Pharmacie de Chenoise

29/03/2020

: Un test en ligne pour vous aider à détecter la maladie

Ce questionnaire, élaboré par plusieurs spécialistes, a pour objectif principal d'orienter au mieux les patients pour éviter la saturation du "15".

Y répondre prend à peine trois minutes.

Les questions sont de deux ordres :
- Vos antécédents médicaux
- Les symptômes que vous ressentez (par exemple : toux, maux de gorge, fièvre...)

A la fin du questionnaire, soit votre santé apparaît bonne et il vous est recommandé de rester chez vous, soit c’est grave et il vous est indiqué d’appeler le 15.

Entre les deux, 3 options : consulter un généraliste, appeler la permanence des soins non urgents (116-117) ou accéder à une plateforme de téléconsultation.

L'objectif est de faire baisser le nombre d'appels au 15, régulièrement saturé.

Etes-vous un patient à risque ?

Si vous êtes diabétique insulinodépendant non équilibré, vous êtes plus vulnérable face au Covid-19.

Si vous présentez des complications du diabète : le taux de mortalité associé à cette pathologie peut atteindre 9,2%.

Les patients qui souffrent d'une insuffisance rénale chronique et qui sont dialysés sont plus fragiles face au virus de même que le fait d'être sous traitement pour un cancer.

Autre population plus fragile, les patients souffrant d'un déficit immunitaire : greffés sous immunosuppresseurs, maladie du sang, infection VIH non contrôlée ou chimiothérapie.

Les malades atteints de cirrhose au stade B et ceux atteints d’obésité morbide sont également considérés comme à risque même si on manque de données. Toutefois, comme pour les femmes enceintes, le principe de précaution prévaut.

Le HCSP recommande donc aux personnes à risque de limiter leurs déplacements "aux seuls déplacements essentiels", limiter les contacts avec les jeunes enfants, proscrire toute activité collective et veiller à ce que l'entourage applique les mesures barrière de façon renforcée.

+ d'infos : bit.ly/2wuLMl3

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Testez vos symptômes de Coronavirus COVID-19.

26/03/2020

: Changement d’heure... Impact sur votre santé et cycles du sommeil

Dans la nuit de samedi à dimanche, on va perdre une heure de sommeil, seulement... Et pourtant, cela peut avoir certaines répercussions sur la santé.

En effet, ce (léger) dérèglement de l'horloge biologique peut demander 4 ou 5 jours d’adaptation surtout chez les enfants qui ont leur rythme propre.

Ils s’endorment et se réveillent à heures régulières, et garderont naturellement le même rythme avec à la clé : réveils aux aurores, manque d’appétit et difficultés d’endormissement.

Le saviez-vous ? Dormir les aide à grandir : c’est pendant le sommeil que l’hypophyse sécrète la fameuse hormone de croissance.

Un bébé a un rythme biologique particulier de 15 h au lieu des 24 h habituelles. Pour l’aider à s'adapter en douceur, donnez-lui à manger dès qu’il a faim ou essayez de décaler progressivement l’heure du biberon en l’avançant de 10 minutes.

Les adultes peuvent subir également : troubles du sommeil, changement d’appétit, humeur changeante... troubles qui disparaîtront en quelques jours.

Un cycle de est composé de 4 phases :

L'endormissement (stade 1) dure généralement quelques minutes. On est réveillé au moindre bruit.

L'activité du cerveau se ralentit peu à peu et le sommeil s'approfondit (stade 2) : on est réellement endormi.

10 minutes plus t**d, le sommeil profond débute et le dormeur devient difficile à réveiller (stades 3 et 4).

Par la suite, le sommeil profond s'interrompt au profit d'une nouvelle phase de sommeil léger à laquelle succède cette fois le sommeil paradoxal (après environ 1h30 de sommeil). Le dormeur est alors très difficile à réveiller, son tonus musculaire disparaît et des mouvements oculaires typiques se manifestent (période des rêves).

Au cours d'une nuit, ce cycle se répète 3 à 5 fois. Le dormeur se réveille plusieurs fois de façon très brève, sans qu'il en ait conscience.

En moyenne, un adulte a besoin de 7h30 à 8h de sommeil.

+ d'infos : bit.ly/2JhNx7T

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23/03/2020

: Infos Pratiques à partager


1. Vous devez faire vos courses ? Gardez à l'esprit ces bons gestes pour limiter les risques : bit.ly/2QBYC7Q



2. Pourquoi faut-il se laver les mains selon une méthode bien précise ? Toutes les explications avec une vidéo très explicite du Magazine de la Santé ci-jointe.


3. La perte d'odorat serait un symptôme du : bit.ly/3aj36IA


En plus de la fièvre et/ou la toux (sèche ou grasse) et de la fatigue, vous pouvez présenter un autre symptôme : la perte temporaire d’odorat, associée ou non à une perte du goût, pouvant durer plusieurs jours.



Il semble que ces symptômes n’apparaissent généralement qu’après que les patients aient développé les autres signes cliniques de la maladie Covid-19. « Cela va si loin qu’une mère ne pouvait pas détecter l’odeur de la couche de son bébé », précise Hendrik Streeck, directeur de l’Institut de virologie de l’hôpital universitaire de Bonn, ajoutant que « d’autres patients ne pouvaient plus sentir l’odeur de leur shampoing et que la nourriture commençait à avoir un goût fade ».



4. Un test en ligne pour vous aider à détecter la maladie : www.maladiecoronavirus.fr


Un médecin sarthois a piloté la mise au point de ce questionnaire, élaboré par plusieurs spécialistes. Son objectif principal est d'orienter au mieux les patients pour éviter la saturation du "15".



Y répondre prend à peine trois minutes. Les questions sont de deux ordres :



- Vos antécédents médicaux
- Les symptômes que vous ressentez (par exemple : toux, maux de gorge, fièvre...)


A la fin du questionnaire, soit votre santé apparaît bonne et il vous est recommandé de rester chez vous. Soit c’est grave et il vous est indiqué d’appeler le "15".


Entre les deux, 3 options : consulter un généraliste, appeler la permanence des soins non urgents (116-117) ou accéder à une plateforme de téléconsultation.



L'objectif est de faire baisser le nombre d'appels au 15, régulièrement saturé.



+ d'infos : bit.ly/2wuLMl3


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20/03/2020

: Tordons le coup aux idées reçues sur l'Hygiène Bucco-Dentaire

En cette Journée Mondiale de la Santé Bucco-Dentaire, faisons le point sur certaines idées reçues :

Les brosses à dents à poils durs nettoient mieux les dents : FAUX, c’est même l‘inverse car les poils rigides pénètrent mal dans les espaces inter-dentaires.

Il est normal de saigner des gencives lorsqu’on se brosse les dents : FAUX, c’est un signe d’inflammation des (gingivite) pouvant nécessiter une consultation.

Tout le monde a des caries : VRAI MAIS le nombre des chez les enfants a été divisé par 4 en 20 ans grâce à une utilisation plus importante de dentifrices au fluor, à une surveillance plus régulière et à une diminution de produits sucrés.

Les bonbons sont seuls responsables de la formation des caries : PAS SEULEMENT, tous les produits acides comme les jus de fruits et les sodas vont fragiliser la et favoriser l’apparition de caries.

Le dentiste fait mal : PAS FORCEMENT, plus tôt vous êtes pris en charge et moins lourds seront les traitements nécessaires. Par ailleurs, les dentistes ont de plus en plus recours à l’anesthésie pour réduire la douleur des soins.

La santé de la bouche est indépendante de la santé générale : FAUX, reliée aux vaisseaux sanguins, la bouche peut être un vecteur de propagation de bactéries dans l’ensemble du corps.

Soigner une dent de lait est inutile car de toute façon, elle va tomber : FAUX, une carie sur une dent de lait est aussi douloureuse que sur une dent définitive et peut évoluer vers un abcès.

Se frotter les dents avec du citron et du bicarbonate les rend plus blanches : FAUX, c’est la meilleure façon de déminéraliser les et d’éroder l’émail qui protège les dents.

Dernier point d'actualité : attention au grignotage durant le confinement !
Consultez la fiche explicative des bonnes habitudes à prendre pendant cette période : bit.ly/2J6dIOE

+ d'infos : www.ufsbd.fr

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18/03/2020

: la vente de paracétamol est restreinte à une boîte par personne sans symptômes

La vente de paracétamol, recommandée pour combattre les symptômes dus au coronavirus, sera restreinte en pharmacie et suspendue sur internet à partir d'aujourd'hui, a annoncé l'Agence du Médicament (ANSM).

La vente se limitera à une boîte par personne sans symptôme ou deux boîtes en cas de fièvre ou douleurs, ajoute l'agence qui s'inquiète des risques de "stockage inutile" au détriment de ceux qui en ont besoin.

Ces mesures s’appliquent aux boîtes de 500 mg et de 1 000 mg.

En cas de douleur et/ou de fièvre, notamment dans « le contexte de COVID-19 », l’utilisation du doit être privilégiée en respectant les règles de bon usage, rappelle l’agence sanitaire. « Utilisé à bon escient, le paracétamol est un médicament sûr et efficace », souligne-t-elle. En automédication, la dose de 3 g de paracétamol par jour ne doit pas être dépassée.

En cas de surdosage, le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie, même irréversibles dans certains cas : la mauvaise utilisation du paracétamol est la première cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse en France.

L’agence recommande donc, en l’absence d’ordonnance, de prendre « la dose la plus faible (500 mg), le moins longtemps possible » et de « respecter la dose maximale par prise », à savoir un gramme. L’intervalle minimum entre les prises doit être de 4 à 6 heures minimum et la durée maximale de traitement recommandée de trois jours (en cas de fièvre) à cinq en cas de douleurs.

+ d'infos : bit.ly/2QpSfoi

Toutes les réponses aux questions que vous vous posez sur le Coronavirus COVID-19 : www.gouvernement.fr/info-coronavirus

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15/03/2020

: Point sur l'IBUPROFENE et les FAUSSES INFOS

du Ministère de la Santé : la prise d' et d'anti-inflammatoires pourrait être un facteur d'aggravation de l’infection bit.ly/2w0udJw
Donc,par précaution :
✅En cas de fièvre, prenez du sans dépasser la dose de 60 mg/kg/jour et de 3 g/jour
❌ Pas d'automédication
Si vous êtes déjà sous anti-inflammatoires pour une autre maladie ou en cas de doute, demandez conseil à votre médecin traitant ou votre pharmacien.
De manière générale, n'arrêtez pas vos traitements sans avis médical.

❗Dans votre boîte mail ou sur votre téléphone, vous avez sans doute reçu ces derniers jours l'un de ces messages de provenance prétendument "officielle" qui prétendent distiller des "conseils" pour lutter efficacement contre ce virus... ATTENTION : la plupart de ces "informations" sont fausses, ne les relayez pas ! Voir l'article de l'AFP : bit.ly/2QkkYL8

"L'infection ne se présente pas comme un rhume" : FAUX
"Le virus s'installe d'abord dans la gorge avec une sensation de gorge sèche, etc..." : FAUX, les principaux symptômes demeurent la fièvre, la toux, la sensation d'essoufflement et des difficultés respiratoires.
"Le virus ne résiste pas à des températures de 26-27°C" : FAUX, aucune donnée sérieuse ne permet de l'affirmer.
"Sur des surfaces métalliques, il survit 12 heures et 6h à 12h sur du tissu" : INFONDE, on ne sait pas avec certitude combien de temps le virus survit sur les surfaces.
"Le liquide chaud neutralise le virus" : FAUX
"Le coronavirus est assez grand donc tout type de masque peut l'arrêter." : FAUX
"Des gargarismes avec une solution désinfectante élimine ou réduit le quota du virus" : RIEN NE LE PROUVE

Les gestes barrières déjà relayés ici doivent être scrupuleusement appliqués dont le lavage des mains pour lequel vous trouverez ici une explication vidéo de la bonne méthode à appliquer.

+ d'infos : www.gouvernement.fr/info-coronavirus

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12/03/2020

: Connaître les gestes barrières pour se protéger et protéger ses proches du virus

Connaissez-vous les gestes simples pour limiter la transmission du :
1. Se laver régulièrement les mains
2. Tousser dans son coude
3. Utiliser un mouchoir à usage unique
4. Ne pas se serrer la main

⚠ En cas de signes d’infection respiratoire (toux, fièvre, difficultés respiratoires), si vous habitez dans une zone ou circule le virus ou dans les 14 jours suivant le retour d’une zone ou circule le virus :
◾contactez le SAMU Centre 15
◾évitez tout contact avec votre entourage
◾ne vous rendez pas chez votre médecin ou aux urgences

✅ L’objectif est de protéger les personnes plus vulnérables.
Il est recommandé d’éviter les visites aux personnes âgées, tout particulièrement ayant moins de 15 ans ou des personnes présentant des symptômes ou malades.
Dans les établissements de santé, les visites sont limitées à une personne par patient.
Les mineurs et les personnes malades ne doivent pas rendre visite aux personnes hospitalisées, y compris en maternité.

Les réponses à vos questions : 0 800 130 000 (appel gratuit)

Parents : les questions réponses du Ministère chargé de l'Éducation nationale sur https://www.education.gouv.fr/coronavirus-covid-19-informations-et-recommandations-pour-les-etablissements-scolaires-et-les-274253

Pour tous : recommandations sanitaires sur https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus

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09/03/2020

: Maladies Rénales, 20% de cas en + d'ici 10 ans... la "Malbouffe" mise en cause

La Maladie Rénale Chronique, qui peut entraîner la destruction progressive et irréversible des reins, touche 1 adulte sur 10 dans le monde dont 60% de femmes.

La Journée Mondiale du , qui se tiendra jeudi, est là pour rappeler la nécessité d'un diagnostic précoce et de surveiller son alimentation... en évitant plats industriels et fast-foods.

En effet, une personne sur deux arrivant au stade terminal de l'insuffisance rénale l'est en raison d'une artérielle ou d'un de type 2. Or, ces deux pathologies sont liées à la façon dont on se nourrit.

L'hypertension artérielle peut résulter d'une alimentation trop riche en sel, en cholestérol et d'un manque d'exercice physique. La pathologie se définit par une pression trop élevée du sang dans les artères, ce qui abîme les vaisseaux de l’organisme, y compris ceux du rein.

Le diabète de type 2 est aussi favorisé par une alimentation déséquilibrée, trop riche en sucres, un surpoids et un manque d'activité physique.

La personne développe ainsi une résistance à l'insuline qui régule le taux de sucre dans le sang. Ce taux s'élevant alors, l'hyperglycémie qui en résulte peut avoir progressivement des effets délétères sur de nombreux organes, comme le rein.

D'autant plus que la majorité des diabétiques de type 2 souffrent aussi d'hypertension artérielle.

Un dépistage régulier pour surveiller la santé de ses reins est donc conseillé. Celui-ci, très simple à réaliser, consiste en une prise de sang et une analyse d'urine.

Une fois présente en revanche, l'insuffisance rénale chronique ne se guérit pas.

Alors, n'attendez pas avant d'en parler à votre médecin.

+ d'infos : bit.ly/2PYv5os

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06/03/2020

: Faut-il laisser Bébé pleurer ?

Les pleurs du sont un signal pour attirer l’attention sur ses besoins physiologiques. En premier lieu, un qui pleure peut avoir faim, d’autant plus si son dernier biberon ou sa dernière tétée remonte à plus de deux heures.

Il peut aussi indiquer qu’il est inconfortable parce que sa couche nécessite d’être changée, ou qu’elle est trop serrée. Il peut avoir froid, notamment au déshabillage, ou au contraire il peut avoir trop chaud.

Les sont aussi le moyen de demander un câlin, de créer un lien : les besoins physiologiques d’un bébé ne sont pas que des besoins alimentaires, le contact physique est primordial pour qu’il puisse se développer harmonieusement.

Les pleurs du nourrisson peuvent être impressionnants : bébé est tout rouge, tout crispé, il hurle. Comment être sûr qu’il n’est pas douloureux ou malade ? Il faut s’alarmer et consulter de suite un médecin si un bébé de moins de 3 mois a de la fièvre (température rectale supérieure à 38°C) ou s'il régurgite beaucoup et pleure au moment des régurgitations.

Des épisodes de constipation peuvent aussi être source de pleurs. De même, des pleurs associés à tout symptôme tel que la toux, le rhume, la diarrhée, les vomissements, avec un bébé qui s’alimente mal, doivent faire consulter.

Le soir, un bébé a aussi besoin parfois de pleurer pour se décharger de la tension de la journée. Ces pleurs sont très présents durant les 3 premiers mois de vie… Quelques astuces : donner un bain, masser le ventre, le promener en poussette, lui chanter un berceuse, etc...

Un nourrisson pleure 1 à 3 heures par jour durant ses 3 premiers mois de vie, c’est normal, il ne faut pas vous angoisser, mais prendre le temps de faire connaissance avec lui, de pouvoir reconnaître ses différents pleurs.

Il ne faut surtout pas secouer un bébé qui pleure, même un peu, au risque de causer des dégâts neurologiques irréversibles.

En savoir plus : bit.ly/1YvYrXy

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03/03/2020

: Fièvre chez l'enfant... quand s'inquiéter et que faire ?

La est une élévation de la température au-delà de 38° prise chez un enfant normalement couvert, non exposé à une atmosphère très chaude et n'ayant pas fait une activité physique intense avant.

C'est une réaction normale de l'organisme pour l'aider à lutter contre une infection.

En cas de fièvre modérée et si votre enfant la supporte bien, sourit, mange et boit, il n'est pas en danger, il est donc inutile de traiter la fièvre. Contentez-vous de la surveiller.

À l'inverse, vous devez traiter la fièvre :
- si elle persiste plus de 2 jours
- si elle dépasse 38,5 °C
- si votre enfant a moins de 3 mois
- si votre enfant supporte mal la fièvre
- s'il souffre d'un problème de santé particulier.

Quelques gestes simples :
- mettez votre enfant dans une pièce fraîche et aérée (18-20 °C)
- ne le couvrez pas trop
- Faites-le boire afin d'éviter la , très dangereuse.
- Ne l'enveloppez pas de linges humides ou frais et ne lui donner pas un bain à 2°C en dessous de sa .

Consultez en urgence si vous constatez :
- température élevée (> 40 °C)
- état général qui se dégrade
- maux de tête importants, raideur de la nuque, vomissements, renflement de la fontanelle
- déshydratation
- maux de ventre et diarrhée abondante
- respiration difficile

Consultez dans la journée si :
- votre nourrisson de moins de 3 mois est fébrile
- votre enfant est suivi pour une maladie chronique et a de la fièvre
- il a des épisodes de fièvre fréquents
- la fièvre persiste plus de 2 jours
- elle réapparaît alors qu'elle avait disparu depuis plus de 24 heures
- elle persiste malgré le traitement prescrit
- elle est accompagnée de tout autre symptôme qui vous inquiète
- votre enfant présente des convulsions fébriles.

Dans tous les cas, vous pouvez demander conseil à votre .

+ d'infos : bit.ly/2n2LmrP
Les traitements : bit.ly/2ltucHe

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29/02/2020

: Rappel sur les 4 gestes barrières pour éviter la contamination virale

1. Se laver les mains jusqu'au bout des ongles

80 % des virus sont transmis par les mains. Il est donc recommandé de vous laver les mains régulièrement pendant au moins 30 secondes avec de l'eau et du savon, en n'oubliant aucune zone : ongles, entre les doigts, le dos des mains.

2. Éternuer dans son coude

Seulement 33 % des Français déclarent tousser ou éternuer dans leur coude. Pourtant, s'il est conseillé d'éternuer dans son coude, c'est avant tout pour éviter de transmettre ses à d'autres lors d'un contact (poignée de main par exemple). À défaut, si vous éternuez dans vos mains, pensez à les laver juste après.

3. Un mouchoir, puis panier !

Comme un quart des Français, vous gardez peut-être votre mouchoir après utilisation. Mais saviez-vous qu'un virus pouvait survivre jusqu'à 12 heures dans un mouchoir ? Il est donc recommandé d'utiliser son mouchoir une seule fois et de le jeter directement à la poubelle. Sans oublier de se laver les mains juste après.

4. Bien porter le masque

En toussant, vous pouvez propulser vos microbes jusqu'à 50 km/h ! Alors, bien porter son masque est essentiel afin d'éviter la propagation des virus.
Tout d'abord, lavez-vous les mains et faites attention à bien le positionner.
Ajustez ensuite le haut et abaissez le bas du masque.
Il est conseillé de porter masque jetable en présence de personnes fragiles (personnes âgées, nourrissons, femmes enceintes...) ainsi que dans les lieux publics (transports, travail, écoles...).

+ d'infos : bit.ly/2wfZkR3

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27/02/2020

: Coronavirus, faisons le point

Depuis le 24 janvier 2020, 14 cas d’infection au ont été détectés en France.
Au 24 février :
11 patients sont guéris ;
2 patients sont hospitalisés ;
1 patient âgé de 80 ans est décédé le 14 février.

Dans les 14 jours suivant un retour de Chine (Chine continentale, Hong Kong, Macao), de Singapour, de Corée du Sud, ou des régions de Lombardie et de Vénétie en Italie, il faut :

- Surveiller votre température 2 fois par jour
- Surveiller l’apparition de symptômes d’infection respiratoire (toux, difficultés à respirer…)
- Porter un masque chirurgical lorsque vous êtes en face d’une autre personne et lorsque vous devez sortir
- Vous laver les mains régulièrement ou utiliser une solution hydro-alcoolique
- Eviter tout contact avec les personnes fragiles (femmes enceintes, malades chroniques, personnes âgées…)
- Eviter de fréquenter des lieux où se trouvent des personnes fragiles (hôpitaux, maternités, structures d’hébergement pour personnes âgées…)
- Eviter toute sortie non indispensable (grands rassemblements, restaurants, cinéma…)

Travailleurs/étudiants, dans la mesure du possible, privilégiez le télétravail et évitez les contacts proches (réunions, ascenseurs, cantine...).

Les enfants, collégiens, lycéens ne doivent pas être envoyés à la crèche, à l’école, au collège ou au lycée, compte tenu de la difficulté à porter un masque toute la journée.

En cas de signes d’infection respiratoire dans les 14 jours suivant le retour :

- Contactez le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et du séjour récent dans une des zones infectées
- Evitez tout contact avec votre entourage et conservez votre masque
- Ne vous rendez pas chez votre médecin traitant ou aux urgences, pour éviter toute potentielle contamination

Un numéro vert a été mis en place de 09h00 à 19h00 7j/7 : 0 800 130 000

+ d'infos : www.gouvernement.fr/info-coronavirus

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