Clémence Grange Psychothérapeute - Hypnothérapeute - Psychanalyste

Clémence Grange Psychothérapeute - Hypnothérapeute - Psychanalyste Diplômée Master (Bac+5)
Psychothérapie/Accompagnement psychologique
Thérapie cognitive comportementale (TCC)
Hypnose Ericksonienne
Psychanalyse
Art-thérapie

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 6 DÉCEMBRE 🌟🪞 LA RÉVÉLATION DES MIROIRS 🪞« Dans certains villages anciens, on racontait qu’en décem...
06/12/2025

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 6 DÉCEMBRE 🌟

🪞 LA RÉVÉLATION DES MIROIRS 🪞

« Dans certains villages anciens, on racontait qu’en décembre, un phénomène rare apparaissait pendant une seule nuit.
On l’appelait la Révélation des Miroirs.

Ce n’étaient pas des miroirs ordinaires.
Ils n’étaient accrochés à aucun mur.
Ils flottaient dans l’air comme des éclats de verre,
éclairés par une lumière qui ne venait de nulle part.
Ils montraient quelque chose que les yeux ne pouvaient pas voir.
Non pas le visage, mais la manière dont le cœur se traitait lui-même.

Certains miroirs révélaient une douceur oubliée.
D’autres montraient une dureté qu’on croyait nécessaire.
Certains restaient vides, en attente d’un regard courageux.

Mais il existait un miroir plus rare que tous les autres.
Le Miroir du 6 Décembre.
On disait qu’il n’apparaissait qu’aux personnes qui passaient leur vie à se juger plus vite qu’elles ne se comprennent, à se retenir plus fort qu’elles ne se soutiennent, à se demander d’être parfaites avant de s’autoriser à être humaines.

Quand ce miroir apparaît, il ne montre rien au début.
Juste une lumière très fine, presque fragile.
Alors on croit qu’on n’a rien à donner, rien à offrir, que l'on ne vaut rien.

Mais si l’on tient le regard une seconde de plus,
quelque chose se produit. La lumière grandit. Elle dessine une forme. Puis une silhouette. Puis une présence.

Et cette présence…c’est soi.
Non pas soi comme on se voit d’habitude mais soi sans l’enfant qu’on a humilié, sans le parent intérieur qui surveille tout, sans la voix qui répète qu’on aurait pu mieux faire et qui nous dévalorise, nous casse, nous critique...
Le Soi, simplement.
Le Soi, intact.
Le Soi, digne.
Le Soi, aimable.

Le 6 décembre enseigne une chose que la psychologie moderne confirme qu'on ne manque pas réellement d’amour pour soi.
On manque de permission.
La permission de se regarder sans jugement.
La permission de se tenir du côté de sa propre vie.
La permission d’être un lieu sûr pour soi-même.

En vérité, la Révélation des Miroirs n’est pas un conte.
C’est un mécanisme.
Le cerveau apprend à s’aimer le jour où on cesse de croire que l’amour doit être mérité ou qu'il faut être parfait pour l'avoir.
Ce jour-là, quelque chose se délie.
Quelque chose se redresse.
Quelque chose se pardonne.

Et alors, dans le miroir, on voit enfin que l'on n’a jamais été indigne.
On a seulement été trop occupé à survivre pour se regarder vraiment. »

🦋 Ce que la métaphore t’invite à regarder 🦋

« Que resterait-il de toi si tu retirais un seul instant le regard dur que tu poses sur toi ? »

✨ Ce que la métaphore t’invite à ressentir ✨

Ferme les yeux.
Imagine un miroir suspendu devant toi.
Il ne cherche rien.
Il n’attend rien.
Il te reflète comme quelqu’un qui mérite déjà douceur et présence.
Reste juste une seconde avec cette version-là.
Elle existe.
Elle te reconnaît.
Laisse-la t’approcher 💗

A demain pour la 7e métaphore-guide ! ✨🎄⭐

Clémence

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 5 DÉCEMBRE 🌟🕯️ LA LUMIÈRE QUE TU AS APPRIVOISÉE 🕯️« L’hiver a cette manière douce d’obliger chaque ...
05/12/2025

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 5 DÉCEMBRE 🌟

🕯️ LA LUMIÈRE QUE TU AS APPRIVOISÉE 🕯️

« L’hiver a cette manière douce d’obliger chaque lumière à se montrer.
Pas les lumières qui éclairent les rues.
Les lumières qui vivent à l’intérieur.

Il existe en toi une lumière que tu n’as jamais éteinte.
Tu l’as seulement rendue discrète.
Tu l’as apprivoisée pour qu’elle ne dérange pas,
pour qu’elle ne dépasse pas, pour qu’elle ne fasse pas peur.

Non pas peur aux autres mais peur à toi-même.

C’est une vérité étrange, presque paradoxale mais ce n’est pas ta fragilité qui t’effraie le plus, ni ton ombre, c’est ta puissance.

La part de toi qui sait.
La part de toi qui voit.
La part de toi qui brille sans demander la permission.

Pendant longtemps, tu as cru que te diminuer te protégeait.
Tu as cru que rétrécir ton rayonnement gardait les liens intacts.
Tu as cru qu’être moins que toi-même rendait les choses plus simples.

Mais aujourd’hui, 5 décembre, quelque chose change dans la manière dont la lumière circule en toi.
Ce n’est pas un éclair, ni une illumination.
C’est plus subtil.
C’est une évidence ancienne qui remonte doucement et qui te révèle que tu n’as jamais eu peur d’être insuffisant.
Tu as eu peur d’être immense.

Parce qu’être immense oblige à habiter l’espace.
À dire oui.
À dire non.
À se tenir droit.
À exister sans s’excuser.

Ton système nerveux connaît ce vertige-là.
Il hésite, il retient, il protège.
C’est normal.
C’est ce que font les êtres qui ont longtemps survécu en se faisant petits.

Mais aujourd’hui, ton corps reconnaît une autre option.
Une option plus vaste, plus vraie, plus douce, celle de laisser filtrer un peu de ta lumière...
Pas toute.
Pas d’un coup.
Juste un rayon.
Juste ce qu’il faut pour te rappeler que tu n’es pas né pour t’effacer.

Cette lumière intérieure n’est pas un spectacle.
Ce n’est pas une performance.
Ce n’est pas un rôle.
C’est un phénomène biologique, psychique, existentiel.

Lorsque tu la laisses vivre,
elle active les zones profondes qui donnent sens, direction, cohérence.
Elle ouvre l’espace où tu n’es plus mené par la peur,
mais guidé par ce qui est vivant en toi.

Et dès que tu laisses un peu de ta lumière s’échapper, les autres sentent qu’ils peuvent faire pareil.
Tu n’imposes rien.
Tu autorises.
Tu ne forces rien.
Tu inspires.
Tu ne prends pas de place.
Tu offres de l’espace.

La lumière ne se compare pas.
Elle se propage.

En ce 5 décembre, ce qui compte n’est pas la force de ta lumière, mais la permission que tu lui donnes d’exister.
Et si tu la laissais simplement exister, sans la réduire pour rassurer le monde ?
Et si tu cessais de lui barrer le chemin, juste pour voir ce qui se passe ? »

🦋 Ce que la métaphore t’invite à regarder 🦋

« Quelle lueur en toi réapparaît quand tu arrêtes de te diminuer ? »

✨ Ce que la métaphore t’invite à ressentir ✨

Ferme les yeux.
Visualise cette lumière intérieure.
Pas comme un feu.
Pas comme un projecteur.
Comme une braise calme, patiente, irréductible.
Approche-toi juste assez pour sentir qu’elle est à toi.
Et laisse-la respirer.

A demain pour la 6e métaphore-guide ! ✨🎄⭐

Clémence

LE TRAVAIL INVISIBLE DES PSYSOn croit souvent qu’un psy commence à travailler quand la porte se ferme, quand la chaise s...
04/12/2025

LE TRAVAIL INVISIBLE DES PSYS

On croit souvent qu’un psy commence à travailler quand la porte se ferme, quand la chaise se rapproche, quand le silence s’installe.

Mais c’est faux.
Le travail commence bien avant.
Loin des regards.
Loin des séances.
Dans un espace intérieur où se fabrique ce que la science nomme parfois la disponibilité thérapeutique. Cet état cérébral rare où l’esprit du thérapeute s’ouvre pour recevoir un autre être humain sans se perdre, sans s’effondrer, sans détourner le regard.

Ce travail-là ne se compte pas en minutes.
Il se compte en présence mentale.
En régulation émotionnelle.
En coût cognitif.

Il demande au cerveau du psy une gymnastique que la plupart ne soupçonnent pas, cela passe par freiner son propre flux émotionnel pour accueillir celui de l’autre, inhiber ses automatismes pour laisser place à la complexité de l’autre, mobiliser des réseaux neuronaux de mémoire, d’empathie, d’analyse, d’attention soutenue et le faire avec une précision que même les métiers les plus techniques n’exigent pas toujours.

Tout cela, personne ne le voit.
Mais le thérapeute, lui, le porte.
Chaque jour.

On croit souvent qu’une séance, c’est qu'une heure...
Mais elle commence bien avant que le patient n’arrive.
Elle commence quand le psy relit les notes de la dernière fois, reconstruit une trajectoire,
tisse des hypothèses, analyse, prépare la future consultation, ouvre un espace intérieur pour recevoir les patients.

Elle commence quand il prépare un outil, réfléchit à un exercice, imagine une formulation, ajuste son cadre, cherche la meilleure manière d’aider, envoie des mails pour continuer l'accompagnement même lorsque tout le monde dort déjà et ce sans jamais savoir si ce qu’il écrit sera lu, si ce qu’il prépare sera utilisé, si ce qu’il donne aura un retour.

C’est un métier où l’on donne sans garantie.
Un métier où l’on donne sans parfois même un “merci”.
Pas par ingratitude.
Mais parce que le patient est souvent absorbé par la tempête qu’il traverse.
Et le psy, lui, tient la lampe allumée pour deux.

On croit souvent que les annulations ne sont qu’un contretemps.
Mais une annulation tardive, pour un psy, ce n’est pas “juste un créneau libre”.
C’est un travail de préparation qui s’éteint, une disponibilité mentale qui retombe, un espace intérieur qui avait été ouvert pour quelqu’un et qui se referme dans le vide.

C’est un effort invisible qui n’aura pas de destinataire.
C’est une charge cognitive qui n’aura pas de sens.

Et le psy doit l’absorber, se réajuster, rester stable,
rester disponible, continuer à offrir un cadre fiable, même quand le sien n’est pas honoré .

Le temps de chacun est précieux. Même celui du psy.

On croit souvent que le psy est un rocher.
Mais le psy est un être humain qui apprend, chaque jour, à tenir debout entre deux mondes : le sien et celui de ceux qu’il accompagne.

Son travail, c’est d’être présent pour l’autre sans disparaître lui-même.
D’ouvrir son esprit à l’autre sans se perdre.
D’entendre des douleurs profondes sans s’effondrer.
De soutenir des récits lourds sans jamais les déposer sur personne.

Son cabinet n’est pas un bureau.
C’est une frontière.
Un espace où un être humain se tient volontairement entre le chaos et la clarté.

Et ça, personne ne le voit.

Le travail d’un psy ne se mesure pas en heures.
Il se mesure en qualité de présence,
en acuité mentale,
en force d’accueil,
en capacité de régulation,
en intégrité du cadre,
en stabilité émotionnelle,
en solidité interne.

Il se mesure à la manière dont son système nerveux se met au service de ceux qui peinent à réguler le leur.
À la manière dont son énergie s’adapte à l’état de l’autre.
À la manière dont il tient le fil quand tout vacille chez l’autre.

Ce travail est invisible.
Mais il soutient des vies entières.

Alors oui, les psys méritent du respect.
Non pas par statut.
Mais parce que leur travail est silencieux, profond, exigeant, infiniment humain et totalement indispensable.

Ils méritent d’être vus.
Ils méritent que leur temps soit respecté.
Ils méritent que leur engagement soit reconnu.

Parce que ce qu’ils donnent n’est jamais “juste une séance”.
C’est un morceau d’eux, offert avec rigueur, science, présence et humanité.

Et ceux qui franchissent leur porte le sentent,
même s’ils ne mettent pas toujours les mots dessus.

Le travail invisible des psys ne se voit pas.
Mais il transforme.
Il apaise.
Il relève.
Il change des trajectoires.
Et pour beaucoup, il sauve la vie.

Si vous cherchez un endroit où votre histoire sera entendue avec finesse, où votre esprit sera accueilli sans jugement, où vos émotions seront comprises dans toute leur complexité, où le travail invisible devient une force au service de votre mieux-être…

Alors venez.
Il existe des thérapeutes dont la présence est une ancre.
Qui travaillent avant que vous n’arriviez et longtemps après que vous soyez partis.
Qui donnent une qualité d’attention rare et qui transforment réellement les vies.

Ce que vous ne voyez pas est exactement ce qui vous aide.

Et c’est cela, le véritable art du soin psychique.

Avec le coeur et en hommage à toutes les personnes qui travaillent dans le domaine de la santé 🙏🏼 en hommage à tous les psy, à tous les thérapeutes, à tous les soignants, les aidants, à tous ceux qui sont acteurs de la santé physique et mentale...

Clémence

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 4 DÉCEMBRE 🌟 🚪 LA PIÈCE QUI SE ROUVRE EN TOI 🚪« Décembre a un pouvoir étrange... il rouvre des pièc...
04/12/2025

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 4 DÉCEMBRE 🌟

🚪 LA PIÈCE QUI SE ROUVRE EN TOI 🚪

« Décembre a un pouvoir étrange... il rouvre des pièces fermées.

Pas des pièces de maisons.
Des pièces de toi.

Des pièces que tu n’as pas habitées depuis longtemps.
Des pièces que tu avais fermées pour avancer,
pour tenir, pour ne pas t’effondrer au milieu du chemin.

Personne ne le dit assez mais le cerveau ferme des pièces pour survivre.
Et il ne les rouvre que lorsque les fondations sont suffisamment stables.

Aujourd’hui, en ce 4 décembre, tu entres exactement dans ce moment subtil où une pièce intérieure commence à se déverrouiller.

Tu ne sais jamais laquelle ce sera.
Parfois c’est une pièce lumineuse que tu avais oubliée.
Parfois une pièce où ta créativité dormait.
Parfois une pièce où ton corps se souvenait d’être léger.
Parfois une pièce où une douleur attendait qu’on la regarde.

On croit souvent que ces réouvertures “viennent du cœur”.
En réalité, elles viennent du système nerveux.

Une partie de toi se dit enfin :
“Je peux supporter ce qu’il y a derrière cette porte.”

La poignée tourne.
La poussière retombe.
Et ce qui se révèle n’est jamais spectaculaire.
C’est souvent discret, presque fragile comme une émotion qui revient sous une autre forme, une vérité qui ne blesse plus, un souvenir qui n’a plus le même poids, un désir que tu reconnais pour la première fois.

Ce n’est pas une pièce à visiter.
C’est une pièce à habiter.

Tu n’as pas besoin de la ranger.
Tu n’as pas besoin de l’éclairer.
Tu n’as pas besoin de la comprendre.

Tu dois juste rester assez longtemps pour sentir que quelque chose en toi redevient accessible.

Et cette accessibilité-là, c’est le début de toutes les guérisons profondes.
Parce qu’on ne guérit pas en se battant.
On guérit en retrouvant des pièces en soi
qu’on avait cessé d’habiter.

Le 4 décembre n’est pas un jour pour devenir quelqu’un d’autre.
C’est un jour pour revenir dans une pièce que tu n’avais plus la force de traverser.
Et sentir, simplement sentir, que tu es enfin capable d’y tenir debout. »

🦋 Ce que la métaphore t’invite à regarder 🦋

« Quel espace intérieur laisse entrer un peu de lumière aujourd’hui ? »

⭐ Ce que la métaphore t’invite à ressentir ⭐

Ferme les yeux.
Visualise une porte intérieure qui se déverrouille doucement.
Rien de spectaculaire.
Juste une pièce qui recommence à respirer.
Entre-y sans faire de bruit.
Reste-y sans te juger.
Et laisse ton corps sentir qu’il peut être là.

A demain pour la 5e métaphore-guide ! ✨🎄💛

Clémence ✨

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 3 DÉCEMBRE 🌟🌙 LES CONSTELLATIONS QUI SE RECONNECTENT 🌙« L’hiver a une particularité que personne ne...
03/12/2025

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 3 DÉCEMBRE 🌟

🌙 LES CONSTELLATIONS QUI SE RECONNECTENT 🌙

« L’hiver a une particularité que personne ne remarque vraiment, c'est qu'il révèle les constellations.

Pas les constellations du ciel.
Les constellations de l’esprit.

C’est une vérité neurologique, pas poétique. C'est à dire que quand la lumière extérieure diminue,
le cerveau éclaire davantage ses propres réseaux internes.
Il rallume des zones qu’il n’utilise jamais en plein été.
Il reconnecte des fragments de toi qui ne se parlent plus depuis longtemps.

Le 3 décembre est le moment exact où cette bascule subtile commence.

Ce n’est pas ton humeur.
Ce n’est pas ton énergie.
Ce n’est pas ton moral.
C’est une réorganisation profonde.
Un phénomène invisible, mais réel, précis, mesurable : les constellations internes cherchent à se reconnecter.

Certaines sont anciennes comme une force que tu avais oubliée, une lucidité qui s’était éteinte, un instinct que tu avais enterré.

D’autres sont nouvelles comme un désir minuscule,
une idée qui scintille, un élan presque imperceptible.

Ce ne sont pas des souvenirs.
Ce ne sont pas des rêves.
Ce sont des points de toi-même qui tentent de s’aimanter à nouveau.

Et le rôle du 3 décembre n’est pas de faire le point,
ni de comprendre, ni de réfléchir.

Le rôle du 3 décembre est d’observer la recomposition.

À un moment, sans prévenir, deux points se relient.
Un souvenir se connecte à une intuition.
Une fatigue se connecte à une vérité.
Un désir se connecte à une limite.
Un doute se connecte à une force.

Une constellation apparaît.
Claire.
Incontestable.
Comme si elle avait toujours été là.
Comme si elle t’avait attendu.

Tu n’as rien à provoquer.
Rien à résoudre.
Rien à accélérer.

Les constellations se reconnectent quand tu es suffisamment immobile pour les laisser le faire.

Le 3 décembre n’est pas un jour pour avancer.
C’est un jour pour laisser émerger une carte intérieure plus juste que tout ce que tu as utilisé jusqu’à présent.

Une carte que tu n’as pas construite.
Une carte que tu n’as pas forcée.
Une carte qui se révèle à toi
parce que tu es enfin en position de la recevoir.

Tu ne peux pas la commander.
Tu peux seulement la reconnaître.
Et cette reconnaissance-là
est déjà une transformation. »

🦋 Ce que la métaphore t’invite à regarder 🦋

« Quel point de toi-même scintille un peu plus fort aujourd’hui même si tu ne sais pas encore à quoi il se rattache ? »

✨ Ce que la métaphore t’invite à ressentir ✨

Ferme les yeux quelques secondes.
Imagine qu’un point lumineux apparaît en toi.
Un seul.
Puis un autre.
Puis un autre.
Sans logique.
Sans carte.
Sans explication.

Observe-les comme on observe le ciel d’hiver, sans chercher à comprendre, uniquement pour laisser émerger la forme.

Dites moi en commentaire ce que vous aurait vu ! 😁

A demain pour la 4e métaphore-guide ! ⭐🎄💛

Clémence

Le cabinet aussi s'habille aux couleurs de Noël 🎄⭐🎅🏻🥰✨
02/12/2025

Le cabinet aussi s'habille aux couleurs de Noël 🎄⭐🎅🏻🥰✨

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 2 DÉCEMBRE 🌟❄️ LA CLARTÉ QUI REMONTE À LA SURFACE ❄️« Lorsque la neige tombe sur une forêt, elle ne...
02/12/2025

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 2 DÉCEMBRE 🌟

❄️ LA CLARTÉ QUI REMONTE À LA SURFACE ❄️

« Lorsque la neige tombe sur une forêt, elle ne la recouvre pas pour l’éteindre.
Elle la recouvre pour l’apaiser.
La neige ne demande rien, elle offre une pause.
Elle dépose du silence là où tout bruissait trop fort.
Elle efface les contours trop nets, adoucit les angles trop vifs et transforme le chaos en quelque chose de lent, de feutré, de respirable.

À l’intérieur de toi, il existe un lac.
Un lac qui a beaucoup absorbé cette année comme des pensées trop rapides, des émotions qui s’entrechoquaient, des décisions prises trop tôt,
et des blessures que personne n’a vraiment vues.

Et comme tout lac, il s’est troublé.
Non pas parce que tu as mal fait mais parce que la vie a secoué ce qu’il y avait au fond.
La vase est remontée.
Les eaux sont devenues floues.
Tu ne voyais plus clair, à vrai dire comment aurais-tu pu ?

Aujourd’hui, le 2 décembre,
quelque chose change imperceptiblement...
Le vent se calme.
La neige tombe doucement sur la surface.
Et ce qu’elle crée, ce n’est pas du froid, c’est du repos.
Un repos tellement profond qu’il permet enfin à ce qui était troublé de se déposer lentement au fond.

La clarté ne revient jamais dans l’effort.
Elle revient toujours dans le calme.

Et pendant que la neige se pose sur ton lac intérieur,
il est possible qu’une part de toi commence déjà à se clarifier.
Pas en forçant.
Pas en cherchant des réponses.
Mais simplement parce que tu t’accordes un instant
où rien ne remue.
Un instant où la surface redevient lisse.
Un instant où ce qui t’embrouillait se dépose
et cesse, enfin, de brouiller ton regard.

Tu n’as rien à comprendre.
Rien à analyser.
Rien à résoudre.
Seulement laisser la neige faire son travail :
apaiser, clarifier, déposer.
Et laisser ton lac retrouver son eau transparente,
à son rythme,
sans pression,
sans délai,
sans obligation de “s’en sortir”. »

🦋Ce que la métaphore t’invite à regarder🦋

« Dans ton lac intérieur, qu’est-ce qui était simplement remué et non brisé ? »

⭐Ce que la métaphore t’invite à ressentir⭐

Ferme les yeux un instant.
Imagine la neige tomber sur la surface de ton lac.
Une chute douce, silencieuse, légère.
Rien ne force.
Rien ne presse.
Et observe mentalement :
plus la surface se calme,
plus l’eau se clarifie.

Un souffle lent.
Une seule image.
C’est suffisant.

A demain pour la 3e métaphore-guide ! 🎄⭐💛

Clémence

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 1ᵉʳ DÉCEMBRE 🌟C'est parti pour le premier jour de ce calendrier de l'avent thérapeutique 😁🎁✨🎄LA FOR...
01/12/2025

🌟 MÉTAPHORE-GUIDE DU 1ᵉʳ DÉCEMBRE 🌟

C'est parti pour le premier jour de ce calendrier de l'avent thérapeutique 😁🎁✨

🎄LA FORÊT QUI REPREND SON SOUFFLE 🎄

⭐ Métaphore ⭐

« En chacun de nous, il existe une forêt intérieure.
Une forêt discrète, que personne ne voit, mais qui travaille pour nous depuis toujours.
Elle est faite de ce que tu as traversé, de ce que tu as porté et aussi de tout ce que tu as tenu en silence même lorsque c’était trop.

Cette forêt a grandi sous des vents que d’autres n’ont jamais sentis.
Elle a affronté des saisons qui ont duré plus longtemps que prévu et des responsabilités qui pesaient bien trop lourd pour l’âge que tu avais.
Parfois, elle s’est inclinée pour ne pas céder.
Parfois, elle s’est figée pour survivre.
Et pourtant… elle est là.
Encore là.
Toujours debout.

Et si décembre n’était pas un mois pour faire plus,
mais un mois pour laisser redescendre ce qui a été porté trop haut, trop longtemps ?

Dans ta forêt intérieure, la sève commence déjà à ralentir.
La terre retrouve une part de son calme.
Chaque tronc, chaque branche, chaque feuille retrouve peu à peu le droit de desserrer ce qu’elle serrait depuis des mois.
Rien à prouver.
Rien à rattraper.
Rien à optimiser.
Juste reconnaître ceci :
le vivant en toi a besoin d’une pause et il la mérite.

En ce premier jour de décembre,
tu peux simplement te tenir là, au bord de ta forêt,
sans forcer, sans chercher, sans t’expliquer.
Juste sentir, un instant, que quelque chose en toi recommence doucement à respirer.

Et pendant que tu lis ces mots, il est possible que ton corps commence déjà à s’ajuster.
Un peu comme si ta propre sève descendait elle aussi, comme si ton souffle se calait sans que tu le décides, comme si une partie de toi comprenait enfin qu’elle a le droit de se reposer.
Le droit de relâcher.
Le droit de souffler.

Pas pour avancer.
Pas pour changer.
Mais simplement parce que tu as tenu suffisamment longtemps.
Et que tenir réclame, au minimum, un moment de douceur. »

🦋 Ce que la métaphore t'invite à regarder 🦋

« Quelle partie de ta forêt intérieure demande, aujourd’hui, à respirer plus librement ? »

✨ Ce que la métaphore t'invite à ressentir ✨

Ferme doucement les yeux.
Imagine ta forêt entière inspirer une seule fois,
calmement, profondément, comme si elle attendait ce moment depuis longtemps.
Puis imagine l’expiration descendre dans la terre,
comme si la terre acceptait de porter ce que tu ne peux plus porter seul.
Laisse ton corps se synchroniser à ce rythme.
Un souffle.
Rien de plus.
Et c’est déjà beaucoup.

A demain pour la deuxième métaphore-guide 😊⭐💫💛🌠✨

Clémence

Un peu d'humour en cette période 🤣🤣
27/11/2025

Un peu d'humour en cette période 🤣🤣

Comment gérer la violence de ce mondeIl y a, dans l’époque que nous traversons,quelque chose qui ressemble à un grondeme...
24/11/2025

Comment gérer la violence de ce monde

Il y a, dans l’époque que nous traversons,
quelque chose qui ressemble à un grondement sourd.
Un bruit de fond qui ne cesse jamais vraiment.
Comme si le monde entier retenait son souffle,
sans savoir s’il va recommencer à respirer
ou exploser.

La violence est partout.
Pas seulement dans les événements.
Dans l’atmosphère.
Dans les gestes précipités.
Dans les regards qui évitent.
Dans les épaules qui se crispent.
Dans les rêves qui s’effritent.
Dans les mémoires saturées d’images qu’aucun cerveau ne devrait porter.

Nous vivons dans un temps où la douleur circule trop vite pour que le cœur ait le temps de la comprendre.
Où les drames arrivent avant les mots pour les dire.
Où chaque être humain porte plus « d’impossible »
que ce que l’évolution avait prévu pour lui.

Le monde est violent.
C’est un fait.
Mais la véritable violence, la plus forte,
c’est celle qu’il exerce sur nos intérieurs.

Celle qui déchire les structures fines :
la capacité d’émerveillement,
la confiance en l’avenir,
la douceur dans la voix,
la lenteur dans les gestes,
l’envie de croire que la vie peut encore être belle.

Alors comment fait-on pour rester debout dans un monde qui chancelle ?

Pas en se blindant.
Pas en se coupant.
Pas en se raccrochant à une colère qui finit par nous ressembler.

On tient debout
en comprenant ce que la violence tente de faire de nous et en refusant d’obéir.

La violence ne veut pas seulement blesser, elle veut réduire.
Elle veut qu’on devienne moins sensible, moins profond, moins vivant, moins nous.

C’est là que réside sa vraie puissance.

Alors la résistance commence en gardant intact ce qui nous rend humains.

Refuser la brutalité intérieure, même quand elle serait la solution la plus simple.
Refuser la froideur, même quand elle semble protectrice.
Refuser le cynisme, même quand il apparaît comme un refuge.

La violence gagne quand nous imitons son mouvement.

Elle perd
quand nous persistons à ressentir.

Il y a une tentation, dans les périodes sombres qui est celle de croire que notre profondeur est un handicap.
Qu’il faut se durcir pour « tenir ».
Qu’il faut devenir imperméable pour « survivre ».
Que la sensibilité est trop fragile pour le monde tel qu’il est.

C’est faux.

La sensibilité n’est pas une fragilité, c’est une lucidité qui voit plus loin que la peur.

La sensibilité perçoit les fractures, oui,
mais elle perçoit aussi les interstices où la lumière continue de passer.

C’est une intelligence ancienne,
une intuition exacte que la violence ne pourra jamais remplacer.

Ce n’est pas nous qui sommes inadaptés au monde.
C’est le monde qui traverse un moment où il n’est plus adapté à lui-même.

La violence attaque un endroit précis : l’endroit qui sent. L’endroit qui espère. L’endroit qui peut encore être touché.

Mais cet endroit, c’est le cœur battant de l’humanité.

Ce n’est pas une faiblesse.
C’est une preuve.

Quand quelque chose en vous se serre,
c’est que votre conscience est intacte.
Quand quelque chose en vous tremble,
c’est que votre sensibilité n’a pas été corrompue.
Quand quelque chose en vous se soulève devant l’injustice, c’est que votre valeur intérieure est encore là.

C’est ce qui fait de vous un être humain,
dans la plus haute définition du mot.

Le monde est violent, oui.
Mais il n’a pas d’emprise sur la pulsation profonde de notre conscience.

Il peut casser des choses,
mais il ne peut pas atteindre ce qui se reconstruit pour des raisons que lui-même ignore.

Il ne peut pas comprendre
pourquoi un seul geste de douceur peut renverser des heures d’ombre.
Pourquoi un regard tendre peut changer la mémoire d’un traumatisme.
Pourquoi un peu de beauté peut réécrire l’intérieur d’un jour entier.

Il ne peut pas comprendre que l’humain possède une capacité secrète qui est celle de se relever dans des endroits où aucune logique ne l’explique.

Cette capacité ne se trouve ni dans les muscles, ni dans les certitudes.
Elle se trouve dans quelque chose de plus subtil :
la ténacité de la lumière.

Chacun porte une lumière qui ne dépend pas du contexte,
une lumière qui ne demande pas la permission pour exister.

Et il revient à chacun
d’en préserver la flamme
lorsque tout autour semble vouloir l’éteindre.

La violence tente de nous faire croire que nous sommes la somme de nos chocs.
La somme de nos nuits.
La somme de nos fractures.

C’est faux.

Un être humain est toujours plus vaste que ce qui l’a blessé.
Parce que l’intérieur ne se résume jamais à ses cicatrices.
Parce que dans chaque personne existe une profondeur
que le monde ne pourra jamais atteindre,
jamais comprendre,
jamais détruire.

Cette profondeur-là est notre territoire.
Notre dernier refuge.
Notre première puissance.

Nous ne sommes pas ce qui nous arrive, nous sommes ce que nous choisissons d'être.

Gérer la violence de ce monde,
c’est comprendre qu'elle n’est pas seulement ce qui nous arrive.
La violence, c’est ce qui essaie de nous transformer.

Et la seule réponse véritable,
la réponse qui ne se fissure pas,
celle que rien ni personne ne peut confisquer,
c’est de refuser d’être façonné par la brutalité du monde.

Non pas en se fermant.
Non pas en se recroquevillant.
Non pas en jouant aux invincibles.

Mais en opposant à la violence
ce que la violence ne comprend pas :
la puissance d’une intégrité intérieure.

C’est là que tout se joue.

Résister à la déformation,
c’est préserver ce qui nous structure en profondeur,
cette densité intime où se logent
nos valeurs,
notre lucidité,
notre capacité à aimer encore malgré la laideur,
notre vérité personnelle,
notre souffle inaltérable.

Rester humain.
Mais humain dans le sens le plus abouti du terme, c'est à dire un être qui refuse d’être réduit à ses blessures.

Rester vaste.
Non pas dispersé, mais ample, ouvert,
insoumis à la petitesse que le monde tente d’imposer.

Rester vivant.
Pas seulement biologique :
vivant dans la pensée,
dans la clarté,
dans le discernement,
dans la conscience que rien de ce qui arrive n’a le droit de définir l’essentiel.

Rester sensible.
Non pas fragile mais sensible.
Capable de sentir sans se dissoudre,
capable d’être touché sans être détruit.

Rester vertical.
Non pas rigide mais vertical.
Aligné.
Ancré.
Fidèle à sa propre hauteur.

Rester soi.
Dans un monde qui nous pousse à devenir tout sauf nous-mêmes.

La violence gagne quand elle change notre forme intérieure.
Elle perd lorsque, malgré tout, nous continuons d’habiter notre vie depuis un endroit qui ne lui appartient pas.

La seule victoire possible face à la violence,
ce n’est pas de la dominer mais de demeurer plus vaste qu’elle.

Parce que tant qu’il existe des êtres capables de cela, le monde peut bien trembler,
mais il ne pourra jamais s’effondrer jusqu’au bout.

Avec bienveillance ✨

Clémence

✨ ANNONCE OFFICIELLE ✨Le Calendrier de l’Avent des Métaphores-Guides arrive bientôt ! ✨En décembre, j’avais envie d’offr...
19/11/2025

✨ ANNONCE OFFICIELLE ✨

Le Calendrier de l’Avent des Métaphores-Guides arrive bientôt ! ✨

En décembre, j’avais envie d’offrir autre chose que des conseils.
Autre chose que des injonctions, des exercices, des “il faut que”…
Autre chose que des mots vite lus, vite oubliés.

Cette année, j’avais envie de créer un voyage intérieur.

Un voyage doux, lent, profond.
Un voyage qui ne demande aucun effort, aucune performance, aucun courage particulier.
Juste… une disponibilité de quelques secondes par jour.
Une curiosité.
Un souffle.
Un “tiens, et si je me laissais toucher par ça ?”.

Alors j’ai imaginé quelque chose de totalement inédit :
24 Métaphores-Guides.

24 images intérieures.
24 portes symboliques.
24 espaces psychiques qui éclairent, apaisent, réparent, réorganisent, ouvrent.

Chaque jour, du 1ᵉʳ au 24 décembre, j’ouvrirai avec vous un lieu intérieur :
quelque chose qui parle directement au cœur, au corps, à l’inconscient.
Une métaphore qui vous apprend à vous comprendre différemment,
à vous regarder autrement,
à vous traiter avec un peu plus de douceur.

Ce ne sont pas des phrases jolies.
Ce sont des images qui transforment.
Des images qui aident réellement.
Des images qui deviennent des repères, des ancrages, des respirations.

🎄 Décembre est un mois chargé.
Alors je vous offre 24 espaces pour respirer.
24 images pour vous retrouver.
24 métaphores pour vous accompagner.

Bienvenue dans le Calendrier de l’Avent des Métaphores-Guides.
On commence le 1ᵉʳ décembre.
Et j’ai très hâte de vous y emmener 😁

Et n'hésitez pas à partager ! 🙏🏼

A bientôt ✨💖🎄🤶🏼🎁

Clémence

Adresse

187 Impasse De L'école
Cendras
30480

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 20:00
Mardi 09:00 - 20:00
Mercredi 10:00 - 20:00
Jeudi 09:00 - 20:30
Vendredi 09:00 - 20:00
Samedi 10:00 - 19:00

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Clémence Grange Psychothérapeute - Hypnothérapeute - Psychanalyste publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Clémence Grange Psychothérapeute - Hypnothérapeute - Psychanalyste:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram