Trika Vivant -emmayogainclusif

Trika Vivant -emmayogainclusif ācāryā de la voie tantrique non duelle du Trika (shivaisme du Cachemire)🙏🔱🔥 Your partner for freedom
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Emma Cataneo est ācāryā reconnue selon les critères du Tantrāloka, enseignante accomplie de la voie tantrique non duelle du Trika.
🕉️ Elle transmet un enseignement vivant du Tantra de la Reconnaissance (Pratyabhijñā), à partir de l’expérience directe de la śakti–miroir, par le souffle, le cœur, le verbe et le silence. Sa voie unifie énergie et sagesse, progression et reconnaissance immédiate, sans dogme ni système, dans une intensité incarnée et libre.
📖 Emma est l’auteure de la première traduction française intégrale du Tantrāloka d’Abhinavagupta (vol. 1 à 3). Elle partage ici des satsang, enseignements, pratiques tantriques, lectures de śāstra et contemplations guidées. Livres :
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02/11/2025

Le "ta**ra" des "massages"

1. Le Ta**ra n’est pas un discours sur le genre.
Dans le Trika, la différence masculin/féminin (puruṣa/strī) n’a aucune valeur ontologique : elle est une modalité de la manifestation, une vibhūti de la śakti. Śiva n’est pas « masculin », Śakti n’est pas « féminin » ; ce sont les deux faces inséparables de la conscience libre (svātantrya–saṁvid), lumière (prakāśa) et vibration (vimarśa). Le Ta**ra véritable ne parle jamais de « femmes blessées » ou d’« hommes conditionnés » : il parle de la conscience une qui se reconnaît à travers toutes les formes.

2. Réduction psychologique et victimisation.
La rhétorique des « traumas de la lignée », des « blessures de femme » ou de « guérison du féminin sacré » relève du champ thérapeutique ou émotionnel — pas du Ta**ra. Le Tantrāloka ne guérit pas l’ego : il le dissout dans la reconnaissance du spanda. Le paśu (l’être lié) se libère non par catharsis, mais par la vision directe du śiva-tattva.

3. Inversion de la perspective tantrique.
Le "neo ta**ra" confond sexualité énergétique et pratique spirituelle. Dans le Trika, l’énergie sexuelle (retas) est sublimée, non exploitée. L’union véritable (maithuna) n’est pas un massage collectif : c’est la fusion du prakāśa et du vimarśa dans le hṛdaya. Le corps est un instrument de reconnaissance, non un objet de commerce.

4. Absence de Śāstra et de Guru-paramparā.
Aucun enseignement tantrique authentique n’est transmis hors du cadre śāstra–guru–śiṣya. L’autoproclamation de « sœur-déesse » et les stages mixtes « massages tantriques » n’ont aucun lien avec la lignée śaiva. Abhinavagupta prévient expressément dans le Tantrāloka que les pratiques sexuelles sans dīkṣā et sans jñāna conduisent à la dégradation (adhogati), non à la délivrance.

🕉️Perspective du Trika

La vraie « puissance de la femme » (strī-śakti) n’est pas dans la réhabilitation psychologique du corps, mais dans la reconnaissance du Soi comme Śakti universelle — la conscience se connaissant elle-même.
Le Trika ne dit pas « réancre-toi dans ton sexe », mais « reconnais le madhya, le Cœur ». Là seulement se trouve la śakti-samvit — la vibration consciente où se résorbent masculin et féminin, sujet et objet.

🌿 RESTAURER LE TA**RAContre la lecture académique du Trika ŚaivaIl est temps de rendre au Ta**ra sa vérité : non celle q...
28/10/2025

🌿 RESTAURER LE TA**RA

Contre la lecture académique du Trika Śaiva

Il est temps de rendre au Ta**ra sa vérité : non celle qu’en fabriquent les historiens ou les exégètes, mais celle qu’il se donne à lui-même — la reconnaissance vivante de la conscience libre (svātantrya–saṁvid). Ce que l’Occident appelle « shivaïsme du Cachemire » n’est pas un courant intellectuel du passé : c’est une voie d’éveil opérative, issue de la Révélation (āgama) et de la réalisation directe (pratyabhijñā). Réduit à une « philosophie moniste » ou à une « théologie du pouvoir », il perd sa source : le Cœur vivant (hṛdaya), là où se reconnaissent Śiva et Śakti comme un seul et même éclat.
Les lectures universitaires ont voulu expliquer le Trika ; or on ne peut expliquer la lumière qu’en l’obscurcissant. En enfermant le śāstra dans la catégorie de « système », elles ont remplacé la transmission par le commentaire, la reconnaissance par l’analyse, l’expérience par le discours. Ce manifeste vise à restaurer le Ta**ra tel qu’Abhinavagupta l’a révélé : non comme spéculation, mais comme acte vivant de conscience.
Le Trika Śaiva n’est pas la recherche d’un pouvoir, d’une extase ou d’une philosophie de la conscience ; il est la conscience elle-même se découvrant comme liberté absolue. Là où l’universitaire dissèque les concepts, l’ācārya reconnaît la vibration unique (spanda) du réel. Restaurer le Ta**ra, c’est donc libérer la Parole de l’érudition pour qu’elle redevienne Révélation.



🔹 II. RÉFUTATION DOCTRINALE

1. Le Ta**ra n’est pas une quête de pouvoir

Réduire le Ta**ra à la recherche d’un pouvoir, c’est l’avoir déjà quitté.
La Śakti n’est pas énergie à posséder : elle est la conscience elle-même, s’éveillant à sa propre liberté (vimarśa–śakti).
Le śaktipāta n’accorde aucun pouvoir ; il dissout celui qui voulait en avoir.
Dans le Trika, l’unique puissance est celle du Soi, libre d’agir ou de ne pas agir : svātantrya.
Chercher à « accroître son énergie » est encore un acte de paśutva, non de reconnaissance.

2. Le rituel n’est pas acte mais miroir

Les rites tantriques n’ont jamais eu pour but d’exciter les forces, mais de les reconnaître comme la conscience elle-même.
Le Vijñānabhairava le déclare : śaktiḥ dvāram — « Śakti est la porte ».
Cela ne désigne pas la femme, ni le corps, mais le frémissement intérieur du spanda.
L’union rituelle de Śiva et Śakti est symbole de l’union de prakāśa et vimarśa dans le madhya.
Faire du Ta**ra une liturgie sexuelle, c’est ignorer que l’acte sacré a été transmuté en pure reconnaissance.

3. Le Trika n’a jamais été “domestiqué”

Parler de « domestication » du tantrisme par les brahmanes du Cachemire, c’est inverser la réalité.
Abhinavagupta n’a pas moralisé le Ta**ra ; il l’a intériorisé.
Il a déplacé le culte du temple vers le hṛdaya, dissolvant le rituel dans la pure conscience (śāmbhavopāya).
Ce que les érudits appellent « atténuation » est en vérité la transmutation du rituel en gnose.
Le sacrifice est devenu acte de reconnaissance ; la purification, dévoilement de la lumière déjà pure.

4. Abhinavagupta n’est pas un systématicien

Le réduire à un théologien ou à un rationalisateur du Ta**ra, c’est ignorer sa nature.
Il ne compose pas un système ; il révèle la conscience qui transcende tout système.
Ses textes ne sont pas discours sur la vérité, mais révélation de la vérité.
Quand il parle, c’est la lumière qui se parle à elle-même.
Na hi ayam granthaḥ kevalaṁ śāstra–rūpaḥ, api tu saṁvid–sphuraṇa–rūpaḥ : « Ce traité n’est pas une doctrine, mais l’éclat même de la conscience. »

5. Śiva n’est pas le “possesseur” de Śakti

Dire que Śiva est le “possesseur de Śakti” (śaktimān) revient à restaurer une dualité que le Trika a dissoute.
Śiva et Śakti ne sont pas deux réalités : ils sont les deux faces d’une même lumière — prakāśa–vimarśa–maya.
Śiva est la conscience stable, Śakti son auto-réflexion.
L’union n’est pas événement, mais nature.
Il n’y a jamais eu séparation ; le “jeu” (līlā) est le déploiement de cette inséparabilité.

6. La reconnaissance n’est pas inférence

La pratyabhijñā n’est pas un raisonnement ni une conclusion logique : elle est l’évidence immédiate de la conscience se reconnaissant.
Aucun parārthānumāna ne peut y conduire.
L’énoncé aham eva śivaḥ n’est pas résultat d’un effort cognitif, mais effacement du chercheur.
L’inférence appartient à la voie individuelle (āṇavopāya) ; la reconnaissance, à la pure conscience (śāmbhavopāya), sans support, sans médiation.

7. Le Trika n’est pas un idéalisme

Comparer le prakāśa à l’“être-perçu” de Berkeley, c’est méconnaître la portée du mot.
Le prakāśa n’est pas l’esprit qui perçoit, mais la lumière sans sujet.
Il ne dit pas : « je perçois », il est ce par quoi toute perception est.
Le vimarśa n’est pas jugement mais battement de cette lumière.
Là où l’idéalisme reste mental, le Trika est au-delà du mental : conscience vibrante, libre de se manifester ou non.



🔹 III. CONCLUSION VIVANTE

Restaurer le Ta**ra, c’est rendre au mot Trika son sens véritable : non une école, mais le frémissement de la conscience totale — spanda-tattva.
Ce que l’on nomme aujourd’hui « philosophie du shivaïsme du Cachemire » n’est pas une philosophie : c’est la conscience se sachant divine.
Le Ta**ra n’a pas besoin d’être expliqué ; il se reconnaît.
Il ne s’enseigne pas comme une théorie, mais se transmet comme un feu.

Abhinavagupta n’a jamais prétendu construire un système : il a révélé le Cœur.
Son œuvre entière n’a qu’une visée — pratyabhijñā–kriyā, l’acte de reconnaissance.
Il ne dit pas : « Tu es cela » ; il fait voir qu’il n’y a jamais eu deux.
Dans le śāmbhavopāya, tout discours s’éteint, et seule demeure la lumière consciente d’elle-même.
C’est cela qu’il faut restaurer : non les rites, non les formes, mais la liberté nue de la conscience.

Le Trika Śaiva n’est ni ascèse ni spéculation, ni yoga du corps ni logique de l’esprit : il est le dévoilement direct de ce que tout être est déjà.
Le seul pouvoir du Ta**ra est celui de dissoudre celui qui veut du pouvoir.
Le seul savoir est celui par lequel la conscience se reconnaît comme origine et fin de toute chose.

Ainsi, Restaurer le Ta**ra ne signifie pas en parler mieux, mais cesser d’en parler — pour le vivre depuis le Cœur.
Quand le mental s’incline, la Śakti se révèle d’elle-même : prakāśa-vimarśa-ekatā — lumière et vibration ne font qu’un.
Là, tout commentaire s’achève, et la parole devient ce qu’elle décrit : la Révélation même (āgama–svayam).

Mon enseignement ne repose pas sur des rituels ou des initiations extérieures : il procède de la reconnaissance directe ...
28/10/2025

Mon enseignement ne repose pas sur des rituels ou des initiations extérieures : il procède de la reconnaissance directe (pratyabhijñā) telle qu’Abhinavagupta l’enseigne dans le Trika Śaiva. Le pūjā, le mantra ou la dīkṣā n’y sont pas rejetés, mais reconnus dans leur essence : des expressions du pouvoir de conscience (śakti–samvit), non des moyens séparés. La voie que je transmets s’enracine dans cette évidence : tout est déjà Bhairava, la Conscience libre (svātantrya) se reconnaissant en toute chose. Ainsi, chaque séance, chaque respiration, chaque parole est pūjā intérieure — une consécration du réel dans le Cœur (hṛdaya). Ma pédagogie suit la gradation exacte d’Abhinavagupta : purification de l’instrument dans l’āṇavopāya, intériorisation vibratoire dans le śāktopāya, et reconnaissance spontanée dans le śāmbhavopāya. Cette transmission, vivante et non rituelle, est la jñāna–dīkṣā décrite par le Tantrāloka : la grâce qui s’actualise par la parole consciente et la présence. Elle ne cherche pas à transmettre une croyance, mais à éveiller une reconnaissance : « Je suis Śiva », ici et maintenant.
Offre spéciale pour le programme 1 jusqu'au 31 décembre 2025.

Profitez d'une offre spéciale sur le Module 1 de la voie du Trika Śaiva vivant. Découvrez la reconnaissance directe du Soi par le souffle (prāṇa), le cœur (hṛdaya), la śakti vivante.

Métaphysique Vivante – La Vision du Trika ŚaivaLa métaphysique authentique, telle que transmise dans le Trika Śaiva, ne ...
15/10/2025

Métaphysique Vivante – La Vision du Trika Śaiva

La métaphysique authentique, telle que transmise dans le Trika Śaiva, ne relève ni d’une philosophie, ni d’une religion, ni d’un psychologisme spirituel.
Elle repose sur une connaissance supra-mentale (jñāna), c’est-à-dire une reconnaissance directe de la conscience absolue (cit) comme source et essence de tout.

Le rationalisme moderne — qu’il soit religieux, laïque ou humaniste — reste enfermé dans le mental (vikalpa). Il cherche à expliquer le Réel au lieu de s’y reconnaître.
La métaphysique, elle, ne s’explique pas : elle se réalise.

Toute tentative de ramener le spirituel dans les limites de la pensée, de la morale ou de la culture profane, trahit le principe même de la śakti–saṁvit : la conscience vivante, auto-réflexive, infinie.

La voie du Trika ne s’oppose à rien : elle transcende.
Mais elle ne transige jamais avec la confusion : ce qui relève de la buddhi (intellect universel) ne saurait être soumis aux cadres du mental collectif.

Préserver l’authenticité, c’est maintenir la distinction nette entre :
– la pensée (vikalpa) et la vision directe (darśana),
– la culture et la conscience,
– le savoir et la réalisation.

Vimarśa : la Racine du Madhya — Là où Śakti se ReconnaîtQuand on dit, dans le Trika, que tout est conscience, on ne parl...
09/10/2025

Vimarśa : la Racine du Madhya — Là où Śakti se Reconnaît
Quand on dit, dans le Trika, que tout est conscience, on ne parle pas d’une pensée.
La saṃvid, la conscience, n’est pas un miroir mental.
Elle est Śiva, lumière absolue (prakāśa).
Et cette lumière, pour être vivante, possède un pouvoir :
le pouvoir de se connaître elle-même.
Ce pouvoir, c’est vimarśa.
Vimarśa n’est pas la pensée,
c’est la racine de toute conscience de soi,
le jaillissement du “Je suis”.
C’est l’instant où Śakti se retourne vers Śiva et se reconnaît.
Avant même qu’il y ait mental, image ou idée.
Ce vimarśa universel,
quand il se condense dans le corps de l’adepte,
devient le spanda, le frémissement divin.
Et ce spanda est perçu dans un point très précis :
le madhya, l’interstice.
Entre deux souffles, entre deux pensées,
quelque chose s’arrête —
et dans cet arrêt, la conscience se révèle à elle-même.
Ce que tu ressens alors,
ce n’est pas un vide mort,
mais la Śakti se reconnaissant comme Śiva.
C’est cela, la pratyabhijñā — la reconnaissance.
Vimarśa est la racine cosmique.
Madhya est la porte intérieure.
Et dans leur union,
la liberté consciente (svātantrya) de Śiva se révèle.
Ce n’est pas un concept : c’est un tremblement vivant.
Lorsque tu entres dans le madhya,
tu touches le même point d’où le monde entier jaillit.
Là, il n’y a plus sujet ni objet —
seulement le cœur vibrant du divin,
silencieux et libre.

La sortie du volume 2 du Tantrāloka marque un événement important pour la communauté des chercheurs du Trika et des lect...
30/09/2025

La sortie du volume 2 du Tantrāloka marque un événement important pour la communauté des chercheurs du Trika et des lecteurs passionnés par la tradition tantrique du Cachemire. Ce volume complète la traduction et les commentaires du texte fondamental d'Abhinavagupta, couvrant cette fois les chapitres 14 à 37, approfondissant les clés pratiques et philosophiques pour la reconnaissance du Soi (pratyabhijñā).

Points clés du Tantrāloka Volumes 1 et 2
Traduction rigoureuse et fidèle au sanskrit, avec notes explicatives et commentaires, facilitant l’accès à un public large, aussi bien débutant qu’expérimenté dans la voie du Trika.

Le premier volume (chapitres 1 à 13) introduit la structure des voies de libération (upāya) et les fondements de la non-dualité tantrique. Le second volume (chapitres 14 à 37) offre des approfondissements pratiques, devenant ainsi un véritable manuel de réalisation spirituelle.

C’est une synthèse magistrale de tous les enseignements tantriques du shivaïsme non duel, intégrant philosophie, yoga et pratiques ritualistes, selon l’approche du maître Abhinavagupta.

Ressources pour approfondir
Les cinq premiers chapitres du Tantrāloka sont disponibles en traduction française commentée par Lilian Silburn et André Padoux, publiée sous le titre « La Lumière sur les Ta**ras ».

Pour poursuivre au-delà du chapitre 5 — c’est-à-dire vers les chapitres 6 à 37 qui constituent la suite et la richesse complémentaire du traité — il faut se référer aux traductions ou commentaires plus récents et aux nouveaux volumes qui viennent d’être publiés.

La lecture de recueils complémentaires, tels que « Textes sacrés du Ta**ra non-duel — L’essence du Trika », peut enrichir la compréhension des fondements et aider à contextualiser le Tantrāloka au sein de la tradition cachemirienne.

Pour qui ?
Ce livre s’adresse aux chercheurs sincères de la voie Trika désirant à la fois une compréhension théorique solide et un appui pratique pour l’incarnation de l’enseignement dans leur vie. Les traductions, annotées et accessibles, sont idéales pour l’accompagnement, l’étude collective ou la transmission dans le cadre de cercles tantriques.

Ce lancement contribue grandement à la revitalisation moderne de la voie du Trika en francophonie et offre un support de référence pour toute transmission écrite ou orale de cette tradition.

Promo de la rentrée pour le Module 1
29/09/2025

Promo de la rentrée pour le Module 1

Profitez d'une offre spéciale sur le Module 1 de la voie du Trika Śaiva vivant. Découvrez la reconnaissance directe du Soi par le souffle (prāṇa), le cœur (hṛdaya), la śakti vivante.

Livres pour éveiller, approfondir et incarner la voie du TrikaDans la tradition tantrique du Trika, l’étude des śāstra e...
26/09/2025

Livres pour éveiller, approfondir et incarner la voie du Trika
Dans la tradition tantrique du Trika, l’étude des śāstra est une voie directe vers la reconnaissance du Soi (pratyabhijñā).
Les textes ne sont pas des supports théoriques, mais des lieux vivants de résonance.
Voici les ouvrages proposés pour accompagner la reconnaissance.

1. 🕉️ Tantrāloka — Lumière sur le Ta**ra (Volumes 1 et 2)
Traduction vivante des chapitres 1 à 13 d’Abhinavagupta et 14 à 37.
Résumé : Le Tantrāloka est le traité majeur du Trika śaiva, synthèse de tous les enseignements tantriques révélés. Ce premier volume introduit la structure des voies (upāya) et les fondements de la non-dualité tantrique. Le second donne les approfondissements et les clés pour la reconnaissance, faisant du Tantrāloka un véritable manuel de libération.
📌 Points forts :
Traduction rigoureuse, fidèle au sanskrit et accessible à tous
Notes explicatives, commentaires
Idéal pour les chercheurs sincères du Trika vivant
📖 2. 📿 Textes sacrés du Ta**ra non-duel — L’essence du Trika
Traductions Vijñānabhairava, des Śivasūtra, de la Pratyabhijñā etc.
Résumé : Recueil de textes tantriques essentiels, traduits avec précision, en fidélité à la tradition du Cachemire.

Découvrez une encyclopédie du Ta**ra cachemirien qui allie pratiques spirituelles, méditations profondes et une exposition claire de la non-dualité. Conçue comme un manuel pratique, cette traduction fidèle du texte sanskrit authentique privilégie la clarté et la cohérence philosophique. Les...

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