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Prévenir les maladies hivernales : gestes barrières, vigilance … et retour du Covid-19Quand l’automne s’installe, les vi...
21/10/2025

Prévenir les maladies hivernales : gestes barrières, vigilance … et retour du Covid-19
Quand l’automne s’installe, les virus respiratoires reprennent du service : grippe, VRS, rhinovirus… mais aujourd’hui, le Covid-19 fait lui aussi son retour dans un contexte où l’immunité collective s’est affaiblie.
Dans ce contexte, les gestes barrières ne sont pas obsolètes : ils restent nos meilleurs boucliers pour limiter la circulation virale.
Voici pourquoi, et comment les remettre à l’honneur cet hiver.
Le retour du Covid-19 : état des lieux
Depuis la fin de l’été 2025, plusieurs indicateurs montrent une reprise de la circulation du Covid.
Un nouveau variant, le XFG (ou “Frankenstein” dans les médias), est désormais majoritaire, représentant plus de 80 % des infections détectées.
Les passages aux urgences pour suspicion Covid augmentent, notamment parmi les plus de 75 ans (+24 % selon les bilans récents).
La campagne vaccinale automne-hiver a débuté le 14 octobre, ciblant prioritairement les personnes vulnérables, les plus âgées et les professionnels de santé.
Ce retour modéré ne doit pas susciter la panique, mais la vigilance active.
Pourquoi les gestes barrières restent essentiels
Même si nombre de personnes ont une immunité acquise (infection passée ou vaccinale), cette immunité tend à décliner avec le temps. En outre, les variants comme XFG peuvent partiellement échapper à cette protection.
Les gestes barrières, appliqués de façon collective, réduisent la charge virale dans l’environnement, limitent les contaminations croisées et protègent les plus fragiles (personnes âgées, immunodéprimées, maladies chroniques).
Les gestes barrières à (ré)adopter
Voici les mesures clés à remettre en pratique cet hiver :
Lavage des mains fréquent
Se laver les mains avec de l’eau et du savon pendant au moins 30 secondes, ou utiliser une solution hydro-alcoolique si l’eau n’est pas disponible.
Couvrir la bouche/nez quand on tousse ou éternue
Utiliser le pli du coude ou un mouchoir à usage unique. Jeter le mouchoir immédiatement après usage.
Mouchoirs à usage unique
Ne jamais réutiliser un mouchoir. Le jeter dans une poubelle fermée.
Porter un masque en cas de symptômes ou en contact avec des personnes fragiles.
Même s’il n’est plus obligatoire partout, il reste recommandé quand on a un rhume, une toux, ou lors de rassemblements dans un espace fermé.
Gestes complémentaires pour renforcer la protection
-1-Limiter les sorties non essentielles quand les virus circulent fortement.
-2-Restreindre les contacts directs et indirects : éviter de prêter objets, verres, couverts surtout en milieu clos.
-3-Aérer au minimum 10 minutes chaque jour, hiver comme été, pour renouveler l’air intérieur.
-4-Maintenir une température modérée dans les pièces, environ 19°C, pour éviter la déshydratation de l’air et la fragilisation de l’appareil respiratoire.
-5-Mettre à jour sa vaccination surtout si vous êtes une personne à risque.
Mythes et réalités
“Le Covid est fini, on n’a plus besoin des gestes barrières.” → Faux : le virus circule encore, et les gestes limitent les formes graves et les hospitalisations.
“Seuls les faibles tombent malades” → Faux : des personnes en apparence en bonne santé peuvent développer une forme sévère ou un Covid long.
“Le masque est inutile maintenant” → Faux : en cas de symptômes ou contact à haut risque, il reste fortement utile.
Lorsque l’ensemble de la population adopte les gestes barrières, on observe une réduction significative de la transmission virale, ce qui limite la pression sur les hôpitaux : le port du masque, le lavage des mains universel et l’aération collective font baisser le taux de reproduction des virus de manière significative.
Les pathologies hivernales reviennent mais nous ne sommes pas démunis.
Avec des gestes simples, réguliers et collectifs, nous pouvons :
Protéger les plus fragiles autour de nous
Réduire la circulation virale
Préserver notre système hospitalier
Limiter les formes sévères et les séquelles

Octobre Rose : l’auto-palpation pour dépister le cancer du seinChaque année, le mois d’octobre est dédié à la lutte cont...
09/10/2025

Octobre Rose : l’auto-palpation pour dépister le cancer du sein
Chaque année, le mois d’octobre est dédié à la lutte contre le cancer du sein. C’est le cancer le plus fréquent chez la femme : 1 femme sur 8 y sera confrontée au cours de sa vie. Pourtant, détecté tôt, il peut être guéri dans 9 cas sur 10.
La prévention et le dépistage sont nos meilleurs alliés.
Quelques chiffres clés en France
Plus de 61 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année.
Environ 12 000 décès annuels.
Le dépistage organisé (mammographie tous les 2 ans entre 50 et 74 ans) permet d’éviter des milliers de décès chaque année.
Pourquoi le dépistage est-il vital ?
Le cancer du sein évolue souvent de manière silencieuse au début. Détecter la tumeur à un stade précoce permet :
-1-Des traitements plus légers.
-2-Des chances de guérison bien plus élevées.
-3-Une qualité de vie mieux préservée.
C’est pourquoi la mammographie reste l’examen de référence.
L’importance de l’auto-palpation
En complément du dépistage médical, chaque femme peut apprendre à mieux connaître sa poitrine. C’est tout le sens de la campagne “Know your lemons” : reconnaître les signes d’alerte grâce à une métaphore simple et visuelle.
Les gestes de l’auto-examen
-1-Se placer devant un miroir, observer la forme et l’aspect des seins.
-2-Palper chaque sein avec la pulpe des doigts, en cercles concentriques, du mamelon vers l’extérieur.
-3-Ne pas oublier la région sous les aisselles.
Signes qui doivent alerter
-Une boule ou un épaississement dans le sein ou sous l’aisselle.
-Une modification de la taille ou de la forme d’un sein.
-Une rétraction du mamelon.
-Une rougeur, un aspect “peau d’orange”.
-Un écoulement anormal au niveau du mamelon.
-Douleurs inhabituelles persistantes.
Ces signes ne signifient pas forcément un cancer, mais ils justifient une consultation médicale sans attendre.
Stop aux idées reçues
“Je n’ai pas d’antécédents familiaux, donc je ne risque rien” → Faux. 80 % des cancers du sein surviennent sans antécédent familial.
“Une mammographie fait mal et irradie beaucoup” → Faux. L’examen est rapide, la dose d’irradiation est faible et maîtrisée.
“Je suis trop jeune, cela ne me concerne pas” → Faux. Même si le dépistage organisé commence à 50 ans, l’auto-surveillance est utile dès 20 ans.
Certaines habitudes de vie réduisent le risque de cancer du sein :
-Activité physique régulière (au moins 30 minutes/jour).
-Alimentation équilibrée (moins d’alcool, plus de fruits et légumes).
-Pas de tabac.
-Maintien d’un poids santé.
-Surveillance médicale régulière (mammographies selon l’âge et le profil de risque).
Aujourd’hui, grâce aux campagnes comme Octobre Rose et aux initiatives pédagogiques, l’information circule mieux et le tabou recule. Chaque femme peut devenir actrice de sa santé, apprendre à connaître son corps, et agir pour détecter tôt.
Le dépistage précoce sauve des vies. Parlez-en, partagez, sensibilisez vos proches : un geste simple peut tout changer.

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02/10/2025

👞👢Animation Chaussures 🥾👟
Collection Automne-Hiver 2025-2026
le Vendredi 31 Octobre 2025 de 10h30 à 12h.
Venez nombreux découvrir la nouvelle collection.

La Bronchiolite du nourrisson : mieux comprendre pour mieux prévenirChaque automne et chaque hiver, les services pédiatr...
29/09/2025

La Bronchiolite du nourrisson : mieux comprendre pour mieux prévenir
Chaque automne et chaque hiver, les services pédiatriques voient revenir les mêmes symptômes : petits nez encombrés, toux sèche, respiration sifflante.
La bronchiolite, due le plus souvent au virus respiratoire syncytial (VRS), touche environ 30 % des enfants de moins de deux ans chaque année.
C’est une affection bénigne dans la majorité des cas, mais elle reste impressionnante pour les parents, et parfois grave chez les plus jeunes nourrissons.
Comment se manifeste la bronchiolite ?
La maladie commence comme un simple rhume :
Nez qui coule
Fièvre légère
Toux sèche qui peut devenir grasse
Puis les symptômes évoluent vers :
Une gêne respiratoire avec respiration rapide et sifflante
Des difficultés d’alimentation (bébé s’arrête de téter, boit moins)
La guérison prend généralement 2 à 3 semaines. Il n’existe pas de traitement spécifique : on soulage, on surveille, et on laisse l’infection virale suivre son cours.
Quand s’inquiéter ?
La plupart des cas évoluent favorablement. Cependant, une vigilance accrue est nécessaire :
Chez les bébés de moins de 3 mois
Chez les nourrissons fragiles (prématurés, atteints de cardiopathie ou d’une maladie pulmonaire chronique)
Dans 2 à 3 % des cas, l’hospitalisation est nécessaire (oxygénation, hydratation).
Les signes d’alerte : respiration très rapide, pauses respiratoires, refus de s’alimenter, grande fatigue, lèvres ou peau qui deviennent bleues.
Idées reçues à corriger
“Un bébé enrhumé doit aller aux urgences” → FAUX : la consultation du médecin traitant ou du pédiatre suffit dans la majorité des cas.
“La toux doit être stoppée par un sirop” → FAUX : la toux aide à dégager les bronches, il faut l’accepter.
“Il faut surchauffer la chambre” → FAUX : la température idéale est 19 °C.
Les gestes barrières indispensables
Comme pour la grippe ou la COVID-19, des gestes simples limitent la transmission :
Se laver les mains régulièrement
Se couvrir le nez et la bouche en cas de toux/éternuement
Utiliser des mouchoirs à usage unique
Porter un masque si l’on est malade, surtout au contact d’un bébé
En complément :
Limiter les visites et contacts directs avec le nourrisson
Limiter les sorties inutiles
Aérer la maison 10 minutes par jour, même en hiver
Maintenir la température intérieure à 19 °C
Le rôle des professionnels de santé :
Le médecin traitant est le premier recours.
Le pharmacien peut conseiller sur l’hygiène nasale, les solutions de lavage de nez et les gestes à adopter.
Les urgences ne sont à envisager qu’en cas de signes de gravité.
La bronchiolite impressionne par les symptômes, mais elle reste bénigne dans la grande majorité des cas.

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