23/08/2025
Amis lectrices et lecteurs, nous y sommes arrivés.
Il s’avère, avoir compris que Celui en moi va pendant quelque temps prendre silence ou me demander de prendre silence.
Je ne sais pas.
C’est donc comme prévu la fin du Message qui eut commencé début Avril jusqu’à maintenant presque fin Aout.
Je sais bien que mes partages sont tout à atypiques, et que vous n’ayez jamais connu choses pareilles durant 5 mois; je pourrais même dire de tout ce que je vous ai partagé jusqu’ici sur l'ensemble de cette page.
C’est donc Grâces pour vous, que vous soyez par de multiples lectures et méditations élevées, par le seul fait d’avoir nourri l’âme qui vous a menée et déposée à votre psyché, si en bon efforts et disciplines vous approchez de ce qui est dit à mots ouverts pour entendre de ce qui est dit à mots couverts.
A bientôt.
10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison
4eme partie
Mon fils, toutes choses sont en équilibre au ciel comme sur terre, mais le Ciel a pour lui la Volonté. Notre volonté maintient partout un parfait ordre, et cet ordre apporte avec lui, l’autorité, la concorde et l’harmonie.
les cieux qui suivent l’équilibre menant à ce que chacun en eux au retour de l’ordre.
Force et soutien se trouvent dans les cieux, où chacun ayant été élevé cherche l’équilibre et l’équilibre amène la ressemblance.
C’est pourquoi il y a tant d’ordre, d’équilibre et de ressemblance chez les trois axes divins. Aucun chef dans dedans du monde ne pourra jamais s’élever.
Grand influenceur et animateur, dirigeant et meneur, à quelles têtes tiennent-ils, si ce n’est à l’une des têtes de la bête ?
Ils voudraient être des montagnes, et ils le sont, mais ne savent-ils pas qu’en toute haute montagne il n’est que froid ou aridité, et au contraire que c’est en de petites collines ou la vie profite aux créatures ? Ne néglige donc pas d’être petit, car Dieu est Grand dans le petit.
Lisons et méditons cœur uni ; puis revenons sur les versets, et de ce qui fut versé en toute pensée, de sonnets et de prophéties.
Interrogeons-nous de ce qui peut être étudié des Messages de l’Amour. Je veux venir te réconforter dans la Vérité.
Sois attentif !
Si chacun dit appartenir à ou de qui, de ce qu’il veut, en disant ; « moi j’appartiens aux Saints », ou bien « moi j’appartiens aux apôtres », ou bien « moi, j’appartiens au Christ, ou bien » moi j’appartiens aux penseurs », ou bien « aux sages », « aux scribes », « aux raisonneurs, » ou à Erope, ou à Aarṓn, Abercius, Sophocle, Shéphana ; c’est alors qu’il vaudrait mieux pour eux de n’avoir appartenus à rien du tout. Je m’explique : L’oint, est-il divisé ?
Alors que certains réclament des signes prodigieux, d’autre recherchent une miraculeuse sagesse, parmi eux, il n’y en a pas beaucoup d’entre eux à leurs yeux, ni de gens puissants ou de hautes naissances, ni prophètes, ni saints, ni élus. L’amour n’est pas aimé.
Quant c’est à l’Éternel qu’il faut se tourner, ils choisissent de désirer prophétie éternelle !
Mais est-ce la prophétie qui est éternelle ou bien l’amour de vérité qui l’est ?
Où se situe le plus grand intérêt, dans le savoir qui ne passera jamais ou bien dans la connaissance qui, un jour, sera dépassée ?
Toutes prophéties et tous prodiges perçurent comme miraculeux sont connaissances, de ce qui est avoué et pardonné, de ce qui est attendu, cru et reconnu, de ce qui fussent désolés puis satisfaits. Mais quelle est dont l’intérêt de se reposer en tout ceci s’il manque foi en l’Esprit et véhémence en Sa Puissance ?
Aucuns de ceux qui dirigent le monde, ni qui a la haute main devant quelques spécimens, n’a pouvoir de comprendre l’Esprit éternel du Père ainsi que de Dieu, en toute vérité, car l’Esprit scrute le fond de toutes choses et des mystérieuses profondeurs divines ; que parmi les Hommes, seul l’Esprit à l’Homme Sait de ce qu’il y a en Lui, et de ceci : ne sais-tu donc pas que l’ambition de ce qui passe est de conduire à ce qui ne passera pas, or L’Homme, pas même créature, par ses seules capacités, n’accueille pas ce qui vient de l’Esprit et de Dieu, puisque s’il en été le cas il ne souhaiterait ni commander ni dominer, seulement s’effacer ?
Les prophéties sont des fenêtres tantôt maculées tantôt lavées, de ce qui est vue en don de l’Esprit d’amour comme Protecteur et Ajusteur, égale à l’écorce et la sève, qui veut aider la créature sur l’endurcissement de son cœur et lui révéler les erreurs de ses désirs qui lui provoquent meurtrissures et tourments ; qui égale à un arbre ne tarde pas à casser et perdre toutes ses branches sous le Souffle, si ce faisant indocile et solide face à Lui et tout dresser contre Lui.
Ais pour pensée à moi-même, qui eut suivi la Volonté à me rendre pur d’après la pureté qui m’élever.
Je fus si tourmenté et meurtri en ce qui concerne mes souffrances intérieures, qu’il n’y avait aucun espoir qu’elles puissent être enlevées. De ma divine volonté, elles n’en étaient pas nées de Mon Père, et elles étaient si grandes, qu’en toute Sa miséricorde, Il eut volonté de m’en soulager. Je me devais de les traverser et de me guérir !
Il est réel que les souffrances physiques de ma passion furent le témoin de mes souffrances intérieures, et qu’elles m’eurent donné brièvement, mais succinctement du soulagement. C’était du Père, qui selon Sa volonté, m’offrait l’occasion de me donner à respirer, de ce qui m’envahisser, désespérer et étouffer intérieurement du monde entier, des gens et des manières et des coutumes et des croyances obscures, des entités, des morts-vivants et des morts errants, des multitudes spirituelles et naturelles qui s’aller en un tel égarement, par une telle aliénation, suspendues à une telle fureur et chutant en un tel déséquilibre, que j’en souffrais colossalement, quotidiennement, ne sachant comment les sauvé de la folie et de la sottise ; le cœur tout déchirer par compassion, et l’âme empathique se chargeaient du poids des chagrins de toutes autres âmes peuplant ma Réalité, qui n’était point un limité de la fausse interprétation du temps, mais révélée à la vérité.
Mon sanglot et mes spasmes m’eurent donné des instants diminutifs à ma souffrance, car ils furent des chocs soudains où j’oublier les causes de ma souffrance fondamentale.
En l’âme que Père m’a créé, en Son amour qui déborde pour le Salut des âmes, je devais tout unifier, tout porter, tout élever dans la Lumière. C’est Père qui l’eut fait, ce Christ dont vous m’avez identifié, le Très Saint qui m'a oint.
Il était en moi et j’étais en Lui, de même que toi.
Père est tout.
Par l’unité d’une seule nature, je t’ai fait connaitre la révélation, afin que par l’intelligence créée tu t’en sentes en harmonie.
Toutes les choses créées sont en harmonie. L’une agit comme soutien, force et volonté de l’autre.
Si une seule chose créée négligeait de se maintenir dans cette harmonie, alors tout errerait et seraient sur la voie de l’abandon et de l’annihilation.
Seulement l’être s’est séparé de l’équilibre de notre volonté.
O comme il ère, de sa position élever il est tombé dans l’abîme.
Même après ma rédemption, la famille humaine n’est pas revenue à son état naturel qui doit quant à lui les orienter à leur état originel.
C’est dans son état naturel que l’être peut exister, et c’est en raison de son existence qu’il suit la volonté qui la créer, lui souhaitant de vivre avec l’équilibre. La pire chose qui puisse arriver est de se retirer de l’équilibre de notre volonté.
Notre volonté aime les pas de l’âme qui n’a pour vœux que suivre notre volonté. C’est pourquoi, si soigneux de l’âme et de ses vœux, est sauvé qui l’a écouté.
Aucune âme ne peut être contre son vœu, adonc aucune créature ne devrait être hors de la volonté.
C’est la raison pour laquelle je suis si exigeant et ferme, puisque se retirer de l’équilibre de notre volonté équivaut à se jeter soi-même dans le chaos et le désordre, dans l’océan de toutes misères.
C’est de l’incohérence des faits que le malheur peut arriver et c’est du divorce avec notre volonté que toutes infirmités peuvent arriver. Il suffit d’être en action de grâce pour recevoir du bonheur et d’être en notre volonté pour retrouver la pleine capacité.
C’est de l’amour qu’adviennent les souffrances.
Vivant intensément les sentiments, les émotions et tous les hauts degrés de vigilances, tout état d’être s’homogénéise dans la membrane de tous les états d’âme, qui eux-mêmes se fond en l’état d’esprit, s’appelant à la Conscience du Père, du Christ, d’être toute la réalité et de partagée tout ce qui est pour toutes les créatures en toute la Création. Ne t’ai-je pas dit que de ta volonté dépend le monde entier, et que c’est l’épanchement de l’âme qui forme la réalité du monde que tu fais ?
De Celui que tu as fais en toi même.