L'Ensommeilleuse

L'Ensommeilleuse L'Ensommeilleuse

Des animaux et des hommes….
11/11/2025

Des animaux et des hommes….

11/11/2025
Il se murmure que L'Ensommeilleuse  ensommeillera à Compiègne pour Fous d'Histoire  . Elle sera bien sûr avec la Compagn...
11/11/2025

Il se murmure que L'Ensommeilleuse ensommeillera à Compiègne pour Fous d'Histoire . Elle sera bien sûr avec la Compagnie Dovahkiin: VENDREDI
10h30 scène secondaire
13h30 scène secondaire
17h scène principale
SAMEDI
11h30 scène principale
14h scène secondaire
18h30 scène secondaire
DIMANCHE
10h30 scène secondaire
15h30 scène secondaire

11/11/2025

11 millions d’équidés, 100 000 chiens, 200 000 pigeons : enrôlés en masse pour la Grande Guerre, ils ont porté, tiré, secouru... et payé un très lourd tribut.
➡️ https://l.franceculture.fr/YZn

11/11/2025
ET toc les censeurs ..........!!!!!
10/11/2025

ET toc les censeurs ..........!!!!!

Le film "Sacré-Cœur - Son règne n'a pas de fin" de Steven et Sabrina Gunnell est déjà l'événement cinématographique de l'année. Avec plus de 300 000 entrées,...

09/11/2025

Retrouvez de très nombreuses compagnies de spectacle et de reconstitution historique au festival Fous d'Histoire Compiègne 2025 !

09/11/2025

Dostoïevski dit : « Ne défiez jamais une personne qui est en paix avec sa solitude et qui ne se soucie pas d’être seule, car vous serez toujours perdant. »

Cela signifie qu’une personne habituée à la solitude et qui accepte son isolement devient invincible. Ceux qui craignent la solitude peuvent être victimes de privation ou d’exclusion, mais ceux qui ont fait de leur solitude leur patrie intérieure ne céderont ni aux menaces ni aux tentations.

En psychologie, ce stade est décrit comme l’étape de l’indépendance émotionnelle, où l’individu transcende son besoin constant d’affirmation des autres et puise sa force en lui-même. La philosophie existentialiste, quant à elle, considère la réconciliation avec la solitude comme la forme suprême de liberté, car elle supprime la contrainte la plus lourde de la société : la peur d’être seul.

C’est une sagesse à la fois dure et inspirante : une personne qui n’est pas terrifiée par sa solitude ne peut être vaincue, car elle n’a tout simplement rien à lui enlever.

09/11/2025

La prison la plus difficile à quitter est celle que nous nous construisons pour nous sentir en sécurité — comme autant de certitudes, qui marqueront donc une séparation entre soi et le monde.

Face à la découverte des limites de cette architecture traumatique, nous commençons à entendre l’appel du dehors — du plus grand que soi.

Ce murmure venu d’ailleurs, ou peut-être depuis « en-dedans », nous poussera à desceller une à une, les pierres de notre prison, comme autant de nos convictions, pour envisager de bâtir des ponts plutôt que des murs.

Quelle aventure que de chercher à se regarder précisement-là ou nous avions justement besoin d’être aveugle pour survivre…

🙏 Par un Curieux Hasard - Stephan Schillinger
Extrait des livres « Par un Curieux Hasard »
🪢 agenda et livres disponibles sur mon site

Nous passons notre vie à poser des cloisons, ériger des murailles, et couler des chapes sur l'inconsolable pour pouvoir ...
01/11/2025

Nous passons notre vie à poser des cloisons, ériger des murailles, et couler des chapes sur l'inconsolable pour pouvoir continuer à avancer debout. Nous passons notre vie à conforter la conception individualiste d'une société malade en renforçant des concepts clivants : ego, identité, couple, famille, pays, race, genre. Nous passons notre vie à nous individualiser et à nous éloigner d'une source originelle dont nous sommes issus. Cette source dont notre ego et nos carapaces nous isolent.
Nous ne guérissons jamais vraiment de nos blessures, nous les enfermons, ou au mieux nous les dépassons par l'atteinte d'un autre niveau de conscience.
Le surpassement de toute blessure nécessite l'atteinte d'un niveau de conscience plus élevé que celui dans lequel nous avons été blessé. L'atteinte de cette nouvelle conscience implique une introspection que seuls ceux qui sont prêt à « aller au front », et à « toucher le fond » pourront entamer. Et cela démarre souvent par l’atteinte d'un degré inacceptable, et insupportable, de souffrance.
C'est, enfin, décider d’attaquer à la pioche la chape qu'ils ont coulée sur leurs traumatismes. C'est un parcours de guerrier fou, de sage malade. Un chemin sur lequel tu te jettes corps et âme, pour aller combattre puis converser avec tes démons les plus enfouis.
C'est entreprendre une destruction de toutes les couches de protection, carapaces et boucliers, pour reprendre contact avec « l’enfant intérieur », originel, en nous. A chaque âge se forme sa conviction rassurante, sécurisante, protectrice, comme un parapluie ou un bouclier contre le vent. Alors on pense année après année le renforcer de ses expériences, le solidifier.
Vient alors le jour où il nous est soudainement lourd. Lourd. Lourd de convictions et de certitudes, où l'on apprend le poids du superflu. Et vient avec lui le sentiment qu’il faut s’alléger et se laisser porter par le vent, noyer par la pluie, évaporer par le soleil.
Stephan Schillinger©️ - extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique
(Art : Daniel Garcia)

Nous passons notre vie à poser des cloisons, ériger des murailles, et couler des chapes sur l'inconsolable pour pouvoir continuer à avancer debout. Nous passons notre vie à conforter la conception individualiste d'une société malade en renforçant des concepts clivants : ego, identité, couple, famille, pays, race, genre. Nous passons notre vie à nous individualiser et à nous éloigner d'une source originelle dont nous sommes issus. Cette source dont notre ego et nos carapaces nous isolent.

Nous ne guérissons jamais vraiment de nos blessures, nous les enfermons, ou au mieux nous les dépassons par l'atteinte d'un autre niveau de conscience.

Le surpassement de toute blessure nécessite l'atteinte d'un niveau de conscience plus élevé que celui dans lequel nous avons été blessé. L'atteinte de cette nouvelle conscience implique une introspection que seuls ceux qui sont prêt à « aller au front », et à « toucher le fond » pourront entamer. Et cela démarre souvent par l’atteinte d'un degré inacceptable, et insupportable, de souffrance.

C'est, enfin, décider d’attaquer à la pioche la chape qu'ils ont coulée sur leurs traumatismes. C'est un parcours de guerrier fou, de sage malade. Un chemin sur lequel tu te jettes corps et âme, pour aller combattre puis converser avec tes démons les plus enfouis.

C'est entreprendre une destruction de toutes les couches de protection, carapaces et boucliers, pour reprendre contact avec « l’enfant intérieur », originel, en nous. A chaque âge se forme sa conviction rassurante, sécurisante, protectrice, comme un parapluie ou un bouclier contre le vent. Alors on pense année après année le renforcer de ses expériences, le solidifier.

Vient alors le jour où il nous est soudainement lourd. Lourd. Lourd de convictions et de certitudes, où l'on apprend le poids du superflu. Et vient avec lui le sentiment qu’il faut s’alléger et se laisser porter par le vent, noyer par la pluie, évaporer par le soleil.

Stephan Schillinger©️ - extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique

(Art : Daniel Garcia)

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