Psycho-Hypno Thérapeute

Psycho-Hypno Thérapeute Psychothérapie
Hypnose Ericksonienne Thérapie individuelle ou de couple. Hypnose. Onirothérapie (Thérapie par les rêves.) (Blocages. Isolement. Traumatismes. Stress.

Angoisses...)

Comportements typiques chez les enfant (selon l’âge).De 0 à 1 an : le monde est nouveau, tout se découvre à travers le c...
11/11/2025

Comportements typiques chez les enfant (selon l’âge).

De 0 à 1 an : le monde est nouveau, tout se découvre à travers le corps.

COMPORTEMENTS TYPIQUES :
• Pleurer souvent pour exprimer la faim, le sommeil, l’inconfort, la peur ou le besoin de contact.
• Se réveiller plusieurs fois pendant la nuit.
• Porter des objets à la bouche pour explorer. (Stade Oral pour Freud, la bouche étant la zone érogène)
• Ne pas encore comprendre le « non » ni les limites.
• Ne pas encore savoir s’autoréguler : le nourrisson se calme grâce à la présence et au contenant de l’adulte.

POURQUOI C’EST NORMAL :
Son cerveau est en plein développement et sa principale forme de communication est le cri. Il n’a pas encore développé le contrôle des impulsions ni le langage et dépend totalement de l’adulte pour réguler ses émotions.

DE QUOI IL A BESOIN :
De contact, de regards, de bras et de patience. D’un adulte qui lui transmette de la sécurité par sa présence, qui réponde à ses pleurs et comprenne que sa seule manière d’exprimer ses besoins… c’est de pleurer.



De 1 à 3 ans : la phase de l’exploration et de l’autonomie.

COMPORTEMENTS TYPIQUES :
• Dire constamment « non ». (Stade a**l pour Freud)
• Faire des colères ou des crises quand les choses ne se passent pas comme ils le voudraient.
• Jeter des objets ou frapper quand ils sont frustrés.
• Avoir du mal à partager.
• Toucher à tout, bouger beaucoup, montrer une grande curiosité.
• Vouloir tout faire seuls et se frustrer quand ils n’y parviennent pas.

POURQUOI C’EST NORMAL :
Ils commencent à se différencier de l’adulte. Leur cerveau ne contrôle pas encore l’autorégulation ni l’empathie.
Ils ne « font pas des crises » pour manipuler, mais parce qu’ils ne savent pas encore gérer ce qu’ils ressentent.
Ils apprennent à vivre dans un monde fait de limites.

DE QUOI ILS ONT BESOIN :
De contenance sans violence, de limites bienveillantes et de connexion constante. L’adulte doit les accompagner avec fermeté et douceur lorsqu’ils perdent le contrôle, au lieu de punir leurs émotions.



De 3 à 5 ans : plus de langage, plus d’émotions… mais encore peu de régulation.

COMPORTEMENTS TYPIQUES :
• Interrompre les conversations.
• Avoir des explosions émotionnelles (même s’ils parlent déjà bien).
• Faire les clowns ou être bruyants à des moments inopportuns.
• Avoir des sautes d’humeur soudaines.
• Désobéir ou ignorer les consignes.
• Être impulsifs et toujours en mouvement.

POURQUOI C’EST NORMAL :
Même si le langage progresse, leur capacité à réguler les émotions reste limitée. Ils apprennent encore à contrôler leurs réactions, à comprendre la notion de temps et à respecter les règles sociales. S’attendre à ce qu’ils restent « tranquilles » longtemps (à table, pendant une réunion) n’est pas réaliste : ils ont besoin de mouvement, de jeu et d’une présence adulte patiente et bienveillante.

DE QUOI ILS ONT BESOIN :
D’un accompagnement constant, de répétitions patientes et de connexion avant la correction. Ils ont besoin d’être vus, non humiliés pour leur vivacité : ils ne sont pas « trop », ils sont simplement des enfants. Ils ont besoin de structure, mais aussi de liberté pour rester eux-mêmes.



De 6 à 9 ans : plus de conscience de soi, mais encore en croissance émotionnelle.
(Stade de l’œdipe pour Freud)

COMPORTEMENTS TYPIQUES :
• Rire à des moments sérieux ou inappropriés.
• Avoir du mal à se concentrer longtemps.
• Faire du bruit ou parler sans arrêt.
• Discuter ou remettre en question les règles.
• Exagérer les émotions ou faire de petits « drames ».
• Oublier des choses importantes (devoirs, matériel, inscriptions).

POURQUOI C’EST NORMAL :
Même s’ils comprennent déjà beaucoup, leur cortex préfrontal, responsable du jugement et de l’autocontrôle, est encore en développement. Leur monde émotionnel est intense et ils apprennent encore à l’exprimer de façon appropriée.
Plus on les punit pour des comportements normaux, plus on risque d’affaiblir leur estime d’eux-mêmes.

DE QUOI ILS ONT BESOIN :
D’un adulte qui les écoute sans les ridiculiser, qui ait des attentes réalistes et qui enseigne des compétences plutôt que de punir les erreurs. D’un adulte qui corrige avec calme, non avec humiliation.



De 10 à 12 ans : plus de logique, mais aussi beaucoup de sensibilité.

COMPORTEMENTS TYPIQUES :
• Vouloir toujours avoir raison.
• Remettre en question l’autorité.
• Accorder beaucoup d’importance à l’opinion des autres.
• Avoir des sautes d’humeur fréquentes.
• Désirer plus d’intimité.
• Passer de comportements matures à enfantins, parfois dans la même journée.

POURQUOI C’EST NORMAL :
Cette phase est une transition vers l’adolescence. Le cerveau est en pleine réorganisation : un processus intense et parfois déroutant. Ils peuvent sembler rebelles, mais ils construisent leur identité.

DE QUOI ILS ONT BESOIN :
D’un accompagnement sans jugement, de confiance et de dialogue ouvert.
D’être respectés comme des personnes à part entière, non minimisés dans leurs émotions. Comprendre qu’ils ne sont pas « malpolis » : ce sont des préadolescents en construction.



QUE SE PASSE-T-IL LORSQU’ON ATTEND D’UN ENFANT QU’IL SE COMPORTE COMME UN ADULTE ?

• On le punit pour quelque chose qu’il ne peut pas encore contrôler.
• On lui provoque frustration, peur, anxiété ou le sentiment de ne jamais être à la hauteur.
• Le lien avec le parent s’affaiblit.
• On l’étiquette («têtu», «sale caractère», «rebelle») et il grandit en croyant qu’il y a quelque chose de mauvais en lui.

CE DONT ILS ONT BESOIN, CE N’EST PAS DE PUNITION, MAIS DE COMPRÉHENSION.
Un enfant ne « se comporte pas mal » pour vous provoquer. Il se comporte en enfant, parce qu’il apprend encore à vivre dans un monde qu’il ne comprend pas entièrement.

Et vous, en tant qu’adulte, vous avez un choix : être son guide bienveillant… ou son juge.
L’éducation n’est pas un parcours de perfection, mais d’apprentissage et de croissance réciproque.

**lyse

Nos 4 émotions fondamentales. Pour vous affirmer, vous devez exprimer vos émotions. Mais il n’est pas toujours si facile...
09/11/2025

Nos 4 émotions fondamentales.

Pour vous affirmer, vous devez exprimer vos émotions. Mais il n’est pas toujours si facile d’exprimer nos émotions. Parce que parfois nous ne réussissons même pas à les identifier. Impossible de leur donner un nom. Pourtant savez-vous qu’il n’existe que 4 émotions fondamentales ?

Bien sûr, nous connaissons tous plus de 4 émotions. Et les ouvrages qui traitent du sujet en citent souvent beaucoup plus. Mais ces autres émotions, ce sont simplement des nuances par rapport aux 4 émotions fondamentales : car chaque émotion de base peut avoir différents degrés d’intensité.

Alors, ces émotions fondamentales, quelles sont-elles ?

La joie
Je suis satisfait, content, ravi, enchanté, comblé, réjoui, radieux, g*i, joyeux, heureux, excité, fier, aux anges…

La tristesse
Je suis triste, morose, chagriné, sombre, abattu, affecté, accablé, affligé, amer, morne, découragé, déprimé, dépité, peiné, déçu…

La peur
Je suis inquiet, anxieux, soucieux, préoccupé, agité, angoissé, tracassé, tourmenté, paniqué, affolé, effrayé, apeuré, épouvanté, terrifié, terrorisé…

La colère
Je suis contrarié, exaspéré, agacé, irrité, fâché, énervé, indigné, outré, révolté, scandalisé, choqué, offensé, blessé, offusqué, impatient, bouillonnant, emporté, frustré, enragé, furieux, violent…

Nos émotions sont là pour nous conduire à un comportement adaptatif et centré sur le but. Identifier ses émotions, les reconnaitre, les exprimer ou les mobiliser permet ensuite de décider d’actions adéquates dans une situation professionnelle ou personnelle spécifique.

Attention toutefois, car bien souvent nos émotions originelles sont cachées par des émotions factices. Vous allez donc devoir apprendre à reconnaître votre véritable émotion ! Car dans une même situation il y a souvent une différence entre l’émotion que vous ressentez vis-à-vis de vous-même, celle que vous ressentez pour l’autre, et celle que vous exprimez.

Un exemple :

Parfois, la colère peut être le garde du corps de la tristesse. Quand nous sommes tristes, nous nous sentons vulnérables, faibles et connectés à la douleur. La tristesse nous connecte à nos blessures les plus profondes et nous rappelle notre propre fragilité. La colère, en revanche, nous donne un sentiment de contrôle. En nous mettant en colère, nous élevons un mur qui nous protège de la douleur et de la tristesse. C’est comme si nous disions au monde :« ne vous approchez pas de moi ! Je suis fort, et vous ne pouvez pas me blesser ! » Nous préférons, crier et exploser plutôt que de nous demander qu’est-ce qui nous fait si mal que cela nous a conduit à cette limite ? Nous avons appris (malheureusement) que la tristesse était une faiblesse, c’est pourquoi nous cachons la douleur et la tristesse derrière notre masque de colère.

**lyse

Il n’existe pas de frontières nettes entre névrose, état limite et psychose.Ces structures ne sont pas des catégories fi...
07/11/2025

Il n’existe pas de frontières nettes entre névrose, état limite et psychose.
Ces structures ne sont pas des catégories figées mais des modes d’équilibre du Moi. Chaque sujet compose avec le réel, la perte et le manque selon des mécanismes qui peuvent se mélanger ou se déplacer au fil du temps.

Une névrose peut se désorganiser et révéler des traits limites, un fonctionnement borderline peut se défendre par le narcissisme, une psychose stabilisée peut paraître presque « normale ». Ces variations montrent que la structure n’est pas un diagnostic mais une manière singulière de tenir debout psychiquement.

La psycha**lyse contemporaine, de Freud à Lacan en passant par Bergeret ou Kernberg, conçoit désormais les structures comme des formes d’équilibre plutôt que comme des cases. Comprendre un sujet, c’est observer comment il maintient sa cohérence interne face à la réalité, plutôt que chercher à le ranger dans une typologie.

**lyse

Hyperstimulation et économie de l’attention.Les applications de rencontre exploitent les circuits dopaminergiques. Chaqu...
05/11/2025

Hyperstimulation et économie de l’attention.

Les applications de rencontre exploitent les circuits dopaminergiques. Chaque match ou like agit comme un renforcement intermittent, créant une dépendance comportementale. Le sujet cherche la prochaine validation plutôt qu’une relation stable.

Illusion de choix et anxiété de la perte.
L’abondance perçue de partenaires possibles active un biais cognitif : la paralysie du choix. Plus il y a d’options, plus la satisfaction diminue. Cela entretient une insatisfaction chronique et une fuite vers la nouveauté.

Attachement évitant et peur de la vulnérabilité.
Beaucoup de comportements décrits (fuite, superficialité, besoin de contrôle) relèvent de stratégies d’attachement évitant. L’intimité émotionnelle est redoutée car associée à la perte de liberté ou à une blessure.

Identité et représentation de soi.
Les réseaux favorisent une mise en scène du moi. Le sujet devient gestionnaire de son image plutôt que présent dans la relation. Cela crée un décalage entre le moi perçu et le moi vécu, accentuant la solitude.

Confusion entre excitation et lien.
L’adrénaline du nouveau contact est souvent prise pour de l’amour. Or, physiologiquement, ce sont des circuits distincts : la dopamine de la nouveauté ne remplace pas l’ocytocine de l’attachement. D’où la volatilité des liens.

Solitude paradoxale.
L’hyperconnexion accentue la déconnexion émotionnelle. Le lien virtuel remplace la rencontre incarnée, mais ne satisfait pas les besoins d’attachement profonds.

En somme,
L’amour à l’ère des réseaux n’est pas en voie de disparition, mais il se heurte à un environnement qui renforce la gratification immédiate, la peur de l’engagement et l’évitement de la vulnérabilité.
Retrouver un lien réel suppose de tolérer la lenteur, l’imperfection et l’exposition émotionnelle des expériences contre-culturelles dans un système de flux constant.

**lyse

Selon l’approche jungienne, la rencontre amoureuse mobilise le processus de projection. Dans la clinique du lien, l’expé...
03/11/2025

Selon l’approche jungienne, la rencontre amoureuse mobilise le processus de projection.

Dans la clinique du lien, l’expérience amoureuse fonctionne souvent comme un espace projectif où se rejouent des schémas relationnels précoces. Le partenaire devient le support de figures internes issues des premiers liens d’attachement. Ce processus de répétition n’est pas pathologique en soi : il traduit la tentative inconsciente de la psyché de symboliser une expérience affective restée inachevée.

Les patients rapportent fréquemment un sentiment de répétition : « je tombe toujours sur le même type de personne », « je revis la même déception ». Tant que ces scénarios demeurent investis d’espoir réparateur, ils se perpétuent. La saturation survient lorsque le sujet ne peut plus maintenir l’illusion d’un changement externe. Cette saturation marque souvent un point de bascule : le déplacement de la plainte (« les autres ») vers la reconnaissance d’un fonctionnement interne.

C’est à ce moment que le travail thérapeutique devient possible. La prise de conscience de la répétition permet une mise à distance du scénario, puis une élaboration du besoin primaire qu’il recouvre. L’amour, dans cette perspective, ne guérit pas directement : il agit comme catalyseur du processus d’intégration psychique. L’amour ne guérit donc pas nos blessures par sa seule présence, il les rend visibles jusqu’à ce que nous soyons prêts à cesser de les rejouer. C’est dans cette lucidité, et non dans la fusion, que commence la transformation psychique.

**lyse

Un jour, raconte une légende amérindienne, un immense incendie ravageait la forêt. Tous les animaux, terrifiés, fuyaient...
31/10/2025

Un jour, raconte une légende amérindienne, un immense incendie ravageait la forêt. Tous les animaux, terrifiés, fuyaient dans tout les sens, sauf un petit colibri qui allait chercher, bec après bec, quelques gouttes d’eau pour les jeter sur le feu.
« Colibri, tu es fou ! » lui cria un tatou. « Ce n’est pas avec ces gouttes que tu éteindras l’incendie ! »
Et le colibri répondit simplement : « Je le sais, mais je fais ma part. »

Ce colibri, inspiré du célèbre Homme de Vitruve de Leonardo da Vinci, est affiché dans mon espace de travail.
Il symbolise ma conviction profonde de mon métier : chaque rencontre, chaque accompagnement, chaque pas vers un mieux-être compte. Accompagner une personne, l’aider à aller mieux, c’est déjà contribuer à quelque chose de plus grand.
En soutenant chacun à retrouver équilibre et sens, j’ai cette sensation de faire ma part dans la grande chaîne humaine.

Et vous, quelle est votre manière de faire votre part ?

**lyse

Et si la dépendance (alcool, drogue, jeu…) n’était pas le problème, mais une tentative de solution ?On croit souvent que...
29/10/2025

Et si la dépendance (alcool, drogue, jeu…) n’était pas le problème, mais une tentative de solution ?

On croit souvent que la dépendance, c’est une faiblesse.
Qu’il suffit d’avoir “plus de volonté”.
Mais la réalité est tout autre : personne ne choisit consciemment de souffrir.

Quand on consomme, au début, c’est souvent pour aller mieux.
Pour calmer l’anxiété. Pour fuir la solitude. Pour ne plus ressentir la douleur. La substance devient un anesthésiant émotionnel, une façon de tenir debout quand tout vacille.

Le cerveau, lui, apprend vite.
Chaque prise libère de la dopamine, ce neurotransmetteur du plaisir. Le corps s’y habitue, en réclame plus, et la boucle s’installe. Ce n’est plus un choix, c’est un piège neurologique et affectif.

L’environnement, les blessures d’enfance, les pertes, les absences… Tout cela joue aussi. On reproduit parfois, sans le vouloir, des modèles où la souffrance est “gérée” en s’anesthésiant.

Alors, quand un patient me dit :
« J’ai un problème de dépendance »
Je réponds souvent : « Non. La dépendance, c’est votre manière de vous défendre contre un problème plus profond. »
La vraie question pourrait être : De quoi la dépendance vous protège-t-elle ?

La dépendance est un symptôme d’adaptation. Une tentative, maladroite, mais humaine, de survivre à ce qui fait trop mal pour être ressenti.
Et c’est là que le travail thérapeutique commence : retrouver la capacité de ressentir sans fuir, de s’apaiser sans se détruire, de se reconnecter à soi, pas à la substance.
Parce que derrière chaque dépendance, il y a une histoire de souffrance… et surtout, une possibilité de libération.

**lyse

27/10/2025

La vérité existe t’elle vraiment ou est ce un biais cognitif ? 😉
« Comme ta vision du monde dépend entre autre du sentiment que tu as de toi, t'as plutôt intérêt à ce que ce sentiment soit pas tout pourri ! »

**lyse

Métaphore du recalcule de parcours.(Je raconte souvent cette histoire à mes patients anxieux face à leurs erreurs.)Avez-...
24/10/2025

Métaphore du recalcule de parcours.
(Je raconte souvent cette histoire à mes patients anxieux face à leurs erreurs.)

Avez-vous déjà remarqué que, lorsque vous vous trompez de route sur Google Maps ou Wase, la voix ne vous crie pas dessus ?
Il ne vous dit pas : « Idiot(e), tu t’es trompé ! ». Il vous dit simplement : « Recalcul en cours » et il vous propose un nouvel itinéraire.

C’est cela, la vie.
Vous faites une erreur. Ce n’est pas grave. Vous recalculerez.
Peut-être que ce mauvais tournant vous a évité un accident plus grave.
Peut-être que ce détour vous a appris quelque chose que le chemin direct ne vous aurait jamais montré.
Peut-être même que cette route panoramique était précisément celle dont vous aviez besoin pour trouver la force d’avancer.
Alors, cessez de vous malmener comme si vous étiez perdu pour toujours.
Vous n’êtes pas en re**rd.
Vous êtes simplement en train de recalculer.
Et vous savez quoi ?
Vous arriverez quand même à destination.

**lyse

23/10/2025

Quand Alexandre Astier donne sa définition de la confiance en soi.
Ça lui prend 1 minute et c’est limpide.

Memo :
La confiance en soi c’est le verbe faire
L’estime de soi c’est le verbe être

Voici un constat souvent vérifié en psychothérapie : tant que les blessures de l’enfance ne sont pas reconnues, symbolis...
22/10/2025

Voici un constat souvent vérifié en psychothérapie : tant que les blessures de l’enfance ne sont pas reconnues, symbolisées et intégrées, elles continuent de parler à travers nous, dans nos choix, nos peurs, nos attachements, nos silences.
Tant que la douleur n’a pas trouvé de mots, elle agit. La thérapie devient alors un long travail de réappropriation du récit, donner la parole à son histoire pour cesser d’en être le personnage passif. Ainsi on ne reste pas coincé dans son passé, on le retraverse pour en sortir vivant.
Faire une thérapie adulte, c'est porter secours à l'enfant qui est au fond de vous et qui attend depuis des années que quelqu'un l'écoute et le comprenne.

**lyse **lyste

Adresse

Biarritz
64200

Heures d'ouverture

Lundi 13:00 - 18:00
Mardi 13:00 - 18:00
Mercredi 13:00 - 18:00
Jeudi 13:00 - 18:00
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