Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé Naturopathe, passionnée de technique Energétique et de bien-être animal, je suis bénévole aux Écuries LR (SIRET : 829 559 236 00015).

Tous les paiements que je perçois sont intégralement reversés à l’association pour soutenir leurs projets équestres. Avec un cursus de 14 formations spécialisées (Shiatsu, massages, digipuncture, homéopathie, aromathérapie, gemmothérapie, aimantothérapie brevetée, phytothérapie, fleurs de Bach, magnétisme, radiesthésie , naturopathe…), j’ai développé une approche complète et cohérente du vivant. Depuis plus de 30 ans, j’ai eu la chance de collaborer avec des vétérinaires, ostéopathes et maréchaux, enrichissant ma pratique d’une solide expérience de terrain. Cela me permet aujourd’hui de poser des Evaluations en bioénergies précises et de construire des programmes de revitalisation adaptés à chaque cas, chaque pathologie — animale comme humaine. Je travaille aussi bien sur les animaux, les humains que leur environnement, en veillant à l’harmonisation des plans physique, émotionnel, énergétique et spirituel. Mon approche agit sur les déséquilibres visibles comme invisibles : carences, douleurs, inversions de polarité, désorganisation émotionnelle, tensions musculaires, mémoire cellulaire…

Je travaille principalement à distance, sur photo, mais je peux également accueillir vos chevaux dans nos écuries, si nécessaire. Chaque soin vise à rétablir l’équilibre global, recentrer l’énergie, et accompagner les processus naturels d’auto-régulation. Je prends un nombre limité de cas pour rester disponible et à l’écoute. Et parce que ce travail a une vocation de cœur, 100 % de mes bénéfices sont reversés à une association.

Un grand merci à mes nouveaux followers ! Gypsi Du Clos Valéone, Amandine Cpns, Elodie Boisselet Pocard, Emilie Sauzet
12/11/2025

Un grand merci à mes nouveaux followers ! Gypsi Du Clos Valéone, Amandine Cpns, Elodie Boisselet Pocard, Emilie Sauzet

Lipoptena (la « mouche du chevreuil ») et maladies oculaires chez le cheval : piste vraisemblable à connaîtrePlusieurs b...
11/11/2025

Lipoptena (la « mouche du chevreuil ») et maladies oculaires chez le cheval : piste vraisemblable à connaître

Plusieurs bilans énergétiques et cliniques suggèrent qu’une origine parasitaire/ectoparasitaire mérite d’être considérée chez des chevaux présentant ophtalmie, uvéite récurrente ou ulcère cornéen dit « idiopathique ».

Les insectes hématophages comme Lipoptena peuvent déclencher des réactions inflammatoires locales et systémiques qui aggravent un terrain carencé ou toxémique, et dans certains cas précipiter des atteintes oculaires.

Cependant, la causalité directe n’est pas établie comme unique étiologie : l’uvéite équine est multifactorielle (infectieuse, auto-immune, traumatique, génétique).

Pourquoi suspecter Lipoptena dans certains cas ?

• Lipoptena (genre Lipoptena / Hippoboscidae) se fixe sur les mammifères, peut se trouver autour du garrot, de la tête et des yeux, et son contact répété libère des composants salivaires pro-inflammatoires.
• Des espèces du genre ont été documentées en France et en Europe.
• Chez un animal déjà carencé ou présentant un terrain inflammatoire (par ex. activité élevée de glutaminase — signe de stress neuro-inflammatoire — ou protéines plasmatiques filtrées basses indiquant difficulté de détoxification), la réponse locale à une piqûre ou à une salive insecte peut dégénérer en inflammation oculaire significative.
• Que disent les données vétérinaires générales sur l’uvéite ?
• L’uvéite équine (ERU) est souvent décrite comme une maladie récurrente, d’origine multifactorielle : bactéries (notamment leptospires), parasites, virus, traumatismes ou réactions auto-immunes peuvent être des déclencheurs initiaux. Les épisodes répétés entraînent des lésions progressives et peuvent conduire à la cécité.

Certaines infections parasitaires (par ex. Onchocerca et autres nématodes) sont reconnues pour provoquer inflammation et lésions oculaires chez le cheval ; ceci montre qu’un agent parasite peut, biologiquement, produire des signes oculaires persistants.

Lipoptena est moins documentée comme cause directe d’uvéite chez le cheval, mais sa présence et ses effets locaux justifient la vigilance.

Signes cliniques qui orientent vers une cause vectorielle/parasitaire
• Apparition d’irritation/uvéite après sorties en forêt ou zones humides.
• Récidives asymétriques, épisodes liés à saisons d’activité des insectes.
• Présence d’ectoparasites visibles autour du poil/garrot/tête ; lésions cutanées en zones de fixation.
• Bilans biochimiques montrant un terrain déstabilisé (ex. anomalies de glutaminase, hypo-filtration protéique, carences en oligo-éléments).
Si ces signes sont présents, votre vétérinaire pourra orienter les examens.

Examens vétérinaires utiles
1. Examen ophtalmologique complet (lampes à fente, tonométrie, examen du fond d’œil).
2. Recherche d’agent infectieux/parasitaire : frottis cutanés, coprologie, sérologie (leptospirose), PCR/analyses oculaires si suspicion (cicatrices vitréennes, prélèvements).
3. Bilan sanguin complet et biochimique pour évaluer état hépatique/filtration et carences (tailles d’albumine, protéines liées, marqueurs inflammatoires).
4. Recherche/identification d’ectoparasites sur l’animal et l’environnement (pièges, collecte d’insectes).

Ces examens permettent de replacer la présence de Lipoptena dans un contexte scientifique et de vérifier si elle est la cause probable ou un facteur aggravant.

Que dire et quelle conduite tenir immédiatement ?
• Informer le vétérinaire de la présence d’ectoparasites ?.
• Protéger l’animal des zones à risque (forêt, hautes herbes) jusqu’à diagnostic précis.
• Examen ophtalmologique sans délai si douleur, photophobie, écoulement, ou baisse d’acuité visuelle.
• Ne pas conclure hâtivement : l’uvéite est souvent multifactorielle — Lipoptena peut être l’un des facteurs, pas nécessairement l’unique cause.

Signes cliniques évocateurs d’une atteinte oculaire liée à Lipoptena cervi

Chez le cheval, les symptômes qui peuvent orienter vers une origine vectorielle ou parasitaire ne sont jamais spécifiques, mais un ensemble de manifestations peut attirer l’attention lorsqu’ils apparaissent dans un certain contexte.

Les premiers signes sont souvent discrets, puis évoluent vers des formes plus marquées si le cheval reste exposé ou si son terrain est affaibli.
1. Irritation oculaire récurrente : rougeur, clignement fréquent, larmoiement clair ou légèrement purulent. Ces épisodes peuvent survenir après des promenades en forêt, dans les zones humides ou à proximité de cervidés.
2. Photophobie et inconfort à la lumière : le cheval cherche l’ombre, garde un œil mi-clos, et devient plus sensible au vent ou aux poussières.
3. Œdème palpébral ou périoculaire : gonflement des paupières, parfois accompagné de croûtes ou de piqûres visibles sur la tête et l’encolure, zones privilégiées de fixation de la mouche du chevreuil.
4. Récidives asymétriques : un seul œil atteint de façon répétée ou alternée, ce qui fait souvent évoquer un facteur externe plutôt qu’une simple maladie interne.
5. Ulcère cornéen ou kératite : si la surface oculaire est fragilisée, l’inflammation chronique peut dégénérer en ulcère superficiel. Dans certains cas, le vétérinaire note un aspect granuleux ou trouble diffus de la cornée.
6. Atteinte générale associée : fatigue, baisse d’appétit, irritabilité, signes d’inflammation cutanée ou d’hypersensibilité autour du garrot et de la tête. Ces éléments traduisent une réaction systémique au stress inflammatoire.
7. Saisonnalité : recrudescence des épisodes entre la fin de l’été et l’automne, période d’activité maximale de Lipoptena, ou après des séjours en milieu forestier.
8. Terrain prédisposant : chevaux présentant des déséquilibres énergétiques, des carences en acides aminés ou oligo-éléments, ou une immunité fluctuante, semblent plus sensibles aux formes inflammatoires prolongées.

Ces signes ne prouvent pas à eux seuls la responsabilité de Lipoptena cervi, mais leur coïncidence avec une exposition avérée ou une présence parasitaire confirmée justifie toujours une exploration vétérinaire approfondie (ophtalmologie, parasitologie, hématologie).

Ils permettent aussi de replacer la question des « uvéites idiopathiques » dans un cadre plus large où l’environnement, l’immunité et les insectes vecteurs sont considérés comme des éléments interactifs.

Conclusion : La piste Lipoptena est plausible et documentable (présence en France et effets locaux), surtout lorsque le terrain immuno-métabolique est fragilisé. Elle justifie une investigation ciblée et un dossier complet associant bilans, photos cliniques et résultats vétérinaires qui renforcera la démonstration de corrélation/exposition.

Ces observations soulignent l’importance d’un bilan énergétique de santé, permettant d’évaluer les régulations métaboliques et immunitaires internes susceptibles d’influencer la réactivité oculaire et la sensibilité aux facteurs environnementaux.

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé

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Sources et lectures complémentaires (France / articles accessibles)
• R***e générale sur l’immunologie de l’uvéite équine (PMC). PMC
• Merck Veterinary Manual — Equine recurrent uveitis (synthèse clinique). Merck Veterinary Manual
• Document français sur la découverte et présence de Lipoptena en France (projet PUPIPO / labo d’éco-entomologie). Laboratoire d'éco-entomologie
• Article vétérinaire sur ectoparasites de cervidés et cas rapportés (r***e vétérinaire française). canine-feline.le-nouveau-praticien-veterinaire.org
• Ressources pédagogiques françaises sur l’uvéite équine (fiches vétérinaires / grand public). Classequine+1

POURQUOI LE SYSTÈME HORMONAL PEUT IL ÊTRE AFFAIBLI ?Approche croisée entre données scientifiques, observations énergétiq...
09/11/2025

POURQUOI LE SYSTÈME HORMONAL PEUT IL ÊTRE AFFAIBLI ?

Approche croisée entre données scientifiques, observations énergétiques et cas cliniques chez l’humain et le cheval.

Le rôle central du système hormonal:
Le système endocrinien, ou hormonal, est constitué de glandes telles que la thyroïde, les surrénales, le pancréas, l’hypophyse et les gonades. Il régule des fonctions vitales : croissance, reproduction, métabolisme, équilibre hydrique, immunité et réponse au stress.

Chez le cheval comme chez l’humain, il constitue une interface essentielle entre le système nerveux et l’immunité. Toute perturbation hormonale entraîne donc des répercussions globales, à la fois physiques, émotionnelles et énergétiques.

Causes d’un affaiblissement hormonal? Parmi les causes physiologiques et environnementales, on retrouve :

• L’âge, qui entraîne une diminution naturelle de la sécrétion d’hormones comme l’insuline, le cortisol ou les hormones sexuelles.
• Une alimentation déséquilibrée, que ce soit un excès d’amidon, un manque d’acides gras essentiels, de zinc ou de sélénium, perturbant l’axe hypothalamo-hypophysaire.
• Les carences spécifiques, notamment en fer héminique ou dysfonction hépatique, qui diminuent la production de thyroxine et altèrent le métabolisme basal.
• L’inflammation chronique du microbiote intestinal, qui réduit la production de neuromédiateurs essentiels comme la sérotonine et le GABA.
• Le stress environnemental, qu’il soit physique ou émotionnel (travail excessif, isolement, traumatisme), provoque une suractivation du cortisol, suivie d’un épuisement surrénalien.

Chez l’humain, s’ajoutent des facteurs tels que l’exposition aux perturbateurs endocriniens, le manque de sommeil, des carences en vitamines et minéraux, ainsi qu’un stress chronique prolongé, qui entraînent fatigue, dérèglement métabolique et troubles hormonaux.

Les mécanismes énergétiques observés
Dans les bilans énergétiques, les chevaux présentant un déséquilibre hormonal montrent souvent une suractivité de l’artère mésentérique supérieure, une faiblesse de la thyroïde naturelle, du fer héminique et de la flore biotique, ainsi qu’une immunité innée et adaptative diminuée.
Ce profil correspond à des états post-traumatiques, à des déséquilibres microbiens ou à des inflammations hépatiques ou surrénaliennes.
L’observation énergétique confirme que lorsqu’une partie du système faiblit, l’ensemble du métabolisme s’en trouve impacté.

Les pathologies associées à un affaiblissement hormonal:

Chez l’humain, cela peut se manifester par des hypothyroïdies, le syndrome de fatigue chronique, des troubles du sommeil, des dysfonctionnements surrénaliens, le syndrome métabolique ou des troubles de la fertilité et de la libido.

Chez le cheval, on observe souvent la maladie de Cushing équin (PPID), le syndrome métabolique équin avec résistance à l’insuline et accumulation de graisses, une hypothyroïdie fonctionnelle, des carences multiples et parfois des troubles du comportement tels qu’hyperréactivité ou apathie.

Interactions entre système hormonal, immunitaire et nerveux:

Les hormones et l’immunité sont intimement liées : un excès de cortisol inhibe les lymphocytes et affaiblit l’immunité, la thyroïde régule la fonction mitochondriale et donc la vitalité cellulaire, et les hormones sexuelles modulent la perméabilité intestinale et la flore microbienne.
Le microbiote influence à son tour la production de sérotonine et de mélatonine, deux régulateurs hormonaux naturels. Ces interactions sont particulièrement visibles dans les déséquilibres énergétiques des axes foie-rates-reins.

Approches de rééquilibrage
Pour restaurer l’équilibre hormonal, plusieurs approches sont possibles :
• Rééquilibrer le microbiote avec des prébiotiques, des plantes amères et des probiotiques naturels.
• Soutenir les glandes endocrines grâce à des adaptogènes comme l’ashwagandha, la rhodiola, l’éleuthérocoque ou la maca, et par un apport ciblé en oligo-éléments et minéraux tels que zinc, sélénium, manganèse, iode et fer héminique.
• Moduler le stress par des approches douces : biothérapie ciblée, fleurs de Bach, homéopathie adaptée.
• Soutenir le foie et les reins, qui filtrent et régulent les hormones.

Pour le cheval : un apport d’oméga-3 naturels (lin, cameline) et d’acides aminés essentiels est recommandé, ainsi que l’utilisation de plantes de soutien hépatique et surrénalien telles que le chardon-marie, le schisandra et la réglisse, utilisées comme soutien fonctionnel, et non comme plantes détoxifiantes.
La réduction du stress environnemental (rythme stable, accès libre au fourrage, interactions sociales) et un travail énergétique sur le diaphragme, le sacrum et la base du crâne complètent le rééquilibrage.

Lien entre système hormonal et immunité : prudence sur la stimulation

Un système immunitaire affaibli peut parfois être hypersensible, réagissant de manière excessive à certains stimuli comme les vaccins, les compléments ou des infections légères.
Dans ces conditions, il ne faut pas stimuler directement l’immunité, car cela pourrait provoquer des réactions inflammatoires ou auto-immunes.
L’approche adaptée consiste à renforcer le terrain (foie, reins, microbiote, nutrition) et à utiliser des soutiens énergétiques doux, tout en surveillant régulièrement la réactivité immunitaire.

Impact des carences et des surdosages sur le système hormonal

Les hormones dépendent directement des vitamines, minéraux et oligo-éléments. Une carence affaiblit la synthèse hormonale et perturbe le métabolisme.
Les carences les plus fréquentes incluent l’iode (hypothyroïdie), le fer héminique (fatigue, immunité faible), le zinc (baisse de fertilité, poil terne), le sélénium (stress oxydatif, dysfonction surrénalienne), la vitamine D (faiblesse musculaire, immunité altérée), les vitamines B (fatigue, nervosité) et les acides gras essentiels (inflammation chronique, déséquilibre cortisol/testostérone).

À l’inverse, un excès de micronutriments peut aussi perturber le système hormonal : trop de vitamine A ou D peut entraîner des perturbations thyroïdiennes ou rénales, un excès de zinc, cuivre, sélénium ou fer peut provoquer un stress oxydatif ou bloquer certaines enzymes, et un déséquilibre calcium/phosphore interfère avec la parathormone et la régulation hormonale.

L’objectif est donc de corriger uniquement les carences réelles et de rester prudent avec les suppléments, surtout chez un organisme sensible ou immunitairement réactif.

Impact de l’amidon sur le système hormonal
Excès d’amidon
Un apport trop élevé en amidon (céréales, concentrés riches) peut provoquer :
• Pic de glycémie et sécrétion excessive d’insuline, entraînant une résistance à l’insuline si répété, ce qui affecte directement l’axe métabolique et hormonal.
• Dérèglement du cortisol, car l’excès énergétique et l’inflammation digestive mettent le système en état de stress chronique.
• Inflammation intestinale et perturbation du microbiote, réduisant la production de neuromédiateurs nécessaires au bon fonctionnement hormonal.
• Chez le cheval, ce déséquilibre peut contribuer à des pathologies comme le syndrome métabolique équin, les fourbures ou la fatigue surrénalienne.

Carence en amidon
À l’inverse, un apport insuffisant en amidon peut :
• Limiter l’énergie disponible pour les fonctions hormonales, notamment la production d’hormones stéroïdes (cortisol, testostérone, œstrogènes) qui nécessitent des précurseurs énergétiques.
• Entraîner une fatigue chronique, un ralentissement métabolique et une baisse de la capacité à gérer le stress physiologique.
• Chez le cheval, une carence excessive peut se traduire par un poil terne, une faible masse musculaire et une récupération lente après l’effort.

Principe clé : l’amidon n’est ni “bon” ni “mauvais” en soi, mais l’équilibre et la qualité sont essentiels. Il faut ajuster la quantité selon l’âge, le poids, le niveau d’activité et la sensibilité métabolique de l’animal ou de la personne. Pour les chevaux sujets à résistance à l’insuline ou à inflammation digestive, un apport d’amidon en faible quantité et bien réparti peut au contraire être bénéfique. Il fournit une énergie rapidement disponible pour soutenir le métabolisme hormonal, améliorer la récupération musculaire et soutenir la production d’hormones stéroïdes.

L’important est de contrôler la dose et la répartition sur la journée, pour éviter les pics glycémiques et l’inflammation digestive.

Pathologies et déséquilibres pouvant être associés à un système hormonal affaibli
Chez l’humain :
• Hypothyroïdie et troubles thyroïdiens (Hashimoto, goitre)
• Hyperthyroïdie ou dérèglement thyroïdien fonctionnel
• Fatigue chronique et syndrome de fatigue chronique
• Burn-out et épuisement surrénalien
• Syndrome métabolique, résistance à l’insuline, diabète de type 2
• Troubles hormonaux féminins (cycles irréguliers, infertilité)
• Troubles hormonaux masculins (baisse de libido, fatigue, déséquilibre testostérone)
• Troubles digestifs fonctionnels liés au microbiote (ballonnements, dysbiose)
• Inflammations chroniques ou auto-immunité légère à sévère
• Acouphènes liés à des déséquilibres hormonaux ou circulatoires
• Fibromyalgie et douleurs chroniques associées à fatigue et dysfonction endocrine
• Sarcoïdose, maladie granulomateuse potentiellement liée à dérèglements immuno-endocriniens
• Mélanomes et autres tumeurs cutanées : certaines données montrent un lien possible avec stress oxydatif, déséquilibre hormonal et immunitaire
• Troubles dermatologiques chroniques (eczéma, psoriasis)

Chez le cheval :
• PPID (maladie de Cushing équin)
• Syndrome métabolique équin (SME) avec résistance à l’insuline et fourbures
• Hypothyroïdie fonctionnelle et ralentissement métabolique
• Poil terne, perte musculaire, mauvaise récupération après effort
• Troubles digestifs (fermentation excessive, coliques, inflammation intestinale)
• Inflammation chronique ou faible immunité (prédisposition aux infections)
• Troubles du comportement (hyperréactivité, apathie, nervosité)
• Fatigue surrénalienne et stress chronique
• Sensibilité aux surcharges alimentaires ou aux variations énergétiques
• Mélanomes et sarcoïdes (Ce n’est pas une pathologie strictement hormonale, mais l’affaiblissement du système hormonal et immunitaire peut favoriser leur apparition ou leur croissance, un terrain affaibli favorise la prolifération cellulaire anormale).

Déséquilibres liés à la nutrition et aux micronutriments :
• Carences en iode, zinc, sélénium, fer ou vitamines B/D entraînant fatigue, immunité faible et troubles hormonaux
• Surdosages en vitamines A, D, zinc, cuivre, sélénium, fer pouvant provoquer stress oxydatif, toxicité hépatique et perturbation hormonale
• Excès ou carence en amidon provoquant déséquilibre glycémique, inflammation digestive ou baisse de production hormonale

Déséquilibres énergétiques :
• Blocages des axes foie-rate-reins, sacrum, diaphragme, base du crâne
• Dysfonctionnement global du système hormonal, immunitaire et nerveux
• Hyper-réactivité immunitaire ou hypersensibilité à certains stimuli

Conclusion : L’affaiblissement hormonal est rarement isolé et traduit une fatigue systémique globale, impliquant foie, reins, microbiote, système nerveux et immunitaire.

Chez le cheval comme chez l’humain, la restauration du terrain passe par :
• la remise en cohérence du métabolisme cellulaire,
• le soutien des glandes endocrines,
• la gestion du stress oxydatif et émotionnel,
• la stabilisation du système immunitaire,
• et la correction des carences micronutritionnelles sans excès.

Une approche globale et intégrative, combinant biologie, observations énergétiques et harmonisation, nutrition ciblée et soutien naturel, permet une véritable régénération du vivant.

Cette démarche ne se limite pas à traiter des symptômes, mais vise à rééquilibrer l’ensemble du système, en harmonisant les axes hormonaux, immunitaires et métaboliques, pour restaurer vitalité, stabilité et résilience.

🙏 Merci de votre lecture, bon dimanche à tous et à toutes.

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé

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STRESS OXYDATIF ET PERTURBATION ENZYMATIQUE : PAS SEULEMENT L’EFFORT PHYSIQUE.Même lorsqu’il fournit un effort intense, ...
08/11/2025

STRESS OXYDATIF ET PERTURBATION ENZYMATIQUE : PAS SEULEMENT L’EFFORT PHYSIQUE.

Même lorsqu’il fournit un effort intense, le cheval peut multiplier par trente sa consommation d’oxygène pour répondre à ses besoins énergétiques élevés.
Cet oxygène est utilisé dans les mitochondries cellulaires pour produire de l’énergie, mais ce n’est là qu’une des multiples sources de stress oxydatif et enzymatique.

Le stress oxydatif se produit lorsque les radicaux libres — des molécules très réactives contenant de l’oxygène — dépassent la capacité du corps à les réguler. Chez les chevaux, des conditions stressantes telles que l’exercice intense, les longs déplacements, la maladie, la gestation ou la vieillesse sont toutes associées à une augmentation du stress oxydatif.

Chez le cheval comme chez l’humain, tout stimulus perçu comme stressant — qu’il soit physique, émotionnel ou environnemental — peut déclencher une cascade biologique identique : libération de cortisol, activation des catécholamines (adrénaline/noradrénaline), perturbation de la respiration cellulaire et de la production d’enzymes antioxydantes (SOD, catalase, glutathion peroxydase).

Les situations déclenchantes - nombreux contextes peuvent activer cette réponse biologique :
• Visite vétérinaire, soins, vaccination, prise de sang (activation du système nerveux sympathique, hausse du cortisol et acidification du milieu cellulaire).
• Transport en van ou en clinique (stress mécanique, variations thermiques, déshydratation et confinement entraînent une production accrue de radicaux libres et une chute de l’activité enzymatique hépatique et musculaire).
• Changement de lieu ou d’environnement (nouvelle écurie, isolement du groupe, séparation du poulain) peuvent dérègler l’axe hypothalamo–hypophyso–surrénalien.
• Présence d’un praticien extérieur (ostéopathe, dentiste, vétérinaire), même sans douleur, la tension psychique et/ou émotionnelle suffit à provoquer une micro-réaction de stress cellulaire, bien documentée en médecine équine de performance.
• Certaines pathologies (inflammations, arthrose, troubles métaboliques), mais aussi l’âge, la gestation et la lactation, constituent des facteurs aggravants.
Conséquences physiologiques :
• Diminution de l’activité enzymatique mitochondriale : la cellule passe en mode “alerte” et consomme plus d’oxygène qu’elle n’en reçoit.
• Accumulation de radicaux libres : dénaturation de certaines enzymes par oxydation des groupements soufrés.
• Inflammation silencieuse : déséquilibre entre les enzymes de détoxication et baisse du glutathion.
• Altération du microbiote : modification des enzymes digestives et métaboliques d’origine bactérienne.

Le stress oxydatif peut être mis en évidence dans différents substrats biologiques. Le sang veineux périphérique (plasma, sérum, cellules sanguines) est le plus utilisé. D’autres méthodes existent, comme l’analyse de l’air expiré ou des urines, mais elles restent délicates à mettre en œuvre. Le muscle strié squelettique est la principale cible du stress oxydant en raison de son activité mitochondriale intense pendant l’effort.

Signes observables en pratique :
• Fatigue anormale après un transport ou une visite vétérinaire.
• Baisse d’appétit, digestion ralentie, selles plus sèches ou pâteuses.
• Anomalies transitoires sur les enzymes hépatiques ou musculaires.
• Irritabilité, sensibilité au toucher, baisse d’immunité temporaire.
• Chez les chevaux présentant des troubles neurologiques, une supplémentation en antioxydants est souvent bénéfique. En effet, le stress oxydatif est lié à divers troubles neurologiques chez le cheval comme chez l’humain ; les antioxydants soutiennent la santé du système nerveux et préviennent le vieillissement cellulaire.

Soutien et prévention :
• Repos cellulaire : prévoir 2 à 3 jours calmes après transport, soins lourds ou évènement stressant.
• Hydratation et antioxydants naturels : vitamine E, sélénium, oméga-3, chardon-marie, spiruline.
• Rééquilibrage enzymatique doux : oligo-éléments cofacteurs tels que zinc, cuivre et manganèse.
• Approche énergétique ou émotionnelle : recentrage, cohérence cardiaque, travail sur le lien de confiance.

Afin d’éviter le développement de pathologies, la supplémentation antioxydante dans l’alimentation constitue une approche bénéfique.

Elle participe à la protection cellulaire, à la réduction de l’inflammation, au soutien de l’immunité et à l’amélioration des performances sportives.

Les principaux antioxydants utiles sont :
• les vitamines E et C, protectrices des tissus,
• le sélénium, cofacteur majeur de la glutathion peroxydase, enzyme qui protège notamment l’ADN,
• le zinc et le cuivre, nécessaires à la synthèse de la superoxyde dismutase,
• les omégas 3,
• ainsi que des antioxydants naturels tels que le romarin, le curcuma, la coenzyme Q10, l’acide alpha-lipoïque et l’acétyl-L-carnitine (ALCAR).

Patricia, Spécialiste en Approche Naturelle de Santé

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Photo : the main ingredient company

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PLANTES ET POLLUANTS HEPATOTOXIQUES ou INHIBITRICES ENZYMATIQUES CONNUS EN FRANCEPlantes contenant des alcaloïdes pyrrol...
08/11/2025

PLANTES ET POLLUANTS HEPATOTOXIQUES ou INHIBITRICES ENZYMATIQUES CONNUS EN FRANCE

Plantes contenant des alcaloïdes pyrrolizidiniques (comme le séneçon)

• Séneçon de Jacob / Séneçon vulgaire (Senecio jacobaea, vulgaris, erucifolius…)
• Bourrache (Borago officinalis)
• Vipérine (Echium vulgare)
• Héliotrope d’Europe (Heliotropium europaeum)
Ces plantes agissent de la même manière : altération des enzymes hépatiques, fibrose hépatique, dégradation du parenchyme, photosensibilisation secondaire.
Plantes à glycosides cyanogéniques ou saponines irritantes
• Trèfle blanc et rouge (Trifolium repens, T. pratense) : surtout en pâturage humide, provoque ballonnements, perturbation enzymatique hépatique, parfois photosensibilisation secondaire.
• Luzerne (Medicago sativa) en excès ou mal conservée : surcharge protéique et azotée( stress hépatique, hyperactivité enzymatique compensatrice).
• Mélilot (Melilotus officinalis) : si mal séché, transformation du coumarin en dicoumarol (inhibition de la vitamine K, atteinte hépatique et troubles enzymatiques).
• Fougère aigle (Pteridium aquilinum) : action cancérigène, perturbation enzymatique sur le cycle des nitrosamines.
Plantes à huiles essentielles hépatotoxiques ou inhibitrices enzymatiques
• Millepertuis (Hypericum perforatum): photosensibilisant et inducteur enzymatique (modifie les cytochromes P450).
• Absinthe, armoise, tanaisie (Artemisia spp.) : excès de thuyone (neuro- et hépatotoxique).
• Menthe pouliot, eucalyptus, thuya : fortes doses (inhibition enzymatique hépatique, effets similaires à certaines molécules médicamenteuses).
• Le thym et l’origan, très concentrés en thymol et carvacrol, sont connus pour inhiber fortement certaines enzymes de la détoxication hépatique (notamment les cytochromes P450). Utilisés sans précaution, ils peuvent provoquer une inflammation ou une fatigue du foie.
• Le girofle, grâce à l’eugénol, possède un fort pouvoir antiseptique mais aussi inhibiteur enzymatique. Il peut bloquer partiellement le métabolisme hépatique, entraînant une accumulation de toxines ou de médicaments.
• La menthe poivrée contient du menthol et de la menthone : à faible dose, elle stimule le foie, mais à dose répétée, elle peut au contraire ralentir ou dérégler la détoxication, provoquant nausées, troubles digestifs ou déséquilibre enzymatique.
• La sauge officinale et le camphre sont parmi les plus à risque : leurs cétones (thuyone, camphre) ont une toxicité reconnue sur le foie et le système nerveux. Elles sont strictement contre-indiquées chez les femelles gestantes, les jeunes animaux et tous les sujets fragilisés.
• La cannelle de Ceylan, riche en cinnamaldéhyde et eugénol, est très stimulante mais aussi irritante pour les voies digestives et hépatiques. Son usage prolongé peut provoquer un stress oxydatif marqué.
• Le tea tree (Melaleuca alternifolia), pourtant réputé doux, peut surcharger les voies enzymatiques s’il est utilisé de manière continue, surtout chez les chats, espèces particulièrement sensibles.
• Le romarin à camphre et l’eucalyptus globulus partagent un profil proche : leurs composés (camphre, 1,8-cinéole) modifient la vitesse de certaines réactions enzymatiques et peuvent devenir toxiques si l’animal est déjà en situation de fragilité hépatique ou digestive.

L’usage des huiles essentielles ne doit jamais être automatique ou systématique.

Beaucoup de personnes, par bonne intention, les emploient “pour tout et n’importe quoi” — sur un cheval stressé, un chien fatigué, un chat convalescent — sans évaluer l’état hépatique ou enzymatique préalable.

Or, le foie d’un cheval ou d’un chien ne réagit pas comme celui d’un humain, et certaines molécules apparemment anodines peuvent devenir toxiques à très faible dose.

Autres toxiques végétaux ou alimentaires : Ergot de seigle (Claviceps purpurea), : vasoconstriction sévère, atteinte hépatique indirecte, troubles hormonaux , dérèglement enzymatique général. Moldes et mycotoxines (sur céréales, foin, orge germée, ensilage) : Aflatoxines : inhibition de la synthèse enzymatique hépatique. Ochratoxines, zéaralénone, fumonisines : perturbent la transcription des enzymes, effets hormonaux et immunodépresseurs. Très fréquent dans les lots de céréales mal stockés.

Polluants et produits chimiques affectant les enzymes - Métaux lourds : Cuivre, plomb, mercure, cadmium, arsenic : se lient aux groupes sulfhydriles (SH) des enzymes, les inactivent. Effet cumulatif observé dans certaines zones agricoles. Chez le cheval : diminution activité hépatique, troubles nerveux, anémie.
Pesticides et antiparasitaires : Organophosphorés, carbamates : inhibent l’acétylcholinestérase (système nerveux) et perturbent aussi la détox hépatique. Avermectines (ivermectine, moxidectine) : si surdosage ou animal affaibli provoque une surcharge enzymatique. Fongicides azolés : inhibent les enzymes fongiques, mais aussi certains cytochromes équins - interactions médicamenteuses possibles.

Facteurs endogènes aggravants : Carences en vitamines B2, B3, B6, zinc, sélénium : cofacteurs enzymatiques indispensables. Acidose, inflammation chronique, stress oxydatif : détruisent la structure des enzymes. Hypercortisolisme, suractivité du système sympathique : réduction de la synthèse hépatique, enzyme de phase II ralentie. Perturbation hormonale (thyroïde, parathormone) : modifie la transcription des enzymes métaboliques.

Chez le cheval et l’humain - mécanismes communs : Les publications INRAE, ANSES et Inserm soulignent un socle commun :

La capacité enzymatique hépatique est proportionnelle à l’intégrité mitochondriale et nutritionnelle. Le microbiote intestinal influence directement l’expression de certaines enzymes (via acides gras volatils, butyrate, et inflammation bas grade).

Les toxiques environnementaux (pesticides, métaux, mycotoxines) modifient à la fois les cytochromes et les enzymes digestives.

Ce que cela implique dans la pratique : Toujours relier un trouble enzymatique à l’environnement : type de foin, stockage, herbes présentes, traitements récents, charge émotionnelle et métabolique.

Le séneçon n’est que la part émergée de l’iceberg (liste non exhaustive ci-dessus): beaucoup d’autres plantes ou molécules peuvent créer le même effet d’inhibition ou de dérégulation enzymatique.

Le corps (ou celui du cheval) cherche souvent à protéger : en ralentissant volontairement l’activité enzymatique, il évite de transformer un toxique en métabolite encore plus actif — un mécanisme d’auto-protection intelligent.

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé

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Pour parler de "radiesthésie", pour admettre, pour comprendre la radiesthésie, avant toute autre chose, il faut savoir, qu’il est très important de comprendre que TOUT est énergie. Même la matière paraissant la plus inerte n'est en réalité qu'une forme particulière et concentrée d'énergie".

La dernièrement publication en provenance du CERN (Centre Européen de Recherche Nucléaire, situé aux portes de Genève, où se trouvent les plus grands anneaux d'accélération des particules) le confirme.

https://www.picbleu.fr/page/la-radiesthesie-la-tele-radiesthesie-et-le-pendule

De l'importance de pouvoir (savoir) tester...