Kika Dillier - Coach CP, PNL - Écouter, Recadrer, Motiver

Kika Dillier - Coach CP, PNL -  Écouter, Recadrer, Motiver Je vous accompagne sur un bout votre chemin de vie, afin que vous deveniez rapidement autonome! Kika est là, pour vous!

Coach professionnel, Practicienne PNL et Hypnose Ericksonienne

L’affirmation de soi et l’estime de soi chez les adultes, les adolescents et les enfants sont la clé du développement personnel et de la mise route des décisions. Le coach peut aider la personne accompagnée à développer son mieux-être. En coaching, il s’agit donc de prendre en compte cet aspect essentiel de l’accompagnement à orienter dans ses propres solutions de l'état actuel à un état désiré, pour donner sens ce que le coaché vit et ne souhaite plus vivre. De petits outils simples et pratiques permettent un gain important de confort dans les relations de tout les jours, personnelles ou professionnelles. J'assure le respect du client et de la déontologie de l'IFC (Fédération Internationale des Coach) et practiciens PNL du Coaching. Diplôme reconnu et agréé en Suisse et Canada. Tarif actuel sont à :

Première entrevue et ouverture du dossier: Gratuit

1 scéance 1 personne dure env. 1h. à 80.-
1 scéance 2 personnes dure env. 1h30 à 120.-
1 scéance famille dure env. 1h45 à 160.-

Payement aussi en deux fois. Il est aussi possible des échanges de services.

1 séance gratuite pour votre anniversaire, valable une fois dans votre vie ! Objectifs

- Savoir affirmer son identité par sa propre communication.

- Ammener à être responsable.

- Identifier ses objectifs.

- S'impliquer dans ses décisions.

- Désirer d'avancer sur son chemin de vie.

- Pouvoir développer avec ses propres ressources.

- Gérer ses états émotionnels.

- Se retouver avec soi et son entourage. Contenu de solution pour le développement du coaching de vie (life coaching):

- Personnel, individuel, amical, amoureux, réorganisation, vie professionnelle.

- Enfant, scolarité, relationnel, apprentissage, motivation, écoute, réorientation.

- Famille, jeunes parent, parent-enfant, couple, grand-parents, communication, organisation.

- Spirituel, sens à la vie, mission, recherche intérieur.

- Santé, importance à la maladie, sexualité.

- Organisation, procrastination, gestion des émotions, gestion du temps. Méthodologies:

Vastes outils de la Programmation Neuro Linguitique, Thérapie brève, Orientation Psycologique Positive, Exercies Psychoéducatifs, Méditation-Relaxation, Art-Pictural.

11/03/2023
28/11/2021

Chaque jour, nous croulons sous le poids des devoirs que nous impose la vie quotidienne : je dois faire la vaisselle, je dois promener le chien, je dois aller à l’usine pour toucher ce salaire de misère, je dois conduire les enfants à l’école, je dois faire vivre ma famille, je dois me contenter de peu, je dois faire mes devoirs.. ces quelques exemples usuels sont basiques et vous pouvez en trouver des dizaines adaptés à votre vie. Chacun croule sous des tas de devoirs qui plombent parce qu’ils sont soumis à des jugements ou obligations.

Trouver et libérer les “sinon” qui y sont liés et remplacer les devoirs par des choix conscients est un merveilleux cadeau à se faire pour que notre vie devienne plus paisible. C’est remplacer la peur par l’amour et cela permet de révéler le meilleur dans chaque situation.

“Je choisis de faire la vaisselle” parce que j’aime avoir une cuisine bien rangée, que j’apprécie la propreté et qu’ainsi je me sens mieux est préférable pour l’esprit à “je dois faire la vaisselle sinon mon conjoint va me critiquer ou je vais être jugée comme sale…”
‘Je choisis de promener le chien’ parce que ça lui fait du bien de marcher et ça me fait du bien. J’entretiens ainsi mon corps et j’en profite pour bien respirer, pour libérer ce qui me dérange et pour affirmer des phrases de motivation. En plus, cela me donne l’occasion de rencontrer des personnes et de communiquer plutôt que de rester chez moi donne plus de valeur à ce moment que de l’attribuer de corvée.

‘Je choisis d’aller à l’usine’ parce que c’est ce travail actuel qui m’apporte de quoi vivre matériellement et je remercie la vie d’avoir un emploi, même si, temporairement, je n’ai rien trouvé de mieux. J’y ai de bons collègues et j’aide à fabriquer des objets qui facilitent la vie ou agrémentent la vie des autres.

Et si vous voulez vraiment améliorer votre vie, ouvrez-vous à de nouvelles possibilités. Il y en a plein autour de vous plus en accord avec votre vraie nature.
Vous pouvez ajouter : cependant, je fais le nouveau choix de développer plus de richesses intérieures et extérieures parce que j’ai des talents à exploiter et je vais passer plus de temps à mon développement intérieur pour créer une vie plus prospère sur tous les points.
Et vous pouvez profiter du temps du voyage pour écouter des audios de motivation personnelle au lieu d’écouter les infos ravageuses et surtout de les mettre en pratique !

Un autre choix : ‘Je dois conduire les enfants à l’école’ parce que ça me rassure de savoir qu’ils sont bien arrivés, parce que c’est un moment privilégié pour communiquer et que je me sens bien de remplir mon rôle de parent et que je peux continuer ma journée avec assurance. Ces pensées enlèvent l’idée de corvée.

Chaque ‘je dois’ peut être annulé par d’autres choix. Ce sont les conséquences qui changent.

Il est toujours possible de déléguer une tâche, de gagner plus pour employer quelqu’un à faire ce qui n’est pas à notre goût, de ne pas faire, de demander à quelqu’un d’autre, de changer de métier, de prendre son temps ou d’accélérer… Tout est possible !

La vie donne des tas de possibilités en fonction de nos choix. D’où l’importance de savoir ce que l’on veut vivre, de le déterminer et de tout faire pour arriver à vivre ses objectifs.

Dès que l’amour coule dans les choix conscients, la vie s’écoule plus facilement.

Autre exemple : C’est bientôt Noël … et les cadeaux ?

Devoir ou choix conscient ?
Vous pouvez vivre faire le choix de ne pas succomber à la tradition ou faire le choix d’offrir des cadeaux parce que ça vous fait plaisir de voir les autres découvrir vos choix ou pour faire plaisir, ou pour montrer votre richesse… vous pouvez fuir au loin pour vous trouver des excuses ou participer avec joie… vous pouvez tout faire pour effacer cette fête ou la prendre comme une période de communion… tout est possible et respectable.

Libérez les ‘sinon’ et remplacez par l’amour de choix en accord avec vous-même et votre vie sera de plus en plus paisible.

Alors la prochaine fois que vous vous entendez dire ‘je dois’… remplacez par ‘je choisis’… et vous verrez que votre vie sera bien plus sereine.

Que le meilleur soit !
Source ⬇️
Joéliah

17/04/2021
Prenons l’air !
12/07/2020

Prenons l’air !

07/06/2019

J’ai passé quasiment 10 ans de scolarité obligatoire a avoir des pronostics défavorables sur mon avenir. Mes notes étaient mauvaises et mon comportement inadmissible, mais l’échec scolaire ça n’est pas l’échec de l’élève ; c’est l’échec de l’école !
PARENTS, CROYEZ EN VOS ENFANTS !
JEUNES GENS, CROYEZ EN VOUS !

21/02/2019

Le triangle de Karpman : Victime, sauveteur, persécuteur, comment sortir du triangle infernal ?
Cela va probablement choquer certains mais, à moins de pratiquer couramment l’*assertivité, il y a de fortes chances que vous vous retrouviez dans ce qu’on appelle le triangle de Karpman.

Le triangle de Karpman ? Mais de quoi s’agit-il ?
Le triangle dramatique développé par le psychologue américain Stephen Karpman représente un modèle social d’interactions humaines dans lequel trois rôles s’affichent :

La victime : celui qui se sent persécuté
Le sauveteur : celui qui vous vient en aide (vous veut du bien)
Le persécuteur : celui qui prend pour cible la future victime
Il est difficile d’échapper à ce rôle, car très souvent nous jouons dans cette pièce (inconsciemment), et nous en tirons profit.

Chacun des trois acteurs trouvera une réponse à ses propres attentes en jouant son rôle.

Ces rôles peuvent être mis en relation avec ce qu’Eric Berne appelle les « quatre mythes »

J’ai le pouvoir de rendre les autres heureux (Sauveteur en recherche d’une Victime)
Les autres ont le pouvoir de me rendre heureux (Victime en attente d’un Sauveteur)
J’ai le pouvoir de rendre les autres malheureux (Persécuteur en attente d’une Victime)
Les autres ont le pouvoir de me rendre malheureux (Victime en attente d’un Persécuteur).
Le triangle de Karpman offrirait donc à chacun une sorte de solution de nature à combler ses besoins ou attentes.

Quel rôle adoptez-vous généralement dans ce triangle infernal ?
Celle ou celui qui veut contrôler et qui sait ce qui est bon pour l’autre… ?
Celle ou celui qui vient en « aide aux autres » ?
Ou la victime qui subit les choses, se sent persécutée ?
Zoom sur la victime
Ne sommes-nous pas tous un peu la victime de quelqu’un, ce père trop exigeant, cette administration qui ne veut rien entendre, ces personnes qui nous manquent de respect, ce collègue qui ne fait pas sa part de boulot, ce patron trop sévère, …

Lorsque nous sommes face à une difficulté, ou que nous devons assumer un mauvais choix, trouver un coupable est plus aisé que de se remettre en question.

La victime ne cherchera pas réellement à sortir de son rôle, car elle reçoit attention, aide ou l’assistance et se sent aimée.

Le sauveteur aidera la victime mais sans vraiment la rendre autonome. Dans son rôle, il sera apprécié, reconnu, voir aimé.

Chacun garde son rôle dans ce jeu de dupes tout en tirant profit des bénéfices secondaires qui en découlent (avantages souvent cachés).

La « victime » attirera l’attention sur elle, et en particulier celle du sauveteur. Se plaindre est en réalité la présentation d’une demande cachée, un moyen pour que l’on s’occupe d’elle.

Etre une victime signifie aussi que toutes les difficultés rencontrées et le mal qui survient sont la faute du système, des autres, … Des persécuteurs.
C’est donc une bonne excuse pour ne pas reconnaître ses responsabilités, et ne pas modifier ses habitudes. A quoi bon essayer de changer, vu que tous les problèmes viennent des autres ?

En fait, la victime n’a pas toujours envie que la situation s’arrange, même si elle souffre ! Que ferait-elle si on ne s’occupait plus d’elle ?

Vous venez de prendre conscience que vous jouez parfois ce rôle de victime ? Ne le renforcez pas par la culpabilité ! Nous vivons dans une société qui alimente la victimisation en déresponsabilisant les gens et en alimentant l’assistanat. Plus une personne est autonome, plus l’indépendance et la liberté deviennent ses moteurs. L’aider sans favoriser son autonomie, c’est au contraire la réduire au silence.

N’espérez pas que les autres agissent à votre place, vous risquez d’attendre longtemps !
Cessez de croire en la transformation de votre environnement, que les autres vont changer. Le changement commence par vous. Certes, il faudra prendre certains risques, entre autres ceux des confrontations et du positionnement.

Mais si ce rôle de victime vous dérange dans votre épanouissement personnel, peut-être serait-il temps de commencer à examiner les possibilités pour vous prendre en main ?

Nous ne prétendons pas que le chemin est facile. Il prend souvent prend du temps, comme toute véritable transformation. Ici, le passage de la victimisation à la responsabilisation et à l’autonomie.

Concrètement, il faudra agir, faire preuve de patience et de persévérance. Mais les bénéfices qui vous attendent n’en valent-ils pas la chandelle ?

Et pour faciliter ce chemin vers plus de liberté, tout en étant rassuré et en prenant du plaisir, le coaching est un véritable atout. Reposant sur l’autonomie de la personne accompagnée, c’est le moyen le plus direct pour obtenir des résultats durables. Cela fait partie de notre travail quotidien avec nos coachés (pour en savoir plus, contactez-nous).



Zoom sur le persécuteur
Souvent les personnes qui ont une tendance de persécuteurs ont eu beaucoup de frustrations dans leur enfance et essaient de le faire payer (inconsciemment) aux autres.

Vous vous sentez « un peu » dans cette catégorie ? Parfois « critiqueur » ou « persécuteur » ? Il serait intéressant de vérifier ce que cela réveille chez vous :

Notamment, les reproches faits à l’autre, que réveillent-ils chez vous ?
Qu’est-ce qui n’a pas (encore) été solutionné dans votre vie ?
Qu’est-ce que vous autorisez ou, au contraire, vous interdisez ?
Le persécuteur est prisonnier de son propre contrôle !
Il pourrait être intéressant de s’interroger sur vos réels choix de vie.

Par exemple se poser ces quelques questions sur votre perfectionnisme :

« En quoi est-ce important pour vous d’être parfait(e) ? »
« La perfection existe-t-elle et à quel prix ? »
« Que se passerait-il si vous n’étiez pas parfait(e) ? »
Sortir du triangle de Karpman, pour un persécuteur, passe souvent par le lâcher-prise.



Zoom sur le sauveteur
Son obsession est de vous aider… sans même demander si vous avez besoin d’aide !

Il vous cajole, vous donne de bons conseils (les siens), vous réconforte, fait même les choses à votre place… au point de devenir parfois envahissant et d’être perçu alors comme un persécuteur.

Si la victime se plaint de l’intervention inopinée du sauveteur celui-ci rumine ce type de phrase : « Après tout ce que j’ai fait pour toi… »

Dans ce triangle infernal, le rôle de sauveteur est parfois une fuite. S’occuper des problèmes d’autrui est parfois le moyen de ne pas s’occuper des siens. L’intervention du sauveteur n’est-elle pas, parfois, une façon de nier ses propres besoins ?

Questions à vous poser si vous avez une tendance à jouer les sauveteurs :
« En quoi est-ce important pour moi de vouloir à tout prix sauver l’autre ? »
« Que se passerait-il si je ne le faisais pas ? »
« Qu’est-ce qui me fait peur à mon bout de la relation (voir les trois composantes de la communication ajouter lien) pour vouloir absolument m’occuper des autres ?
« Est-ce le seul moyen que j’ai trouvé pour nourrir mon égo ? »
Comment sortir de ce rôle de sauveteur ?
Commencer par demander si l’autre souhaite être aidé.
Cette aide devra être cadrée dans son contenu et dans le temps.
Elle devra avoir une contrepartie pour éviter à l’autre d’être en dette…
L’aide doit permettre à la personne aidée de faire sa part du chemin (il faudra qu’elle se responsabilise)
L’aide doit permettre à la personne d’aller vers son autonomie
Rappelez-vous le dicton : « Ne lui donnez pas du poisson, apprenez-lui plutôt à pêcher ! »



7 clés pour sortir de ce triangle dramatique
On ne peut pas changer l’autre, par contre on peut commencer par SE changer !

Voici quelques outils très efficaces pour sortir du triangle de Karpman :

Le lâcher-prise :
Apprenez à exprimer vos convictions sans dénigrer les croyances de l’autre, il en fera l’usage qui lui convient.

L’acceptation de l’autre tel qu’il est :
La manière dont l’autre se comporte est moins importante que le chemin que vous parcourez.

Le respect :
Vous exprimez ce que vous ressentez, vous posez vos mais sans blesser l’autre en utilisant la communication non violente.

L’indépendance par rapport au résultat de vos actions :
Qui êtes-vous pour croire qu’autrui devrait se conformer à vos désirs ? Accepter qu’une demande puisse recevoir un non ou qu’un geste qui part d’une bonne intention soit reçu différemment.

L’abandon de la volonté d’obtenir quelque chose par la manipulation :
: Si vous menacer (Persécuteur), vous plaignez (Victime) ou promettez (Sauveur), l’autre personne vous fera peut-être plaisir mais finira aussi par vous en vouloir.

L’abandon du rapport de force :
Par exemple, je suis malheureux à cause de toi (V). Tu sais que je fais de mon mieux (V) ou Tu sais que je fais tout pour toi, tu n’es jamais content(e) (P)

L’abandon de l’amour conditionnel :
Par exemple, si tu m’aimais vraiment tu ferais …). Privilégiez l’amour inconditionnel. Agissez pour vivre en conformité avec vos valeurs, votre spiritualité, ou pour seul plaisir celui de faire plaisir (voir également apprendre à dire non).

Si vous donnez en attendant quelque chose en retour, ce n’est pas de l’amour, c’est juste du troc.



Le triangle dramatique au travail
Dans le cadre professionnel, les relations s’inscrivent fréquemment dans ce triangle et peuvent se compliquer par le jeu des positions hiérarchiques. Il n’est pas rare qu’un supérieur soit étiqueté « persécuteur ». Toutefois, rappelez-vous que sans victime, il ne peut jouer son rôle. Et c’est bien souvent la personne qui paraît la plus « faible » qui sera choisie.

Le triangle de Karpman est un piège qui empoisonne les relations. Développer votre estime personnelle, votre affirmation de soi et privilégier la communication assertive (CNV) sont d’excellents moyens pour sortir du jeu. Et vous éviter de subir des comportements extrêmement désagréables et stressants.

*(L'assertivité est un mode de communication qui concilie l'affirmation de soi-même et le respect d'autrui. Pour Dominique Chalvin, l'asservité c'est » l'expression de sa propre personnalité sans susciter l'hostilité de son environnement, c'est savoir dire « non » sans se sentir coupable.)
"Cliquez sur l'image pour l'agrandir et en faciliter la lecture."

Source :
http://www.emotivactions.com/le-triangle-de-karpman/

21/01/2019

Je pense qu'il n y a pas de limite d âge, c'est utile toute la vie 😉

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Neuchâtel

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