force de porter des masques, nous oublions notre visage authentique.

Le chemin vers soi demande du courage : celui d’ôter le masque et de faire connaissance avec nous-mêmes pour pouvoir dire " voilà qui je suis".

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"Pour se libérer de la dépendance affective, il est important d'apprendre à se sentir bien et entier avec soi-même.La pr...
13/08/2025

"Pour se libérer de la dépendance affective, il est important d'apprendre à se sentir bien et entier avec soi-même.

La pratique de l'affirmation et de l'autonomie sont d'excellentes clés de guérison pour cela.

Elles permettent de développer son autonomie émotionnelle. Elles permettent d'apprendre à gérer ses émotions et alors de gagner en structure et maturité émotionnelle.

L'inconscient a enregistré il y a bien longtemps que nous n'étions pas capables de nous sentir bien avec nous-mêmes. Nos émotions étaient difficiles dans ces situations. Pour cela, il a développé la dépendance affective pour palier à nos peurs et nos manques intérieurs.

Il nous appartient aujourd'hui de montrer à notre inconscient chargé de croyances limitantes combien nous sommes capables de nous sentir bien avec nous mêmes.

La pratique de l'affirmation et de l'autonomie est la voie pour cela.

En gagnant en maturité émotionnelle, par voie de conséquence, la dépendance affective s'éteind.

La pratique de l'autonomie c'est faire des choses seul(e) en conscience.

C'est pratiquer l'authenticité. Finis les faux semblants, les servitudes. C'est être vrai, aligné, sincère.

C'est aussi apprendre à accueillir ses émotions, avec Amour, Bienveillance et Non Jugement. Entendre pourquoi elles sont là, à cause de qui, à cause de quoi, et les rassurer, les consoler, les réconforter. Leurs apporter des solutions concrètes lorsque cela est nécessaire. Cela sous entend parfois de poser de nouveaux actes.

La pratique de l'autonomie c'est être à l'écoute de chacune de nos parts, nos besoins, nos envies, nos aspirations profondes, et les exaucer, les réaliser.

C'est être présent pour soi, c'est rester avec soi. C'est cesser de se fuir.

On ne devient pas autonome sans développer cette posture responsable et mature".

Marie Chauderon

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Les douleurs comme des symptômes de conversion hystérique Lacan a repris Freud là dessus. Pour lui, symptôme c'est ce q...
09/08/2025

Les douleurs comme des symptômes de conversion hystérique

Lacan a repris Freud là dessus. Pour lui, symptôme c'est ce qui est analysable. Le symptôme se présente sous un masque : ici la douleur.

Certains hystériques ont tendance d'être en dévotion au service des autres. Ces sujets se trouvent en posture d'avoir à satisfaire plus que jamais la demandes des autres. L'entière soumission, voire abnégation du sujet lui-même, par rapport à la demande qui lui est proposée, est donnée par Freud comme une des conditions essentielles de la situation en tant qu'elle s'avère hystérogène.

Si le sujet est entièrement soumis à la demande de l'autre, s'il est invité à se taire, à s'effacer derrière la demande de l'autre, alors bien sûr il n'aura de cesse que de se manifester autrement et de faire retour dans le symptôme.

Quand Lacan dit "ça parle ", il veut dire que le symptôme a une signification de parole. Les douleurs, dans ce sens, font partie du discours du sujet.

Ce symptôme qui s'articule pose le problème de sa relation avec le désir inconscient, en tant que le désir lui-même est une énigme qui se revêt du masque du symptôme. Le symptôme cache le désir, mais en même temps il est la façon dont le sujet peut articuler ce désir.

L'analyse a comme but de nous révéler notre fonctionnement inconscient. Et par cela, nous libérer nos certains symptômes qui nous empêchent de vivre plus sereinement. Moins douloureusement.

Source : Classification lacanienne des structures subjectives, Danièle Brillaud

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"Savoir dire non quand c'est juste pour toi c'est t'apporter de la considération, de la reconnaissance. C'est respecter ...
09/08/2025

"Savoir dire non quand c'est juste pour toi c'est t'apporter de la considération, de la reconnaissance. C'est respecter ton temps, tes énergies, tes vibrations. C'est incarner ton authenticité, ton alignement, ta cohérence, ta loyauté.

Savoir dire non c'est te rendre ta légitimité. C'est avoir de l'estime pour toi. C'est t'aimer.

Savoir dire non quand c'est nécessaire c'est donner de la valeur à ta vie, à tes priorités. C'est donner de la valeur à ta personne, à qui tu es.

Il ne s'agit pas là de devenir égoïste, mais seulement juste, envers toi déjà, envers ton Sacré, ton Coeur, ton Âme, ton Enfant Intérieur.

Je te rappelle que s'aimer ce n'est pas moi d'abord, c'est moi aussi".

Marie Chauderon

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Les mères narcissiques:"Ce que fait une mère narcissique à ses enfants (et ce qu’ils deviennent).Il y a des mères qui pr...
06/08/2025

Les mères narcissiques:

"Ce que fait une mère narcissique à ses enfants (et ce qu’ils deviennent).
Il y a des mères qui prennent toute la place.
Qui font tourner le monde autour d’elles.
Qui pleurnichent, se plaignent, se victimisent.
Et qui, derrière leurs larmes, manipulent.

Ce sont celles qui ne laissent jamais leurs enfants devenir adultes.
Elles vivent à travers eux.
Elles attendent qu’on serve leur égo, qu’on les écoute, qu’on les rassure.

Et si un enfant ose vivre pour lui-même, il sentira la culpabilité.
Ces mères-là ne veulent pas que leurs fils deviennent des hommes.
Elles veulent qu’ils restent leurs petits garçons, obéissants, loyaux, disponibles, à leur service.
Pas des hommes libres avec une vie à eux.
Pas des maris ni des pères autonomes.
Juste des fils dociles qui n’existent que pour elle.

Et leurs filles ?
Elles les envient, les écrasent ou les utilisent.
Elles les critiquent, les comparent, les rabaissent subtilement.
Trop ci, pas assez ça.
Elles voient en elles une rivale à contrôler ou une réplique à façonner à leur image.
Elles contrôlent, critiquent, comparent.
Et elles appellent ça AMOUR.

Elles exigent qu’on les mette au centre, à chaque repas,
chaque appel, chaque décision.
Elles surveillent, elles piquent, elles retournent les rôles.
L’enfant devient le parent.
Le parent devient l’enfant blessé qu’il faut réparer.
Et ça peut durer toute une vie.

Les conséquences de la manipulation, "de la castration" ? Elles sont silencieuses, mais profondes.
L’enfant devient un adulte angoissé, perfectionniste, contrôlant, incapable de se détendre.
Toujours à vouloir bien faire. À ne pas déranger. À faire plaisir.
Il a peur de mal faire, de décevoir, de ne pas être “assez”.
Il se coupe de ses besoins, de ses émotions, de sa liberté.
Il n’a pas appris à vivre pour lui.
Il a appris à survivre… pour elle.

Mais un jour, on ouvre les yeux.
On comprend que ce n’est pas de l’amour.
Que ce n’était pas normal.
Que ce n’était pas juste.
Et ce jour-là, une autre vie devient possible.
Ce n’est pas facile.
Mais c’est libérateur".

F Poulmarch

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"L’homme moderne, noyé dans de fausses idéologies collectives, désorienté par un manque de valeurs auxquelles se raccroc...
25/07/2025

"L’homme moderne, noyé dans de fausses idéologies collectives, désorienté par un manque de valeurs auxquelles se raccrocher, a oublié qu’il avait une âme. Il recherche désespérément en dehors de lui quelque chose qui puisse l’animer, le rendre vivant. C’est pourtant en lui qu’il pourrait retrouver le contact avec les forces inconscientes qui l’animent, en se confrontant avec elles".

Jung

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"Ce qui est dit n'est jamais entendu tel que c'est dit : une fois que l'on s'est persuadé de cela, on peut aller en paix...
17/07/2025

"Ce qui est dit n'est jamais entendu tel que c'est dit : une fois que l'on s'est persuadé de cela, on peut aller en paix avec la parole, sans plus aucun souci d'être bien ou mal entendu,
sans plus d'autre souci que de tenir sa parole au plus près de sa vie".

Christian Bobin
L'éloignement du monde

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Route De Colovrex 22
Le Grand-Saconnex
1218

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