Alexandra Valet

Alexandra Valet Je suis professeure de Hatha Yoga et Naturopathe. Je consulte en cabinet pluridisciplinaire à Clermont-Ferrand. alexandravalet. com

J'enseigne à Clermont-Ferrand, à Paris et à Pantin, en studio, en centre de santé, en entreprise et auprès de particuliers. ◊ Je suis Naturopathe et Professeure de Yoga, certifiée FENA et affiliée à l'OMNES, installée à Pantin au sein du Cabinet Paramédical KOR. J'accompagne mes clients dans l'objectif de restaurer, de renforcer et d'optimiser leur santé, de manière globale et naturelle.

◊ Offres :
Je propose des Bilans de Vitalité individualisés (1h30), des Accompagnements Suivis (1h), des Massages bien-être ainsi que des Ateliers sur la Naturopathie thématiques.

◊ Spécialisations :
Massage bien-être et massage Ayurvédique
Gestion du stress
CNV
◊ Pour + d'infos : https://www.

Iris, Sous les auspices de la jolie coïncidence,Premiers battements,Premiers regards,À la chaleur de la peau et aux sons...
04/10/2025

Iris,

Sous les auspices de la jolie coïncidence,
Premiers battements,
Premiers regards,
À la chaleur de la peau et aux sons de nos voix,
À la vie qui est pur miracle,
À l’amour qui transcende tout.
🪷
25.09.2025 🧚
.naomi .atelier

🐚 Attente et Plénitude  #3 🐚🪷 «  Comment naîtra l’enfant ?Comme un sourire.Comme ce soupir qui s’exhale de ton boulevers...
08/09/2025

🐚 Attente et Plénitude #3 🐚

🪷 «  Comment naîtra l’enfant ?
Comme un sourire.
Comme ce soupir qui s’exhale de ton bouleversement, qui monte du fond de ton anéantissement, de ton ravissement. » F. Leboyer
🌕 Les journées s’étirent. Elles n’ont aucune matière que nous puissions connaître. Halo lumineux. Abysse insondable. Elles n’ont pas le goût de vacances ou de jours de repos, encore moins de “congés”. Les heures aussi sont curieuses, poreuses, libres, sans contours. Elles sont tendues vers un point d’arrivée dont on ignore le balisage. La trajectoire est incertaine.

🌑 Dans le creux des jours, les ferments de la vie d’avant s’agitent et se bousculent. Particules atomisées qui cherchent, en vain, une certaine continuité. Mais la cohérente fixité n’est plus d’usage. L’a-t-elle déjà été ?

🌬️ Le vent commence à souffler ; il vient de loin, balaye peu à peu l’ancien. Les vieux oripeaux refont surface et se défont aussitôt. Cristallisations d’expériences passées, écumes de souvenirs, pareils à ces écailles dures qui résisteraient encore à la fluidité de l’eau. Un grand désencombrement intérieur doit avoir lieu pour franchir l’autre rive. Devenir ce poisson d’argent ou ce ruisseau pour lesquels la vie est dansée. Ne pas oublier d’enrichir son histoire de celle de la goutte d’eau vive, qui pétille et qui brille au soleil. Dans son polymorphisme, la gouttelette murmure : « ne cherche plus, n’attend plus, abandonne-toi au cours des choses, enracine-toi dans la confiance du cœur. Traverse ce nuage d’inconnaissance, ouvre-toi à Lui, cet Inouï. » .

🦋 Elle est là toute proche. Imminente co-naissance. La terre est en laboure ; et avec elle, la vie qui bat au dedans, la vie qui va, fragile et puissante, s’élargissant. Elle touchera bientôt les rives de l’incarnation. Quittera l’océan matricielle, trouvera l’embouchure, s’accrochera à la vie rugueuse et belle, imprimée définitivement par le temps.

🌟 Te souviendras-tu d’où tu viens ?

AV, août 2025.

🪷 “ Comme il ne saurait y avoir fête digne de ce nom, sans que le Ciel y ajoute son don, entends ce que, pensant à toi, ...
29/08/2025

🪷 “ Comme il ne saurait y avoir fête digne de ce nom, sans que le Ciel y ajoute son don, entends ce que, pensant à toi, m’ont soufflé les muses...

1. Le Feu dit à l’Eau :
— De nous deux, c’est moi le plus fort. Je puis te faire bouillir. Et, même, si tu me pousses à la colère, m’exaspères, je te fais disparaître, je t’évapore.
Aussi, crains-moi.
Et montre le respect, l’obéissance que j’attends de toi.

2.— Oh, Feu ! s’écria l’Eau, Feu vaniteux, présomptueux qui ne connait que la menace, tu n’es qu’un enfant capricieux, coléreux.
Que ferais-tu sans moi ?
Qui d’autre peut étancher ta soif, calmer ta fureur, ta f***e ardeur, mettre un frein à ta rage de destruction ?
Le plus fort ?
Feu, allons, voyons, tu le sais, je t’éteins quand je veux.

3. Ayant compris qu’ils ne pouvaient se vaincre l’un l’autre, ils s’épousèrent.
La lutte ne cessa pas pour autant.
Et, naturellement, ils ne pouvaient avoir d’enfants.

4. Alors parut le Vent. Dit cet autre Seigneur :
— Flamme, je te souffle.
Mais dans la forge, Feu, je te fais incandescent.
Mer, quand, brise, je te caresse
te voilà calme et belle comme un lac au printemps.
Mais que je souffle fort te voilà échevelée comme un démon.
Vous le voyez tous deux, c’est moi le maître.

5. Et le Seigneur Vent de souffler d’abord furieusement comme enivré de sa puissance, puis, comprenant la vanité de la violence, suavement, langoureusement.
On entendit un son léger comme un soupir d’enfant, tendre comme une confidence, vibrant comme une confession.

6. La folie des amants dépassant toute mesure ne connut plus de bornes.
Le Feu se fit Lumière.
L’Eau qui ne luttait plus se laissait caresser, pénétrante.
Elle s’était faite rosée.
Mille gouttes irisées disaient qu’elle avait succombé, qu’enfin elle était une avec le Bien-Aimé.

7. De cette union,
de cette passion,
jaillit la Création !” 🪷

L’art du Souffle, F. Leboyer,
gynécologue-obstétricien.
Il fut l’un des pionniers en France à
promouvoir la naissance sans violence.

Merci à mon amie .naomi pour cette si belle découverte 🔆

Adresse

51 Cours Sablon
Clermont-Ferrand
63000

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