12/08/2021
🌕Témoignages 🌕
Depuis quelques temps des énergies rôdent autour de moi. Elles se manifestent d’une manière subtile, qui arrive à attirer mon attention.
Ces énergies ont amené un lot d’inconforts qui prend chaque jour un peu plus le dessus.
Je les subis au quotidien.
Des pensées négatives. Des attitudes négligentes, négligées. Des priorités bafouées.
Après plusieurs semaines de travail sur moi-même, des pardons, les énergies lunaires propices au changement et une dévotion à la Terre.
Un matin la canalisation se fait, comme une prise qu’on branche.
J’ai tout d’un coup accès à ma vérité.
Ces énergies qui rodent montrent leurs visages, elles ont mon visage. Ce sont elles, mes parts d’ombres. C’elles qui me hantent.
Je comprends qu’elles viennent chercher mes idées fixes, mes acquis, mes échecs, mes réussites.
Je me détache alors de ces parties de moi. Je les quitte comme j’aurai quitté n’importe quelle personne toxique, néfaste.
Je ressens énormément de tristesse. J’aimais certaines particularités de ces bouts de moi, ils faisaient parties intégrantes de mes habitudes. J’y étais attachée, c’est un déchirement de leurs dire au revoir. Je les pleure... énormément. Je sais que s’ils ne partent pas les inconforts persisteront, telle une boucle sans fin ces événements se reproduiront encore et encore.
Alors je libère cette place dans mon environnement pour accueillir ce qui est, dans l’instant présent.
Je pardonne, je me pardonne d’être tombé dans les jeux de pouvoirs. Et je demande pardon aux âmes à qui j’ai éveillé des blessures.
Être accompagnée dans ce processus a été bénéfique pour moi. Parler de mes idées sombres, de la déception que j’ai ressentie lorsque je me suis rendu compte que dans mes habitudes vivait des énergies néfastes, que j’étais en train de m’auto détruire alors que je mettais la faute sur les autres. J’ai eu besoin qu’on accueille avec moi cette expérience douloureuse, qu’ont respect mon silence, qu’on ne sèche pas mes larmes mais qu’on leurs souhaitent la bienvenue, qu’on les laisse vivre.
