28/09/2025
Pourquoi j’ai choisi de travailler avec les réflexes archaïques ?
Honnêtement… à la base, je ne savais même pas que ça existait.
C’est en traversant une période compliquée avec mon beau-fils, à l’entrée au collège, que j’ai découvert cette pratique. Jusque-là, on avait toujours trouvé des solutions, mais en sixième, ça devenait vraiment difficile : difficultés scolaires, problèmes de concentration, beaucoup de tensions à la maison, et surtout un quotidien lourd et fatigant pour lui comme pour nous.
Un jour, en parlant avec une psychologue, elle m’a parlé d’une connaissance qui travaillait sur les réflexes archaïques. Curieuse, j’ai fait des recherches. Tout de suite, ça m’a semblé pertinent. Alors, nous avons tenté.
Et là… il y a eu du changement. Pas un miracle instantané, mais des petites transformations concrètes, palpables.
👉 Des repas plus sereins.
👉 Des devoirs moins douloureux.
👉 Et surtout, lui qui nous disait qu’il se sentait mieux, qu’il avait plus confiance en lui.
De fil en aiguille, j’ai voulu comprendre davantage. J’ai commencé à m’y intéresser pour moi-même, j’ai fait quelques séances, puis pour ma fille aussi. J’ai été bluffée : là où on pensait devoir subir certaines difficultés, une seule séance avait parfois suffi à alléger les choses.
Bien sûr, chaque histoire est différente.
- Pour lui, ça a demandé de la persévérance, plusieurs séances, un suivi régulier.
- Pour ma fille, au contraire, une seule séance a suffi à apaiser une difficulté très présente et très douloureuse pour elle : le calvaire de la douche et du lavage de cheveux !
C’est ça qui m’a frappée : les réflexes archaïques n’ont pas une « recette miracle », mais ils permettent à chacun de trouver un chemin d’apaisement et d’évolution, à son rythme.
Alors, je me suis formée. Et quelle formation ! Pas seulement de la théorie ou des techniques à appliquer. C’était aussi un vrai travail sur moi. Parce qu’on reçoit aussi les intégrations, et là… j’ai touché du doigt mes propres réflexes encore actifs. Certains très présents, d’autres plus subtils. J’ai douté, parfois : « Est-ce que ça marche vraiment ? Est-ce qu’on n’a pas tous un peu les mêmes tests ? »
Mais en voyant les autres, en ressentant dans mon corps la libération après certaines intégrations… il n’y avait plus de doute. C’était fort, c’était réel.
C’est à ce moment-là que je me suis dit :
✨ Il faut que plus de gens découvrent cette pratique. ✨
Pour que moins d’enfants souffrent en silence. Pour que des adultes puissent aussi évoluer, dépasser leurs blocages, se sentir mieux… en passant par le corps, et pas seulement par la tête.
À l’époque, j’étais encore manipulatrice radio à l’hôpital. Mon métier mettait déjà le corps au centre, mais surtout sous l’angle médical, technique. Avec les réflexes, j’ai découvert une autre approche : celle du système nerveux, de la régulation, de l’équilibre entre corps et émotions. Et ça a résonné très fort en moi.
Les réflexes m’ont aidée à prendre une grande décision : quitter l’hôpital et me lancer pour accompagner à mon tour enfants et adultes.
Aujourd’hui, je peux dire que c’est le plus beau choix que j’ai fait.
Parce qu’accompagner les gens vers plus de liberté, de fluidité, de sérénité… ça n’a pas de prix.
💬 Et toi, tu connaissais les réflexes archaïques avant de me suivre ?
Ou est-ce aussi une découverte pour toi comme ça l’a été pour moi à l’époque ?