Zen en Soi

10/11/2025

Oyé Oyé Mercure rétrograde 😱😅 (actuellement en Scorpion depuis le 25 octobre jusqu'au 15 novembre 2025)
Je me sentais bien énervée en ce moment, je me suis donc penchée sur le sujet. Je vous partage ce qu'il en ressort.
(toujours regarder le signe solaire, l'ascendant et le signe lunaire).

Poissons ♓ : Esprit dans le brouillard, tendance à fuir la réalité. Difficulté à poser des mots clairs sur ses ressentis.

Bélier ♈ : Impulsivité verbale, agacement face aux blocages ou à l’autorité, tendance à foncer sans réfléchir, attention aux malentendus...

Taureau ♉ : Frustrations matérielles, blocages dans la routine, lenteurs agaçantes, besoin de lâcher prise sur le contrôle.

Gémeaux ♊ : Très impacté (Mercure est votre planète). Confusion mentale, ret**ds, bugs dans la communication ou les déplacements.

Cancer ♋ : Remontée d’émotions anciennes, difficulté à exprimer ce que l’on ressent vraiment, hypersensibilité.

Lion ♌ : Égo piqué, tension dans les échanges, besoin d’être reconnu, mal vécu s’il y a incompréhension ou oubli.

Vierge ♍ : Comme les Gémeaux, très sensible à cette période. Fatigue mentale, suranalyse, souci du détail accentué, tout devient plus pesant.

Balance ♎ : Indécision amplifiée, communication bancale dans les relations. Besoin de réajuster les équilibres.

Scorpion ♏ : Vérités ou secrets refoulés qui remontent, intensité émotionnelle, conflits de fond à clarifier.

Sagittaire ♐ : Maladresse verbale, agacement dans les voyages ou projets à distance, tensions liées à la vérité.

Capricorne ♑ : Ralentissements dans les démarches pros ou administratives. Nécessité de réviser les bases et les structures.

Verseau ♒ : Surchauffe mentale, tensions liées aux projets collectifs ou technologiques. Besoin de retrouver du calme intérieur.

🌟 Voici quelques conseils pour bien traverser une période de Mercure rétrograde :

- Ralentir.
Ne force rien. C’est une phase d’introspection, de révision, de retour à soi. Accepte que tout n’avance pas aussi vite que tu le voudrais.

- Réviser plutôt qu’initier.
Évite de signer des contrats ou de lancer des projets importants. Préfère relire, corriger, réévaluer, revoir ce qui a déjà été entamé.

- Clarifier.
Les malentendus sont fréquents. Sois clair.e dans tes messages, reformule si nécessaire. Et n’hésite pas à poser des questions.

- Sauvegarder et vérifier.
Bug tech, perte de données… pense à faire des copies, relire tes mails, et éviter les achats high-tech si possible.

- Écouter ton corps.
Fatigue, surcharge mentale ? Repose-toi, respire, médite. C’est un bon moment pour te reconnecter à l’intérieur, au lieu d'agir dans la précipitation.

- Accepter les retours.
Des personnes ou des situations du passé peuvent refaire surface. Ne les fuis pas forcément. Il y a parfois une leçon, une libération, ou une compréhension à tirer.

En bref : c’est le moment de nettoyer, réorganiser, réajuster. Ce n’est pas une punition, mais une pause pour mieux redémarrer.

Aller, joyeux hunger games les loulous 😅
Robizoussss 😘😘😘

05/11/2025

Message de la pleine lune du 5 Novembre 2025.
Ce soir, la lune est pleine, une lumière entière, qui illumine ce qui, en toi, reste dans l’ombre. Elle invite à regarder, écouter, libérer. Non pas dans l’urgence ou le contrôle, mais dans la douceur de la présence.

Elle te dit :
- « Regarde ce qui est complet, ce qui appelle à l’achèvement. »
- « Accueille ce qui monte à la surface : émotions, désirs, vérités cachées. »
- « Ce que tu pensais finir fait peut‑être partie d’un nouveau départ. »
- « Laisse‑toi sentir pleinement, sans te juger, sans te cacher. »

Ce qu’elle t’invite à faire :
- Prendre un moment ce soir pour respirer sous la lumière de la lune, ressentir son éclat.
- Poser une question simple : « Qu’est‑ce que je termine aujourd’hui ? » et « Qu’est‑ce que je choisis de nourrir qui commence maintenant ? »
- Écrire, dessiner ou simplement laisser venir ce qui remonte (une émotion, un souvenir, un désir plus lumineux).
- Offrir à ton corps, ton esprit ou ton cœur un geste de respect : une main sur ton cœur, une bougie, une pensée de gratitude pour ce que tu es déjà.

Pourquoi c’est particulièrement puissant maintenant :
- La pleine lune « termine un cycle » : elle marque la fin d’un voyage, mais aussi le moment parfait pour en commencer un autre.
- Elle éclaircit les zones floues : ce que tu ne voyais pas clairement auparavant peut maintenant se révéler.
- Elle amplifie l’énergie : ce que tu es prête à libérer se manifeste plus fort, alors choisis avec douceur.

Si tu le sens, profite de cette nuit pour libérer ce qui te pèse et honorer ce que tu deviens.
La lune est là, immobile, paisible pour te rappeler que tu peux être la même chose : entière, lumineuse, vraie.

Belle lunaison à toi 😘😘😘

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03/10/2025

Tu n’étais pas masculine, ma fille.
Tu étais une enfant. Une enfant qui a dû se déguiser en forte parce que personne ne prenait soin de sa fragilité. On t’a obligée à t’endurcir, à cacher la fleur de ta féminité comme on cache un trésor pour qu’on ne le détruise pas.

Ton énergie masculine n’est pas née avec toi : tu l’as tissée pour survivre. C’était ton armure, ton refuge, ta manière de dire : « Je suis là, même si je tremble à l’intérieur. » Et même si personne ne l’a compris, même si on t’a pointée du doigt pour ta dureté, la vérité, c’est que cette dureté a été ton salut.

Maintenant, regarde-toi : tu tiens toujours debout.
Grâce à cette carapace, tu es arrivée jusqu’ici, femme. Mais je veux que tu saches : tu n’es plus en danger. Tu n’as plus besoin de cacher ce qu’il y a de plus tendre en toi. Tu peux laisser ta féminité respirer, laisser ta douceur revenir sans peur, laisser apparaître ta délicatesse sans qu’elle soit écrasée.

L’enfant que tu étais n’était ni froide, ni mauvaise, ni étrange. Elle a été courageuse. Elle a eu le courage de protéger ce qu’il y avait de plus sacré en elle jusqu’à ce que ce moment arrive : le moment de t’embrasser pleinement, avec ta force et ta tendresse, avec ton feu et ton eau.

Aujourd’hui, femme, tu peux dire à cette enfant : « Merci de m’avoir sauvée. Je t’embrasse. Et je t’aime telle que tu es. »

— Make Me Read ©️✍️

17/09/2025

Donner du sens, c’est vital.
C’est ce qui m’ancre, me relève, me guide. Ce n’est pas un luxe ou une quête perchée : c’est une nécessité intérieure. J’ai besoin de comprendre pourquoi je vis ce que je vis, vers quoi je vais, ce que je construis.

Donner du sens, c’est comme allumer une lumière dans une pièce sombre. Ce n’est pas fuir la réalité, c’est l’habiter pleinement. C’est poser un regard plus profond, plus doux, sur les événements, les choix, les émotions.

Et surtout, donner du sens aide à guérir. À panser les blessures du passé, à apaiser ce qui a été trop longtemps laissé dans l’ombre. Quand on comprend, on libère. Quand on met du sens, on transforme.

Mais il est important de veiller à la nature de ce sens. Il peut être porteur, bienfaisant, réparateur ou au contraire, enfermant, fataliste, victimisant.
Ce qu’on choisit de croire sur ce qu’on vit peut autant nous élever que nous enfermer. Le sens que l’on donne aux choses n’est pas neutre : il a un impact puissant sur notre manière d’avancer ou de rester figée.

Car ce n’est pas tant ce qui nous arrive qui a de l’impact en soi, mais le regard qu’on choisit de poser dessus. Le sens qu’on donne aux choses change la façon dont elles résonnent en nous. Et ça fait toute la différence.

Peu importe le chemin, du moment qu’il fait vibrer quelque chose en moi — l’essentiel, c’est que ce sens soit positif, porteur, qu’il me permette de grandir, de me réparer, d’aller de l’avant.

Donner du sens, ce n’est pas tout comprendre. C’est juste être en lien. Avec soi, avec la vie. C’est sentir que ce que je vis a une place, une raison, un mouvement. Et ça, ça change tout.

© Céline Alvarez
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22/08/2025

🌪️🌀🌪️🌀🌪️ENLEVER🌪️🌀🌪️🌀🌪️🌀

Il arrive un temps où après une vie passée à ajouter, tu commences à enlever.

🌀Enlever les aliments qui te font mal.

🌀Enlever tes vêtements qui te vont trop étroits ou trop larges.

🌀Enlever les trucs oubliés dans les tiroirs

🌀Enlever la conviction ancienne de ne jamais aller bien.

🌀Enlever ton cœur des endroits où il n'y a plus d'Amour,

🌀Enlever le temps passé à poursuivre les gens.

🌀Enlever le pouvoir du passé,

🌀Enlever les fautes de tes histoires et regarder ceux qui parlent par derrière.

🌀Enlever les mauvaises herbes autour de tes rêves,

🌀Enlever les compromis qui te salissent les choix,
Ceux accordés pour s’adapter.

🌀La vraie richesse n'est pas d'ajouter mais d'enlever.🌀

Manuela TOTO

14/08/2025

Faire du tri en soi, c'est comme entreprendre un grand ménage dans une pièce restée trop longtemps en désordre.
Au début, c’est le chaos. On sort tout, on retourne tout. C’est brouillon, inconfortable, parfois épuisant. On ne sait plus trop par où commencer.

Mais doucement, on trie : ce qui nous convient encore, ce qu’on a besoin de laisser partir, ce qu’on souhaite transformer. On choisit ce qu’on garde, ce qu’on jette, ce qu’on recycle/fait évoluer.

Faire le ménage dans sa tête, c'est comme aérer une pièce qu'on aurait trop longtemps gardée fermée. On ouvre, on laisse passer l'air, et on se rend compte qu'on peut y penser plus clair. Ce n'est pas un grand nettoyage parfait. C'est un geste d'entretien, régulier, bienveillant.

C’est une façon de dire à son corps, à son cœur, à son esprit : « Je t’écoute. Tu comptes. Ce que tu ressens est important. »
Et au fil du tri, on s’aligne un peu plus avec soi. On s'aligne et on retrouve de l’espace, de la clarté, et surtout de la paix en Soi...

Prenez bien soin de vous ❤️

©️www.zenensoi.com

27/07/2025

➡️Ce qu'elles sont :
Les parts d’ombre, en psychologie (notamment chez Carl Jung), représente tout ce que nous avons refoulé, nié ou caché de nous-mêmes parce que cela n’était pas accepté par notre entourage, la société, ou même par nous-mêmes.
Ce sont des émotions, des blessures, des pulsions, des peurs, des colères, des hontes, des fragilités mais aussi, paradoxalement, des forces inexprimées.

Ce n’est pas le "mal" en nous, comme on pourrait le croire. C’est simplement ce qui n’a pas eu le droit d’exister au grand jour.

C’est tout ce qu’on cache, ce qu’on refoule, ce qu’on ne veut pas voir de soi-même.

C’est la colère qu’on étouffe.
La jalousie qu’on juge honteuse.
La peur qu’on fait semblant de ne pas avoir.
La tristesse qu’on camoufle derrière un sourire.
Les blessures, les envies, les pensées qu’on juge "pas normales", "trop", "pas assez", "dangereuses"...

Mais ces parts-là sont aussi nous.

Elles se sont construites souvent dans l’enfance, quand on a compris, parfois inconsciemment :
– « Si je suis en colère, on me punit. »
– « Si je pleure, on me rejette. »
– « Si je dis ce que je pense, on se moque de moi. »

Alors on a enfermé ces parties dans un coin de nous, dans l’ombre.

➡️Pourquoi on les rejette :
Depuis l’enfance, on apprend à jouer un rôle, à enfiler un masque pour être aimé, validé, sécurisé. Tout ce qui ne correspond pas à cette "image idéale" est enfoui. On devient alors étranger à nous-mêmes, coupés de notre totalité.

Parce que tout ce qu’on rejette en nous continue à vivre, à agir, à influencer nos choix mais dans le silence.

C’est comme si une partie de nous criait derrière une porte fermée.
Alors on se sent "pas bien", on réagit parfois trop fort ou à côté de la plaque, on attire des situations qui nous répètent les mêmes blessures.

On se dit :
– « Je ne comprends pas pourquoi je suis toujours en colère. »
– « Pourquoi je répète les mêmes schémas ? »
– « Pourquoi j’ai peur d’être abandonnée, alors que tout va bien ? »

C’est souvent notre part d’ombre qui essaie d’attirer notre attention.

➡️Ce que veulent nos parts d’ombre :
Elles ne cherchent pas à nous détruire, elles veulent être vues, reconnues, intégrées.
Elles sont comme des enfants abandonnés dans une pièce noire : elles crient, elles provoquent, non pas pour faire du mal, mais pour qu'on vienne les chercher.

Elles veulent nous dire :
– « Regarde-moi. »
– « J’ai souffert. »
– « Je suis une partie de ton histoire. »
– « Si tu m’écoutes, je peux t’aider. »

Car dans chaque part d’ombre, il y a une énergie bloquée, une force, une vérité à libérer.

Par exemple :

- Derrière la colère, il y a souvent un besoin de justice ou de respect de ses limites.

- Derrière la peur, il y a souvent une grande lucidité, une envie de sécurité ou de clarté.

- Derrière la jalousie, un désir d’amour ou une blessure de rejet.

- Derrière la tristesse, un amour immense qu’on n’a pas su exprimer.

Et quand on les écoute, avec présence et bienveillance, elles se transforment :
- La colère devient puissance.
- La peur devient lucidité.
- La honte devient vulnérabilité assumée.
- Et la blessure devient matière à guérison.

➡️Pourquoi les aimer ?
Parce qu’elles sont authentiques.
Parce qu’elles font partie de notre histoire.
Parce qu’en les apprivoisant, on devient entière, alignée, vraie.

Les aimer, c’est ne plus se fuir. C’est reprendre son pouvoir.
Et c’est souvent là que commence la vraie paix intérieure.
Parce qu’elles ont survécu quand on ne savait pas comment faire autrement.
Elles nous ont protégés, à leur manière.

Les aimer, ce n’est pas dire « c’est bien d’avoir été en colère » ou « j’ai eu raison d’avoir peur ».

C’est dire :
– « Je comprends pourquoi tu étais là. »
– « Merci de m’avoir protégé. »
– « Maintenant, je suis prêt(e) à t’écouter autrement. »

Les aimer, c’est se réconcilier avec soi.

Et c’est souvent à partir de là que la vraie transformation commence.

🎁Rencontrer une part d’ombre avec tendresse :
Voici un exercice d’écriture doux et profond, que tu peux faire à ton rythme, dans un moment calme, avec un carnet ou un document que tu garderas juste pour toi.

- Prépare ton espace : Choisis un moment où tu ne seras pas dérangée.

- Allume une bougie ou/et mets une musique douce si tu le souhaites.

- Respire profondément pendant quelques instants. Laisse venir ce qui vient. Tu n’as rien à forcer.

🔸Étape 1 : Identifier une part d’ombre.
- Écris librement en commençant par : « Il y a une part de moi que je cache souvent… »

- Laisse venir ce qui émerge.
Une émotion ? Une réaction ? Une pensée que tu n’aimes pas avoir? Une peur ? Une blessure ancienne ?
Tu peux aussi écrire à la main, sans te relire.

Quelques exemples :
…qui est toujours en colère.
…qui a peur d’être abandonnée.
…qui se sent nulle, même si elle fait tout bien.
…qui juge les autres ou se compare.

🔸Étape 2 : Lui donner une forme.
Continue en écrivant :
« Je vais te donner un visage, un nom, une forme… »

Tu peux l’imaginer comme une enfant, un animal, une créature, une énergie…
Donne-lui une forme bienveillante, même si elle est cabossée.

Par exemple : "Tu es comme une petite fille recroquevillée, les poings serrés, qui n’a jamais osé pleurer. Je vais t’appeler Lou."
Ou : "Tu es comme une panthère noire qui rugit pour ne pas être blessée."

🔸Étape 3 : Lui parler avec douceur.
Écris maintenant une lettre à cette part de toi, en commençant par :
« Je te vois. Je t’entends. Et j’ai envie de te dire… »

Parle-lui comme on parle à un enfant blessé ou à une amie très chère.

« Je ne t’ai pas toujours comprise. J’ai parfois voulu te faire taire, ou t’oublier. Mais aujourd’hui je suis là. Je veux apprendre à t’aimer. À marcher avec toi. Tu fais partie de moi. Et je te remercie d’avoir survécu jusque-là… »

Laisse les mots venir, sans jugement.

🔸Étape 4 : Ce qu’elle veut te dire.
Enfin, inverse les rôles.
Écris comme si c’était elle qui te répondait :
« Merci de m’avoir écoutée. Moi, je voudrais te dire… »

Tu seras surprise de ce qu’elle pourrait t’écrire.
Souvent, elle ne cherche qu’une chose : être accueillie.

🌱 Et pour finir…
Relis doucement ce que tu as écrit, si tu en as envie.
Tu peux terminer par une phrase comme :
« Aujourd’hui, je marche un peu plus entière.
Avec mes lumières, mes ombres, et beaucoup d’amour. »

🔸Et pourquoi pas, conclure avec un petit geste symbolique :
📖 Fermer ton carnet doucement.
🕯️ Éteindre ta bougie avec gratitude.
🧘‍♀️ Poser la main sur ton cœur et respirer.

Tu viens d’ouvrir un espace sacré à l’intérieur de toi, avec courage et douceur. Prends soin de toi dans les heures qui viennent, bois un thé, marche un peu, ou simplement repose-toi. Ce travail intérieur est puissant.

Et si un jour tu veux aller plus loin, écrire d’autres lettres, créer un rituel, transformer ce que tu vis en poésie, en art, en lumière, je serai là pour t’y accompagner si tu en ressens le besoin 💖

À bientôt, belle âme ☺️
Bizoutouplein
Céline
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26/07/2025

La Maman Mouton Noir

La maman mouton noir, c’est celle qui décide de rompre avec les injonctions patriarcales et les éducations centrées sur les adultes.
C’est celle qui ose suivre son instinct, même lorsque la famille ou son entourage la fait douter.

La maman mouton noir, c’est celle qui choisit en pleine conscience de couper les relations toxiques, peu importe le lien de sang, dès qu’elle se rend compte que ces attaches dysfonctionnelles peuvent nuire à ses petits.

La maman mouton noir, c’est celle qui fait toutes sortes de thérapies pour guérir ses blessures d’enfance et aussi pour soigner son héritage féminin intérieur, souvent aveuglé par ses propres blessures non résolues.

Les mamans moutons noirs sont celles que l’on montre du doigt, celles dont on chuchote dans le dos, qu’on remet en question, qu’on critique, qu’on juge.

Dans chaque famille, il y a toujours une maman mouton noir, une femme courageuse, qui s’est souvent sentie seule, qui a souvent douté de bien faire, mais qui a choisi de faire confiance à son sixième sens, à son instinct, à ses tripes, à son intuition.

Dans chaque famille, il y a une maman mouton noir qui non seulement doit travailler sur elle-même, mais aussi porter tout le poids du traumatisme familial que ses proches, son partenaire et ses amis ne veulent pas ou ne peuvent pas voir.

C’est solitaire d’être un mouton noir…

Mais un jour ordinaire, plus tôt que t**d, quand la maman mouton noir décide de s’affirmer, de relever la tête et de regarder au loin dans la prairie, elle aperçoit d’autres moutons marchant dans la direction opposée à leur troupeau, à contre-courant, tout comme elle.
Et lorsqu’elle prend le temps de les observer avancer, calmement, de la tête à la queue, quelque chose de magique se produit : elle se rend compte qu’ils ne sont pas des moutons noirs, ce sont des moutons qui possèdent une lumière unique, celle que donnent l’amour de soi, l’empathie, la conscience et l’évolution psycho-spirituelle.

— Make Me Read ©️✍️

16/06/2025

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16/06/2025

Et puis, un jour…Tu comprends.

Tu comprends que tu as porté bien plus que ce que tes épaules pouvaient supporter.
Que tu t’es chargé du poids des autres, de leurs attentes, de leurs silences, de leurs absences.
Que tu t’es perdu à force de vouloir tout tenir, tout réparer, tout comprendre.

Et un jour, tu comprends que ce n’est pas ton rôle d’avoir à tout gérer.
Pas ton rôle d’être fort(e) pour tout le monde.
Pas ton rôle de t’oublier pour que les autres aillent bien.

Ce jour-là, tu ne t’effondres pas.
Non, tu te relèves un peu différemment.
Avec cette vérité dans le cœur : tu as le droit de poser ce qui est trop lourd.
Tu as le droit de penser à toi, de dire non, de respirer.

Parce que parfois, grandir, c’est justement apprendre à lâcher ce qui ne t’appartient pas.

Charlotte Cellier

12/06/2025

Le courage d’être vulnérable : la clé vivante de la communication authentique.
J’ai partagé des principes qui devraient nous tenir à cœur pour nourrir des relations plus vraies :
👉 l’écoute profonde,
👉 la responsabilité dans nos échanges,
👉 la clarté sur ce qu’on veut dire,
👉 la validation de ce que l’autre a compris.

Mais au fond, rien de tout cela ne peut vraiment toucher, transformer ou relier… s’il manque le courage de la vulnérabilité.

Parce qu’avant même les mots bien choisis ou les silences bien tenus, il y a un frisson.
Une hésitation.
Une peur très humaine : celle de se montrer tel qu’on est.

Être en communication authentique, ce n’est pas appliquer une recette.
C’est oser tomber le masque, laisser paraître nos tremblements. Dire :
– Je ne suis pas certain…
– Je sens quelque chose, mais je ne trouve pas les mots…
– Ce que tu viens de dire m’a touché, et j’ai besoin d’un moment pour digérer…

C’est fragile. Et pourtant, c’est là que naît la véritable puissance relationnelle.

Parce qu’en nous montrant vulnérables, nous ouvrons la porte à la réciprocité.
Nous disons à l’autre, sans toujours le formuler : toi aussi, tu peux être vrai avec moi. Tu peux être entier ici.

Et c’est dans cet espace que la communication cesse d’être un échange d’informations pour devenir un terrain de reconnexion humaine.

Le courage, ce n’est pas d’avoir tout compris.
Ce n’est pas de dire les choses parfaitement.
C’est d’habiter pleinement ce que l’on vit, même si ça tremble, même si c’est flou, même si ça dérange un peu.

Alors oui, poursuivons nos explorations de l’écoute, de la clarté, de la responsabilité relationnelle…
Mais n’oublions pas : sans la vulnérabilité, tout cela reste en surface.

C’est en osant être vrai — profondément vrai — que nous devenons des ponts.
Et parfois, une simple parole habitée peut réveiller l’essentiel chez quelqu’un d’autre.

Claude Legendre