Scénariste des possibles.

Scénariste des possibles. La vie est simple, elle est, et nous faisons parti d'elle. Elle demande d'être en partenariat avec Le feu est désir de volonté de puissance.

Empâte, philosophe et très intuitif, je suis en accords avec toutes les médecines. Seulement à partir du moment où la personne sent et vit en elle un besoin plus fort que subir l’existentialisme du à un fatalisme d’une vie n’étant pas à la hauteur de l’être humain. L’homme a le droit de ce donner l’opportunité de vivre à la mesure de ce qui est grand en lui, ne plus subir la dictature du contrôle du connu. Accrocher à ses croyances l’humain s’accroche à des manières de pensés qui finisse par créé des maladies psychique voir corporel ce greffant tel une sangsue. La normalité est devenue l’handicap dans un système ou il est mieux de réussir dans la vie que réussir sa vie. On attire ce qu’on dégage.

Œuvré sur soi en écoutant son intuition, c'est tendre l'oreille vers le subtil. Et c'est là que tout commence, ce que l'on crois être va nous conditionné ce à quoi je vais être attentif, et changer ses pensés sa manière de vivre, va changer notre rapport à ce qui est. C'est inévitable, et c'est en ce perdant qu'on ce retrouve, et pour moi ce retrouver c'est sentir la vibration qui part de nous et qui peut déduire que ce qui est présenté c'est ça ou pas. Mais je ne reste pas assujetti à des doutes, à des modèles de croyances ou un état cherchant à combler mon manque émotif. Je créé un centre en moi même qui permettra d'apprécié ce qui est, tout en pouvant faire exprimer ce qui je suis. Dans cette état toute projection, contrôle de ma pars sera vu pour ce qu'il est: peur de vivre la puissance que j'habite. Individuellement nous sommes tous ce qu'on aspire le plus, il n'y a plus de recherches existentiel à mener, car le réel viens quand j'accepte la totalité de l'existence pour au final faire le grand saut vers ce qui m'unie à tout de l'intérieur au delà de tout ce qui est impermanent. Ce diriger vers la science de ce qu'on est est un acte évolutif. L'envie de création, c'est comprendre qu'il n'y a pas d'autres que moi même, tous les potentiel existe là dans un état latent. Mais face à une feuille blanche, je ne peux accepté d'être un potentiel, je dois vivre une vie qui ce rapproche de ce que je sais être la vie en défiant toute ma petitesse et ma peur de puissance. Tout créateur commencer par le constat qu'il a passé sa vie à ce fuir. Et toute vie commence par une rage, la révolte de ne plus pouvoir accepté de vivre sans volonté issu de notre feu interne. Ce qui enlève notre feu c'est les mensonge que l'on cautionne. Nous sommes tous notre propre Prométhée, alors allumons notre flamme afin d'avoir la réel inspiration de faire ce qu'on à affaire dans la nécessité de tendre vers ce qui est juste. Chaque douleur de l'existence est personnalisée pour chaque sensibilité. Mais quand les traumatismes auront été vécut comme opportunité d'allé faire le grand saut rien ne pourra faire obstacle à ce à quoi on aspire réellement. Je m'oppose à toute intrusions thérapeutique, énergétique de vouloir engrammer des mémoires donnant l'impression d'être dans un bien être car si on est ici c'est pour pouvoir faire qu'un avec la réel vie, et non pas polariser et colorer cette vie pour des avantages, des désirs de personnalité ce mentant à eux même, d'être dans une paix conditionné par l'existence. Nous avons des gardes fou permettant de réduire le ratio avec la véritable lumière cella est bon, mais quand on en peu plus de vivre dans l'obscurité, la vie en nous fera tout pour nous amené vers le meilleur chemin de la révélation de qui nous sommes. Finis de reproduire les mêmes connaissances ancestrales qui programme l'individu à être dépendant. Ni dieu, ni maitre, ni thérapie. Tu es l'artiste et même le scénariste de ce que tu vis, tout ce que je peux t'apporter c'est un petit coup de pouce pour t'imprégner ne serais ce cour instant du gout de ce qui t'habite, après c'est à toi de vivre est d'accepter que tu ne sais pas encore, car la vie a des lois et ces lois te serons montré quand tu seras attentif pour que tu puisse t'harmonisé et comprendre la politique cosmique et ton implication. Amenant la sensibilité de l’individu vers une réalisation sensible d’une individualité vibrante à une réalité nouvel. Débloquant les mémoires enfouie ce reflétant de manière répétitive dans une boucle qui ne permet pas à l’individu d’avoir la paix dans son territoire psychique. Tu dois reprendre le contrôle en conscience sur la réalisation de ta propre vie pour évolué vers un être vivant sensible et intelligent sinon d’autre écrirons leur histoire dans ton propre livre de vie pour te conformer à répéter des schémas de vie d’un humain devenu automatisé et éloigné de sa sérénité intérieur. Je ne te promets pas la lune, mais une fois que tu auras senti ce qu’est la volonté d’un humain souverain et autonome tu appréhendera la maladie d’une toute autre manière. Le culte d’un hédonisme encensé par le bien être sonnera le cri d’alarme en toi pour écouté la raison d’un esprit préférant un chemin qui fais peur à tes limitations mais qui est un soulagement à ta volonté pré personnel. Pour mieux ce respecter et s’aimer dans son intégralité. L’attention à soi, d’être présent et créatif ensevelira tout ceux qui fut important fut un temps mais qui est distraction par rapport à l’amour que tu as pour toi-même. L’amour peut tout mais non pas l’amour psychologique du personnage mais l’amour d’un être qui ce respect dans la douceur et l’abnégation de ce savoir en parti immortel.

Salutation, amis,Si tu es de passage par là, c’est qu’une sorte de curiosité, couplée à une pétillance interne, te pouss...
24/05/2025

Salutation, amis,
Si tu es de passage par là, c’est qu’une sorte de curiosité, couplée à une pétillance interne, te pousse à la lecture de cet ouvrage.
Tu viens ici dans un espace où tu es libre de prendre ce qui résonne en ton fort intérieur, de la manière; je le souhaite pour toi: la plus spontanée.
Attention : cet ouvrage, c’est de la dynamite. Je vais droit au but, à l’essentiel, sans emprunter de circonvolutions littéraires ou intellectuelles qui rendraient le message plus digeste.
L’inspiration de ce qui passe par moi me contraint à capter un message brut. Cela devient un acte de haute transformation dans ma sphère mentale. La transcription fidèle de cette énergie amène un élan qui bouscule les attachements à des formes; ce qui est déroutant, mais combien transformateur.
En essayant vertueusement de créer un style où la prose embrasse le sens d’une cosmogonie, je me heurte à la dureté de la réalité : je ne peux être ce que je ne suis pas.
Mon attention est mise à rude épreuve par le colossal flux informationnel à digérer et à métaboliser, par un vécu engrammant une métalogique au plus profond de ma chair.
Cette métalogique est une capacité à intégrer les différentes manières de percevoir le monde.
L’analogie qui perçoit la symbolique détient une intelligence émotive, où la trame temps-espace se dissout face à la trame des archétypes.
Cela amène le sujet à se connecter aux origines de l’imprégnation méta-sensitive de l’âme.
Cette action a pour fonction de transformer la matière traumatique universelle en énergie, pour entreprendre une œuvre individuelle qui reléguera les mythes et les dieux au rang d’histoires enfantines, face à la réalité scientifique des univers.
Pour l’être dépolarisé, la trame du réel est objective. Il a pris le large sur ce qui a modelé l’humain dans sa vie de chenille, car quand l’ère du papillon retentit, c’est lui qui devient le dieu pouvant être le point de jonction entre le manifesté et l’immanent.
La perception des archétypes a nourri tous les plus grands créatifs qu’a portés notre humanité.
Mais dans nos temps de fin des temps, ce type de perception ne sera plus une fin en soi.
L’Êtreté se révélera par le rapport d’équilibre dans notre organisme, afin d’élever et muter vers un extrasensoriel concrétisé par l’assimilation de caractères devenus innés pour un réel anthropomorphique remplaçant toute perturbation égotique par un contact approprié à un esprit universel.
À force de friction entre un intellect utilisant la mathématique pour enrichir le monde et un centre émotif transmutant la douleur psychique, l’humain, tôt ou t**d, finit par faire un bond quantique, repoussant le chaînon évolutif.
Sa mutation devient le témoin d’une capacité perceptible, intriquant toute la palette de rapports au monde pour rendre l’information universelle la plus juste et cohérente dans l’objectif d’avoir un hypermental en osmose avec le cosmos.
Le passage de l’acquis à l’inné amène une compréhension objective translucide, mais devient très difficile à retranscrire sous forme d’informations complexes, par leur lien avec tous les principes de vie.
C’est pourquoi la nécessité de m’initier au langage juste devient pour moi une quête, qui prendra forme à mesure du déroulement du travail de fond.
Avoir passé mon temps à shunter mon mental réflectif pour entrevoir une logique quantique et multidimensionnel de la réalité m’oblige à suivre une suite de déprogrammation-reprogrammation amenant inexorablement à une mutation dans ma capacité psychologique à simplifier mon rapport avec l’univers.
Une psychologie simplifiée tend à traiter l’information de la manière la plus juste possible.
Toutes les voies de garage ont été étudiées, et dans un déroulement ou la linéarité et absorber par la logique de spirale; toutes les pathologies névrotiques deviennent des tâtonnements empiriques permettant d’arriver à la vision la plus en accord avec les ensembles.
Le mental se perd en apparence, pour finir par prendre la direction de fusionner dans un principe que les croyants nomment Dieu.
Les chemins de perdition finissent par devenir des engrais pour la conscience. Rien n’est à rejeter.
L’important, c’est de pleinement vivre ce qu’est d’être humain.
Car survivre, c’est avoir du mal à communiquer.
Vivre en tant qu’humain, c’est développer une telle communication que les barrières entre ce qui nous entoure par l’intériorité disparaît.
C’est développer un langage approprié à notre interlocuteur, afin d’élever l’intérêt mutuel et la capacité créative de toucher une atmosphère immanente, dévoilant les arcanes de notre conscience selon la perspective de notre interlocuteur.
Pouvoir parler en cohérence avec toutes les facettes d’intérêts humains différents permet de se sentir comme un poisson dans l’eau dans l’infinité des points de vue, des découvertes, des sciences, des catharsis.

Ne serait-ce pas cela, toucher la divinité ?
On aspire à tout un tas de choses, et on les imagine dans la forme. Mais quand on se frotte au travail laborieux d’être face au décalage entre l’image qu’on aspire à incarner et la dure réalité de l’expression dans l’instantanéité, on finit par se heurter obligatoirement aux doutes, aux appréhensions, aux décalages entre la théorie et la pratique.
Sortir de son fantasme, de l’image que l’on a de soi, c’est se frotter à la réalité afin de tendre à ne plus être séparé de la création, mais que le phénomène de création soit lié et concomitant au créateur.
Mettre une distance, c’est ajouter une réflexion, et faire intervenir le monde de la pensée entre le créateur et la créature.
Alors, penser, c’est modeler le mental à un créateur.
Cette répercussion a pour conséquence d’apporter une création qui reste dans le monde du connu.
Car on ne peut penser ce que l’on ne connaît pas.
On peut vibrer une fréquence pour intuiter ce qui ne se pense pas, afin de défaire des habitudes issues d’architectures du mental psychologique.
L’homme qui réfléchit sa psychologie est stimulé par des programmations de son inconscient trop influentes sur son conscient.
Le conscient est embouteillé par des gammes de rêves, car l’humain est trop pris dans des schémas mentaux de certitude, joints à des dépendances émotionnelles.
Cette circonstance a pour causalité de donner un pouvoir considérable au subconscient ,ressemblant à une grande IA gérant le monde du rêve qu’est l’inconscient, afin de maintenir la mémoire vive empêtrée dans des suites de programmes entropiques.
Le pouvoir de l’attention, d’observer le réel de manière émotionnellement détachée de la réalité du moi, permet de se détacher des personnalités, afin de devenir une personne centrée sur ce que je suis en termes d’unité incluant le vivant.
Dans cet état d’être, il y a disparition du jeu. Il n’y a plus que communication avec des rayons caractérisant toujours un plus grand moi.
Tendre vers une caractéristique psychique ne faisant plus questionner ce que je suis est le commencement pour être dans la totalité; afin de faire s’écrouler les frontières entre le visible et l’invisible, pour amener de nouvelles formes dans ce monde.
Le mental humain est le territoire fondamental où l’ensemble des décisions vont actionner le processus du devenir.
Percevoir le comportement humain pour développer une science de sa propre psychologie, c’est accepter de grandir vers une autonomie amenant une concrète liberté humaine.
Plus l’humain commence à étudier ce qui part de lui dans sa manière d’être présent à lui-même et dans son comportement vis-à-vis du monde, plus sa science de la psychologie pratique s’aiguise.

Il en devient aberrant de constater que, dans son immense majorité, l’homme est pris dans son mental psychologique, enfermé dans des mécanismes conditionnés par des automatismes programmatifs.

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Bor-et-Bar
12270

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