Doc Int DOC INT propose aux médecins des missions de prestations de services de courte, moyenne et longue durée. Qui sommes-nous ?

DOC INT a été créée par trois associés issus d’une longue expérience auprès des Professionnels de santé et des Etablissements de soins. L’idée de mettre en relation l’offre de soins et la demande de soins, en bonne adéquation avec les besoins géographiques de nos clients, est devenu notre objectif au quotidien. DOC INT collabore étroitement avec la majorité des établissements de santé publics ou privés sur l'ensemble du territoire français et d'Outre-Mer. Nous prenons en charge la gestion des plannings de votre personnel médical pour assurer la continuité des services. Le bon fonctionnement de votre établissement mérite toute notre attention! DOC INT propose également aux médecins des missions de prestations de services de courte, moyenne et longue durée. La réactivité :

Le réseau médical de DOC INT nous permet de répondre favorablement et de manière réactive aux demandes formulées par les centres hospitaliers, grâce à un réseau médical très important. Nous intervenons ainsi partout en France métropolitaine et DOM/TOM. L’engagement :

Nous personnalisons les demandes de nos clients afin de travailler en parfaite adéquation et harmonie avec eux. Nous travaillons en amont avec les médecins, afin de confirmer leur candidature, compétences, appétences et disponibilité pour le poste confié. Le contrôle de la qualité :

Pour chaque mission confiée, DOC INT établit un processus bien défini, rigoureux, répondant à une charte de qualité définie en interne par un comité : compte rendu d’activité validé par les responsables médicaux, mesure de la satisfaction client…

Un recrutement rigoureux :

Le recrutement d’un médecin est effectif après plusieurs étapes de sélection durant lesquelles il doit satisfaire certains critères, parmi lesquels la validation du Doctorat et de la spécialité, l’inscription à l’ordre des médecins, l’expérience et références professionnelles.

Vous avez des disponibilités pour 2021 ?N'hésitez pas à faire appel à nos experts. Doc Int travaille conjointement avec ...
07/04/2021

Vous avez des disponibilités pour 2021 ?

N'hésitez pas à faire appel à nos experts. Doc Int travaille conjointement avec de nombreux établissements hospitaliers, en France et dans les DOM TOM.

Pour plus d'informations sur nos missions, n'hésitez pas à nous contacter au 01 47 30 98 16.







L'équipe Doc Int.

**** Actualités : la mortalité est plus importante dans les pays au niveau d'obésité le plus élevé ****«La corrélation e...
06/04/2021

**** Actualités : la mortalité est plus importante dans les pays au niveau d'obésité le plus élevé ****

«La corrélation entre l'obésité et le taux de mortalité lié au Covid-19 est clair"

"Faut-il vacciner en priorité les personnes atteintes d'obésité ? C'est la demande qui surgit après la publication d'un nouveau rapport mettant en évidence la mortalité liée au coronavirus et le surpoids.
L'étude, publiée par la World Obesity Federation (WOF) et relayée par le Guardian, explique que 2,2 millions des 2,5 millions de morts liés au virus proviennent de pays où l'obésité est très présente. Parmi les plus touchés, on retrouve notamment le Royaume-Uni, les Etats-Unis ou l'Italie, qui ont tous une population à plus de 50% en surpoids.

D'après le rapport de la WOF, le facteur du poids est ainsi juste derrière l'âge lorsqu'il s'agit d'évaluer les personnes les plus à risques. Et cela n'est pas forcément lié à la qualité des données dans certains pays ou à la richesse de ces derniers. Le docteur Tim Lobstein, auteur du rapport, explique ainsi au Guardian : «il y a des pays riches avec des taux peu élevés de surpoids, comme le Japon ou la Corée du Sud, qui ont un taux de mortalité bas. En revanche, il y a des pays avec des revenus moins élevés comme l'Afrique du Sud ou le Brésil, où le surpoids touche plus de la moitié de la population, et nous voyons un haut taux de mortalité lié au coronavirus»

En France, le 18 janvier dernier, un communiqué avait été publié alertant sur l'inquiétude des personnes en surpoids de ne pas être considérées comme prioritaires pour la vaccination.
À l'heure actuelle, l'obésité est sur la liste des comorbidités donnant accès aux traitements pour les personnes âgées de 50 à 64 ans inclus."

*Source : Infographie le Parisien et Cnews

**** Pensée du week-end ****      DOC INT
02/04/2021

**** Pensée du week-end ****








DOC INT

**** Fiche métier : le médecin généraliste en France ****Ils sont plus de 90 000 en France. Présentés comme les pivots d...
02/04/2021

**** Fiche métier : le médecin généraliste en France ****

Ils sont plus de 90 000 en France. Présentés comme les pivots du système de santé, les médecins généralistes ne se sentent pourtant pas toujours considérés à leur juste valeur.

A quoi ressemblent les revenus des médecins généralistes en France aujourd'hui ? Comment ont-ils évolué dans le temps ? Quels sont ceux de leurs confrères européens. Petite r***e chiffrée pour se faire une idée.

Les médecins généralistes bénéficient d'une moyenne de 6.800 euros net par mois, mais ce revenu cache de grandes disparités :

En fait, un quart des médecins généralistes gagne moins de 2.980 euros net par mois, alors qu'un autre quart gagne plus de 11.500 euros par mois.

Sous-rémunérés les médecins généralistes par rapport à leurs confrères? Ils figurent en tout cas en bas de tableau de la médecine libérale.

Tout n'est évidemment pas qu'affaire de rémunération. La question de la considération compte également. Les clichés ont la vie dure. Cette spécialité se classe parmi les moins attractives pour les futurs internes ayant réussi les épreuves classantes nationales, juste devant la médecine du travail. La spécialité de médecine générale n'existe que depuis 2002. Avant on parlait d'omnipraticiens. Ce qui induit parfois une sorte de regard un peu condescendant.

Enfin, l'évolution dans le temps des revenus des médecins généralistes est intéressante puisqu'elle représente 30 ans de quasi-stagnation.

A l'heure de notre crise sanitaire, revaloriser la médecine générale est donc plus que jamais d'actualité.

* Source L'Express et AlloDocteur






DOC INT

01/04/2021

--> Vous avez des disponibilités pour 2021 ?

--> N'hésitez pas à faire appel à nos experts. Doc Int travaille conjointement avec l'APHP mais également avec de nombreux GHT, en France et dans les DOM TOM.

--> Pour plus d'informations sur nos missions, n'hésitez pas à nous contacter au 01 47 30 98 16 ou support@doc-int.com.







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**** Actualités covid 19 : les réanimateurs craignent d'avoir "deux patients mais une seule place ****" 41 directeurs de...
01/04/2021

**** Actualités covid 19 : les réanimateurs craignent d'avoir "deux patients mais une seule place ****

" 41 directeurs de crise de l'APHP ont signé une tribune dans le JDD, expliquant qu'ils craignent de devoir faire un "tri" de patients en réanimation.

Dans un but d'information et d'alerte légitime de nos concitoyens, de nos futurs patients et de leurs familles, nous souhaitons expliquer de manière transparente la situation à laquelle nous allons devoir faire face et comment nous allons l'affronter. Dans cette situation de médecine de catastrophe où il y aura une discordance flagrante entre les besoins et les ressources disponibles, nous serons contraints de faire un tri des patients afin de sauver le plus de vies possibles. Ce tri concernera tous les patients, Covid et non Covid, en particulier pour l'accès des patients adultes aux soins critiques.

Nous n'avons jamais connu une telle situation, même pendant les pires attentats subis ces dernières années. Avant d'en arriver à cette période douloureuse mais proche, nous mettrons tout en œuvre pour en retarder l'échéance en utilisant toutes les ressources humaines et matérielles disponibles, en procédant à des évacuations sanitaires au maximum des possibilités même si celles-ci se réduisent de jour en jour du fait même de la progression de l'épidémie dans toutes les autres Régions.

En réalité, sous couvert de déprogrammation, on a déjà commencé à faire un tri à l'hôpital. Pour le moment, c'est un tri acceptable éthiquement, c'est-à-dire qu'on ne sacrifie pas des vies. Mais tous les jours, il y a des gens qui ont besoin de l'hôpital et à qui on ne peut pas fournir de soin, car il faut réserver la place à quelqu'un d'autre. Il en résulte des déprogrammations médicales et chirurgicales importantes.

Nous savons pertinemment que celles-ci sont associées à des pertes de chances et des non-accès aux soins pour certains patients. Ces déprogrammations vont devoir s'intensifier dans les jours qui viennent, n'épargnant bientôt plus que les urgences vitales. Depuis plusieurs jours, nous sommes déjà contraints de peser soigneusement les indications de certaines techniques de recours exceptionnel comme l'assistance circulatoire.

Nous, médecins impliqués dans la prise en charge des victimes graves de la pandémie, affirmons que nous serons présents auprès de tous les patients et de leurs familles pour les prendre en charge quelles que soient les difficultés de nos conditions d'exercice car c'est notre mission. Nous savons pouvoir compter sur la mobilisation sans faille de l'ensemble des soignants quelle que soit leur lassitude et malgré des conditions d'exercice qu'ils n'imaginaient pas connaître un jour. Nous ne pouvons rester silencieux sans trahir le serment d'Hippocrate que nous avons fait un jour."

* Source : le JDD







L'équipe Doc Int

****Journée mondiale de la bipolarité : Témoignage****En cette journée mondiale des troubles bipolaires, coup de project...
30/03/2021

****Journée mondiale de la bipolarité : Témoignage****

En cette journée mondiale des troubles bipolaires, coup de projecteur sur ces très éprouvantes "montagnes russes" des émotions et de l’humeur, sixième cause de handicap dans le monde.

" Le plus souvent, la bipolarité se manifeste par une courte phase euphorique (aussi appelée maniaque ndlr) suivie d'une dépression beaucoup plus longue. Et plus l'euphorie va être importante, plus la dépression va être dure et compliquée. La phase euphorique est la plus impressionnante, mais finalement c'est la dépression qui est le plus dure à soigner. L'euphorie peut durer quelques jours à quelques semaines grand maximum, la dépression, elle, dure plusieurs mois.

L'un des premiers signaux qui alerte est l'insomnie. Le manque de sommeil est un facteur fort : dès que je ne dors pas pendant deux nuits consécutives je sais qu'une crise va arriver. Ensuite je commence à me sentir super bien, pleine de projets. Je perds la notion du temps. Par exemple je pense partir une heure en promenade, mais finalement je pars cinq heures, sans prévenir personne. Quand je suis dans une crise je ne fais pas vraiment attention, même s'il y a quand même des signes qui me font dire que ce n'est pas normal. Et mon entourage m'alerte aussi. Dans ces moments, il y a des hauts et des bas : parfois ça va mieux, puis ça repart.

Avoir une bonne hygiène de vie est très important. Il faut bien dormir, éviter les excès de drogues ou d'alcool, avoir un rythme de vie bien cadré et organisé et se ménager sur plan affectif. C'est compliqué d'adapter son mode de vie à la maladie, surtout que le diagnostic tombe en général entre 20 et 30 ans, une période où l'on n'a pas forcément envie d'être dans la mesure. Il est important de connaître ses limites pour pouvoir réagir au plus vite.

Les maladies mentales font toujours peur, mais les mentalités ont bien changées. Les gens comprennent mieux la maladie qu'il y a trente ans. A l'époque, les bipolaires étaient hospitalisés à chaque crise, ils devaient se faire interner par un proche dans des secteurs fermés, où les malades subissaient des "cures de sommeil" qui consistaient à les faire dormir toute la journée à l'aide de sédatifs. Néanmoins, la bipolarité reste toujours une maladie mystérieuse pour la plupart des gens, surtout parce qu'on ne connaît pas bien les mécanismes biologiques.

Quand on se sait bipolaire, on ne voit pas bien comment on peut être heureux dans sa vie. Mais c'est possible et j'en suis la preuve vivante. Entre chaque crise, il y a cette longue période où tout se passe bien. Bonheur et bipolarité peuvent fonctionner ensemble !"

* Source : Allodocteur et Sciences et Avenir






L'équipe Doc Int

**** Infographie : les femmes médecins en France ****En médecine, la femme est l’avenir de l’homme.Cette féminisation, p...
29/03/2021

**** Infographie : les femmes médecins en France ****

En médecine, la femme est l’avenir de l’homme.

Cette féminisation, progressive, n’a pas encore permis de dépasser les hommes, en effectif total. Sur l’ensemble des médecins, on recense 44% de femmes. Mais ce n’est qu’une affaire de quelques années : les femmes sont déjà plus nombreuses parmi les praticiens de moins de 50 ans.

* Source : la Croix







L'équipe Doc Int

**** Pensée du week-end ****
26/03/2021

**** Pensée du week-end ****

**** Remplacement médical ****DOC INT a été créé par des professionnels du monde de la santé, pour les professionnels de...
25/03/2021

**** Remplacement médical ****

DOC INT a été créé par des professionnels du monde de la santé, pour les professionnels de santé et les centres hospitaliers.

Notre objectif : satisfaire la pénurie de médecins auquel le système de santé, et plus particulièrement les Centres Hospitaliers sont confrontés.

Notre métier : une sélection rigoureuse, un process de sélection, validé à chaque étape du recrutement, permettant un contrôle des candidatures, et une réponse adaptée à vos besoins.

N'hésitez pas à nous contacter au 01 47 30 98 16 pour plus d'informations.

L'équipe Doc Int





****Témoignages Soignants : Retour sur une période de crise ****" On échangeait le linge propre et le linge sale dans le...
24/03/2021

****Témoignages Soignants : Retour sur une période de crise ****

" On échangeait le linge propre et le linge sale dans le hall de l’hôpital, dans des sacs poubelle. On laissait les sacs 72h avant de les ouvrir. On avançait à tâtonnements, on ne connaissait pas l’ampleur de la contagiosité de la maladie, donc on ne savait pas comment agir. On avait un protocole spécifique de désinfection à la javel quand un patient quittait la chambre. Les collègues avec comorbidités sont restés chez eux, exceptionnellement.

Il y avait donc du personnel en moins et du travail en plus. Ensuite, on a reçu des protections. Masques, visières, surblouses…. Puis petit à petit, la pénurie de blouses et de matériel est arrivée. On devait mettre des sacs poubelle pour éviter les projections. On disait que le virus était volatile et qu’il pouvait flotter dans l’air pendant des heures, qu’on pouvait l’attraper par les muqueuses, donc qu’il fallait se protéger les yeux…

Il y a eu beaucoup d’improvisation, mais on a eu davantage tendance à trop se protéger plutôt que pas assez, ce qui est une très bonne chose. Dans le même temps, le premier tour a eu lieu, on était premiers. On savait qu’on allait au deuxième tour.

On a eu les applaudissements à 20h, ça met du baume au cœur. Mais au-delà de ça, on a eu une prime covid, comme tous les soignants dans les départements ciblés. Mais le ségur de la santé ne m’a pas satisfait. Il n’a satisfait personne. On assiste encore à la casse de l’hôpital public. On n’était pas préparés pour une épidémie aussi forte, pas assez de lits, pas assez de personnel… La politique du numerus clausus est complètement dépassée.

Les médecins partent à la retraite et on n’arrive pas à les remplacer. J’espère qu’on en tirera des leçons. On a avancé au radar. Et on a bien démontré dans les hautes sphères qu’on n’était absolument pas prêts. Et la vaccination est à l’heure qu’il est beaucoup trop lente malgré l’opération « coup de poing ".

* Source : l'observateur







L'équipe Doc Int

**** Actualités : À quoi ressemblera la vie après le Covid-19 ? *****Entretien avec l’anthropologue Michel Agier."Depuis...
24/03/2021

**** Actualités : À quoi ressemblera la vie après le Covid-19 ? ****

*Entretien avec l’anthropologue Michel Agier.

"Depuis bientôt un an, le Covid-19 bouleverse notre quotidien et nous oblige à réinventer nos vies et nos rapports sociaux. Que restera-t-il de cette pandémie une fois le coronavirus maîtrisé ? Quels enseignements tirerons-nous de cette crise sanitaire ?

L’exception est devenue la norme, comme le port du masque. Que restera-t-il une fois la pandémie derrière nous ?

On est déjà dans des formes de vie qui nous font davantage penser à la science-fiction, aux romans d’anticipation. Parler devant une assemblée vide, remplacer 200 000 personnes par autant de drapeaux lors de l’investiture américaine, travailler en distanciel derrière un écran… On remplace les gens par des petits épouvantails, des artefacts. C’est du jamais vu. Nos corps s’y sont habitués, notre conscience n’a pas encore actualisé.

Cette crise sanitaire peut-elle changer nos rapports sociaux ?

Le Covid distend les relations. Même si on résiste en utilisant comme substitut des moyens de communication indirect (téléphone, internet, etc.), cela crée de la distance entre les personnes. L’individualisation de la vie, la tendance à la rétraction sur soi qui existait déjà a tendance à se renforcer.

Travail, environnement, consommation, voyage, spiritualité… Plusieurs voix s’accordent pour dire que cette crise va profondément nous transformer. Êtes-vous d’accord avec cette idée ?

Faire davantage attention à ce que l’on mange, aux dégâts que l’on fait à la nature… Ce qu’on peut constater déjà, c’est la prise de conscience écologique. S’est-elle faite à l’échelle mondiale ? On ne le saura pas tout de suite, il faudra du temps.

Par ailleurs, les virus, il y en aura d’autres, il faut apprendre à vivre avec cette réalité-là. On ne pourra pas toujours avancer dans la peur et l’utiliser pour prendre des mesures sécuritaires. Il faut faire confiance aux gens. On ne peut pas non plus supprimer les mobilités de tout le monde sur la planète. On ne peut pas être dans l’enfermement sur soi. La mobilité devra s’adapter à la nécessité de protéger la planète.

À quoi pourrait ressembler alors le monde d’après ?

Le monde d’après n’existe pas, il est déjà là. C’est un présent qui dure. Le monde d’après est devenu un terme de ralliement politique pour ceux qui veulent imaginer un monde meilleur ou revenir à celui d’avant. C'est une espèce de mythe, une construction imaginaire pour sortir de notre sidération, consumer notre peur.

Il faudra ouvrir le débat, mettre en place des formes de participation citoyenne aux mesures qui sont prises… Faire en sorte que les gens prennent part en toute conscience à leur protection sanitaire et participent au choix des mesures pour y adhérer."

*Source : Ouest France
*llustration : Banksy
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