Cabinet vétérinaire Ténès

Cabinet vétérinaire Ténès L'équipe du Cabinet Vétérinaire de Ténès vous souhaite la bienvenue sur leur page facebook. Vous trouverez des pleins de conseils utiles pour vos animaux.

29/08/2021

''il y a toujours de l'espoir. Faut juste y croire 😻🙏

الباراسيتامول شديد السمية بالنسبة القطط❌❌Le paracétamol représente t-il un danger pour les chats ?fortement contre-indiq...
12/07/2021

الباراسيتامول شديد السمية بالنسبة القطط❌❌

Le paracétamol représente t-il un danger pour les chats ?

fortement contre-indiqué car le paracétamol est très toxique pour les chats, l’intoxication au paracétamol peut être mortelle. Il est donc conseillé de consulter un vétérinaire si votre animal est malade, il pourra l’examiner et lui prescrire un traitement adapté.
Les cas d’intoxication au paracétamol chez le chat sont le plus souvent liés à de l’automédication par les propriétaires. Il y a aussi des cas d’intoxications accidentelles lorsque les chats ingèrent des comprimés laissés à leur portée. Il est important de ne rien laisser à portée des chats et notamment des chatons, qui ont tendance à découvrir le monde avec leur bouche et tout ingérer !

Le chat est particulièrement sensible au paracétamol car il présente une hémoglobine qui est plus sensible aux attaques oxydatives par rapport à l’homme et aux chiens (pour lesquels le paracétamol est toxique mais la dose toxique est plus grande). Le paracétamol est responsable de la formation de méthémoglobine qui a un impact sur la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène aux différents organes. Il présente aussi des différences dans les mécanismes de transformation du paracétamol au niveau du foie.

Les chats présentent le plus souvent des symptômes 1 à 12 heures après l’ingestion du paracétamol. Les symptômes rencontrés sont majoritairement liés à la méthémoglobinisation de l’hémoglobine : difficultés respiratoires avec augmentation de la fréquence respiratoire, augmentation de la fréquence cardiaque, muqueuses bleues (cyanose), vomissements, coloration noire des urines, prostration voire coma, hypothermie, etc…

Que faire si votre chat a ingéré du paracétamol ?

l est donc conseillé de consulter en urgence un vétérinaire

Si vous consultez rapidement un vétérinaire (moins d’une heure après l’ingestion), il sera peut-être possible de faire vomir votre chat.

Le vétérinaire pourra aussi administrer Un antidote afin de limiter les dommages provoquées par le paracétamol sur les globules rouges et donc la formation de méthémoglobine. Les autres traitements dépendront des symptômes présentés par votre chat.

23/03/2021

QU'EST-CE QU'UN POISON CONVULSIVANT ?

On appelle poisons (ou toxiques) convulsivants, les poisons qui provoquent… des convulsions. Il s'agit essentiellement de la strychnine, du métaldéhyde, de la crimidine, des organophosphorés et des carbamates, et des pyréthrynoïdes.

ET QU'EST-CE QUE çA FAIT, CHEZ LE CHAT ?

À quelques variations près, tous les animaux empoisonnés par les convulsivants présentent à peu près les mêmes symptômes : dans un premier temps, on n'observe que des tressautements (trémulations, clonies) : c'est particulièrement visible sur la face et les oreilles. Dans l'intoxication par la strychnine, l'animal sursaute violemment en cas de surprise, par exemple si l'on claque des mains derrière son dos (hyperesthésie). Au fil des minutes, les contractions se font de plus en plus violentes, jusqu'à en arriver à de véritables convulsions : convulsions toniques par contraction des muscles extenseurs (le chat est couché sur le côté, tout raide, la tête rejetée en arrière), ou cloniques (le chat tremble et pé**le des quatre membres). À ce stade, il n'est généralement plus conscient - sauf exceptions (cas de la strychnine). La mort, due à l'asphyxie et à l'épuisement, suit généralement après un délai variable, en fonction de la quantité de poison absorbée, du type de poison, de la réplétion du tube digestif… Les chats qui ont eu la "chance" d'absorber une faible quantité de poison peuvent se réveiller spontanément, après quelques heures ou jours passés à convulser… mais ce cas de figure est rare !

ALORS, QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Deux cas de figure possibles : vous venez de voir votre matou se régaler avec un appât empoisonné (ou quelque chose qui y ressemble), et il va encore bien, ou bien l'empoisonnement a déjà commencé.

1 - Il a mangé du poison !

Premier cas de figure : vous trouvez éventré l'emballage de poison "anti-nuisibles" que vous stockez dans le garage, et votre chien vous regarde innocemment, couché au milieu des morceaux de carton déchiquetés. Ou bien vous suprenez votre chat en train de se lécher voluptueusement les babines, entre les plants de tomate où vous avez disposé du tue-limaces supposé être répulsif. Pas une minute à perdre : téléphonez à votre vétérinaire pour lui exposer la situation, puis prenez votre animal sous le bras, (prenez aussi l'emballage du poison !), et amenez-le sans délai. Votre vétérinaire lui fera une injection, qui le fera vomir dans la plupart des cas. Si le poison est encore dans l'estomac, il partira avec le vomi, et le problème sera réglé à moindres frais. Notons que ces conseils sont valables quel que soit le type de poison, (y compris pour la mort aux rats aux effets anti-coagulants), la seule exception étant constituée par les produits agressifs pour les tissus (acides, soude caustique), qui lèseraient l'œsophage une première fois lors de l'absorption, et une deuxième fois lors du vomissement.

2 - ça y est, il convulse déjà !
Deuxième cas, de figure : l'empoisonnement a commencé. Le premier point important est de savoir reconnaître qu'il s'agit d'un l'empoisonnement, notamment dans ses premiers stades : ne pas se dire que le chat est bizarre aujourd'hui, qu'il fait de petits sauts et que ses oreilles bougent bizarrement, que si ça continue comme ça, demain, on l'amènera chez le vétérinaire. Regardez bien le film ci-dessus, et si votre chat ou votre chien fait quelque chose d'a**logue, téléphonez à votre vétérinaire, et courez !!! à ce stade, l'animal est conscient, on peut encore le faire vomir, et les chances de le sortir de là sont meilleures.

S'il est couché sur le côté, la tête en arrière, et pé**le, il faut courir encore plus vite.

Attention ! Toujours penser à téléphoner avant ! il vaut mieux "perdre" trois minutes pour téléphoner et savoir qu'une équipe est prête à vous accueillir, plutôt que d'arriver à l'improviste alors que votre vétérinaire est en train d'opérer et ne peut pas se libérer, ou pire, arriver le soir ou le dimanche devant un portail fermé, et partir alors à la recherche d'un vétérinaire de garde, avec le chat qui convulse sur le siège arrière de la voiture.

ET COMMENT çA SE TRAITE ?

Comme on l'a vu plus haut, la première mesure consiste à éliminer le poison… si c'est encore possible. Au mieux, on fait vomir l'animal : chez le chien, on utilise un produit vomitif ; chez le chat, on utilise un tranquillisant qui a le double avantage de faire vomir, et d'arrêter les convulsions. Au pire, si l'animal n'est plus conscient, on pratique un lavage d'estomac. Si le chien ou le chat vomit et qu'il n'y a pas de poison dans ce vomi, c'est que le poison est déjà parti dans l'intestin, et là, le lavage d'estomac ne servira à rien. On pourra toujours faire avaler du charbon activé à la sonde gastrique, pour qu'une partie du poison soit "adsorbée" sur le charbon, et éliminée avant d'être absorbée par l'organisme… mais la plupart du poison sera malheureusement bel et bien absorbée, et il n'y aura plus alors qu'à attendre qu'il s'élimine avec les selles.



Si l'animal est déjà en train de convulser, on n'en est plus alors à essayer d'éliminer le poison : il s'est, de toute façon, déjà répandu dans l'organisme, et l'urgence est alors d'éviter le décès du chien ou du chat, qui peut survenir à tout moment. On pose alors un cathéter pour disposer en permanence d'une voie veineuse, (pas toujours facile sur un animal qui fait des sauts de carpe à cause du poison), et l'on injecte un produit qui vise à arrêter les convulsions (généralement un anesthésique ou un sédatif). Ensuite, on surveille (on ne sait jamais à quel moment les convulsions vont reprendre, et il faut être prêt à réinjecter du produit), on réchauffe, on reéquilibre par des perfusions, etc. Lorsque l'animal, après une demi-journée ou une semaine (!), commence à reprendre conscience sans se remettre à convulser, c'est que l'intoxication est terminée.

Mais attention, quel que soit l'état de l'animal à son arrivée à la clinique, il ne faut jamais penser que c'est gagné, avant d'observer un retour complet à la normale : nous avons vu des chiens ou des chats qui semblaient peu atteints, et qui sont morts une heure plus t**d en dépit de soins intensifs, et d'autres qui sont arrivés en très mauvais état, après de longues heures de convulsions, qui sont restés près d'une semaine sous anesthésie, inconscients et en hypothermie, et qui se sont réveillés sans problème à la fin ! Devant un empoisonnement par un convulsivant, il est raisonnable de considérer que l'animal a une chance sur deux de s'en sortir. Précision importante : s'il s'en sort, c'est sans séquelle dans la quasi totalité des cas. Dans une intoxication par un convulsivant, on en meurt ou on s'en sort : il n'y a pas de demi-mesure !

Perdu chat, roux, mâle, poils longs , pelage tigré. Perdu le vendredi 21/02/2020. Cité 360 logements (Ténès) . A diffuse...
29/02/2020

Perdu chat, roux, mâle, poils longs , pelage tigré. Perdu le vendredi 21/02/2020. Cité 360 logements (Ténès) . A diffuser au maximum ! Merci.

Est-il possible de prévenirles prolapsus vaginaux ?La très grande majorité des producteurs d’ovins sont régulièrement co...
14/10/2018

Est-il possible de prévenir
les prolapsus vaginaux ?
La très grande majorité des producteurs d’ovins sont régulièrement confrontés à des cas de prolapsus vaginaux chez les brebis en gestation.
Le prolapsus vaginal se définit par une extériorisation du vagin entre les lèvres de la vulve. Dans un premier temps, le prolapsus est intermittent et apparaît uniquement lorsque
l’animal est couché. Ce stade peut passer inaperçu, mais s’il persiste, la maladie progresse vers un stade plus avancé, rendant l’extériorisation du vagin continuelle.
Dans la majorité de ces cas, l’identification de la cause du prolapsus est difficile puisque son apparition est associée à une multitude de facteurs qui peuvent agir encombinaison. Voici donc un résumé des différents facteurs suspectés.

-Facteurs reliés à la gestation
La plupart des prolapsus surviennent au cours de la deuxième semaine précédant l’agnelage. La pression abdominale créée par l’augmentation du volume de l’utérus serait en cause. Durant cette période, la sécrétion
d’hormones préparant la brebis à la mise-bas pourrait également favoriser les prolapsus par la relaxation des tissus entourant le vagin. De plus, un poids total de portée élevé prédisposerait au développement de la
maladie. Puisque le poids total de la portée est généralement lié au nombre d’agneaux, les prolapsus sont ainsi associés dans le 2/3 des cas aux portées multiples.

-Facteurs reliés à la brebis
Certaines races et certaines lignées de brebis semblent être prédisposées génétiquement aux prolapsus vaginaux.
Cependant, la plupart des races présentes au Québec n’ont pas été étudiées, à l’exception des brebis croisées saillies à des béliers Suffolk, lesquelles présentaient un risque accru de prolapsus vaginaux.

La plupart des enquêtes montrent que l’incidence des prolapsus vaginaux augmente avec l’âge des brebis.
Il a été suggéré que les mises-bas successives, surtout s’il y a eu dystocies, peuvent entraîner une distension des ligaments qui maintiennent les organes génitaux.
Cependant, dans certains troupeaux, ce sont les agnelles qui sont les plus atteintes. On croit que la disproportion entre le poids du foetus et celui de l’agnelle serait alors un facteur contribuant à l’expression du prolapsus. De plus, les troupeaux où la prévalence de prolapsus vaginaux est plus élevée sont en général ceux où l’état de chair moyen est le plus élevé.

-Facteurs alimentaires
Une augmentation rapide du volume d’aliments ingérés, sans phase d’adaptation, favoriserait l’apparition des prolapsus vaginaux par l’accroissement de la pression dans l’abdomen.

Par exemple, une telle situation peut
survenir lors du transfert de troupeaux de pâturages pauvres vers des pâturages luxuriants.Le rôle exact que jouent les différents minéraux dans le développement de la maladie n’a pas encore été élucidé. On rapporte que des carences en zinc la favoriseraient. Dans certains troupeaux particulièrement atteints, un ajout de calcium et de phosphore dans l’alimentation a été bénéfique.
Un excès de calcium peut cependant interférer avec l’assimilation du zinc chez l’animal, d’où l’importance d’avoir une diète bien
équilibrée. Cependant, le rôle du calcium dans les prolapsus est actuellement très controversé.

La présence de certaines toxines dans les grains et les fourrages semblent augmenter la fréquence des
prolapsus vaginaux. Ces toxines agissent en provoquant des déséquilibres hormonaux chez la ées à quelques
reprises au Québec dans l’alimentation de troupeaux de vaches laitières présentant des problèmes
reproducteurs. Il est possible que ces mêmes toxines puissent être présentes dans l’alimentation de certains
troupeaux ovins.
-Environnement de l’animal
Les bergeries avec dénivellation et les pâturages montagneux ont été associés au développement des
prolapsus vaginaux. Dans ces lieux, les brebis en fin de gestation améliorent leur confort en se couchant la
tête vers le haut, et accentuent ainsi la pression sur les organes génitaux. Le même phénomène se manifeste
lorsque les râteliers sont trop hauts et amènent ainsi l’animal à s’appuyer sur ses membres postérieurs pour y
accéder.
-Autres facteurs
Enfin, tout ce qui favorise une position couchée entraîne un risque accru de développement de prolapsus
vaginaux, c’est le cas par exemple pour le piétin. Le manque d’exercice pourrait aussi les favoriser en raison
de la réduction du tonus musculaire en général. Cette hypothèse corrobore le fait qu’il y ait généralement
moins de prolapsus chez les brebis vivant en plein air que chez celles vivant en bergerie.
COMPLICATIONS ET TRAITEMENTS DES PROLAPSUS VAGINAUX
L’irritation du vagin causée par le prolapsus entraîne chez la brebis des efforts d’expulsion, qui ne font
qu’aggraver le prolapsus et l’irritation. Le traitement vise donc à arrêter ce cercle vicieux par la remise en
place du vagin et son soutien grâce à différentes techniques, dont les sutures et les harnais. Le succès du
traitement peut être accru de façon considérable grâce à l’anesthésie épidurale, une technique disponible et
abordable qui provoque un arrêt des efforts d’expulsion et un soulagement de la brebis jusqu’à 36 heures.
Des antibiotiques et des a**lgésiques peuvent compléter le traitement selon le cas. Plus le traitement d’un
prolapsus est entrepris tôt, meilleures sont les chances de guérison, d’où l’importance de bien observer
régulièrement l’ensemble des brebis dans les semaines précédant les mises-bas.
La principale complication reliée aux prolapsus vaginaux est la dilatation incomplète du col de l’utérus lors
de l’agnelage, entraînant une augmentation de mises-bas difficiles et une mortalité des agneaux estimée à
30%. Comme autre complication, notons la rupture du vagin pouvant entraîner la sortie des intestins hors de
la cavité abdominale. L’euthanasie doit alors être pratiquée le plus rapidement possible car aucun traitement
n’est efficace.
PRÉVENTION
La prévention des prolapsus vaginaux se résume à agir sur les facteurs décrits précédemment et à réformer
toutes les brebis ayant eu un prolapsus. En effet, de 30 à 70% des brebis récidiveront lors d’un prochaine
agnelage. Il est même opportun de ne pas selectionner les agnelles de ces brebis comme reproductrices.
Cependant, les efforts apportés à la résolution du problème peuvent aboutir à des résultats mitigés et
décevants étant donné tous les facteurs pouvant être impliqués. De plus, d’autres causes inconnues sont
probablement reliées au développement de la maladie.
QUELQUES MOTS SUR LES PROLAPSUS UTÉRINS ET RECTAUX
Les prolapsus utérins se caractérisent par l’extériorisation de l’utérus à travers la vulve, habituellement dans
les jours qui suivent l’agnelage. Lorsqu’un traitement adéquat est instauré rapidement, 80% des brebis
guérissent et redonnent naissance à des agneaux, justifiant alors les dépenses reliées au traitement. Il n’est
donc pas conseillé de réformer ces brebis contrairement à celles qui ont eu un prolapsus vaginal. Les
prolapsus rectaux, quant à eux, surviennent le plus fréquemment chez les agneaux âgés entre 6 et 12 mois.
Les principaux facteurs de risque sont les suivants : queue de moins de ½ pouce de longueur, présence de
toux causée par des infections ou un environnement poussiéreux, de diarrhée, de parasites intestinaux et de
calculs urinaires. L’envoi immédiat à l’abattoir des sujets atteints est économiquement bénéfique à un
traitement.

Prolapsus re**al chez Les Équidés :Qu’est ce qu’un prolapsus re**al  ?On définit par prolapsus une chute ou une issue an...
15/04/2018

Prolapsus re**al chez Les Équidés :
Qu’est ce qu’un prolapsus re**al ?
On définit par prolapsus une chute ou une issue anormale d’un organe ou d’une partie d’un organe. C’est un terme général qui concerne de nombreux champs (vessie, utérus, valve cardiaque…). Dans le cas qui nous concerne, il s’agit d’une extériorisation par l’anus de toute ou partie de la paroi intestinale. Un prolapsus re**al concerne la paroi du re**um c’est-à-dire la portion toute terminale du gros intestin (qui est un organe creux).
Le prolapsus re**al se définit comme le passage d’une portion ou de l’ensemble du re**um à travers l’anus.
Cette extériorisation survient le plus souvent lors de la défécation, lors de poussées abdominales ou plus rarement lors d’efforts physiques. En pratique, la paroi du re**um se « retourne » un peu à la façon d’une manche de vêtement que l’on enlève rapidement : on parle parfois d’invagination de la paroi re**ale dans la ca**l a**l. On réserve habituellement le terme de prolapsus aux formes les plus importantes que l’on peut observer à l’œil nu. Le terme de procidence interne est par contre plus souvent utilisé pour décrire les invaginations de la paroi qui ne sortent pas à l’extérieur de l’anus.

Quels signes sont associés à un prolapsus ?

Le principal signe est la douleur du bas ventre, de la partie interne du bassin ou des cuisses qui sont souvent accentuées lors de la défécation. Ces douleurs peuvent également se traduire par une sensation de poids ou d’inconfort dans la partie profonde de l’anus notamment en fin de journée. Cette gêne disparaît souvent en position couchée.
Il existe enfin des faux besoins c’est-à-dire des émissions de mucus, de glaires (comme des crachats) ou de sang à la place de la selle lors de la défécation. Ce processus peut se répéter de façon fréquente dans la journée.
Quelles complications du prolapsus peuvent être observées ?

La paroi du re**um peut être endommagée par sa mobilité anormale, son passage dans le défilé étroit de l’anus ou lorsqu’il ressort. Il n’est donc pas rare qu’il puisse se former des plaies ou ulcères, une inflammation ou un œdème. Dans de très rares situations, il peut être enserré par l’anneau des sphincters qui ferment l’anus et ne plus pouvoir réintégrer l’intestin : on parle alors d’étranglement. Il est observé dans près de la moitié des cas un relâchement des muscles de l’anus pour une raison qui n’est pas totalement éclaircie (dilatation a**le répétée) : des difficultés à retenir les gaz, les glaires et les selles en sont les signes les plus fréquents.

Lors de prolapsus re**al, une intervention rapide est conseillée et la recherche de l’affection causale est indispensable.

TRAITEMENT
Il est chirurgical : Dans tous les cas de chirurgie, l'anesthésie Locale des animaux doit être pratiquée.
On réintègre la partie prolabée, on réalise une ou deux
sutures en bourse avec du fil non résorbable.

LAPAROSCHISIS     aussi appelé « gastroschisis », est une malformation consistant en une fente de la paroi abdominale. L...
07/03/2018

LAPAROSCHISIS
aussi appelé « gastroschisis », est une malformation consistant en une fente de la paroi abdominale. Les intestins passent à travers cette fente. Il n’existe aucune membrane entourant les intestins.

Description:
Malformation consistant en une fermeture incomplète de la paroi abdominale, se situant très souvent sur le côté droit de l’ombilic. Il existe une fente abdominale qui laisse passer les anses intestinales, lesquelles se retrouvent hors de l’abdomen et flottent dans le liquide amniotique. La taille de la fente excède rarement 1 millimètre Aucune enveloppe n’entoure les anses intestinales.
Il existe dans 20 % des cas des malformations associées. Il ne faut pas confondre le laparoschisis avec l’omphalocèle.
Cause :
Aucune anomalie chromosomique n'a été mise en évidence comme cause du laparoschisis. Le laparoschisis peut apparaître à la suite d'un traitement par pseudoéphédrine (vasoconstricteur) par voie orale.

Traitement :

L’accouchement est fait dans un cabinet vétérinaire , ce qui facilite très largement la prise en charge. La réintégration des anses intestinales se fait immédiatement ou progressivement. En règle générale, une réalimentation complète par la bouche est obtenue au bout de six semaines. En attendant, la nutrition se fait par voie veineuse centrale.

Malocclusion et problèmes dentaires du lapin :    Une malocclusion dentaire est une anomalie de croissance et/ou de posi...
28/02/2018

Malocclusion et problèmes dentaires du lapin :

Une malocclusion dentaire est une anomalie de croissance et/ou de positionnement d’une ou de plusieurs dents, entraînant un défaut d’usure et une pousse anormale. On distingue les malocclusions incisives, touchant les incisives, et les malocclusions jugales, touchant les prémolaires et les molaires. Cette affection est fréquente, notamment chez les races naines, dont la sélection sur le petit gabarit et sur le raccourcissement du museau favorise l’encombrement dentaire.

ASPECT NORMAL DES INCISIVES

Le lapin possède quatre incisives supérieures (deux principales et deux vestigiales ou accessoires, plus petites) et deux incisives inférieures. A l’état normal :

- les incisives supérieures possèdent un sillon horizontal médian, et sont situées légèrement en avant des incisives inférieures.
les incisives inférieures sont en appui entre les deux paires d’incisives supérieures.

SYMPTOMES ET ASPECTS DES INCISIVES LORS DE MALOCCLUSION

Symptômes

Les symptômes varient en fonction du stade plus ou moins avancé de la malocclusion :
- aspect anormal des incisives (longueur et/ou orientation anormales),
- difficultés à s’alimenter, anorexie (lors de gêne ou de douleur),
- difficultés de toilettage,
- hypersalivation, pouvant entraîner une irritation puis une infection cutanée,
- agglomération d’aliments, de poils et de cæcotrophes au niveau de la bouche.

CAUSES

La malocclusion incisive peut être primaire .. anomalie congénitale, apparaissant dans les mois suivant la naissance) ou secondaire à une autre affection qu’il faut alors rechercher et traiter.

Malocclusions primaires (congénitales)

- Anomalie génétique : une ou plusieurs dents présentent dès la naissance une anomalie de position ou de croissance,
- Prognathisme mandibulaire et brachygnathisme maxillaire (mâchoire inférieure trop longue et mâchoire supérieure trop courte) : cette anomalie, surtout fréquente chez les races naines, constitue une des causes majeures de malocclusion incisive. Un déterminisme génétique récessif a été démontré pour le prognathisme mandibulaire.

Malocclusions secondaires (acquises)

Traumatisme

Un traumatisme (choc, chute, coupe de dents…) peut entraîner la luxation ou la fracture d’une incisive, ce qui conduit à sa pousse anormale et à un défaut d’usure de l’incisive opposée. Les fractures sont généralement transversales ou en biseau, plus rarement longitudinales, et peuvent entraîner une exposition de la pulpe dentaire à l’origine d’une infection. Une fracture peut également entraîner une lésion du bourgeon dentaire, dont un petit fragment peut se détacher et générer la pousse d’une incisive surnuméraire.

Malocclusion jugale

Une malocclusion des dents jugales (prémolaires, molaires) peut entraîner un défaut de fermeture buccale : les incisives ne sont alors plus en contact et leur usure ne s’effectue plus correctement.

Maladie métabolique osseuse

Cette maladie, secondaire à une carence en calcium et/ou en vitamine D (notamment par manque d’exposition aux UVB solaires, responsables de la photosynthèse cutanée de vitamine D3), entraîne une ostéodystrophie et un défaut de minéralisation de l’os des mâchoires, de l’émail et de la dentine. La dent se fragilise, chute, se fracture ou pousse anormalement (ex : à angle droit), voire arrête de pousser. Sa structure externe présente généralement un aspect granuleux, une coloration anormale et des striations horizontales caractéristiques.

Anorexie prolongée

De nombreuses maladies peuvent entraîner une anorexie prolongée, à l’origine d’un défaut d’usure des dents et d’une malocclusion.

TRAITEMENT

Le traitement des malocclusions congénitales passe généralement par l’extractiondes incisives concernées . Il est parfois indiqué d’attendre que le lapin ait suffisamment grandi afin de minimiser le risque anesthésique, en gérant le problème par une coupe et un limage réguliers en attendant l’intervention.

Le traitement des malocclusions acquises dépend de leur cause. Il faut toujours rechercher la présence éventuelle d’une malocclusion jugale pouvant être la cause du problème. En cas de malocclusion sévère, gênante ou récurrente, et lors de la présence d’incisives surnuméraires, une extraction est souvent indiquée.

27/02/2018

La paramyxovirose du pigeon :

Elle a pour origine un virus de type 1 qui a d'abord frappé mortellement les gros élevages de volailles. Le pigeon en a hérité peu de temps après, ainsi que de l'obligation de vacciner annuellement. Remarque : le virus peut aussi atteindre l'homme (conjonctivite, symptômes de type grippal).

Ce paramyxovirus appartient à la même famille que les paramyxovirus des oreillons ou de la rougeole.

les symptomes :

Paralysies, torticolis, troubles du comportement
Troubles nerveux, perte d'équilibre, vol en " marche arrière ", des pigeons picorent à côté des graines.
Diarrhée, mortalité de nombreux pigeon, de tous les jeunes présents dans les nids.
Chronologie de la maladie : quelques mortalités sans signes précurseurs. Quelques jours plus t**d apparaît une diarrhée explosive sur de très nombreux pigeons. 10 à 15 jours plus t**d apparaissent les premiers torticolis.

Torticolis, aile pendante.
Arthrite de l'aile (articulation de l'épaule ou du coude enflée = " mal d'aile "), boiterie intermittente avec une articulation enflée ou non, pigeons aveugles avec un oeil blanc (uvéite). Diarrhée, mort en coquille, au plateau, absence de ponte, ponte longues à se déclencher, coquilles granuleuses. Mortalité de pigeons adultes légèrement amaigris, plumes de sang. Les femelles sont plus souvent malades que les mâles.

LES TRAITEMENTS :

Il n'existe aucun traitement.
Nettoyez le pigeonnier le plus souvent possible. Désinfectez au crésyl (une solution à 1% détruit le virus en 5 mn. Asséchez au chalumeau les endroits très humides (sous les perchoirs ...). Désinfectez les abreuvoirs (solution de soude à 2%). Il est possible d'administrer des antibiotiques pour prévenir d'autres maladies.
Seule la vaccination annuelle offre une efficacité certaine.
Les pigeons atteints et rescapés guérissent difficilement :

la diarrhée peut cesser en deux ou trois semaines,
les troubles nerveux ne s'atténuent qu'au bout de 3 ou 4 mois.

Après une blessure grave ou une maladie grave de la hanche presque toujours besoin de porter une attelle de la cuisse et...
18/12/2017

Après une blessure grave ou une maladie grave de la hanche presque toujours besoin de porter une attelle de la cuisse et bandages. Ces outils aident non seulement à sécuriser le joint endommagé, mais aussi d'accélérer le processus de récupération.

En raison du fait que l'articulation de la hanche a une structure anatomique complexe et de grande taille, il est assez difficile de fixer des moyens conventionnels - attelles de plâtre de bus.

Par conséquent, on recommande l'utilisation de dispositifs de retenue spéciaux - bandages, orthèses et attelles, qui sont solidement fixés avec l'articulation de la hanche en place et l'empêchent de se blesser à nouveau.

17/12/2017

Luxation de la hanche (coxo-fémorale) [ crânio-dorsale ] :

La hanche est l’articulation qui luxe le plus fréquemment. Cette affection articulaire résulte souvent d’un traumatisme violent.

Dans le cas d’une luxation crânio-dorsale, le membre atteint parait plus court lorsque l’animal est soulevé ou que ses deux postérieurs sont mis en extension.

Dans le cas d’un traumatisme, il convient d’effectuer un examen clinique rigoureux pour écarter toute autre affection. Lorsqu’un choc au niveau du train postérieur est suspectée, il faut rechercher en particulier des lésions vasculaires, périnéales, abdominales (traumatisme de la vessie, de l’urètre, du côlon…), et il est nécessaire, concernant le membre postérieur supposé lésé, d’effectuer un examen neurologique complet avant l’examen orthopédique.

Adresse

Cité 200 Logements . Rue De Cherchelle
Old Ténès
02006

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 18:00
Mardi 09:00 - 18:00
Mercredi 09:00 - 18:00
Jeudi 09:00 - 18:00
Vendredi 14:00 - 18:00
Samedi 14:00 - 18:00
Dimanche 09:00 - 18:00

Téléphone

+213670436404

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