01/12/2025
Infolettre #110 -⚜️🧚♀️ Petit décodage des ovaires 🧚♀️⚜️
Nos fidèles abonnés savent désormais que le corps exprime nos émotions refoulées au travers de tensions, mal-être et maladies pour tenter de nous faire prendre conscience de ce qui nous ronge, nous empêche, nous fait tant souffrir dans le silence intérieur.
Ainsi, chaque partie de notre anatomie dispose, dans sa symbolique, d’une proposition de décodage, autrement dit de potentiels liens entre le symptôme et ce que le corps cherche à dire. Nous sommes pourtant davantage et uniquement occupés à blâmer et évacuer rapidement la souffrance, ce qui est bien légitime et juste, au détriment de l’écoute du message qui cherche à nous alerter : à défaut de bien le comprendre, il nous faut au moins l’entendre, l’accueillir, et peut être même y trouver des axes de compréhension, puis de résolution, de ces émotions involontairement et inconsciemment retenues restées trop longtemps enfouies jusqu’à saturation..
Le système génital féminin est composé notamment de deux ovaires, dont les deux rôles principaux sont la fonction reproductrice, la régulation des cycles ainsi que l’expression de l’identité féminine et la santé générale par leur impact sur le système hormonal.
Les ovaires font partie du chakra sacré (ça crée…) et sont le symbole de la créativité et de la fécondité, qu’elles soient physiologiquement reproductives, comme lorsque l’on conçoit un bébé, ou dans le sens plus symbolique du moteur énergétique pour créer sa journée, sa vie, son œuvre artistique ou son entreprise… il s’agit véritablement d’exprimer notre potentiel unique dans la joie profonde de l’acte créatif.
Nous pouvons déjà comprendre combien les perturbations dont sont affectées de plus en plus de femmes et de jeunes filles, peuvent être en lien avec leurs émotions, dans une fonction de création, de reproduction, de lien avec les géniteurs ou la progéniture, de régulation des relations et le rapport avec l’humeur globale, d’autant qu’en médecine chinoise, les ovaires sont en lien avec le méridien de l’intestin grêle dans la loge du feu, siège des émotions fortes : joie, amour et haine, agressivité et impatience. Si ces émotions ne sont pas assez conscientisées, acceptées, exprimées avec autant de compréhension et de douceur possibles, elles finiront pas créer des amalgames, que l’on appelle déséquilibres ou nœuds émotionnels, précisément dans la région du corps symboliquement en rapport avec le cœur du problème.
Lorsque l’on rencontre un problème aux ovaires, il sera probablement en lien avec des situations émotionnelles tendues et insuffisamment exprimées avec nos parents, nos conjoints, nos enfants ou désirs d’enfants, nos projets personnels ou professionnels, dans une atmosphère étouffée de frustration, dévalorisation, tristesse, chagrin refoulé, peur de l’échec, voire de difficultés avec notre condition féminine, pas à sa place, pas de place…
Il est probablement question d’humiliation, d’absence de valeur personnelle, de séparation, de deuil à faire d’une relation, d’une situation, d’une entreprise, surtout si on l’appelait « son bébé ».
L’émotion qui domine est la peur, comme celle de perdre un bébé bien sûr, en résonnance parfois avec des mémoires de fausses-couches, personnelles ou héritées, mais aussi de la rupture d’un lien avec une personne chère, l’avortement ou la fin d’un projet, une création dérobée ou qui n’a pas perduré, perte d’un animal, peur par anticipation que notre projet n’aboutisse pas, que notre « œuf » soit stérile.
Lors de ruptures ou de divorces, les ovaires peuvent prendre ce message comme un stress d’échec, de perte d’une stabilité supposée, de culpabilité de n’avoir pas su porter suffisamment la co-création initiale.
Les kystes portent notamment ce message : la douleur, le chagrin intérieur se fait chair, il y a création de matière là où l’émotion accumulée n’a pas été exprimée : parfois il faudra avoir recours à la chirurgie mais si l’on veut véritablement que cette alerte soit utile, il sera nécessaire d’entreprendre cette petite introspection afin que le corps soit libéré aussi de la racine qui a engendré ce kyste, dans un climat de peur, de perte, de dévalorisation, de non-acceptation, de conflit avec le féminin en soi et autour de soi.
Les ovaires polykystiques sont souvent en lien avec une généalogie chargée de fausses-couches, avortements, difficultés à procréer, à être en lien avec un être cher ; en général, l’ovaire droit est en relation avec le géniteur, le mari, le compagnon, l’ovaire gauche avec la mère, l’enfant. Il peut aussi s’agir de frustrations dans la lignée empêchée d’exprimer sa créativité, procréation, création, projets.
Pour aller un peu plus loin, tout ce qui se passe dans l’utérus (symbolisant le foyer) pourra être en résonnance avec l’activité des ovaires ; kystes et fibromes racontent une histoire sensiblement identique, à un stade de maturation progressif : comme l’ovule rencontre le spermatozoïde dans l’utérus et devient un embryon, une idée devient un projet plus ou moins matérialisé en fonction des synergies et de son avancement créatif.
La prise de conscience de l’origine probable de ces difficultés aux ovaires sera une première étape, suivie de l’acceptation de ce que le corps cherche à dire, puis d’accompagner l’expression bienveillante de la souffrance émotionnelle accumulée : lorsque le conflit sera localisé, conscientisé, accepté puis exprimé avec l’aide d’une écoute extérieure souvent nécessaire car on n’ose pas dire ce que l’on ressent vraiment aux personnes que l’on aime, par protection, par peur, par amour… Or, lorsque la charge émotionnelle s’en va, le conflit est résolu, inactif, le corps peut de nouveau fonctionner normalement sans produire de signaux d’alerte.
Il est commun d’entendre que ces problèmes génitaux sont génétiques ; en effet, la charge du vécu refoulé de nos ancêtres pèse très lourd dans notre jarre émotionnelle, précisément parce que l’histoire se répète sans que l’origine soit neutralisée : un accompagnement thérapeutique bref pourra être d’une grande aide pour mettre en lumière et dégager ces mémoires afin d’arrêter la répétition. C’est de l’épigénétique, ou comment les prises de conscience et les changements peuvent modifier l’expression de nos gènes…
Nous avons, dans une précédente infolettre, mis en avant les avantages de la bromélaïne en traitement naturel pour compléter la thérapie : grâce à ses précieux enzymes, la multiplication intempestive des cellules, comme dans le cas des kystes, pourra être réduite. Il existe aussi des traitements naturels spécifiques ciblés, n’hésitez pas à vous renseigner plutôt que continuer à subir, tout en prêtant bien attention aux perturbateurs endocriniens qui amplifient les problèmes et toujours dans le cadre d’une bonne hygiène de vie globale bien sûr !
Retrouver un corps sain, un fonctionnement purifié, un esprit clair, la joie de vivre et de créer… tout ceci passe bien souvent par les étapes communes des deuils de toute nature : déni, colère, tristesse… puis acceptation, pardon, résilience. C’est notre principale mission d’âme de comprendre et d’accompagner avec un Amour et une patience infinis ce corps souffrant vers la libération sublime des charges émotionnelles inutiles pour retrouver sa Vraie Lumière. C’est peut être bien le souhait numéro un de notre liste au Père Noël Divin.
« Le corps d’une femme est un secret bien gardé et une longue histoire »
Jacques Chardonne.»
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