28/11/2025
Dans un monde d’IA, ce qui nous rend précieux n’est pas d’être parfait comme les machines, mais notre façon de composer avec nos limites, d’en faire de la création, du soin, du lien.
L’IA analyse, prédit, optimise. Elle peut construire des programmes d’entraînement, calculer nos macros, nous proposer une routine « idéale ».
Mais elle ne ressent ni le froid qui pique quand nous entrons dans l’eau, ni notre cœur qui s’emballe avant un changement de vie, ni la douceur d’une vraie écoute quand nous nous ouvrons à quelqu’un.
Notre humanité, c’est ce mélange bancal de doutes, de peurs, d’imperfections… et de choix.
Choisir de bouger même quand nous n’en avons pas envie.
Choisir de prendre soin de nous alors que nous nous sommes longtemps oublié·e.
Choisir de nous montrer vulnérable au lieu de tout contrôler.
L’IA est un outil. Nous, nous sommes le vivant.
Et le vivant n’est pas parfait : il est sensible, contradictoire, parfois épuisé… mais capable de transformer ses limites en quelque chose de profondément humain.
Comme le dit Ego dans sa dernière vidéo YouTube https://m.youtube.com/watch?v=Yo5vRHJ5y0Y:
« Préservons notre humanité, n’arrêtons jamais de créer et continuons désespérément d’inonder l’univers de nos imperfections. »