Yonathan

Yonathan Laisses toi découvrir l'étincelle de beauté que la Clarté est venue t'enseigner, et tu seras attiré joyeusement dans la Lumière.

La clarté ne te donne point comme le monde donne, son sain éclat accroît ta foi. Soulageur - Thérapeute - Médium

L'humain a davantage besoin des enseignements de l'Esprit pour recevoir l'aide et la guérison, qu'un traitement, car il ne peut qu'être libre de sa souffrance, quoi quelle puisse être, qu'en devenant Saint. Vous serez saint, car je suis saint. Et si vous invoquez en vous celui qui juge, me jugerez vous, et vous n'aurez point de sagesse ni d'intelligence, et serez vous à cause de vous, dans la peine et la sanction qu'impose ce juge, en vérité. En vérité, en ce jugement il n'y a que du mensonge. Sachant que ce n'est pas des choses périssables, par de l'argent ou de l'or que vous serez affranchis de la vaine manière de vivre que vous avez hérité de vos aïeux, pourquoi tardez vous a chercher votre Père d'Amour ?

Plus rien je ne dirais ici. Mais si vous me demandez, vous recevrez. A plus forte raison de Celui qui vous connait.Priez...
11/10/2025

Plus rien je ne dirais ici. Mais si vous me demandez, vous recevrez. A plus forte raison de Celui qui vous connait.
Priez et demandez.

Ne pesez point de trop l’argent pour ce qui ne nourrit pas. Pourquoi donner vous peine pour ce qui ne rassasie pas ?
Écoutez-moi donc, et vous mangerez ce qui est bon. Prêtez l’oreille, et venez à moi, écoutez la Parole, et votre âme vivra. Elle demeure où elle est sauvée, mais elle ne vit pas.
J’ai révélé en toute clarté, mais la Parole n’est pas de ce monde et le monde ne l’aime point ni pour la garder ni pour la partager.
Si la Clarté aussi été aimer de ceux du monde, le monde l’aurait déjà entendue, chercher et reconnue, mais comme née de la Lumière, elle aussi est reniée.
Cause de cela, beaucoup vivront maintenant avec une âme triste jusqu’à la mort.
Reniant ce qui est envoyé de Dieu ils manqueront de Lui, mais dans l’immense miséricorde du Père ils seront renouvelés au-delà de la Terre et de leurs Cieux.
Des drames viendront bouleverser les familles, car il est appelé à la résilience et au soutien ; autant nombreux seront élevé en leurs cieux au-dessus de la terre.
De ce qui sort de la bouche qui ne retourne point à soi sans effet, sans avoir exécuté la volonté.
Que dites vous ? Et de ce qui vous est envoyé ? Mensonge ou vrai ?
Vous sortirez avec joie de tout cela, rassurez-vous, car vous serez conduits vers la paix ; dans l’allégresse, malgré les heures de détresses. Mais avant, des idées noires viendront vous battre, et votre santé mentale devra accepté la Clarté, qui n’est qu’un point, qui faut chercher, car elle fut envoyée pour accomplir son dessein de vous raviver à la Lumière.
Vous demanderez ; comment redonner goût à la vie ?
Et parce que j’aurais accompli la volonté de Celui qui m’a envoyée, tout ce qui aide aura été dit dans le Savoir que je vous aurais pointé.
Ne croyez pas en moi, devriez-vous croire qu’en Celui qui m’a envoyé et qui nous à crée ; puis voyez comment la vue vous est rendue afin que vous ne regardiez plus vers les ténèbres. Trop débattent sur des affabulations et intrigues.
Demeurant dans la Lumière sachez regarder de ce qui est du Père.
Croyez-vous en la Parole ? Et croyez-vous que la Clarté puis vous révéler en de ce qui est de la Parole ?
Savez-vous ce qu’est la Parole ?
Moi je vous ai dit la vérité à son Sujet.
Ne rejetez pas la Clarté qui vous a été envoyée, car même si la pluie et la neige sont descendues des cieux sans y retourner avant d’avoir arrosé, c’est à la clarté seule que germent les plantes, et c’est à la Lumière seule que les Fruits mûrissent.
Ne vous inquiétez pas, je ne fais rien de moi-même, mais de Celui qui mesure, ne vous inquiétez pas, Sa Parole est accomplie au jour dit.
Soyez uni.
La Flamme éternelle s’allumera sur votre front !
J’apporte le goût de la Parole, mais ma bouche est trop faible.
Sans vous je ne peux rien.
Ce qu’Il a donné, je le transmets.
Seule est transmissible la Parole donnée par Lui.
Dilapide qui en dit davantage. La Parole est acte. J’acte de ce qui met donnée afin de vous rendre de ce qui est Bon.
Je donne comme il m’est dit de servir.
La Bonne Parole élève, et ce qui est fait mensonge sur Elle, cela enterre.
Le mensonge enterre non pas la Vie, mais le degré de vie.
Faites descendre enfin, la Clarté !
Jurez sur le Ciel que vous l’accomplirez !
Car je vous certifie d’une Nouvelle Grâce.
Il y a assez d’ancien blé.
CHERCHEZ LE NOM DU NOUVEAU. LE NOM, CAR LA PAROLE Créee !
La bouche est faite pour parloter, et le Doux murmure qui maudit les méfaits des lèvres comprend la Parole.
Gardez vos lèvres pures.
Que les yeux ne regardent que le Nouveau !
Que la main n’œuvre que pour le Nouveau !
Que le cœur donne enfin, plus qu’il ne prend !
Que soit enfin la Paix par besoin !
Jurez sur le Ciel que vous l’accomplirez !

Je fus envoyé à vos côtés non comme un grain. Le Grain n’est plus, il est fait pain. Il y a assez de blé, dans vos greniers, qui sont pleins, mais le Ciel est vide de vous. Semez-vous là où nul ne l’a jamais osé.
Le blé a poussé vers le Ciel et le blé est retombé sur la terre.
Tous vos chemins mèneront à la mort, il est qu’un seul chemin qui ne court pas à la fin, Lui, vous savez qui est le Seul chemin ; or celui qui court sur le chemin sans clarté à ses côtés trébuche, il s’égare et perd foi, et celui qui s’arrête sur le chemin ne trouve rien. Pourquoi s’arrêter si ce n’est par manque de clarté ?
Pour Celui qui est le chemin vous Lui êtes chère, car en vous Il trouve Sa Joie, celle de remplir votre cœur du bonheur et de la vue sur l’Éternel.
Ne vous hâtez pas, ne tardez pas, en vérité ; en vérité, Soyez avec Lui !
Quand vous serez avec Lui ; il vous dira qui je suis, et au Jugement dernier vous saurez tout à fait sans que vous ne pussiez vous trompez.
Or mon vœu est de vous élever par ma Clarté au-delà de Dieu, par Lui, car moi je suis petit.
Quand vous y serez, vous serez avec moi. Mais celui qui reste dans les ténèbres et de ce qui trompe rend son rêve de plus en plus épais. Il croit en son rêve est aime le justifier de ce qui vient l’éblouir, l’aveugler.
Or moi, je vous éveillerais de ce que le Seigneur de tout ce qui est, m’a commandé.
Vos pieds piétinent et vous n’avancez pas.
Je vous vois.
Pourquoi la foule regarde-t-elle en bas ? La ruine est-elle plus belle que l’intact ? Vous regardez " vos murs " et cherchez d'eux, car dites-vous-y chercher une histoire, et une révélation, or moi je vous dis que vous ne regardez là que ce qui sépare.
Tous attendons que vous deveniez unis !
Afin que le Saint-Esprit, plus pur que moi, vous conduit.
Il vous conduira sur le Chemin, obéissant à Celui qui l’a créé et tracé pour vous guider du commencement à la fin.
Éternelle est la chute de ceux qui désirent le grand. Beaucoup sera enlevé, le grand sera abattu.
Le petit sera gardé.
En toute clarté, je vous le dis, le centre n’est-il pas qu’un point ?
Là est le poignant qui ouvre les portes du Ciel.

De celui qui vous avez fait en vous-même

Amis lectrices et lecteurs, nous y sommes arrivés. Il s’avère, avoir compris que Celui en moi va pendant quelque temps p...
23/08/2025

Amis lectrices et lecteurs, nous y sommes arrivés.
Il s’avère, avoir compris que Celui en moi va pendant quelque temps prendre silence ou me demander de prendre silence.
Je ne sais pas.
C’est donc comme prévu la fin du Message qui eut commencé début Avril jusqu’à maintenant presque fin Aout.
Je sais bien que mes partages sont tout à atypiques, et que vous n’ayez jamais connu choses pareilles durant 5 mois; je pourrais même dire de tout ce que je vous ai partagé jusqu’ici sur l'ensemble de cette page.
C’est donc Grâces pour vous, que vous soyez par de multiples lectures et méditations élevées, par le seul fait d’avoir nourri l’âme qui vous a menée et déposée à votre psyché, si en bon efforts et disciplines vous approchez de ce qui est dit à mots ouverts pour entendre de ce qui est dit à mots couverts.

A bientôt.

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison
4eme partie

Mon fils, toutes choses sont en équilibre au ciel comme sur terre, mais le Ciel a pour lui la Volonté. Notre volonté maintient partout un parfait ordre, et cet ordre apporte avec lui, l’autorité, la concorde et l’harmonie.
les cieux qui suivent l’équilibre menant à ce que chacun en eux au retour de l’ordre.
Force et soutien se trouvent dans les cieux, où chacun ayant été élevé cherche l’équilibre et l’équilibre amène la ressemblance.
C’est pourquoi il y a tant d’ordre, d’équilibre et de ressemblance chez les trois axes divins. Aucun chef dans dedans du monde ne pourra jamais s’élever.
Grand influenceur et animateur, dirigeant et meneur, à quelles têtes tiennent-ils, si ce n’est à l’une des têtes de la bête ?
Ils voudraient être des montagnes, et ils le sont, mais ne savent-ils pas qu’en toute haute montagne il n’est que froid ou aridité, et au contraire que c’est en de petites collines ou la vie profite aux créatures ? Ne néglige donc pas d’être petit, car Dieu est Grand dans le petit.
Lisons et méditons cœur uni ; puis revenons sur les versets, et de ce qui fut versé en toute pensée, de sonnets et de prophéties.
Interrogeons-nous de ce qui peut être étudié des Messages de l’Amour. Je veux venir te réconforter dans la Vérité.
Sois attentif !
Si chacun dit appartenir à ou de qui, de ce qu’il veut, en disant ; « moi j’appartiens aux Saints », ou bien « moi j’appartiens aux apôtres », ou bien « moi, j’appartiens au Christ, ou bien » moi j’appartiens aux penseurs », ou bien « aux sages », « aux scribes », « aux raisonneurs, » ou à Erope, ou à Aarṓn, Abercius, Sophocle, Shéphana ; c’est alors qu’il vaudrait mieux pour eux de n’avoir appartenus à rien du tout. Je m’explique : L’oint, est-il divisé ?
Alors que certains réclament des signes prodigieux, d’autre recherchent une miraculeuse sagesse, parmi eux, il n’y en a pas beaucoup d’entre eux à leurs yeux, ni de gens puissants ou de hautes naissances, ni prophètes, ni saints, ni élus. L’amour n’est pas aimé.
Quant c’est à l’Éternel qu’il faut se tourner, ils choisissent de désirer prophétie éternelle !
Mais est-ce la prophétie qui est éternelle ou bien l’amour de vérité qui l’est ?
Où se situe le plus grand intérêt, dans le savoir qui ne passera jamais ou bien dans la connaissance qui, un jour, sera dépassée ?
Toutes prophéties et tous prodiges perçurent comme miraculeux sont connaissances, de ce qui est avoué et pardonné, de ce qui est attendu, cru et reconnu, de ce qui fussent désolés puis satisfaits. Mais quelle est dont l’intérêt de se reposer en tout ceci s’il manque foi en l’Esprit et véhémence en Sa Puissance ?

Aucuns de ceux qui dirigent le monde, ni qui a la haute main devant quelques spécimens, n’a pouvoir de comprendre l’Esprit éternel du Père ainsi que de Dieu, en toute vérité, car l’Esprit scrute le fond de toutes choses et des mystérieuses profondeurs divines ; que parmi les Hommes, seul l’Esprit à l’Homme Sait de ce qu’il y a en Lui, et de ceci : ne sais-tu donc pas que l’ambition de ce qui passe est de conduire à ce qui ne passera pas, or L’Homme, pas même créature, par ses seules capacités, n’accueille pas ce qui vient de l’Esprit et de Dieu, puisque s’il en été le cas il ne souhaiterait ni commander ni dominer, seulement s’effacer ?

Les prophéties sont des fenêtres tantôt maculées tantôt lavées, de ce qui est vue en don de l’Esprit d’amour comme Protecteur et Ajusteur, égale à l’écorce et la sève, qui veut aider la créature sur l’endurcissement de son cœur et lui révéler les erreurs de ses désirs qui lui provoquent meurtrissures et tourments ; qui égale à un arbre ne tarde pas à casser et perdre toutes ses branches sous le Souffle, si ce faisant indocile et solide face à Lui et tout dresser contre Lui.
Ais pour pensée à moi-même, qui eut suivi la Volonté à me rendre pur d’après la pureté qui m’élever.
Je fus si tourmenté et meurtri en ce qui concerne mes souffrances intérieures, qu’il n’y avait aucun espoir qu’elles puissent être enlevées. De ma divine volonté, elles n’en étaient pas nées de Mon Père, et elles étaient si grandes, qu’en toute Sa miséricorde, Il eut volonté de m’en soulager. Je me devais de les traverser et de me guérir !
Il est réel que les souffrances physiques de ma passion furent le témoin de mes souffrances intérieures, et qu’elles m’eurent donné brièvement, mais succinctement du soulagement. C’était du Père, qui selon Sa volonté, m’offrait l’occasion de me donner à respirer, de ce qui m’envahisser, désespérer et étouffer intérieurement du monde entier, des gens et des manières et des coutumes et des croyances obscures, des entités, des morts-vivants et des morts errants, des multitudes spirituelles et naturelles qui s’aller en un tel égarement, par une telle aliénation, suspendues à une telle fureur et chutant en un tel déséquilibre, que j’en souffrais colossalement, quotidiennement, ne sachant comment les sauvé de la folie et de la sottise ; le cœur tout déchirer par compassion, et l’âme empathique se chargeaient du poids des chagrins de toutes autres âmes peuplant ma Réalité, qui n’était point un limité de la fausse interprétation du temps, mais révélée à la vérité.
Mon sanglot et mes spasmes m’eurent donné des instants diminutifs à ma souffrance, car ils furent des chocs soudains où j’oublier les causes de ma souffrance fondamentale.
En l’âme que Père m’a créé, en Son amour qui déborde pour le Salut des âmes, je devais tout unifier, tout porter, tout élever dans la Lumière. C’est Père qui l’eut fait, ce Christ dont vous m’avez identifié, le Très Saint qui m'a oint.
Il était en moi et j’étais en Lui, de même que toi.
Père est tout.

Par l’unité d’une seule nature, je t’ai fait connaitre la révélation, afin que par l’intelligence créée tu t’en sentes en harmonie.
Toutes les choses créées sont en harmonie. L’une agit comme soutien, force et volonté de l’autre.
Si une seule chose créée négligeait de se maintenir dans cette harmonie, alors tout errerait et seraient sur la voie de l’abandon et de l’annihilation.
Seulement l’être s’est séparé de l’équilibre de notre volonté.
O comme il ère, de sa position élever il est tombé dans l’abîme.
Même après ma rédemption, la famille humaine n’est pas revenue à son état naturel qui doit quant à lui les orienter à leur état originel.
C’est dans son état naturel que l’être peut exister, et c’est en raison de son existence qu’il suit la volonté qui la créer, lui souhaitant de vivre avec l’équilibre. La pire chose qui puisse arriver est de se retirer de l’équilibre de notre volonté.
Notre volonté aime les pas de l’âme qui n’a pour vœux que suivre notre volonté. C’est pourquoi, si soigneux de l’âme et de ses vœux, est sauvé qui l’a écouté.
Aucune âme ne peut être contre son vœu, adonc aucune créature ne devrait être hors de la volonté.
C’est la raison pour laquelle je suis si exigeant et ferme, puisque se retirer de l’équilibre de notre volonté équivaut à se jeter soi-même dans le chaos et le désordre, dans l’océan de toutes misères.
C’est de l’incohérence des faits que le malheur peut arriver et c’est du divorce avec notre volonté que toutes infirmités peuvent arriver. Il suffit d’être en action de grâce pour recevoir du bonheur et d’être en notre volonté pour retrouver la pleine capacité.
C’est de l’amour qu’adviennent les souffrances.
Vivant intensément les sentiments, les émotions et tous les hauts degrés de vigilances, tout état d’être s’homogénéise dans la membrane de tous les états d’âme, qui eux-mêmes se fond en l’état d’esprit, s’appelant à la Conscience du Père, du Christ, d’être toute la réalité et de partagée tout ce qui est pour toutes les créatures en toute la Création. Ne t’ai-je pas dit que de ta volonté dépend le monde entier, et que c’est l’épanchement de l’âme qui forme la réalité du monde que tu fais ?

De Celui que tu as fais en toi même.

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison3eme partiePour suite,Tu étais dans la terre, touchant un champ en quelque lieu où s...
20/08/2025

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison
3eme partie

Pour suite,
Tu étais dans la terre, touchant un champ en quelque lieu où se trouver gens en France, et tu fus dans toute l’atmosphère ; puis la fin te prit, assis dans les épis et dans une sèche herbe.
Puis tu m’eus demandais la mort, en disant :
« C’est assez ! Éternel, prend mon âme, car je ne suis pas meilleur que mes frères. »
Couchés après être isolé, car de ceux qui n'étaient vue, tous étaient partis, et de ce que tu pries tu entendis le sifflement mouvant de l’âme due à mon influence.
Puis tu t’endormis.
Et voici : mon Ange te toucha, car il t’entendit et écouta Ma Parole, et Il dit :
« Lève-toi, frère du Ciel, je vins une nouvelle foi, car le chemin est long pour toi ! Je prends tes pas, et toi, va, que tu retournes en ce qui tes agréables, car c’est la volonté de l’Agréable. Agrès, oui, de ce qui t'est dis, car le Très-Haut, de Son Esprit est ton repos ! »

Ô Nasiy’, que peux-tu espérer si ce n’est en Moi qu’est l’Espérance, car n’est-ce pas ma Voix qui donne Confiance et Espoir comme un murmure doux et léger ?
Oui, en effet, tu m’entendis tout comme Elie, et tu n’eus point méprisé ce murmure.
Car de l’intelligence de ma Voix tu te fus souvenue du Savoir de Ma Parole, et de l’Alliance des Prophètes.
De la sagesse de ma Voix tu eus reçu le Saint-discernement et le Sens de l’Equité ; et tu fus appelé à Ma Paix de Grâce. De grâce tu eus été mis, et tu eus dis ; « si j’y suis, que Dieu m’y garde ».
Puis testé à ma Lumière, certes, en Réalité, tu bien vus que Je suis vrai.
Sois tranquille, en songe tu sus, et savoir de nouveau lors-qu’éveillé.
L’Éternel te parle, et Il disoit en son premier Parler : « Que mon Parler frais et coloré, te soit d’une langue que celui seul à qui reçoit ce parlois, soit capable seul d’entendre et de comprendre cette Voix pour lui, qui si y souhaitant en être le servant, et qui je te le dis, est toute comme celle qui t’est récite ; prononcée d’une forme battue et roulée, par la Langue de France ! »
Il y a là-dedans de l’inspiration, car c’est Mon Souffle qui te qualifie.
Dis : « De la haine ou de l’amour de Dieu pour qui et ceux qui s’en qualifie, je ne sais rien, mais je sais qui sera bouté hors de l’Alliance, préférant s’être fait serviteur de l’Associateur. »
Les gens possédés et les gens adombrés tu les reconnais, t’allant à confirmer l’appel que tu leur connaît, conformément au diktat de ce que la nature de leur fait les ont chargés.
Pourquoi ne te délectes tu pas de ce que le Père Céleste t’a donné en Esprit Saint ?

— Grâce, parce qu’aucun de mes frères, trop fiers, ils ne sauraient en profiter et être bonifier !

De ce que tu suis à Celui qui avant toi accomplis en action de grâce pour toi de ce qui est agréable et bon pour Lui et l’ensemble de Sa création, pour quelle raison ne croirais tu à rendre grâce pour toute chose ?
Dis : Je suis un Clair guide !

De celui que vous avez fait en vous-même.

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison2eme partie.Ce soir, retrouve la suite du message par lequel nous sommes proches de ...
18/08/2025

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison
2eme partie.

Ce soir, retrouve la suite du message par lequel nous sommes proches de sa finalité et duquel nous serons prêts à nous initier une plus ample et juste élévation.
Dis : Je voudrais que vous sachiez échapper a toutes forces et formes spirituelles qui ne dureront pas et que vous alliez en confiance vers un nouvel esprit, que vous ne connaissez pas.
Par le Saint-Esprit la guérison, elle échange le monde inventé pour une précieuse Réalité, elle échange toutes perceptions pour la Vision du Christ et elle donne a accepter son rôle en Dieu pour le Salut.
Aujourd’hui est un jour de dévouement particulier. Nous ne nous rangeons que d’un seul côté, en compagnie de la Vérité et nous quittons l’emprise des illusions. Nous rechercherons la Vérité là où elle est. Nous serons dans la joie ainsi a savoir du bonheur d’être certains d’apprendre auprès de la Clarté qui n’enseigne comme le monde le fait.
... Ce soir.... et comme la nuit est longue, et comme il est bon d’être dans la nuit ; C’est au sujet de la Guérison et de notre Expiation que nous évoquerons parole de vie éternelle.

D’abord, toute grande j’ouvre la porte de la miséricorde.
Qui ne veut passer par la porte de la Miséricorde, se devra de passer par la porte de la Justice.
C’est à cause de cette dernière qu’il est craint de mourir et ainsi de marcher droit vers l’éternité en vivant d’une vie ébahit.

La porte de la Justice tient à libérer des prisons de douleurs, or Ma Miséricorde ne veut pas cela, mais la justice l’exige, car j’appelle toute créature à la vie infinie, mais les âmes ne veulent pas croire en ma bonté, jugeant que brûlent la Miséricorde, et ne se souhaitant d’exister d’un seul Esprit plus radient, lumineux et chaud que toutes étoiles de l’Univers ne pourraient l’être.
C’est le Salut que je vous désirs et non votre inclinaison.

S’il n’y a pas un clair guide menant à s’élever par suite d’être éduqué, il n’est point possible de se donner à réaliser choses du nouvel esprit.
Si ai-je dis à chaque guéri la venue de leur heure et qu’ils me suivent, a qui ai-je dis d’aller, de retourner chez lui, et ne plus péché ?
Est-ce aussi pour un autre genre de guéri ?
Pas du tout.
À ceux qui je te le dis n’étaient guéri, mais soigner et croyaient l’être, du bien qui leur été procurer, et du fardeau qui leur été alléger, du soin qui leur été témoigner, je ne les inviter à entrer en moi. Oui, entends-tu cela ; car leurs tensions psychologiques jugea d’encore la santé d’après leur corps, plus grande que la sainteté de l’âme. Oubliez votre corps souffrant et vivez d’un de vos corps bien portants, c’est ainsi que l’affligé pourra être reposé.
Or jugeant d’encore plus de ce qui doit être impossible plus glorieux à leurs yeux que le croyable, que le surnaturel serait plus divin que la nature, qu’auraient été adonc imparfaite la volonté de Dieu jusqu’à ce qu’elle le soit à leurs yeux ; ils étaient bien irréfléchis, je te le dis, et de ce qui est a sauvé, à de ce qui doit outrepasser le monde tout entier.
D’encore en ce temps, il y a des inaptes à recevoir la Vérité, mais aptes à apprendre de la réalité.
Il faut qu’ils souffrent pour rompre avec le mal et se nouer par la louange à l’amour marial.
Le soin momentané leur est donné, et s’amplifiant à mesure de leur vigilance envers leur corps, afin qu’ils croisent, et après élévation qu’ils sachent.
Ils n’auraient été capables d’être guérit par l’Esprit, mais d’une forme de magie, si capitulant sur leur liberté et leur dignité, car ils auraient chuté dans l’adoration d’esprits. Ne chutez pas dans l’adoration.

En vérité, seul ceux élevés par leurs pieuses et saines finalités d’esprit peuvent me reconnaître, et plus encore par force de s’être abandonné dans la prière, se tenant en profondeur, creusant en eux-mêmes, ayant du libre espace pour l’avenue de la Grâce, en eux, et du Père, y recevoir la couverture de Sa Bénédiction ; car sachant de Lui, et des Cieux et du Ciel, seuls eux pouvaient être vraiment guéris, jusqu’aux repos entiers dans l’Esprit.
L’on ne peut recevoir qu’à hauteur de sa grandeur, et l’on ne peut donner qu’à hauteur de sa profondeur.
De plus, c’est tout un opposé que d’être vigilant par l’atout de ma Conscience, que d’être impliqué par l’atout de la Démence.
Celui qui est impliqué, est dans l’ivresse hallucinatoire de bien faire de ce qu’il fait, et par beaucoup de fois, croyant y mieux mérité, ne se voyant donner foi davantage en tout ce qui l’absorbe, et qui lui puisse de sa Numinance, qu’en ce qui le Catalyse et lui ouvre les écluses de la Miséricorde, lui déversant tout un océan de grâce sur l’âme, qui l’approche de la source par confession et sainte Communion. Il faut comprendre être en devoir d’accepter la grâce de Dieu, tel qu’Il l’envoie, comme Il le veut et sous la forme qu’Il désire.
Qui crois-tu recevoir le pardon complet et la remise de leur punition ?
En ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoule la grâce.
Qu’aucune âme n’ait peur de s’approcher de Moi, même si ses jugements de péchés sont comme l’écarlate.
Ma miséricorde est si grande que, pendant toute l’éternité, aucun périsprit, ni Aums ni angélique ne saurait approfondir tout ce qui est sorti des profondeurs de ma Miséricorde.

Chaque âme en relation avec Moi, médite Mon amour et Ma miséricorde durant toute l’éternité, bénéficiant de la partagée partout où elle irait !
Est-il si dur donc pour soit, de dire chapelet durant neuf jours sous la chapelle de l’Esprit, dans le but de fléchir par cette prière Mon Père, et de lui implorer Divine Miséricorde et Divine Justice ?

Ô dis Nasiy' à qui te lis, étudie et aime l’Esprit annonce ceci : « Si je te découvrais de toute ta
misère, toi qui souffre, tu mourrais de peur. »
Mais sache que, parce que tu es tellement misérable, Je découvre devant toi tout l’océan de Ma miséricorde.
Je cherche et m’accompagne des âmes comme la tienne, mais il y en a peu.
La grande confiance envers Moi, et le Seigneur, me force à t’accorder continuellement des
bienfaits et des grâces.
Ô Nasiy', ceux qui t’étudient l’ont ressenti.
Tu as de grands droits sur Mon Cœur, car tu as pleine confiance.
Or, tu ne supporterais pas l’immensité de Mon amour, en retour, si ici, sur la terre, si Je, te le découvrait dans toute sa plénitude. La Majesté ferait danser le Soleil, éclater les montagnes, et soulever les mers si Elle venait sur terre ; et souvent Je soulève pour toi un petit coin du voile, mais saches que c’est de Ma part des grâces exceptionnelles, et tu le vois, souvent rendue lorsqu’aucun témoin ne pourrait contrebalancer sur ton éducation.
Mon Amour et Ma miséricorde ne connaissent pas de bornes.
Sache Mon enfant, je suis aussi l’enfant, et tu sais comment sont les enfants ; à cause de toi, J’accorde des grâces à tous tes environs, mais tu dois me remercier pour eux, car Je ne reçois pas de remerciements pour les bienfaits que Je leur accorde. Et c’est à cause de ta gratitude, que Je vais continuer à les bénir. Mais si tu n’en donnes pas toi, mon Nasiy', alors plus rien de là ne mis intéressera.

Un message qui apportera du réconfort !10/10 - 1- Du Saint-Esprit, la Guérison" Dans les mains rendues douces par Son to...
14/08/2025

Un message qui apportera du réconfort !
10/10 -

1- Du Saint-Esprit, la Guérison

" Dans les mains rendues douces par Son toucher, le Saint-Esprit dépose une image d’un toi différent. C’est l’image d’un corps encore, car ce que tu es réellement ne peut être vu ni représenté, sans que l'ensemble de la réalité commune n'en soit entièrement bouleversé et remanié. Que ton image témoigne de l’éternelle vérité, qui est que tu ne peux pas être blessé, ni mortifié, et elle indique au-delà d’elle-même à la fois ton innocence et celle de ton frère !
Ton visage est un clair signe de celui qui est en toi !
Il faut être un aveugle pour nier ce qui est clair, et il faut être esclave de la sottise pour renier ce qui peut sauver.
Montre-lui cela, et il verra s’il le souhaite la guérison qu’est au-delà de ce qu’il voyait sans cela. Et il verra son pardon avec des yeux guéris, il regardera au-delà, vers l’innocence qu’ll contemple en toi.
Là est la preuve qu’il n’y a jamais péché si le regarde fut changer ; que rien de ce que sa folie lui enjoignait de faire n’a jamais été fait, ni jamais eu d’effets d’aucune sorte. Qu’aucun reproche qu’il a fait peser sur son cœur n’a jamais été justifié, et de même qu’aucune attaque n’a jamais pu le toucher du dard empoisonné.
S’il voit ta guérison et tel que tu es en vérité, en vérité, sa santé sera renouvelée, parce que ta guérison est son réconfort ainsi que sa santé, prouvant, en effet, que les illusions ne sont pas vraies.
Douleurs et maux ne sont que temporaires, tant que la volonté du porteur est un souhait de mort, adorant un système de croyances qui est motivation pour ce monde.
La parure du corps cherche à montrer comme sont beaux les témoins de la culpabilité, se donnant coupables d’être un corps qui démontre comme leurs vies est fragiles et vulnérables, et comme il est facilement détruit ce qui est chéri.
Sous quelque forme qu’elle prenne la maladie est la croyance en un péché pour le justifier, ainsi que pour partager ce qui est cru de la majorité. Qui se rend malade ne voudrait qu’aider le monde entier à guérir de sa folie.
Les malades ont une raison pour chacun de leurs désirs contre nature et de leurs étranges besoins.
La fin du corps de vie doit venir, quelle que soit la façon dont cette vie est menée !
Ta fonction est de montrer à ton frère que le péché ne peut pas avoir de cause, c’est de pardonner ce qu’il crut être vrai parce qu’il la fait.
Il croit que ce qu’il fait est vrai, mais a oublié qu’il ne s’agissait qu’à ce qu’il retrouve la vérité.
Comme ce doit être futile de te voir hors de l’Esprit de vie et comme une image cherchant à prouver que ta fonction ne peut jamais être.
Il n’y a pas plus grand méfaits que te nier l’Esprit du vrai en raison de justifier ce qui est fait. Celui qui fait, qui dit et qui vit contre l’Esprit n’a que souhait d’être entièrement choqué par la vérité.
L’image du Saint-Esprit ne change pas le corps en quelque chose qu’il n’est pas, pourquoi dont souhaiter changer ce qui fut créé pour vous enseigner ?
Le malade c’est un but à ce qu’il souffre, or si représenté sans but, ce qui lui est vécu est aussi vu comme n’étant ni malade ni bien portant, ni mauvais ni bon.
Aucune raison n’est offerte pour qu’il soit jugé de quelque façon que ce soit. Il n’a pas de vie, mais il n’est pas mort non plus.
Il se tient à part de toute expérience de jugement, grâce à la main tenant qui ne témoigne encore de rien.
Pourquoi ne prennent-ils pas ta main comme ce qui est saint ?
Si leur but étant ouvert et ouvert à l’esprit qui est rendu, ils sont libres à nouveau de choisir à quoi il sert.
Devraient-ils se dire : maintenant rien n’est condamné, je m’attends qu’un but me soit donné, afin de remplir la fonction que je recevrais.

En ce lieu vide, d’où le but de péché a été enlevé, est libre de se souvenir du Ciel qui t’a reçu.
Ici sa paix peut venir, et la parfaite guérison prendre la place !
Comme toi, le Saint-Esprit leur donne une fonction est c’est celle de pardonner !

Laisse donc son but et ta fonction être enfin réconciliés et vus comme ne faisant qu’un.
Sachant que le pardon n’est pas la pitié, qui ne cherche qu’à pardonner ce qu’elle pense être la vérité.
Car le bien ne peut être rendu pour le mal, si en effet le pardon n’établit le péché pour ensuite le pardonner.

Et qu’en est-il des non guéris ?

Les malades restent des accusateurs, ils maintiennent que ce qui leur a été fait ne mérite pas de pardon ! Il accepte la miséricorde, mais refuse l’innocence. Ils ne peuvent pardonner ni à leurs frères ni à eux-mêmes sans être passés par-dessus le péché sous les yeux de leur frère.
Qui pardonne est guéri. Et dans sa guérison réside la preuve qu’il a véritablement pardonné et qu’il ne conserve aucune trace de condamnation qu’il voudrait encore se reprocher à lui-même ou à toute chose vivante. Les idées de péchés sont la preuve au contraire qu’il réside des erreurs. La puissance du témoignage vient de la croyance. Chacun se témoigne de ce qu’il croit.
Que donc de tout ce que tu dis, fais ou ais penses témoigne de ce que t’es enseigné afin que tu puisses le partager.
Un miracle n’offre rien de moins que ce qui est donné. Donnez de votre foi ; par conséquent, recevez de ce que vous avez donné.
De la guérison par le Saint-Esprit il n’est donné à condition qu’il n’en soit gaspillé. C’est pourquoi le don de votre foi est si puissant.
Ceux du monde ne peuvent en bénéficier, car de foi ils n’en ont pas, si ce n’est qu’il en soit donné proche du jour de leur jugement dernier, pour qui l’aurait souhaiter, ce devant de reconnaître la vérité en celui qui lui est envoyé tel qu’il croit qu’il est.
C’est pour quoi tous ne reçoivent pas, c’est qu’une heure est déterminée a chacun. N’ai-je pas dit à chaque guéri : « Ton heure est venue, suis-moi ! »
En ce jour, je te fais dire : « Celui qui suit met pas, celui-là me voit »
Et ne t’ai pas déjà dit le secret pour la vie ?
De ne plus faire fit de la maladie ni des soucis ni des folies du monde qui est en sursis !
Avec lui tu es perdu, et à cause de lui tu es égaré.
Chacun a de ce qui lui est juste, car Dieu, en bon maitre, a plus souci des gens oisifs que du travail produit.
N’as-tu pas l’âme lourde de peines a lorsque tu ressens tes frères perdus puis égarés, ne donnant aucun intérêt à Celui qui a tout créé, et de ceux qui mentent ouvertement à son sujet lorsqu’ils évoquent choses dont ils ne savent rien.

Le Saint-Esprit te dit que le corps répond aux intentions de l’Esprit, et il doit être doucement et parfois brusquement mis de côté une fois qu’il eut accompli ce pour quoi il fut fait. N’ayez donc point comme but de sauver les corps de matière, car il sont invulnérables qu’aussi longtemps qu’il est en besoin.
Un corps peut être insufflé de canaux d’expression qui sont soit sans amour, soit miraculeux. Pour qui a l’Esprit de miracle, la décision principale est de ne pas attendre plus qu’il n’est nécessaire que le temps vienne. En effet, n’ai je pas inviter chacun a me suivre et à donner foi de lui-même ?
Doit-il recevoir l’Esprit miraculeux celui qui voit avec les yeux le radieux ? Oui.
C’est ainsi que la particularité des Fils de Dieu ne découle pas de l’exclusion, mais de l’inclusion.
Ô, Nasiy', tous mes frères sont particuliers.
Qui voit et reçoit un de mes frères y gagne à l’inclure de ce qu’il est en lui-même !
Qui ne désire pas te voir ne peut donc pas me reconnaître ni rien connaître.
La peur de la guérison habite le lieu d’esprit de celui qui n’accepte pas la Puissance de l’Autorité, et dans ce cas il accepte le contrôle d’un Pouvoir Tyrannique. Il n’y a que deux maitres.
Et la seule limite à son choix est qu’il ne peut servir deux maitres.
Le résultat de suivre le malheur est qu’il emprisonne jusqu’au dessèchement, parce que tels sont les diktats des tyrans.
Or changer d’état d’esprit c’est enfleurir son lieu d’esprit, qui est de se mettre à disposition de la Véritable Autorité.
Qui suit l’Autorité peut bénéficier de miracle, car il est le signe d’avoir choisi d’être conduit par moi au Service de l’Esprit du Christ.
L’abondance du Christ, qui est uni à moi, et tout près de toi, est le résultat naturel d’avoir choisi de Le suivre.
C’est pour quoi tous nos frères ne recevront pas, c’est pour quoi une heure est déterminé a chacun.
Tu ne peux parler, ainsi annoncé choses de vérité à ceux qui ne sont pas prêts, et c’est pourquoi tu es fortement rejeté de ceux qui ne savent pas aimer, de même que tu ne peux ni soigner ni aider ceux qui ne viennent à moi, car quoi qu’il leur arrive, il n’en est déterminé que de leur choix.
Recevoir la Guérison du Saint-Esprit est donc un choix.

En vérité : Celui qui croit en toi, celui-là reçoit.

Quand tu as de la peine, l’âme lourde, cause de ceux qui rompent le d’écoulement naturel, ne donnant aucun intérêt à la vérité, et bafouant même de peu les principes du Ciel, observes à t’appliquer à une vie parfaite, parfaitement appliquer à ta vie actuelle, mais qui est forte ancienne, comme on le voit. C’est en tes devoirs en ce monde que tu remplis, qui tu sais être la suite du devoir général que la nature impose à l’Homme doué de raison et capable de sagesse. Soit de tout ce que je t’ai fait être pour noter ce qui est de moi.
Et accepte que tu ne puisses aider ni sauver ceux qui n’ont pour début la sagesse, car aucun gaspillage ne saurait être utile.
Soit ainsi en vertu du Saint-Esprit. "

De Celui qui vous avez fait en vous-même

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