Laboratoire de Biologie analyses médicales - Oran - Algerie

Laboratoire de Biologie analyses médicales - Oran -  Algerie Oran-MediLab est un laboratoire de biologie médicale présent à Oran et en région ouest de l’Algérie.

Le laboratoire d'analyse assure la prise en charge du patient, pour toutes types d’analyses.

18/02/2024

RECHERCHE GESTIONNAIRE RESPONSABLE D'UN CENTRE DE LABORATOIRE D'ANALYSE MÉDICAL A ORAN CENTRE-VILLE

Nous recherchons pour le centre de biologie d’Oran-Medilab un/e Médecin ou pharmacien Biologiste pour travailler au sein d'un laboratoire situé à Oran centre-ville.

Le profil recherché :
Vous être inscrit à l'ordre des médecins en Algérie.
Vous êtes de préférence titulaire d'un titre/diplôme permettant d'exercer les fonctions de technicien de laboratoire selon l'article L-4352 du Code de la Santé Publique (ex : DETLM, BTS Analyses Biologiques, BTS Biotechnologie, DUT Génie Biologique option Analyses Biologiques, etc.

Responsabilités :
En tant que gestionnaire responsable du centre de laboratoire,

• Superviser l'activité technique de votre périmètre (organisation du travail, gestion des plannings, faire face aux aléas, gestion des stocks de consommables et réactifs),
• Animer des points de communication : information sur les indicateurs (sécurité, qualité, coûts, délais),
• Fixer les objectifs de performance et en assurer le suivi,
• Développer les compétences et polyvalence des collaborateurs (équipe d'environ 15 techniciens + aide laboratoires),
• Participer à la réalisation des protocoles de validation des nouvelles techniques,
• Participer à l'analyse des causes en cas d'anomalies concernant la réalisation des analyses,
• Participer à la mise en service, la qualification et la maintenance des nouveaux appareils analytiques,
• Participer à l'organisation technique des analyses et gérer le listing de re**rd,
• Participer à l'organisation technique des contrôles qualité internes et externes,
• Assurer le suivi de l'application des procédures et des modes opératoires,
• Suivre le respect des procédures relatives aux opérations de vérification et d'étalonnage métrologiques,
• Réaliser les entretiens annuels de l'équipe.

Qualifications :
Vous avez des solides connaissances en management, encadrement d'équipe et optimisation des techniques et processus.

Une bonne autonomie, des compétences organisationnelles et de communication, une aisance au travail en équipe et la maîtrise de Microsoft Office sont indispensables.

Poste à pourvoir tout de suite à temps plein .

Statut : Médecin ou pharmacien Biologiste du centre de biologie d’Oran-Medilab

Si cette annonce vous intéresse, merci de contacter Mme VINCENTE Khedidja en envoyant votre CV et votre lettre de motivation, tout cela rédigé en français à boukvin@yahoo.fr sous la référence RESPONSABLE BIOLOGISTE.

IMPORTANT :
Toute candidature ou transmission de document via Facebook sera refusée et classée sans suite.

POURQUOI LA MÉNOPAUSE EXISTE-T-ELLE ?La ménopause est déclenchée par l'épuisement de la réserve de follicules ovariens. ...
23/12/2021

POURQUOI LA MÉNOPAUSE EXISTE-T-ELLE ?

La ménopause est déclenchée par l'épuisement de la réserve de follicules ovariens. Ces derniers sont des petits sacs contenant chacun un ovocyte (ovule immature) et sont stockés dans les ovaires situés de chaque côté de l'utérus. À la naissance, une petite fille possède environ 1 million d'ovocytes.

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Ce qu’il se passe dans le corps pendant la ménopause.
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La ménopause n’est pas seulement synonyme d’arrêt de la fertilité. Ce phénomène naturel agit sur tout l’organisme, de la peau aux organes génitaux en passant par les os.

C’est une étape inéluctable de la vie d’une femme. La ménopause est un phénomène physiologique naturel qui survient généralement entre 45 et 55 ans (51 ans en moyenne) et se traduit par l’arrêt définitif des règles et la perte de la fertilité. La fonction reproductive n’est toutefois pas la seule touchée: la ménopause est un bouleversement hormonal qui provoque ou favorise des troubles touchant l’ensemble de l’organisme.

Que peut-il se passer dans le corps d’une femme pendant cette période si particulière de la vie? À quoi sont dus ces changements? Le Figaro fait le point. Bien sûr, il est extrêmement rare qu’une femme connaisse tous les symptômes décrits plus bas et surtout, ces derniers n’apparaissent pas de manière simultanée: tout cela se déroule sur des années, avec des degrés de sévérité propres à chaque personne. Par ailleurs, nombreuses sont les femmes ménopausées qui ne connaissent aucun de ces désagréments, à court terme. Pour les autres, il existe des solutions pour les atténuer.

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À quoi sont dus ces changements?
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La ménopause s’installe lorsque le nombre de follicules ovariens est inférieur à 1000.

La ménopause est déclenchée par l’épuisement de la réserve de follicules ovariens. Ces derniers sont des petits sacs contenant chacun un ovocyte (ovule immature) et sont stockés dans les ovaires situés de chaque côté de l’utérus. À la naissance, une petite fille possède environ 1 million d’ovocytes. Ce stock diminue progressivement tout au long de la vie: la majeure partie des ovocytes est détruite sous l’effet de l’apoptose (mort cellulaire programmée), l’autre (400 à 500 ovules) est libérée chaque mois tout au long de la période reproductive.

La ménopause s’installe lorsque le nombre de follicules ovariens est inférieur à 1000. À ce moment-là, les ovaires vont complètement arrêter de fabriquer des œstrogènes. Ces hormones sont responsables, entre autres, de la maturation des ovocytes et de l’épaississement de la muqueuse utérine (l’endomètre) en vue d’une potentielle grossesse. Lorsque leur taux chute, l’endomètre cesse de s’épaissir chaque mois: c’est l’arrêt des règles. Après douze mois sans saignements, la ménopause est confirmée.

Ce phénomène ne survient pas brutalement: il passe par une période de transition, la périménopause, qui s’étend généralement sur plusieurs années (un à huit ans). Pendant cette période, les ovaires connaissent leurs premiers dérèglements mais ils produisent encore des œstrogènes. L’ovulation et les règles peuvent devenir très irrégulières, le syndrome prémenstruel peut s’accentuer ou apparaître (prise de poids, gonflement abdominal, seins douloureux, irritabilité...), parfois accompagné de bouffées de chaleur et de suées nocturnes. La périménopause se termine avec l’arrêt définitif des règles.

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Quels sont les impacts de ces modifications hormonales?
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Les œstrogènes jouent un rôle dans le mécanisme par lequel l’organisme maintient sa température constante.

Les conséquences de l’arrêt de la production d’œstrogènes sont nombreuses. Les plus connues sont les bouffées de chaleur: elles concernent environ 80% des femmes ménopausées. Il s’agit d’une sensation soudaine de chaleur qui débute généralement au niveau du buste et du visage et qui se généralise rapidement, amenant avec elle transpiration, palpitations, frissons et anxiété. Elles durent quelques minutes et peuvent survenir plusieurs fois par jour. Cela s’explique par le fait que les œstrogènes jouent un rôle dans le mécanisme par lequel l’organisme maintient sa température constante. Leur absence perturbe donc ce processus. Dans la majorité des cas, les bouffées de chaleur persisteront pendant plus d’un an, mais elles peuvent durer jusqu’à 5 ou 10 ans.

On peut également citer les sueurs nocturnes, les insomnies, les douleurs articulaires et les troubles génito-urinaires (incontinence, infections urinaires, troubles sexuels). Ces derniers touchent environ deux tiers des femmes, à des degrés divers. Leur fréquence s’explique par le fait que le vagin, l’utérus et la vessie sont très sensibles aux œstrogènes. En leur absence, ces trois organes perdent leur souplesse et leur tonicité. La vulve et le vagin s’atrophient, les muqueuses s’assèchent et la flore vaginale s’altère, provoquant une plus grande vulnérabilité aux infections. Ces symptômes peuvent être transitoires ou plus durables.

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L’aspect corporel et l’humeur touchés
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La ménopause a également des effets sur la forme du corps. Les mamelons diminuent de taille et perdent leur pouvoir érectile, les seins se transforment et deviennent essentiellement constitués de graisse. C’est également une période où une prise de poids survient, pour plusieurs dont l’une est liée à la carence en œstrogènes: leur absence entraîne une augmentation du nombre et de la taille des cellules graisseuses au niveau de l’abdomen.

La peau se modifie aussi. C’est en effet l’organe qui, après l’utérus, est le plus sensible aux œstrogènes, en particulier au niveau du visage. Le déficit en œstrogènes va accentuer le vieillissement cutané par assèchement et amincissement de la peau, perte d’élasticité et accentuation des rides. La pilosité et la chevelure ne sont pas non plus épargnées. Les cheveux deviennent cassants, leur densité diminue, parfois jusqu’à l’alopécie. De même la pilosité pubienne et celle au niveau des aisselles se raréfient. En revanche, une pilosité au niveau de la lèvre supérieure et sur les joues peut faire son apparition.

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Le déficit en œstrogènes va accentuer le vieillissement cutané par assèchement et amincissement de la peau, perte d’élasticité et accentuation des rides.
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L’humeur peut aussi être affectée par l’arrivée de la ménopause. Les hormones sexuelles ont en effet la capacité d’agir sur des régions cérébrales impliquées dans le contrôle des émotions et du comportement. Troubles de l’émotivité, anxiété, irritabilité, fatigue ou encore dépression concernent 40% des femmes ménopausées. Par ailleurs, les œstrogènes ont un effet neuroprotecteur. Leur absence a donc un impact sur les performances cognitives et favorise le déclin cognitif.

Quant à la sexualité, la ménopause ne l’empêche pas mais elle peut la perturber. Chez certaines femmes, elle peut par exemple induire ou accentuer des troubles et provoquer une baisse de libido. La carence oestrogénique peut notamment diminuer la sensibilité du cl****is ou au contraire l’augmenter à outrance. La sécheresse vaginale et la dyspareunie qui en découle peuvent rendre difficiles les rapports. Enfin, les troubles urinaires comme l’incontinence peuvent motiver l’évitement des relations.

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Et les conséquences à long terme?
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Les œstrogènes interviennent aussi dans la minéralisation osseuse, le métabolisme ou encore la santé cardiovasculaire.

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Les œstrogènes n’ont pas qu’un rôle dans la reproduction. Ils interviennent aussi dans la minéralisation osseuse, le métabolisme ou encore la santé cardiovasculaire. Pour cette raison, leur déficit peut être associé à des maladies potentiellement graves. L’ostéoporose, par exemple, est une complication redoutable de la ménopause. Elle est deux à trois plus fréquente chez les femmes ménopausées que chez les hommes, à âge égal. Ce phénomène physiologique lié au vieillissement est accéléré par l’arrêt du fonctionnement ovarien. Il se manifeste par des tassements vertébraux et la survenue de fractures spontanées, notamment au niveau du poignet. L’œstradiol, une hormone appartenant à la famille des œstrogènes, a au contraire un effet protecteur: il favorise l’absorption de calcium au niveau des intestins et agit directement au niveau des os.

L’arrêt de la production d’œstrogènes est également un facteur de risque de maladies cardiovasculaires. Ces hormones jouent en effet un rôle au niveau du métabolisme des lipides et de l’insuline, et elles agissent au niveau des parois vasculaires. Faute d’œstrogènes, les artères deviennent plus rigides, ce qui favorise l’athérosclérose, le cholestérol et les graisses augmentent.

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La ménopause, un cap difficile pour le sommeil
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Le bouleversement hormonal qui se produit à cette période de la vie d’une femme se traduit souvent par de mauvaises nuits. Des solutions existent. Le Figaro fait le point.

À la ménopause, les ovaires de la femme s’arrêtent de fonctionner. La production de deux hormones s’en ressent: celle d’œstrogène chute et celle de progestérone cesse complètement. Cette évolution majeure pour la femme entraîne de profonds bouleversements physiologiques, dont l’un des plus fréquents est la dégradation du sommeil. Réveils nocturnes, sommeil léger, moins réparateur: de nombreuses femmes voient leur quotidien perturbé, alors qu’elles sont encore très actives. Avec les bouffées de chaleur, le mauvais sommeil, c’est la plainte qui revient le plus souvent

La ménopause peut s’accompagner de divers symptômes susceptibles d’altérer les nuits: les bouffées de chaleur, bien sûr, mais aussi des suées nocturnes, l’anxiété, la dépression, les troubles urinaires ou sexuels, les douleurs articulaires… L’âge est aussi, en soi, un facteur d’insomnie.

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Pourquoi la ménopause nuit aux articulations ?
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La baisse de la production d’oestrogènes s’accompagne chez environ la moitié des femmes ménauposées de douleurs articulaires.

La ménopause n’est pas une bonne période, en particulier, pour les articulations. Cette étape de la vie d’une femme qui se traduit par un effondrement de sa production d’œstrogènes, les hormones sexuelles, est corrélée à l’apparition ou à l’aggravation de douleurs articulaires, en plus d’autres symptômes classiques: bouffées de chaleur ou encore fatigue. Ces douleurs concerneraient environ la moitié des femmes sans qu’il soit possible de prédire qui risque d’y être confronté et qui en réchappera.

Ce symptôme, appelé rhumatisme de la ménopause, était de longue date constaté par les gynécologues, mais le lien suspecté avec l’effondrement de la production d’œstrogènes a été confirmé par l’utilisation de médicaments bloquant cette production hormonale pour lutter contre des cancers du sein. Environ la moitié des femmes concernées ont présenté des douleurs, en particulier au niveau des articulations.

LA MÉNOPAUSE PRÉCOCEEn occasionnant un arrêt l'ovulation avant 40 ans, la ménopause précoce, ou insuffisance ovarienne p...
23/12/2021

LA MÉNOPAUSE PRÉCOCE

En occasionnant un arrêt l'ovulation avant 40 ans, la ménopause précoce, ou insuffisance ovarienne prématurée (OIP), peut nuire à la fertilité féminine. Comment expliquer l'apparition de ce syndrome ? Quels sont les pistes de traitement envisageables ? Quelques éléments d'explication.

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La ménopause précoce : qu'est-ce que c'est ?
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Le terme de ménopause décrit l'arrêt du fonctionnement ovarien. Si elle survient en moyenne à 51 ans, la ménopause est dite précoce si elle apparaît avant 45 ans. Chez certaines femmes (1,9%), l'arrêt de l'ovulation peut survenir avant 40 ans, parfois bien plus tôt. On parle alors d'insuffisance ovarienne prématurée (IOP).

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Quels sont les symptômes de la ménopause précoce ?
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Le premier signe de l'insuffisance ovarienne prématurée est la perturbation des cycles menstruels, qui peut être variable selon les femmes.

Pour certaines, le diagnostic est posé après l'apparition d'une aménorrhée secondaire (une absence de règles de plus de 3 mois chez une femme ayant déjà eu ses menstruations). En l'absence de reprise de l’ ovulation, cette aménorrhée peut devenir définitive. Toutefois, la reprise de l'activité ovarienne reste possible chez une femme sur deux environ, avec un retour des menstruations parfois plusieurs années après le diagnostic. D'ailleurs, la production d’œstrogène, l'ovulation et la grossesse naturelles sont probables chez 5 à 10 % d'entre elles.

Pour d'autres, les menstruations varient en fréquence et en intensité (oligoménorrhée).

D'autres symptômes, dus à la carence en œstrogènes et similaires à ceux rencontrés par les femmes dont la ménopause est plus tardive, peuvent apparaître. Les manifestations de ce syndrome climatérique :

des troubles vasomoteurs, (bouffées de chaleur, hypersudation, palpitations…)
des insomnies,
des troubles de l'humeur, (irritabilité, …)
une sécheresse vaginale,
des troubles urinaires : brûlures mictionnelles, impériosité (envie pressante pour laquelle on peut pas se retenir),
une baisse du désir et des troubles de la sexualité,
une variation pondérale,
plus rarement, une dépression, voire des troubles de l’attention et de la mémoire.

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Comment expliquer une ménopause précoce ?
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Dans la très grande majorité des cas, les origines de l'insuffisance ovarienne prématurée ne sont pas retrouvées. Toutefois, certains antécédents familiaux, pathologies et causes iatrogènes (liés à un traitement médical) sont systématiquement recherchés par le praticien, à savoir :

une maladie auto-immune (hypothyroïdie, hypoparathyroïdie, maladie cœliaque, diabète de type 1, polyarthrite rhumatoïde, maladie de Basedow ou d'Addison),
des antécédents de chimiothérapie, radiothérapie ou de chirurgie ovarienne,
des antécédents familiaux d'IOP,
des antécédents familiaux laissant penser à des prémutations du gène FMR1 (région FRAXA du chromosome X associée au Syndrome de l'X fragile notamment.

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Quelles sont les conséquences d'une IOP ?
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L'effet de la ménopause précoce le plus prégnant chez les femmes en âge d'avoir un projet parental est généralement l'infertilité. Toutefois, à plus long terme, l'IOP à d'autres répercussions sur la santé. Ainsi, elle peut favoriser les fragilités osseuses et les fractures dues à l'ostéoporose, ainsi que les maladies cardiovasculaires. Par ailleurs, environ 3 % des femmes atteintes d'IOP sont susceptibles de développer une insuffisance surrénale auto-immune, qui, si elle n'est pas dépistée, peut s'avérer grave.

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Comment est établi le diagnostic de ménopause précoce ?
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Face à une suspicion d'IOP, plusieurs examens sont menés en premier intention, à savoir :

un test de grossesse,
des sérologies pour évaluer le taux de prolactine, de FSH et d’œstradiol.

Une fois l'insuffisance ovarienne prématurée confirmée, le praticien peut préconiser la réalisation :

d'un caryotype pour identifier d'éventuelles anomalies de nombre ou de structure du chromosome X (syndrome de Turner, triple X, Délétion du X, chromosome X en anneau…),
d'une recherche des prémutations du gène FMR1 pour dépister une insuffisance ovarienne liée à une prémutation de la région FRAXA.

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Quels sont les traitements de l'Insuffisance ovarienne primaire ?
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En cas de ménopause précoce, plusieurs traitements peuvent être envisagés, notamment en cas de désir d'enfant.

Le traitement de l'infertilité.

Même si les grossesses spontanées restent possibles, elles sont très rares tant la capacité d'ovulation des femmes atteintes d'OIP est amoindrie. D'ailleurs, c'est là la principale problématique à laquelle sont confrontés les spécialistes de l'infertilité : il n'existe aucun traitement dont l'efficacité est avérée pour rétablir l'ovulation en cas de ménopause précoce. Toutefois, deux pistes de thérapies peuvent être creusées selon le profil des patientes :

un protocole à base de gonadotrophines combinées avec de l'œstrogène, qui semblerait sensiblement améliorer le taux d'ovulation.

une FIV avec don d'ovocytes.

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Le traitement de la carence hormonale
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Au-delà de l'infertilité, il est essentiel, face à une ménopause précoce, de prévenir les effets de la carence en œstrogènes. Un traitement hormonal imitant l'ovulation à base d'œstradiol (par voie oral ou cutanée) et de progestérone est alors recommandé pendant les 12 premiers jours du mois.

COMMENT RALENTIR LE VIEILLISSEMENTDE LA PEAU ?Le vieillissement cutané, un phénomène naturelLe vieillissement cutané n’e...
08/12/2021

COMMENT RALENTIR LE VIEILLISSEMENT
DE LA PEAU ?

Le vieillissement cutané, un phénomène naturel

Le vieillissement cutané n’est pas une pathologie qu’il convient de traiter à grands coups de bistouri, mais une évolution naturelle qu’il est préférable d’accompagner. Comme tous les autres organes, la peau subit les effets du temps. Elle est le miroir du temps qui passe mais également de notre santé, de notre bien-être général, de notre hygiène de vie. Toutefois, le temps n’impacte pas tous les épidermes de la même façon, nous ne sommes pas tous égaux face au vieillissement cutané. Si des facteurs intrinsèques sont liés à ce vieillissement (dégénérescence chronologique, génétique), d’autres facteurs entrent en ligne de compte et la façon de prendre soin de sa peau au quotidien influence cette évolution. Les UV, le tabac, l’alimentation, le stress, la pollution, l’utilisation de cosmétiques inadaptés, le manque de sommeil, l’activité physique… sont autant d’éléments qui peuvent accélérer le phénomène.
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Pour ralentir le vieillissement de la peau, il faut comprendre ses mécanismes. Les cellules de la peau se renouvellent en permanence, tous les 28 jours environ. Le vieillissement qui se lit en surface est un processus qui se joue également en profondeur au niveau du relief osseux, de l’enveloppe musculaire, de l’hypoderme et de son matelas de lipides. Avec le temps, le renouvellement cellulaire se fait moins bien. Les kératinocytes, les fibroblastes, les mélanocytes communiquent moins bien. Les cellules anciennes peuvent s’accumuler en surface et brouiller le teint, la peau commence à dessécher, le derme se modifie n’assurant plus aussi bien son rôle de matelas de soutien avec en surface une peau qui se relâche, des traits qui se détendent, un contour du visage plus flou, une peau qui s’atrophie, des rides qui se creusent.
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Le saviez-vous ?

Les kératinocytes sont des cellules constitutives de la couche superficielle de la peau, mais elles se trouvent également dans les ongles, les cheveux, les poils et même dans les plumes et les écailles. Les fibroblastes, présents dans de nombreux tissus conjonctifs comme la peau, les tendons, le cartilage, sont considérés comme un matelas de soutien.
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Le soleil, facteur numéro un du vieillissement cutané

Le soleil et ses rayonnements ultraviolets (UVA et UVB) est considéré comme le facteur prépondérant du vieillissement cutané. Son rôle majeur dans l’accélération de la dégradation de la jeunesse de la peau est de mieux en mieux étudié et compris. L’effet toxique des UV est lié à la formation de radicaux libres qu’ils provoquent et qui altèrent l’ADN des cellules cutanées. En interagissant directement avec l’ADN cellulaire, les UV peuvent entraîner des mutations, voire la mort cellulaire et la mort des kératinocytes. Une action qui empêche les cellules de se renouveler, les fragilise, empêche la constitution d’un matelas de soutien ferme, d’un tissu souple et élastique. Le photo-vieillissement est responsable par ailleurs d’une peau plus fine et moins résistante.
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Les autres facteurs du vieillissement cutané

Si l’exposition répétée aux rayonnements solaires est considérée comme le facteur extrinsèque le plus important dans l’accélération du vieillissement cutané, d’autres éléments externes influencent également la jeunesse et la qualité de la peau. L’environnement (tabac, pollution, stress) peut également modifier l’ADN des cellules cutanées (elles deviennent plus fragiles, moins efficaces pour se renouveler) et accélérer leur vieillissement.
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Pourquoi la peau vieillit-elle ?

LE STRESS

Au travail, dans la vie de tous les jours, le stress est partout et malheureusement difficile à éviter. Pourtant, il est lui aussi responsable de l’accélération du vieillissement. En cause ? Une fois de plus les radicaux libres, ces molécules oxydées qui détruisent les cellules et modifient leur ADN. Le stress à la capacité à augmenter leur production au niveau de la peau.
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Le saviez-vous ?

Il ne faut pas confondre le stress psychologique, résultant d’une situation de tension, et le stress oxydatif provoqué par la formation de radicaux libres.
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L'ALIMENTATION

Une mauvaise alimentation peut également favoriser le vieillissement cutané. En effet, un régime pauvre en antioxydants ne permettra pas de lutter efficacement contre les radicaux libres. Par ailleurs, un régime riche en sucre peut favoriser le phénomène de glycation (rigidification des fibres de protéines indispensables à l’élasticité, la souplesse et la jeunesse cutanée).
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LIMITER LE TABAC

Le tabac est, après les rayonnements UV, la seconde cause du vieillissement de la peau. Tous les produits toxiques qu’il renferme augmentent le nombre de radicaux libres dans la peau et dégradent les structures du derme, notamment l’acide hyaluronique et le collagène, empêchant la peau d’être souple et élastique. Par ailleurs, le tabac, comme la pollution, augmente les effets toxiques du soleil sur la peau, favorisant un stress oxydatif. Des études récentes ont mis en lumière l’impact du tabagisme sur la qualité de peau des fumeurs et notamment sur un vieillissement précoce. Ils présentent un risque de survenue de rides jusqu’à 3 fois plus important que pour les non-fumeurs, et jusqu’à 4,7 fois plus important pour les gros fumeurs (plus de 50 paquets par an). Par ailleurs, en plus de ses effets directs sur la peau, le tabac agit en synergie avec l’exposition au soleil. Les propriétés photo-toxiques de la fumée de ci******es sont activées par les rayons UVA et UVB. Le tabac réduit le taux d’eau de la peau, affecte les fibres de collagène et d’élastine dans les tissus conjonctifs et empêche leur synthèse. Réduire sa consommation de tabac est essentielle pour préserver la jeunesse de sa peau.
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LA POLLUTION

La pollution atmosphérique (gaz d’échappement, hydrocarbures, pesticides) accélère elle aussi le vieillissement cutané. En libérant des radicaux libres néfastes pour la peau, la pollution accélère le stress oxydatif et l’altération des cellules cutanées. La pollution impacte le système de défense immunitaire, réduit le taux d’hydratation, ralentit le processus de desquamation.

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COMMENT RALENTIR LES EFFETS DU VIEILLISSEMENT ?

S’il n’est pas possible de lutter contre les causes intrinsèques, il est tout à fait possible de limiter les risques de vieillissement dus aux facteurs extrinsèques.
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Mettre le cap sur la photo-protection

Protéger sa peau des rayonnements UV est le geste clé numéro un pour ralentir le vieillissement cutané. Les rayons UVA/UVB sont les facteurs les plus délétères pour la jeunesse de la peau. Les UVB dégradent la peau au niveau de l’épiderme, les UVA au niveau du derme. Pour faire barrière à ces rayonnements, il faut éviter la sur-exposition, mais la protection solaire est aussi indispensable. Les filtres solaires, selon le type, vont soit absorber les rayons soit les réfléchir. En été, pendant les séances de bronzage, la crème solaire est indispensable mais également au quotidien pour les personnes travaillant en extérieur, exposées au soleil (derrière une vitre de bureau, une fenêtre de voiture). L’indice de protection est à choisir en fonction de son phototype, de la zone d’ensoleillement, de la puissance de rayonnement solaire.
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Faire le plein d’anti-oxydants

Les radicaux libres jouent un rôle primordial dans l’accélération du vieillissement cutané. Faire le plein d’antioxydants, capables de les neutraliser, est un moyen de protéger la peau. Les antioxydants qui aident à contrer les signes de l’âge se trouvent dans l’alimentation et les cosmétiques. Parmi les principaux antioxydants naturels présents dans l’alimentation, on retrouve les flavonoïdes, les caroténoïdes, les vitamines A, B, C et E, le sélénium, les polyphénols. Pour faire le plein d’antioxydants, il faut mettre au menu les fruits et légumes, le thé vert, les poissons gras, les épices…

JE PERDS MES CHEVEUX,QUELLES SONT LES SOLUTIONS?Il est normal de perdre jusqu’à une centaine de cheveux par jour. Au-del...
01/12/2021

JE PERDS MES CHEVEUX,QUELLES SONT LES SOLUTIONS?

Il est normal de perdre jusqu’à une centaine de cheveux par jour. Au-delà, il faut en rechercher la cause, laquelle indiquera les solutions et les éventuels traitements à entreprendre. Le point sur les causes de la perte de cheveux et un petit tour d’horizon des alternatives thérapeutiques.

Mais pourquoi perd-on ses cheveux ?

Perdre de 50 jusqu’à une centaine de cheveux par jour n’est pas inquiétant. C’est un phénomène normal, en raison du processus de renouvellement permanent des cheveux. Ainsi, quand certains cheveux naissent, d’autres meurent et tombent. En revanche, il arrive que la chute des cheveux s’accentue. Si certaines raisons sont communes aux deux sexes, d’autres sont plus spécifiquement féminines ou masculines.

La chute de cheveux typiquement masculine

La perte de cheveux la plus classique chez les hommes est hormonale. C’est la calvitie ou alopécie androgénétique. Les hormones mâles tendent à accentuer le cycle du cheveu. Résultat, ils tombent davantage et plus rapidement, jusqu’à épuisement des follicules pileux. l'hormone dihydrotestosterone cause la calvitie dans sa forme la plus courante. Elle joue aussi son rôle dans l'alopécie des femmes. En effet, «le stress fabrique des hormones masculines». Il accentue la sensibilité aux hormones et augmente la séborrhée. Les racines, obstruées par un excès de sébum, n'assument plus leur rôle. Un stress plus sévère, après un choc ou un traumatisme, peut causer une pelade, c'est-à-dire la perte des cheveux par plaques.

La perte de cheveux au féminin

Chez les femmes, ce sont typiquement les événements de la vie qui peuvent entraîner une perte de cheveux. Notamment lors de la grossesse et de la ménopause, où, là aussi, des changements hormonaux surviennent. Mais des périodes de grande fatigue ou de stress sont aussi des causes fréquentes de perte de cheveux chez les femmes, sans oublier le tabac !

Les raisons mixtes

La chute des cheveux peut être liée à certaines maladies et à la prise de certains médicaments. Les accidents ou traumatismes, comme les cicatrices d’acné, sont parfois responsables. Il faut aussi penser à regarder du côté de son assiette. En effet une alimentation déséquilibrée peut aussi provoquer la chute des cheveux.

La perte des cheveux peut être partielle ou totale. Les principales causes de perte des cheveux sont :
L'hérédité (alopécie androgénétique) ;
les hormones(baisse des hormones femelles ou hausse des hormones mâles) ;
le stress;
la chimiothérapie ;
l'accouchement;
le changement de saison ;

la pelade (Cette affection dermatologique, caractérisée par une chute de cheveux par plaques, est déstabilisante. Particulièrement difficile à vivre pour les femmes, elle entraîne souvent une baisse d’estime de soi.);

certains traitements médicamenteux ;
les carences alimentaires.

PEUT-ON PRÉVENIR LA PERTE DES CHEVEUX ?

Il est difficile de prévenir la perte des cheveux, surtout si elle n'est pas héréditaire. Cependant, en cas de perte anormale de cheveux, ou si un parent est sujet à l'alopécie, quelques gestes du quotidien peuvent ralentir la perte des cheveux. Pour prévenir la perte des cheveux, il est conseillé de :

limiter les teintures capillaires, les gels et laques, les shampooings secs ;
utiliser un shampooing doux ;
masser le cuir chevelu ;
adopter une alimentation riche en fer, en cuivre, en silicium, en acides gras, en zinc et en vitamine B.

Quels sont les facteurs de risque de la perte des cheveux ?

Certaines personnes ont plus de risques que d'autres de perdre leurs cheveux et les causes ne sont pas forcément liées à une maladie. Les traitements médicamenteux contre l'arthrite, la goutte ou l'hypertension artérielle accroissent les risques de perte de cheveux, tout comme la prise de testostérone pour les sportifs. Les carences alimentaires qui favorisent la perte des cheveux sont celles en fer et en protéines. Il faut éviter les coiffures trop tirées, comme la queue-de-cheval ou le chignon, qui augmentent les risques de perte de cheveux. La chaleur n'est pas bonne non plus pour les cheveux, il faut donc limiter les brushings ou les séchages à chaud.

Quels sont les traitements contre la perte de cheveux ?

Les traitements contre la perte de cheveux varient selon la cause. Si elle est liée à un accouchement, à de la fatigue ou au changement de saison, une supplémentation en zinc et en vitamine B est une solution. Pour la pelade, on prescrit généralement une corticothérapie. Pour les cas les plus sévères ou avancés, la greffe de cheveux est envisageable.

LES SOLUTIONS DISPONIBLES CONTRE LA CHUTE DES CHEVEUX

Les compléments alimentaires:

Comme toutes cellules de l’organisme, nos cheveux ont besoin de nutriments. Il existe toutes sortes de compléments alimentaires sur le marché. Globalement, retenons que les cheveux ont surtout besoin d’acides aminés soufrés et de vitamines : B5, B6 et PP. En l’absence d’amélioration au bout de trois à quatre mois, inutile de poursuivre cette piste du complément alimentaire.

LES MÉDICAMENTS:

Le Minoxidil : se présentant sous la forme d’une solution à appliquer sur le cuir chevelu, le Minoxidil agit en favorisant la dilatation des vaisseaux locaux, améliorant ainsi l’apport nutritif.

Le finastéride : à destination des hommes uniquement, le finastéride est un médicament qui contrecarre l’action des hormones mâles au niveau du cuir chevelu.

LES BONS GESTES DU QUOTIDIEN CONTRE LA CHUTE DES CHEVEUX

La beauté de vos cheveux réside dans le soin que vous leur apportez au quotidien. Pour éviter de voir chuter vos cheveux, soignez-les surtout en période hivernale, où ils sont plus sensibles aux agressions extérieures. Évitez les coiffures trop serrées (les tresses, les queues de cheval ou les chignons) et les produits décapants qui les assèchent.

AUTRES OPTIONS:

les traitements naturels contre la chute de cheveux, comme la levure de bière. Un apport en magnésium peut aussi être bénéfique. Misez sur le chocolat, les noix, les céréales complètes et les légumes secs. Pour favoriser la repousse des cheveux, les huiles essentielles sont bonnes, comme l'huile essentielle de cèdre. Et pour dynamiser le cuir chevelu, l'ortie infusée et frictionnée sur le crâne est parfaite. Si la chute des cheveux est due à la ménopause, la sauge peut être d'un grand secours.

AUTRES OPTIONS ALTERNATIVES:

Les formules les plus répandues sont de l'ordre de la cosmétique, elles sont pratiques et facile d'utilisation ; la preuve avec deux produits anti-chute.

Tout d'abord intéressons-nous à Creastim de Ducray . Il réactive la croissance capillaire en agissant à trois niveaux : en premier lieu il inhibe la protéine responsable de la chute, puis active la repousse grâce à un apport de créatine et, enfin, délivre un cocktail de vitamines béton.

On booste les facteurs de croissance, et du coup la structure du cheveu­ dont l'indispensable kératine est plus solide. Dix pulvérisations réparties sur l'ensemble de la chevelure, trois fois par semaine, matin ou soir (après un shampoing, attendre deux heures pour que la formule ait le temps de pénétrer).

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2 Rue Benomari
Oran
31000

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