Carole Santaella-Psychopraticienne

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La méthode LESST® thérapie brève basée sur la stimulation bilatérale alternée et l'hypnose...envie de vous libérer d'une peur, d'une phobie, d'un traumatisme, d'une addiction, un deuil non fait ou simplement l'impression d'être bloqué

Le mal au genou n’est pas qu’une douleur mécanique.Parfois, c’est un langage subtil, une manière pour ton corps de te pa...
05/12/2025

Le mal au genou n’est pas qu’une douleur mécanique.
Parfois, c’est un langage subtil, une manière pour ton corps de te parler là où les mots ne sortent plus.

✔️Le genou, c’est l’articulation qui te permet d’avancer, de t’adapter, de plier sans rompre.
Alors quand il fait mal, c’est souvent comme si quelque chose en toi résistait, comme si un mouvement intérieur demandait à être entendu.

✨Un genou qui souffre peut dire :
“Tu vas trop vite.”
Il rappelle que ton rythme n’est peut-être plus en accord avec ton énergie. Que tu t’obliges à avancer alors qu’une part de toi réclame une pause, une respiration, un recentrage.

✨Il peut dire aussi :
“Tu portes beaucoup.”
Le genou supporte ton poids, ton élan, tes charges visibles et invisibles. La douleur peut signaler que tu t’es mis trop de responsabilités sur le dos, ou que tu avances avec une pression qui ne t’appartient pas totalement.

Et parfois, il dit :
“Tu hésites.”
Le genou est lié symboliquement au mouvement, aux choix, à la direction. Une douleur peut refléter un conflit intérieur : vouloir aller quelque part mais avoir peur du changement, avoir besoin de stabilité mais sentir la vie t’appeler ailleurs.

✨Il chuchote enfin :
“Sois plus doux avec toi.”
Parce que tu mérites un corps qui avance sans se tordre, un quotidien où tu respectes ton propre tempo, un chemin où chaque pas n’est pas une lutte mais une intention.

La prochaine fois que ton genou te parle… écoute-le.
Il ne te ralentit peut-être pas : il t’invite juste à avancer différemment.

Charlotte Cellier

28/11/2025
24/11/2025

Tu ne réagis pas “mal”.
Tu fais juste ce que tu peux pour ne pas t’effondrer.
Et c’est déjà beaucoup.

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Une en-vie, une idée que j'ai déjà depuis un certain temps et un temps certain!Finalement il suffisait de s'écouter, de ...
14/10/2025

Une en-vie, une idée que j'ai déjà depuis un certain temps et un temps certain!

Finalement il suffisait de s'écouter, de rencontrer les bonnes personnes!

Finalement il suffit d'accepter ses peurs, de les traverser!

Finalement il suffit de faire un pas après l'autre pour donner vie à cette en-vie qui se transforme en un beau projet!

Merci à ceux qui y croit ça booste, merci aux autres vous me donnez encore plus envie d'y croire!

2026....c'est Bientôt!

07/10/2025

L’un des états émotionnels les plus épuisants, c’est la cognitive empathie. Cette faculté rare qui empêche de haïr totalement quelqu’un, même quand il t’a détruit. Parce que toi, au lieu de rester bloqué sur le geste, tu vois l’histoire derrière. Tu comprends les blessures qui l’ont façonné, les manques qui l’ont poussé, les failles qui l’ont conduit à t’abîmer.

Alors que beaucoup diraient : « Il m’a fait mal, point », toi tu rajoutes : « Oui, mais je comprends pourquoi ». Et c’est là que ça devient un fardeau. Parce que tu portes deux poids à la fois : la douleur de ce qu’on t’a fait, et la lucidité de comprendre pourquoi on te l’a fait.

Ça paraît noble, mais dans le quotidien, c’est un piège. Tu pardonnes trop vite. Tu restes trop longtemps dans des relations qui ne te respectent pas. Tu trouves des excuses à tes parents, à ton partenaire, à tes amis, aux gens qui te déçoivent… parce que tu vois au-delà de leurs actes, tu vois leurs blessures.

Mais voilà le paradoxe : comprendre ne signifie pas excuser. Oui, un père violent a peut-être été brisé dans son enfance. Oui, une partenaire infidèle cache peut-être un vide intérieur. Oui, un ami toxique est sûrement lui-même perdu. Tout ça peut avoir du sens. Mais avoir une explication ne transforme jamais une blessure en quelque chose de juste.

La société adore te dire : « Mets-toi à sa place, sois compréhensif ». Mais rarement on te dit : « Et toi, qui se met à ta place ? » Tu passes ta vie à comprendre les autres, et au fond, ton plus grand rêve serait qu’un jour, quelqu’un te comprenne avec la même intensité.

L’empathie cognitive, c’est donc un don, mais aussi une croix. Elle t’élève au-dessus du jugement binaire, mais elle te condamne aussi à vivre avec des douleurs que tu n’arrives jamais à transformer en colère libératrice. Tu restes suspendu entre le pardon et la cicatrice.

La vérité, c’est qu’il faut apprendre à poser une frontière : comprendre, oui. Mais se respecter, d’abord.

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