Dr. Rolf Leonardo Merlin

Dr. Rolf Leonardo Merlin Personnalité Publique

11/12/2021

Quels sont les liquides secretés par la femme pendant les rapports sexuels ?

Lors d'une relation sexuelle, le corps d'une femme sécrète deux sortes de liquides à savoir
La cyprine aussi appelée, la mouille vaginale.
Elle est pour la femme ce que le liquide pré-séminal est pour l'homme .

Sécrétée en période d'excitation sexuelle par les deux glandes de Bartholin situées de part et d'autre des grandes lèvres la cyprine a l'aspect d'un liquide visqueux blanchâtre où incolore.

La cyprine sort par le vagin , elle a pour rôle de le lubrifier afin de faciliter la pénétration sexuelle
Sa quantité peut varier d'une femme à une autre.
Certaines femmes en produisent en excès, ce qui leur donne l'impression d'avoir un vagin trop inondé. Dans ce cas on parlera d'excès de lubrification vaginale.

L' ejaculat féminin.
Peu de personnes le savent , mais les femmes éjaculent aussi ...
L'éjaculat féminin est le liquide que les femmes libèrent lors de l'éjaculation.

Il est sécrété par des glandes de Skène, situées de part et d'autre de l'urètre (ouverture par où sortent les urines).
Au moment de l'orgasme (plaisir intense), on observe des contractions vaginales avec l'activation des glandes de Skène, à l'origine de l'éjaculation féminine.

Contrairement aux hommes, les femmes éjaculent une petite quantité de liquide. D'ailleurs, cet éjaculat passe souvent inaperçu, mêlé aux autres sécrétions vaginales.
C'est pourquoi certaines femmes ne se rendent pas compte d'avoir éjaculé.

Mais d'autres femmes l'excès de jouissance sexuelle (orgasme), s'accompagne d'éjaculation d'un liquide trop abondant
Ce sont ces femmes que l''on appelle Femmes Fontaines.

Il faut signer que le liquide expulsé par les femmes fontaines sort par le méat urinaire le même or***ce que l'urine (uretère).
Il ne faut pas confondre avec l'urine il n'ont pas l'odeur.

Par manque d'information, beaucoup de femmes ont l'impression qu'elles urinent en jouissant ce qui leur pousse parfois à manifester des profonds sentiments de honte, de gêne et d'inquiétude.

La solution est de communiquer avec le conjoint pour l'informer au lieu de fuir les rapports sexuels , d'autant plus que certains hommes préfèrent les femmes fontaines ...

07/01/2021

ACCOUCHEMENT

C'est un ensemble des processus physiologiques et mécaniques qui aboutit à l'expulsion du fœtus et de ses annexes.

• LES TROIS ÉTAPES DE L'ACCOUCHEMENT EUTOCIQUE ?

1. LE TRAVAIL

* La dilatation du col

La première phase de l’accouchement, la plus longue, correspond à la phase de dilatation du col de l’utérus, sous l’action des contractions utérines, véritable « moteur » du travail. Les contractions vont agir sur le col via trois mécanismes :

- en augmentant la pression intra-uterine ;
- en appuyant sur le col par l’intermédiaire de la poche des eaux ou de le tête du bébé (ou « mobile fœtal ») ;
- en tirant directement sur le col par l’intermédiaire du segment inférieur et du raccourcissement des fibres utérines.

Le col, un cylindre haut de 3-4 cm à la base, va progressivement se raccourcir, s’effacer (les or***ces internes et externes ne forment plus qu’un) puis s’ouvrir pour atteindre la dilatation complète, soit une ouverture de 10-11 cm. Il formera alors avec l’utérus un canal unique.

Cette phase de dilatation se décompose en 3 étapes :

- la phase de latence est la phase de mise en route du travail. Les contractions sont d’abord irrégulières et peu douloureuses, puis se rythment et gagnent en intensité. Ces contractions permettent au col de ramollir, raccourcir puis de s’ouvrir jusqu’aÌ€ 3-4 cm. Cette phase de latence peut durer quelques heures ; elle est généralement plus longue chez la femme accouchant pour la première fois.
- la phase active. Les contractions sont plus rapprochées, plus longues et plus douloureuses. Cette intensification du travail va permettre au col d’arriver à dilatation (7-8). C’est durant cette phase que peut-être posée la péridurale si la future maman le souhaite.
- la phase de décélération. Parfois appelée « phase de désespérance », cette phase est la plus courte mais la plus difficile car les contractions laissent peu de répit à la maman. Le col arrive à dilatation complète et le bébé entame sa descente.

En salle de travail, la sage-femme pratique régulièrement un toucher vaginal afin de contrôler l’évolution du col. Le bien-être fœtal est également contrôlé de façon continue grâce au monitoring.

* La descente et l’engagement dans le bassin

Poussé vers le bas par les contractions, le bébé descend dans le bassin, un « tuyau » de forme coudée et de différents périmètres. Pour franchir ces différents passages, le bébé va devoir adapter sa position tandis que les os du bassin de la femme vont pouvoir bouger et s’écarter grâce à l’hyperlaxité ligamentaire due aux hormones. Selon les femmes et la parité, cette phase de descente peut débuter pendant la dilatation ou à dilatation complète.

La descente du bébé dans le bassin suit différentes étapes :

- phase d’engagement : le bébé franchit le détroit supérieur du bassin. Pour franchir ce passage en forme de coeur, il doit se placer en diagonal afin de bénéficier du plus grand diamètre.
- phase de descente : le bébé descend dans le détroit moyen en se remettant droit, dos en avant, tête fléchie menton contre la poitrine afin de présenter la partie la plus étroite de son crâne et passer l’obstacle des épines sciatiques. Dans le même temps, il effectue une rotation.
- phase de dégagement : le bébé franchit le détroit inférieur du bassin (or***ce inférieur du bassin).

La descente du bébé dans le bassin peut durer de 30 à 40 mn à quelques heures dans les cas accouchements les plus difficiles et en fonction de la présentation du bébé et de la position de la maman. Plus elle reste mobile et adapte sa position, notamment en terme de fermeture ou d’ouverture des genoux, plus cette phase d’engagement est facilitée.

2. L'EXPULSION

Une fois arrivé au niveau du détroit moyen, le bébé commence à pousser sur le périnée, déclenchant alors chez la maman le réflexe de poussée. Il atteint ensuite le détroit inférieur, et se dirige vers la vulve, tête relevée. Dernier obstacle avant sa sortie : le périnée. Aidé par les poussées de la maman sur les contractions, la tête du bébé va étirer ce faisceau de muscles pour franchir la vulve. Lorsque la tête du bébé est enserrée par cet anneau musculaire, la future maman doit arrêter de pousser afin de ne pas brusquer la sortie du bébé et éviter une déchirure du périnée. Millimètre par millimètre, le gynécologue ou la sage-femme guide la sortie de la tête, puis une fois celle-ci dégagée, la dirige vers le bas pour libérer une épaule, puis vers le haut pour dégager l’autre. Le reste du corps suit ensuite très vite.

3. LA DÉLIVRANCE

Cette dernière étape de l’accouchement correspond à l’expulsion du placenta, des membranes et du cordon ombilical, 15 à 20 minutes après la naissance. Elle se déroule en trois étapes :

- le décollement du placenta : sous l’effet des contractions, le muscle utérin se rétracte, entraînant le décollement du placenta.

- l’expulsion : le placenta est expulsé, aidé par une ou deux poussées de la maman et par la pression de la main de la sage-femme sur le fond utérin. La sage-femme vérifie ensuite que le placenta, les membranes et le cordon sont complets.

- l’hémostase : tous les vaisseaux utéro-placentaires qui nourrissaient jusqu’alors le placenta saignent mais en se contractant, l’utérus resserre ces vaisseaux et les saignements finissent pas diminuer. Cette étape est surveillée de près par la sage-femme afin de détecter tout début d’hémorragie de la délivrance, une complication grave de l’accouchement. C’est pour prévenir ce risque que la femme est systématiquement gardée deux heures en salle de naissance après l’accouchement.

Si le placenta n’est pas complet ou si les saignements sont anormalement importants, une révision utérine est réalisée. Ce geste consiste à introduire une main dans l’utérus afin de vérifier qu’il ne reste aucun fragment de placenta ou membranes.

06/01/2021

ARRÊT CARDIAQUE

Un arrêt cardio-respiratoire ou arrêt cardio-ventilatoire, plus communément appelé arrêt cardiaque, mais également mort subite de l'adulte peut être provoqué par un infarctus du myocarde, un traumatisme, une asphyxie, une noyade, une hypothermie ou une électrocution. La personne atteinte perd connaissance immédiatement et
s'arrête de respirer ou présente des mouvements respiratoires lents, bruyants et anarchiques. Les battements cardiaques se désynchronisent. Le cœur ne peut plus assurer son rôle de pompe et n'arrive plus à irriguer correctement les organes vitaux de l'organisme. L'arrêt cardiaque représente une urgence absolue et peut n'être que temporaire si la personne est prise en charge dans les quelques minutes. Il nécessite des soins en urgence, notamment une réanimation cardio-pulmonaire.

• LES SIGNES AVANT-COUREUR?

- Une douleur dans la poitrine
- Un essoufflement d'effort
-Des pertes de connaissance.

Ces symptômes sont les signes avant-coureur les plus fréquents. Dans deux cas sur trois, les douleurs au niveau de la poitrine sont caractéristiques de l'infarctus (intenses et en étau), mais elles n'étaient qu'intermittentes jusqu'à la survenue de l'arrêt cardiaque. Elles sont situées au niveau de la poitrine, derrière le sternum et peuvent s'étendre vers le cou, les mâchoires, l'épaule, le bras ou le dos. La gêne respiratoire et les difficultés respiratoires débutent en général plusieurs jours avant l'arrêt et s'intensifient jusqu'à l'arrêt cardiaque.

• AUTRES SYMPTÔMES

Des manifestations moins typiques peuvent annoncer un infarctus comme la présence isolée d'une douleur présente dans le bras, au niveau du poignet ou de la mâchoire, d'une pesanteur au niveau de la poitrine, des douleurs abdominales, des épisodes de nausées, de hoquet et de sueurs. D'autre part, une douleur thoracique qui apparaît lors d'effort, durant une séance de sport ou lors d'une activité de la vie quotidienne ou en montant des escaliers par exemple peut également annoncer la survenue d'un infarctus.

• QUE FAIRE EN CAS D'ARRÊT CARDIAQUE ?

Dès l'apparition des symptômes, il est préférable de ne pas perdre de temps et d'appeler le service d'urgence pour bénéficier d'une prise en charge médicale en urgence. Chaque minute compte pour déboucher la ou les artères obstruées lors d'un infarctus. En effet, dès la troisième minute, le cerveau qui est privé d'oxygène, commence à souffrir et surviennent les premières lésions. Le délai moyen entre le diagnostic de l'infarctus effectué au cours d'un électrocardiogramme et la mise en œuvre des traitements est de 90 minutes. Il faut savoir que si aucun geste de réanimation n'est pratiqué dans les huit minutes pour faire repartir le cœur, les chances de survie sont quasi nulles.

• ARRÊT CARDIAQUE ET COMA

Un état de coma "artificiel", engendré par des médicaments sédatifs, peut être décidé pour protéger le cerveau après un arrêt cardiaque et éviter la survenue d'éventuelles lésions cérébrales irréversibles.

• DIAGNOSTIC : arrêt cardiaque et ECG

Un électrocardiogramme (ECG) est un test qui étudie le fonctionnement du cœur en mesurant son activité électrique. En cas d'arrêt cardiaque, l'ECG montre un tracé plat, ce qui signifie qu'il n'y a plus d'activité électrique dans le cœur et donc plus de battement cardiaque.

• SÉQUELLES EN CAS D'ARRÊT CARDIAQUE

Les séquelles après un arrêt cardiaque dépendent en grande partie de la cause de l'arrêt et du délai de prise en charge. Elles concernent principalement des séquelles neurologiques et un risque d'état végétatifs chroniques. Des séquelles traumatiques (cotes cassées) sont aussi fréquentes et dépendent de l'intensité des manœuvres de réanimation. Plus le délai de prise en charge est tardif, et plus le risque est important. Moins de 10 % des arrêts cardiaques sortent de l'hôpital sans séquelle.

• CONSEILS

Se former aux gestes qui sauvent est un acte citoyen qui permet de sauver des vies car chacun d'entre nous peut être confronté, à n'importe quel moment de son existence, à un arrêt cardiaque.

CIRCULATION DU SANGLa circulation du sang est le trajet effectué par le sang dans les vaisseaux sanguins, que ceux-ci so...
05/01/2021

CIRCULATION DU SANG

La circulation du sang est le trajet effectué par le sang dans les vaisseaux sanguins, que ceux-ci soient des veines ou des artères.

Le point de départ de tout, c'est le coeur. Ou plus exactement les coeurs. En effet le coeur est séparé en deux compartiments :
le coeur gauche qui délivre le sang artériel à tout l'organisme : c'est la grande circulation
et le coeur droit qui envoie le sang veineux vers les poumons pour y être oxygéné : c'est la petite circulation encore appelée circulation pulmonaire.

• LA GRANDE CIRCULATION

Le sang part donc du ventricule gauche et passe dans l'aorte qui est la grande artère principale du corps, passage obligé de tout le sang artériel. Juste à l'entrée de l'aorte, se trouvent deux petites artères essentielles et bien connues : les coronaires. Ce sont elles qui irriguent le coeur. L'aorte va ensuite monter vers le haut du thorax et délivrer du sang vers le cou et vers les membres supérieurs : à droite ce sera le tronc brachiocéphalique, tandis qu'à gauche l'aorte donnera deux artères, la carotide primitive gauche et l'artère sous-clavière gauche.
À ce niveau l'irrigation du coeur, du cou, de la tête et des bras est assurée, ce qui n'est déjà pas mal.
Puis l'aorte va décrire une crosse vers le bas et descendre vers le thorax qu'elle va traverser de haut en bas. Elle va ensuite franchir le
diaphragme qui est un muscle large qui sépare le thorax de l'abdomen et qui permet la
respiration. L'aorte thoracique est devenue
aorte abdominale. C'est là que les choses se compliquent.
En effet il va falloir irriguer chacun des organes de l'abdomen. L'aorte va donc délivrer une quantité impressionnante d'artères qui portent le nom de l'organe qu'elles irriguent (artère hépatique, mésentérique, rénale, pancréatique, etc.). Le rein est un point important : il y a le rein et ce qu'il y a en dessous du rein. En effet, une fois qu'elle a donné toutes ses branches et donc les 2 artères rénales, l'aorte va se diviser en deux pour donner les deux artères iliaques.
Celles ci vont donner toutes les branches pour les organes du petit bassin (celles vers les organes génitaux en particulier). Il ne reste plus aux artères iliaques qu'a passer le pli de l'aine pour prendre le nom d'artères fémorales qui irriguent la jambe.

On vient de faire toute la circulation artérielle. Et la circulation veineuse ?

C'est exactement pareil mais en sens inverse : chaque organe va émettre des veines qui vont se réunir les unes aux autres pour former des troncs de plus en plus gros qui vont remonter vers le coeur. Toutes ces veines vont se réunir en deux troncs qui se jettent dans l'oreillette droite : la veine cave inférieure qui draine le sang de tous les organes situés au dessous du coeur, et la veine cave supérieure qui draine le sang venant d'au dessus du coeur.
Le sang passe de l'oreillette droite vers le ventricule droit : on est sorti de la grande circulation pour passer dans la petite circulation.

• LA PETITE CIRCULATION

Elle est courte : le sang veineux part du ventricule droit et est éjecté dans l'artère pulmonaire. Celle-ci gagne les poumons où le sang sera oxygéné. Il sort alors des poumons par de petites veines pulmonaires qui se réunissent pour former les 4 veines pulmonaires qui vont se jeter dans l'oreillette gauche. De là elle passeront dans le ventricule gauche : on est revenu au point de départ, dans la grande circulation.

28/12/2020

TRACHOME.
______________
Conjonctivite chronique associée à une infection à Chlamydia trachomatis. La transmission s'effectue d'oeil, au contact des yeux par les mains, par la manipulation d'objets souillés ( serviettes, mouchoirs....) Ou par les mouches.

ÉPIDÉMIOLOGIE.

Elle sévit à l'état endémique dans les pays sous développés à climat sec du bassin méditerranéen et d'extrême-Orient. Elle représente encore la première cause de cécité curable.

SIGNES ET SYMPTÔMES.

Il existe au début une conjonctivite qui s'aggrave avec l'apparition de petites granulations sur la conjonctivite ( pannus ) qui augmentent progressivement en taille et en nombre.

INVESTIGATIONS.

Un prélèvement avec une mise en culture permet d'isoler le germe.

ÉVOLUTION, COMPLICATIONS ET PRONOSTIC.

Le stade initial évolue sur plusieurs mois, aboutissant au stade cicatriciel avec des lésions cornéennes qui peuvent aller jusqu'à la cécité.

TRAITEMENT ET PREVENTION.

Il associe des pommades ophtalmique à base de tétracycline avec une antibiothérapie per os ( tétracyclines ou érythromycine ). Les déformations palpébrales seront traitées chirurgicalement.

Les mesures d'hygiène général associée à une élévation du niveau de vie peuvent permettre d'éliminer le trachome endémique.

26/12/2020

COULEUR DES URINES ET SANTÉ :

Observer la couleur des urines peut contribuer à fournir de précieuses indications sur son état de santé.

L'aspect des urines a longtemps été utilisé par de nombreux médecins dans la détermination de maladies potentiellement graves.

En évacuant les déchets solubles filtrés par les reins, l'urine peut être indicateur de bonne ou mauvaise santé.

URINE JAUNE :

Elle traduit une excellente santé. Cette coloration peut varier en fonction de la quantité d'eau consommée au cours de la journée et doit être d'aspect limpide.

URINE MARRON:

Elle révèle un trouble causant la destruction des globules rouges ( hémolyse ). Elle peut être indicateur d'un saignement du rein, de la vessie ou résulter d'un traumatisme important des muscles.

URINE ROUGE :

Elle peut être causée par la présence de sang ( hématurie ).
Lorsque le saignement apparaît après avoir uriné, cela peut être signe d'une infection urinaire.
Lorsqu'il apparaît avant l'émission des urines il peut être indicateur d'un dysfonctionnement de la prostate.
L'urine rouge peut également être provoquée par la présence de pigments ou colorants alimentaires.

URINE TROUBLE :

Elle traduit la présence en excès de globules blancs dûe à une infection des voies urinaires, d'un dépôt important de cristaux d'acide urique, de pertes vaginales...

URINE MOUSSANTE :

Elle est généralement causée par un excès de protéines ou un dysfonctionnement des fonctions du rein.

URINE NOIRE :

Elle est indicateur d'un trouble rare se manifestant par une accumulation de pigments anormaux dans la circulation sanguine et dans les tissus.

URINE ATTIRANT LES FOURMIS:

Cela traduit une fuite de glucose dans celle-ci et représente un élément indicateur de diabète.

URINE BLEUE:

Elle met en évidence la présence d'une infection bactérienne sévère des canaux urinaires concernant principalement les personnes porteuses d'une sonde urinaire à demeure.

Ces différentes variations nécessitent une prise en charge médicale au travers d'une consultation.

Toutefois, certains traitements ou aliments peuvent être en cause; dans ce cas, il sera alors conseillé d'augmenter sa consommation en eau afin de parvenir à une coloration normale des urines.

Excellente lecture... Heureuse année 2021

25/12/2020

🔴🔴 Vous souhaite un joyeux Noël plein de bonheur et de grâces 🎉🎊❤

25/12/2020

DYSPNÉE

On appelle "dyspnée" une sensation de gêne respiratoire ("J’ai du mal à respirer, je manque d’air "). Il s'agit d'un symptôme subjectif. Son intensité n'est pas nécessairement en rapport avec la gravité des anomalies objectives de la fonction respiratoire. Il s'agit d'une sensation plus ou moins angoissante ou interviennent des perturbations physiologiques, mais également des réactions psychologiques du sujet. Il convient de différencier une dyspnée aigue (brutale, s’aggravant vite et qui demande une prise en charge rapide, comme celle accompagnant un oedème pulmonaire ou une crise d’asthme) et une dyspnée chronique (d’installation progressive, s’aggravant lentement). Celle-ci peut se produire à l’effort (dyspnée d’effort) puis de façon permanente, au repos.

• CAUSES

La dyspnée peut avoir pour origine de nombreuses pathologies, respiratoires (asthme, BPCO, emphysème pulmonaire, fibrose pulmonaires. infections, cancers bronchiques...), cardiaques (toutes les causes d'insuffisance cardiaque), neurologiques (toutes les maladies neuromusculaires, qui sont susceptibles de dégrader les performances des muscles respiratoires), ou métaboliques (l'obésité est une cause majeure de dyspnée).

• DIAGNOSTIC

Le diagnostic de la dyspnée (et de sa cause) est fait avec plusieurs examens :

- Examen clinique
- Prise de sang
- Test d’effort
- Électrocardiogramme
- Mesure de la gazométrie artérielle
- Radiographie du thorax
- Exploration fonctionnelle respiratoire
- Échographie cardiaque...

Les médecins disposent d’outils pour quantifier et évaluer la dyspnée chronique.
Des échelles de dyspnée mesurent de façon directe ou indirecte la dyspnée et/ou son retentissement sur l’activité quotidienne.

Des échelles de dyspnée mesurent de façon directe ou indirecte la dyspnée et/ou son retentissement sur l’activité quotidienne.

Exemples d’échelles utilisées :

* L’échelle du Medical Research Council (MRC)

Cette échelle très utilisée dans le suivi des maladies respiratoires est basée sur les difficultés à monter à marcher ou à monter les escaliers et permet de définir 4 stades de la dyspnée :

- stade 0 : dyspnée pour des efforts soutenus (montée de 2 étages)
- stade 1 : dyspnée lors de la marche rapide ou en pente
- stade 2 : dyspnée à la marche sur terrain plat en suivant une personne de son âge
- stade 3 : dyspnée obligeant à s'arrêter pour reprendre son souffle après quelques minutes ou une centaine de mètres sur terrain plat
- stade 4 : dyspnée au moindre effort.

* L’échelle visuelle analogique EVA

C’est l’échelle la plus simple. Le malade évalue son essoufflement en plaçant le curseur au niveau souhaité sur une petite réglette dont une extrémité indique « pas du tout d’essoufflement » et une indique « essoufflement maximal ». Le médecin évalue la dyspnée en lisant le dos de la réglette.

Depuis une dizaine d’années, sont développées des échelles multidimensionnelles permettant de donner une évaluation plus globale de la dyspnée (dimension sensorielle mais aussi dimension affective).

• LES PERSONNES CONCERNÉES

La dyspnée est la plainte la plus fréquente dans les maladies respiratoires, de type obstructif ou restrictif. Les principales maladies obstructives à l’origine de dyspnée sont la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l’asthme.

La dyspnée est aussi le motif de consultation le plus fréquent chez le cardiologue. Les pathologies cardiovasculaires sont une des causes fréquentes de dyspnée. Ainsi, la dyspnée est un des symptômes majeurs de l’insuffisance cardiaque.

La dyspnée est également un des symptômes les plus fréquents en fin de vie.

• FACTEURS DE RISQUE

Le surpoids et la sédentarité tout comme un syndrome d’apnées du sommeil (SAOS) peuvent être la cause d’une dyspnée ou aggraver celle-ci.

• SYMPTÔMES

* Des sensations de manquer d’air

Les personnes qui ont une dyspnée décrivent une sensation de manquer d’air, d’avoir une oppression thoracique, un manque d’air, une sensation d’effort respiratoire, le sentiment d'avoir une respiration rapide...

*Des signes cliniques

La dyspnée peut être accompagnée de signes cliniques objectifs :

- Modifications du rythme respiratoire
-Battements des ailes du nez
- Toux
- Tirage intercostal.

• TRAITEMENTS

Le traitement de la dyspnée consiste en premier lieu à traiter la cause de la dyspnée.

La dyspnée chronique nécessite une prise en charge multiple : traitement symptomatique mais également approches thérapeutiques différentes de la dyspnée (réhabilitation respiratoire par exemple), traitements non pharmacologiques (hypnose, ventilation…), traitements non spécifiques de la dyspnée (utilisation d’opiacés à faibles doses) et prise en charge psychologique, surtout dans les cas dans lesquels les traitements de la cause ne fonctionnent pas.

• PRÉVENIR LA DYSPNÉE

Ne pas fumer permet de prévenir la dyspnée due à la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). La dyspnée est en effet le principal symptôme de la BPCO. Éviter le surpoids et à sédentarité sont également des moyens de prévenir le dyspnée ou l’aggravation de la dyspnée.

07/12/2020

Chlamydia:

est une infection sexuellement transmissible (IST) très fréquente dans le monde. Cette infection se transmet lors d'un rapport sexuel non protégé ou par transmission de la mère à l'enfant lors de l'accouchement. L'agent pathogène de cette infection est connu sous le nom de Chlamydia trachomatisSymptômes chez la femme

La femme peut avoir :

des sensations de brûlures en urinant,

des douleurs abdominales,

des pertes vaginales inhabituelles et parfois malodorantes,

des saignements entre ses menstruations ou après les rapports,

des douleurs pendant les relations sexuelles,

un écoulement anormal par l'anus.

Symptômes chez l'homme

L'homme peut ressentir :

un picotement et des démangeaisons au niveau de l'urètre,

des brûlures lorsqu'il urine,

des douleurs et des gonflements au niveau des testicules,

une inflammation de la paroi du re**um.

Causes

Cette IST est causée par une bactérie pathogène connue sous le nom de Chlamydia trachomatis qui se loge dans le col de l'utérus et remonte jusqu'à l'urètre, voire au re**um.
Traiter la Chlamydia par des antibiotiques

Si le résultat du dépistage est positif : un traitement antibiotique adapté (le plus souvent à base d'azithromycine pour une prise unique, ou de doxycycline pour un traitement de sept jours) est prescrit à la personne porteuse de l'IST ainsi qu'à ses partenaires. Ce traitement va supprimer la bactérie responsable de l'infection. Dans quelques cas, une infection - même bien soignée - persiste. Ne pas hésiter à faire un test supplémentaire environ 5 semaines après la fin du traitement et un troisième, 3 à 6 mois après. Enfin, pour avoir plus de chances d'éradiquer complètement la bactérie, il est conseillé :

De terminer toute la prescription même si vous constatez la disparition des symptômes en cours de traitement ;

De s'assurer que son partenaire se fasse soigner de la même façon ;

D'éviter d'avoir des rapports sexuels ou au moins, d'utiliser un préservatif jusqu'à ce que vous effectuiez un dépistage négati

Prévention : le préservatif, seul moyen de se protéger !

Les IST telles les Chlamydia se transmettent principalement lors de rapports sexuels non protégés avec pénétration, qu'elles soient vaginales, anales ou orales. Ainsi, seul l'usage d'un préservatif, qu'il soit masculin ou féminin (dans ce cas, le préservatif féminin ne protège pas lors d'une fellation), protège d'une infection.

07/12/2020

La Cryptococcose.

La cryptococcose est une maladie opportuniste et cosmopolite due à une levure, le Cryptococcus neoformans. Sa contamination se fait essentiellement par voie respiratoire. C'est la première des infections fongiques humaines dans le monde.

Clinique

La localisation pulmonaire, quand elle se marque sur le plan clinique, donne habituellement une bronchite subaiguë avec fièvre modérée, toux rare et peu productive de crachats muqueux.
Les formes cutanées prennent tantôt l'aspect d'acné, tantôt un aspect gommeux, puis ulcéré, plus ou moins granulomateux et à tendance extensive.
Les localisations au système nerveux central prennent le plus souvent le type de méningite tuberculeuse avec installation progressive, céphalées frontales, raideur de la nuque et vomissements. Cette méningite, non traitée, est toujours mortelle en moins d'un an.

Diagnostic

La recherche du Cryptococcus neoformans se fait au niveau des lésions superficielles, dans le liquide cérébrospinal, dans les crachats ou, dans certains cas, dans le lavage bronchoalvéolaire à partir des poumons. La mise en évidence de la levure se pratique à l'examen direct, à l'encre de chine (sphère bleue entourée d'un halo clair). Ce champignon, de forme ronde à ovalaire, de 4–20 μm, se reproduit par bourgeonnement. Une culture sur milieu spécifique (niger agar) peut se faire. Une réaction tissulaire se produit avec un afflux d'histiocytes et l'apparition de granulomes.

Traitement

La cryptococcose qui n'affecte pas le système nerveux central (SNC) peut être traitée par du fluconazole seul.
Une méningite cryptococcique doit être traitée pendant 2 semaines par de l'amphotéricine B en intraveineuse à la dose de 0,7–1 mg·kg-1 par jour et de la flucytosine orale (100 mg·kg-1 par jour)[2]. Ce traitement sera suivi de l'administration orale de fluconazole à raison de 200 mg par jour et cela pendant 10 semaines.

02/11/2020

GRIPPE

La grippe ou influenza, est une maladie due à des virus influenzae de la famille des orthomyxoviridae, virus à ARN. Maladie contagieuse, la grippe touche tout d'abord le système respiratoire et peut se compliquer ou présenter des formes graves.
Elle dure habituellement de 3 à 7 jours et peut empêcher une personne de mener ses activités quotidiennes.

• LES DIFFÉRENTS VIRUS DE LA GRIPPE

Il existe trois types de virus de la grippe, avec des sous types différents classés selon leurs glycoprotéines de surface, les neuraminidases ( N ) et les hémagglutinines ( H ):

- La grippe de type A

C'est le plus dangereux. Il a provoqués plusieurs pandémies meurtrières comme la célèbre grippe espagnole de 1918, qui a tué plus de 20 millions de personnes. En 1968 c'était autour de la grippe de Hong Kong de déclencher une pandémie. Le type A se transforme en très peu de temps, ce qui le rend d'autant plus difficile à combattre. En effet, l'organisme doit bâtir une réponse immunitaire propre à chaque nouvelle souche d'influenza en circulation.

Le virus de type A entraîne une pandémie environ 3 ou 4 fois par siècle. En 2009, un nouveau virus de type A, le H1N1, a déclenché une autre pandémie. selon les autorités de santé publique, la virulence de cette pandémie a été modérée, en nombre de décès.

La grippe aviaire est aussi du type A qui atteint les oiseaux, qu'ils soient d'abattage ( poulets, dindons, cailles ), sauvages ( oies, canards ) ou domestiques. Le virus de transmet facilement des oiseaux à l'homme, mais rarement entre humains. La souche H5N1 a causé plusieurs décès en Asie, généralement chez des personnes ayant des contacts étroits avec des volailles malades ou mortes ou ayant fréquenté des marchés de volailles vivantes.

- La grippe de type B

Le plus souvent, ses manifestations sont moins graves. Il n'entraîne que des épidémies localisés. Ce type de grippe est moins sujet aux mutations que le type A.

- La grippe de type C

Les symptômes qu'il provoque s'apparentent à ceux d'un rhume banal. Ce type grippe est également moins sujet aux mutations que le type A.

• LES VIRUS ÉVOLUENT ?

Ce type de virus subit constamment des modifications génétiques ( modifications génotypiques ). C'est pourquoi avoir la grippe une année ne procure pas une immunité contre les virus qui circuleront les années suivantes. On peut donc contracter une nouvelle grippe chaque année. Les vaccins doivent être adaptés chaque année pour protéger la population contre les nouvelles variantes du virus.

• CONTAGION

Une personne infectée peut être contagieuse le jour précédant ses premiers symptômes et peut transmettre le virus durant 5 à 10 jours. Les enfants sont parfois contagieux durant plus de 10 jours.
L'incubation dure 1-3 jours, ce qui signifie que quand on est infecté par le virus de la grippe, les signes peuvent commencer à se manifester dès 1 jour après l'infection jusqu'à 3 jours après.

• COMMENT ÇA S'ATTRAPE?

La grippe se propage facilement, par contagion et notamment par les microgouttelettes contaminées qui sont libérées dans l'air lorsqu'on tousse ou qu'on éternue. Le virus peut aussi se transmettre par la salive. Puisque le virus peut se retrouver rapidement sur le visage et les mains d'une personne grippée, les baisers et les poignées de main aux personnes malades sont à éviter.

La transmission se fait plus rarement par des objets touchés par la salive ou des gouttelettes contaminées; le virus persiste sur les mains 5-30 min et dans les selles plusieurs jours. Sur les surfaces inertes, le virus reste actif plusieurs heures, donc il faut éviter de toucher les objets du malade ( jouets, table, couvert, brosse à dent).

• COMPLICATIONS POSSIBLES DE LA GRIPPE

- surinfection bactérienne: des complications peuvent survenir si à la grippe ( infection virale ) s'ajoute une infection bactérienne une otite moyenne, une sinusite, une pneumonie bactérienne post influenzae survenant du 3èm au 14ém jour après le début de l'infection, le plus souvent chez des personnes âgées.

- pneumonie correspondant à une grippe maligne primaire. Rare et grave, elle entraîne une hospitalisation en réanimation médicale.

- complications atteignant d'autres organes que les poumons, comme des myocardites ( inflammation du muscle cardiaque ), péricardites ( inflammation du péricarde, membrane située autour du cœur), encéphalites ( inflammation du cerveau ), rhabdmyolyse ( atteinte grave musculaire ), syndrome de Reye ( en cas de prise d'aspirine Chez l'enfant, à l'origine d'hépatites et d'encéphalites aiguës, très grave).
- complications chez des personnes ayant une immunité diminuée,
- pendant la grossesse, fausse couche, prématurité, malformations congénitales neurologiques.
- et chez les sujets âgées, insuffisance cardiaque, respiratoire ou rénale préexistante qui peut s'aggraver considérablement ( décompensation ).

Les individus à la santé plus fragile, comme les personnes âgées, immunodéprimées et celles qui ont une maladie pulmonaire, sont plus à risque de complications et de décès.

• SYMPTÔMES

- la phase d'invasion avec une apparition de frissons, malaise, fièvre brutale supérieure 39°C, douleurs musculaires, maux de tête,

- ensuite la phase d'état grippal peut se manifester par les signes suivants qui sont présents de manière variable selon la personne atteinte:

- fièvre élevée, pouvant atteindre 40°, même si, chez les moins de 5 ans et les plus de 65 ans, la fièvre peut ne être pas très importante.
- accélération du rythme cardiaque ( tachycardie )
- frissons,
- fatigue, abattement pouvant entraîner une somnolence,
- manque d'appétit ( anorexie ),
- nez qui coule ( rhinorrhée ),
- mal de gorge,
- difficulté à avaler ( dysphagie),
- voix voilée, difficulté à parler,
- brûlures dans le thorax,
- toux sèche,
- maux de têtes importants au niveau du front, des yeux,
- difficulté à supporter la lumière ( photophobie ).

La grippe pour certaines personnes se présente sous forme extra respiratoire avec des signes touchant d'autres organes, ce qui peut faire penser qu'il s'agit d'une autre maladie. Ces signes sont:

- troubles digestifs ( parfois par exemple gastro entérite virale ou grippe intestinale),
- signes de méningite ( inflammation des méninges, enveloppe du cerveau),
- signes de péricardite ( inflammation de l'enveloppe du cœur, péricarde),
- myocardite ( inflammation du muscle cardiaque),
- myosite ( inflammation des muscles).

Autres manifestations possibles : une sensation de brûlure dans les yeux, des sueurs nocturnes, une gastro-entérite virale ( on parle alors de grippe intestinale, fréquente chez les enfants ), une somnolence marquée, une perte d'appétit et des douleurs articulaires.

• MANIFESTATIONS DE LA GRIPPE CHEZ LES ENFANTS

Chez l'enfant, la grippe peut se présenter différemment.

Parfois avant un an, il n'y a quasiment aucun symptôme, ou au contraire une grippe très grave peut survenir.

Avant 3 ans et jusqu'à 5 ans, il existe souvent une somnolence ( un cas sur deux environ ), des troubles de conscience, des troubles digestifs, ou une simple fièvre sans autre signe associé.

Les enfants les plus jeunes sont à risque surtout les enfants de moins de 6 mois, ou en moindre mesure de moins de 2 ans.

• QUI ATTRAPE FACILEMENT LA GRIPPE ?

Tout le monde peut contracter la grippe. Certaines personnes, dont l'immunité est plus faible, sont toutes fois plus à risque.

- les très jeunes enfants, surtout ceux qui vont à la maternelle, à la garderie ou à la crèche, ainsi que les personnes qui sont en contacts avec eux.
- les personnes âgées, en particulier si elles vivent en maison de retraite, de repos ou en centre d'accueil. C'est d'ailleurs dans ce groupe qu'on retrouve 80%-90% des décès causés par la grippe.
- les travailleurs de la santé, en raison de contacts fréquents avec les groupes à risque.
- les femmes enceintes
- les personnes souffrant d'obésité,
- les personnes atteintes d'une maladie chronique, comme le VIH-SIDA, d'une maladie de reins, du foie, d'un trouble cardiovasculaire ou pulmonaire, de l'anémie grave, d'une maladie neurologique chronique grave ou d'un diabète.

• LES FACTEURS DE RISQUE FACE A LA GRIPPE !

- avoir un système immunitaire affaibli, à cause d'un stress chronique, d'un manque de sommeil, d'une mauvaise alimentation, etc.

- fréquenter souvent les lieux publics durant les périodes d'épidémie ( marché, transports en commun, toilettes publiques,etc).

- partager un espace restreint avec plusieurs personnes, par exemple voyager en train, en avion ou sur des bateaux de croisière.

- rendre visite à une personne malade atteinte de la grippe.

- fumer.

La grippe n'as habituellement pas de conséquences graves sur la santé. Néanmoins, lorsqu'elle survient chez des personnes à la santé fragile, l'infection peut entraîner des complications importantes, potentiellement mortelles.

• ÉVITER LA CONTAGION

- se laver les mains souvent

Éviter de toucher ses yeux, sa bouche ou son nez, qui sont des portes d'entrée du virus.

- ne pas trop s'approcher d'une personne infectée afin d'éviter la contagion. Le virus voyage par les microgouttelettes projetées dan l'air par les éternuements et la toux. Il faut donc se protéger en conséquence. Si on a la grippe, on doit tousser dans le creux de son coude.

- moins fréquenter les lieux publics.

- se faire vacciner si possible avant la période épidermique ou au tout début si on ne l'a pas fait si on est une personne à risque ou si on est exposé à des facteurs de risque.

- se rappeler que les personnes groupées demeurent contagieuses tant que les symptômes persistent.

Pour les personnes vivant en institution ( établissement de soins, maison de retraite, hôpital ), le malade doit porter un masque chirurgical s'il peut le supporter. ( En famille, cela peut également se faire! ).

• RENFORCER SON IMMUNITÉ CONTRE LA GRIPPE

Durant la saison de la grippe, presque toutes les personnes sont exposées au virus, mais seulement certaines attrapent la grippe. Cela dépend de la réponse immunitaire de chacun. Le système immunitaire peut être renforcé grâce à certaines mesures :

- avoir une alimentation saine;
- réduire sa consommation d'alcool, de sucre et de caféine ;
- faire de l'exercice physique régulièrement ;
- dormir suffisamment ;
- au besoin, trouver des moyens de réduire son niveau de stress.

• TRAITEMENTS

Certains médicaments sont conçus pour soulager les symptômes. A titre d'exemple, les antipyrétiques abbaisent la fièvre. D'autres comme les antiviraux, permettent de diminuer la durée et la gravité de l'infection, à condition d'être pris très tôt. Certains personnes qui deviennent très malades peuvent devoir être hospitalisés et nécessiter des traitements plus intensifs.

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