27/09/2021
Et comme cela fait (trop) longtemps que je n’ai rien posté, voici également deux articles du (super) blog Rayures et Ratures qui parle du HPI :
À quoi ça sert de savoir si on est surdoué ? https://www.rayuresetratures.fr/a-quoi-ca-sert-de-savoir-si-on-est-surdoue/?fbclid=IwAR2pJ0xcfOwekeK84WueQb8AluTQX9-I83pY1G4M4CGrE1yIDH_hGotP3tU
Si je ne suis pas surdoué, je suis quoi ? https://www.rayuresetratures.fr/je-suis-quoi/?fbclid=IwAR3deImY8V-LtaIeLj5LyNrOJ-yQCpJPpvqyDn39SglkOMQENwiJ9TqCnaQ
« Le HPI n’explique pas tout.
Je comprends ce besoin de se raccrocher à un terme, d’expliquer ses souffrances par une particularité comme le HPI.
Mais ce n’est pas une pathologie dont le bon diagnostic déclencherait le bon traitement qui suffirait à soulager les symptômes.
Le haut potentiel n’est pas une maladie, et mettre un mot dessus ne règle pas tout ce qui nous posait problème.
Alors oui, l’identification “HPI” apporte des ressources et des outils pour avancer. C’est une étape nécessaire mais pas suffisante. C’est le travail sur soi qui est le plus important. Le plus utile. Pour s’accepter dans sa différence, quelle qu’elle soit, et comprendre comment on fonctionne. Pas comment les HPI fonctionnent, ni comment “les autres” fonctionnent. Comment nous, on fonctionne.
En fait, que le test révèle que vous soyez HPI ou non, l’après-test reste le même.
C’est la poursuite du travail sur soi. »
Si je ne suis pas surdoué, je suis quoi ? Comment faire quand on se sent en décalage mais que le test révèle qu'on n'est pas HPI ?