Cazé Julien Soins & Janzu

20/11/2025

Ce ne sont pas les événements qui nous rendent heureux ou malheureux, mais plutôt notre interprétation de ces événements qui dicte notre réaction face à ceux ci.

Si nous recevons un message sans connaître l’expéditeur, nous ressentirons de la joie si nous croyons qu’il vient d’une certaine personne, ou de la colère si nous imaginons qu’il provient d’une autre personne. Nous aurons de la peine s’il s’agit d’une personne en particulier, ou nous vivrons de la déception si c’est de quelqu’un d’autre.

Pourtant, c’est toujours le même message ! Il n’a pas changé, il ne s’est pas transformé et il n’a pas évolué. C’est seulement notre perception de l’expéditeur qui nous fait vivre toute cette gamme d’émotions. Il en est ainsi pour tout événement.

Nous pouvons choisir de réagir négativement, positivement ou même de façon neutre. L’important, c’est de choisir la réaction qui nous rend le plus heureux.

Et si aujourd’hui, avant de réagir automatiquement à un événement de la journée, nous nous arrêtions pour changer notre perception d’un événement en une perception plus positive, et trouver la réaction la plus bénéfique pour nous ?

Diane Gagnon

20/11/2025

16/11/2025

"Avec le temps, on s’éloigne un peu des fêtes, du bruit, des grands rassemblements…

Et de l’extérieur, certains pensent :
« Cette personne a changé »,
« Elle n’a plus la même énergie »,
« Elle a perdu le goût de vivre… »

Mais ce n’est pas ça.

On apprend simplement à choisir.

À comprendre qu’il n’est plus nécessaire d’être partout,
de jouer un rôle,
ou de s’intégrer de force dans des endroits où l’on ne se sent plus vraiment soi-même.

On apprend à écouter ce qui fait du bien,
et à dire, avec simplicité :
« Ça ne me correspond plus. »

Certains y verront de la distance,
d’autres de la tristesse…

Mais ceux qui sont passés par là savent :
c’est du soulagement.
C’est de la paix.

C’est le moment où l’on arrête de courir pour exister aux yeux des autres,
et où l’on commence enfin à exister pour soi.

C’est ça, la vraie liberté.
Celle qui n’a pas d’âge,
celle qui apaise,
celle qui nous recentre sur l’essentiel.

Si regret il y a, c’est peut-être de ne pas l’avoir compris plus tôt.

Mais quand cette prise de conscience arrive,
on réalise une chose essentielle :

Ce n’était pas une fuite.
C’était un retour.
Un retour à soi.
Un retour à la maison."

Inconnu(e).