Patrick Chambard Thérapeute

Patrick Chambard Thérapeute Patrick Chambard, psychanalyste et hypnoanalyste à Chennevières sur Marnes n'hésitez pas à me contacter au 0661514067 du Lundi au samedi de 9h à 20h.

Patrick Chambard, psychanalyste et hypnoanalyste à Chennevières-sur-Marne 94430 et Sartrouville 78500, Saint maure des fossés, et Sucy-en-Brie accueille enfants, adolescents et adultes pour des psychothérapie analytique, arrêter de fumer 94, hypnose, addiction, neuro-coaching, sophrologie, ESPT...
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27/10/2024
27/10/2024
13/05/2023

Comment se libérer de son addiction ?

3 ÉTAPES POUR VAINCRE SA DÉPENDANCE



Comment surmonter son addiction à une époque où les comportements addictifs ont dangereusement augmenté lors des deux premiers confinements.
Comment s'affranchir de son addiction pour éviter de se laisser entraîner par des dépendances à l'alcool, aux drogues, au tabac ou à des comportements ?


Comment s'en sortir, quand on est dans cette situation ?


Quand parle-t-on d’addiction ?



Vous devez savoir une chose : sortir de l'addiction, quand bien même, nous ne consommons pas de substances telles que l'alcool, les drogues ou le tabac, aucun d'entre nous n'est à l'abri d'un comportement addictif. En effet, nous sommes tous susceptibles de développer une dépendance à quelque chose et surmonter cette dépendance n'est pas toujours chose facile. Je vous explique les étapes clés pour sortir de l'addiction.



Les addictions sont caractérisées par un comportement irrépressible, répété et incontrôlable.


On distingue les addictions aux substances et les addictions comportementales.


Ces dernières font partie des définitions des pathologies. En effet, il est de plus en plus évident que consommer une substance n'est pas nécessaire pour être addict. Effectivement, des comportements quotidiens tout à fait anodins, tels que l'achat compulsif, l'alimentation, les écrans, le s*xe, etc. peuvent devenir une véritable obsession qui peut s'avérer totalement destructrice.



Les addictions sont souvent liées à un mal-être, un malaise, une souffrance : deuil, solitude, tristesse. Il est crucial de comprendre ce qui a conduit une personne à se réfugier dans un comportement addictif afin de pouvoir l'aider à sortir de cette addiction et à mettre fin à ce comportement destructeur.



En outre, les personnes dépendantes sont parfaitement conscientes des risques. Cependant, elles ne parviennent pas à surmonter l'addiction et à reprendre le contrôle de leur vie.



Parce que l'on peut réellement devenir esclave de la substance que l'on consomme.


Nous pouvons parfaitement nous retrouver complètement prisonniers de notre comportement.


Alors, notre cerveau est-il vraiment le seul maître à bord ?


Je réponds OUI, car en comprenant et en reprenant le contrôle de notre cerveau, nous éviterons les pièges et nous sortirons de l'addiction.
Afin de ne pas ou ne plus se faire piéger par les comportements addictifs, quels qu’ils soient, voilà tout l’enjeu pour vivre une vie équilibrée, libre et saine.



De plus, on peut AGIR, c'est la bonne nouvelle.


Pour vous aider à sortir de l'addiction et reprendre le chemin d'une vie responsable et heureuse, je vous propose de suivre les 3 étapes suivantes.


1ʳᵉ étape : prendre conscience de sa dépendance pour se libérer de l’addiction


Tout le monde recherche le bonheur


Le problème des addictions est qu'elles comblent en apparence ce besoin : s'adonner à une addiction, quelle qu'elle soit, c'est avoir l'impression de se trouver bien, de se sentir mieux, or, il s'agit d'un bonheur éphémère, et surtout trompeur. L'addiction crée le manque, le déséquilibre et la frustration.



Par conséquent, la première étape est de s'interroger honnêtement sur son comportement addictif et de l'accepter.


C'est la première étape ! et la plus importante !


2ᵉ étape : Trouver une nouvelle habitude positive et saine pour se sortir de l'addiction


Le combat contre l'addiction va consister à remplacer la dépendance actuelle par une nouvelle habitude positive et saine


Comment cela est-il possible ?


Commençons par nous poser les bonnes questions pour définir et déterminer un comportement durable, positif et plus sain.


Par exemple, quelle est l’activité dont j’ai toujours rêvé et que je n’ai jamais réalisée ?


Si je suis sincère et honnête, suis-je prêt à renoncer irrévocablement à mes ambitions et mes rêves pour cette addiction ?


Suis-je prêt à abandonner cette addiction pour atteindre mon but ?


3ᵉ étape : S'entourer de bonnes personnes pour sortir de l'addiction.


La puissance et le pouvoir de l'environnement. . .





L'impact de l'environnement est indéniable, en tant qu'accélérateur ou ralentisseur dans nos vies pour sortir de l'addiction.


Les personnes ayant un large cercle social ont moins de difficultés à lutter contre leur addiction, car elles ne se sentent pas seules et ont un sentiment de soutien. Ils ont des personnes qui les entourent non seulement bienveillantes, mais qui ont également la capacité réelle de les “tirer vers le haut” et de les motiver.



Au contraire, si nous évoluons dans un milieu composé de personnes qui partagent nos addictions (exemples : écrans, jeux, etc.), il nous sera beaucoup plus difficile de compter sur elles pour nous aider à nous extraire de cette dépendance.


Sélectionnons ceux qui vont composer « notre groupe de combats » et qui vont sincèrement nous épauler dans notre quête d'indépendance et de liberté.


J’espère que cet article aidera ceux qui souffrent de dépendance à sortir de l’addiction. On peut tout à fait s'en sortir si l'on a la motivation nécessaire pour passer à l'action, si l'on s’entoure de personnes bienveillantes et disponibles, qui nous aideront à retrouver, liberté et sérénité.



Alors, vous souhaitez en savoir plus ?


De plus, vous avez besoin d'un coup de pouce pour passer à l'action ?


Prenez rendez-vous avec Patrick Chambard au Tél. 0661514067
ou https://patrickchambard.fr

Ne laisse jamais personne éteindre cette lueur dans tes yeux et te faire perdre ton sourire. Fais tes choix, vis avec te...
20/04/2023

Ne laisse jamais personne éteindre cette lueur dans tes yeux et te faire perdre ton sourire. Fais tes choix, vis avec tes erreurs, fais face à tes peurs, laisse le passé derrière, avance sans te retourner et dis-toi que le meilleur est à venir…
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Patrick Chambard, Psychothérapie Hypnose et arrêt tabac 78 Chennevières , Ormesson, Sartrouville, Saint-Maur, Sucy-en-Brie, Houilles, Bezons, Boissy-Saint-Leger.

05/03/2023

Le sommet Trauma, Attach(e)ment & Resilience revient pour la 3ème année du 9 au 20 mars avec une fois de plus des intervenants parmi les plus renommés dans le domaine du trauma, de la théorie de l'attachement et de la résilience. 👉 Inscription gratuite 👉 27 conférences en direct avec Que...

18/02/2023

Affaire Palmade : ouvrir les yeux

Paris, le samedi 18 février 2023 – Il y a la nuit. Et il y a l’après. Une sonnerie de téléphone à trois heures du matin, c’est forcément une vie qui bascule. L’instant d’avant, la chaleur des draps, les infimes et infinis tracas de l’existence. La seconde qui suit, le gouffre uniquement habité par cette apocalypse. Toutes les nuits, des hommes et des femmes reçoivent le coup de téléphone qui leur annonce la petite main potelée immobilisée au-dessus du vide, le souffle du fils aimé suspendu à une machine, les corps écrabouillés. Toutes les nuits. Et le chauffeur est la très grande majorité du temps un inconnu, un anonyme qui a meurtri tout le reste de votre existence.

Focalisation
3 219 personnes sont mortes sur les routes en 2021 et en ce mois de février ces tragédies quotidiennes sont cristallisées dans l’effroyable accident qui a privé une femme de la joie de devenir bientôt mère et très gravement blessé un homme et un petit garçon. Dans la voiture d’en face, un comédien en déshérence, jadis petit chouchou du public, Pierre Palmade, 54 ans et dépendant de la cocaïne depuis plusieurs décennies. La guerre en Ukraine, les autres conflits, la réforme des retraites, la mort de Rachel Welch, et toutes nos radios et télévisions ne se concentrent pratiquement plus que sur la vie brisée de Pierre Palmade et ce jour où il a emporté dans sa chute trois personnes et toute leur famille, qui n’aspiraient qu’à la tranquillité de l’anonymat d’une vie normale.

Débats sans fin
La fascination répond à des ingrédients simples et beaucoup sont réunis ici.

Il y a la tragédie pure de cet accident de la route, avec notamment l’innocence d’une vie à venir et celle d’un jeune enfant pulvérisée en quelques instants. Il y a la star déchue, dont on pourfend l’égoïsme aveugle de s’être ainsi jeté sur la route. Un voyeurisme facile et malsain se déploie sans attendre : tous les instants, tous les démons de la vie du comédien sont présentés au grand jour et décortiqués, comme s’il y avait dans ce parcours cabossé, un indice qui aurait permis de prévenir le drame.

Comme si on pouvait condamner le coupable, le criminel avant qu’il ne le soit. Comme toujours en France (dans le monde ?) des camps semblent vouloir se dessiner ; il faut s’affronter. Pour ou contre : la famille éplorée ou la riche star dont on redoute qu’elle soit protégée par sa notoriété. Les questions appelant au débat sont, il faut le dire, très nombreuses.

Un fœtus de plus de 28 semaines (et donc viable) doit-il être considéré comme une « personne » (si il a respiré ne serait-ce qu’une seule fois) ou ne faut-il pas prendre le risque de remettre en cause le (fragile) équilibre garantissant le droit à l’avortement par une telle reconnaissance ? Un homme sous l’emprise de cocaïne, dont la conscience est donc nécessairement altérée par la prise de ce stupéfiant et par sa dépendance, un homme malade, peut-il être considéré comme totalement responsable de ses actes, même s'il est évidemment légitime que la conduite sous l'emprise de stupéfiants constitue une circonstance aggravante ? Faut-il créer la notion d’homicide routier pour que la spécificité des accidents de la route soit mieux reconnue par la justice ? Ainsi, cet accident semble nous contraindre à répondre enfin à différentes questions laissées en suspens, en particulier le débat juridique complexe concernant les accidents impliquant des fœtus viables.

Epoque oblige par ailleurs, les discussions et reportages autour de ce fait divers ont également conduit beaucoup à s’inquiéter et à mettre en garde contre un risque de stigmatisation des homos*xuels et des consommateurs de drogues. Le voyeurisme facile que nous évoquions s’est en effet focalisé sur certaines pratiques de Pierre Palmade. Il était essentiel pour les addictologues et les membres de la communauté homos*xuelle d’insister sur le fait que contrairement à ce que pourrait laisser croire trop hâtivement une des confessions de Pierre Palmade, tous les homos*xuels ne se réfugient pas dans la drogue.

Par ailleurs, alors que le « chems*x » a été l’objet de nombreux commentaires, un militant de l’association Aides, Haim Bladou a tenu à préciser : « tous les chems*xeurs ne sont pas dans une dynamique d’addiction et certains contrôlent leur consommation (…). Il existe des Happy chems*xeurs qui prennent un plaisir occasionnel lié à cette pratique ». Beaucoup dans la communauté homos*xuelle ont salué ce texte également très pédagogique sur le chems*x. Cependant, tous ne partagent pas cette volonté de relativisme : l’affaire Palmade est plus certainement pour eux l’occasion de diffuser largement leurs craintes. Depuis plusieurs années en effet, les messages d’alerte se multiplient.

Outre ceux assez médiatisés de Jean-Luc Romero dont l’époux est mort d’une overdose après une séance de « chems*x », on rappellera celui du président de l’association Aides, Aurélien Beaucamp intitulé « Ne regardons pas les hommes tomber » publié dans Libération. Il écrivait il y a plusieurs années : « La commercialisation à bas coût et sur Internet des nouvelles drogues de synthèse a ouvert pour les g**s une ère de consommation, souvent dans le cadre de marathons s*xuels, aussi appelés «chems*x» (pour chemical s*x). Les situations de décrochage social et d'overdoses liés à cet usage de drogues se sont accrues ces dernières années, illustrées par les annonces fréquentes de perte de travail ou de décès aussi soudains que prématurés. Il s'agit bel et bien d'une crise sanitaire. (…) User de produits psychoactifs, en contexte s*xuel, pour augmenter la désinhibition, les performances, les plaisirs, n’est pas nouveau. Nos communautés ont utilisé les poppers, l’ecstasy, la cocaïne, l’alcool… Il s’agit ni d’être manichéen ni de faire preuve d’angélisme. Il faut une vision pragmatique sans exclusion, appels alarmistes ou jugement. Considérer nos pairs irresponsables est délétère. Nous, militants de Aides, constatons que nos amis, amants, nos pairs tombent à nouveau. Cette crise sanitaire nous impose de revoir le traitement de ces consommations par la communauté, les autorités de santé, le législateur » insistait-il.

Lâcher prise
Quelques temps plus t**d, le Dr Thibaut Jedrzejewski médecin généraliste et également homos*xuel évoquait lui aussi dans Slate le piège du chems*x. Son analyse faisait écho aux confessions de Pierre Palmade, qui décrivait comment la cocaïne semblait lui permettre de mieux « accepter » ou « assumer » son homos*xualité. Bien sûr, beaucoup ont voulu prendre leur distance avec une telle déclaration, rappelant que la grande majorité des homos*xuels ne connaissent pas les mêmes démons que l’humoriste. Cependant, l’analyse de Thibaut Jedrzejewski rappelle que cette souffrance, ce type de cheminement ne sont pas isolés.

Il écrivait en 2021 : « Certains de mes collègues et moi voyons arriver chaque jour de nouvelles personnes qui, du fait de l'isolement et de l'ennui provoqués par les confinements et le couvre-feu, se sont mises à consommer des produits psychoactifs, trop souvent en slam (par voie intraveineuse), sans avoir la moindre idée de leurs conséquences. Ces consommations dégénèrent rapidement et envahissent la vie des personnes. Ce qui venait d'abord comme un soulagement s'avère être finalement une confrontation inévitable avec les démons qu'on avait pris soin de laisser de côté. Et nous voyons prendre forme tout ce qui se trouvait plus ou moins latent dans les parcours de ces hommes : le besoin absolu d'évasion, le vide laissé par le s*xe et la fête, l'identité subie, le manque d'affection, d'amour, de connexion et la solitude. (…) Ce n'est (…) pas «à cause» de la PrEP et de son pseudo-pouvoir désinhibiteur que le chems*x a émergé. Elle n'a pas libéré d'une cage des fauves affamés. Mais elle a fait tomber le rideau, elle a dévoilé tout ce qui nous pèse encore. Et encore plus que le VIH. Elle nous ramène aux réflexions qui se sont, si ce n'est arrêtées, bien ralenties au début des années 1980. Des explorations sur ce que nous sommes, sur qui définit l'homme homos*xuel et comment, qui nous construit, comment est-ce que nous bourgeonnons dans notre société. Et en quarante ans, cette société a changé. Mais nous sommes encore obligés de porter de nombreux bagages, de tirer nos casseroles. L'homophobie n'a plus les mêmes formes, et le VIH, à la fois catalyseur du militantisme pour les droits des malades et la démocratie sanitaire, et du militantisme pour l'égalité des droits, a redistribué toutes les cartes. Dans notre société actuelle, nous avons plus de puissance mais celle-ci est d'autant plus hétérogène. Le lobby gay fait son travail mais nos solidarités sont bancales (…). Malgré ce positionnement (…) nous nous construisons toujours pareils : minoritaires, exclus, seuls, avec le sentiment permanent d'être différents et que cette différence nous rend toujours potentiellement moins bons. Nous sommes encore à la fois les objets de mépris, d'incompréhension et de nombreuses fascinations. Et le chems*x. C'est dans ce contexte de libération et de confrontation qu'il arrive pour soulager cela. Pour nous donner l'impression de ne plus être seuls, pour nous faire vivre de l'harmonie, pour nous rendre amoureux de nos plans sans lendemain. (…) Nous pouvons enfin réconcilier notre s*xualité, nos fantasmes, nos plaisirs, nos envies de ba**er avec nos besoins de créer du lien, de s'attacher, de se rendre vulnérables et insouciants, sans avoir peur d'en souffrir. Le chems*x donne la sensation d'être en sécurité, entre nous, dans un monde qui ne nous comprend pas. (…) Il y a bien des usagers qui prennent ce type de produits pour la simple explosion du plaisir, pour l'expérience mystique ou pour s'amuser. Mais le «lâcher-prise» n'est jamais bien loin ».

Une maladie dans un angle mort
Cette analyse du Dr Thibaut Jedrzejewski et le sombre destin de Pierre Palmade doivent nous conduire à un autre regard sur les souffrances persistantes de la communauté homos*xuelle, alors que différents signaux au sein de notre société (comme le fait qu’un des comédiens préférés des français soit homos*xuel…) nous poussent peut-être à croire que les démons intérieurs et extérieurs sont tous morts.

De la même manière, cette déchirante affaire doit ouvrir nos yeux sur le fléau de la consommation de drogues, alors que celle-ci connaît une ampleur inégalée. Il ne s’agit pas seulement de rappeler sa dangerosité pour soi mais aussi pour les autres (l’accident de la famille percutée par Pierre Palmade en est la démonstration la plus glaçante) mais également d’insister sur le fait que la dépendance à la drogue est une maladie. Invité sur plusieurs plateaux ces derniers jours le psychiatre Laurent Karila a tenu à marteler : « L'addiction est une maladie chronique comme un diabète, comme un cancer. Vous êtes traité, mais vous pouvez rechuter ». Il ne s’agit nullement par une telle assertion de minimiser une quelconque responsabilité de Pierre Palmade et de toutes les autres personnes conduisant sous l’emprise de stupéfiant ou de l’alcool.

Mais c’est un message à l’intention des pouvoirs publics et de la société, afin que la dépendance aux substances psychoactives soit enfin réellement considérée comme un enjeu de santé publique majeur, nécessitant une réelle prévention (par exemple en ce qui concerne la conduite sous l’emprise de drogues qui est rarement abordée bien que responsable de plusieurs centaines de morts) mais aussi des efforts pour mettre fin à la stigmatisation afin que les prises en charge soient facilitées et sans doute plus efficaces. Un très long chemin qui verra sans doute se répéter, avant qu’il ne prenne fin, de nombreux autres drames comme celui de la semaine dernière, anonymes ou sur médiatisés.

On pourra relire :

Haim Bladou : https://twitter.com/PatrickThevenin/status/1625412576354922496

Aurélien Beaucamp : https://www.liberation.fr/france/2017/06/13/ne-regardons-pas-les-hommes-tomber_1576584/

Thibaut Jedrzejewski : https://www.slate.fr/story/204533/tribune-urgence-chems*x-hommes-g**s-temps-covid-19-s*xe-drogues-consommation-aides-medicales

Aurélie Haroche

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06/02/2023
22/01/2023

Vous sentez-vous souvent dépassé, anxieux et stressé ? Ces émotions négatives peuvent rendre difficile la concentration et la joie de vivre. Heureusement, il existe des tactiques simples qui peuvent vous aider à retrouver la tranquillité d'esprit et à vous sentir mieux tout de suite. Voici les cinq meilleurs conseils pour vous aider à arrêter de stresser maintenant :

1. Respirez profondément. Respirer profondément aide à augmenter les niveaux d'oxygène dans le corps pour détendre vos nerfs et réduire le stress.
2. Divisez les tâches en petites parties. Les tâches complexes peuvent être stressantes. Essayez de décomposer les tâches en morceaux plus petits et gérables.
3. Faites de l'exercice régulièrement. L'exercice aide à réduire les hormones du stress et déclenche la libération d'endorphines, des substances chimiques qui produisent des sentiments positifs.
4. Mangez sainement. Manger des aliments sains aide à réduire le stress et à maintenir les niveaux d'énergie.
5. Dormez suffisamment. La privation de sommeil entraîne une augmentation des niveaux de stress. Visez 7 à 9 heures de sommeil chaque nuit.

Essayez ces conseils et commencez à réduire le stress dès aujourd'hui !
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19/01/2023

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