Marie LOPES Âme & Conscience - Thérapie Holistique-

Marie LOPES  Âme & Conscience - Thérapie Holistique- Ne laissons pas les événements extérieurs perturber notre paix intérieure... Qui suis-je ? Vers une harmonie de soi. Avec toute mon affection. Marie LOPES

Un être qui s’est formée à l’accompagnement thérapeutique des êtres qui souhaitent aller vers un mieux être. Avec humilité, bienveillance et une écoute active dénouée de jugement, je ferai de mon mieux pour guider chacun de vos pas vers la réalisation de soi, vous permettre de vous donner les clefs pour ouvrir les portes du possible. Avec humilité, car en aucun cas je souhaite que vous buviez mes paroles mais je vous encouragerai à les expérimenter ce qui viendra confirmer l’enseignement par vous même. D’avance, avec toute ma gratitude � pour la confiance que vous m’attribuerez.

« BONJOUR, JE SUIS TON SYMPTÔME »Bonjour, j'ai beaucoup de noms : douleur au genou, bouton, mal d'estomac, rhumatisme, a...
08/11/2025

« BONJOUR, JE SUIS TON SYMPTÔME »

Bonjour, j'ai beaucoup de noms : douleur au genou, bouton, mal d'estomac, rhumatisme, asthme, mucosités, grippe, mal de dos, sciatique, cancer, dépression, migraine, toux, grippe, mal de gorge, insuffisance rénale, diabète, hémorroïdes, et la liste est encore longue. Je me suis porté volontaire pour le pire travail possible : celui de porteur de nouvelles désagréables pour toi.

Tu ne me comprends pas, personne ne me comprend. Tu penses que je veux t'embêter, gâcher tes projets de vie ; tout le monde pense que je veux leur nuire, leur faire du mal ou les limiter. Et non, ce serait une absurdité complète. Moi, le symptôme, j'essaie simplement de te parler dans un langage que tu puisses comprendre. Que tu saisisses.

Dis-moi, irais-tu négocier avec des délinquants, frappant à leur porte avec une fleur à la main et un T-shirt portant le symbole de la « paix » imprimé dans le dos ? Non, n'est-ce pas ?

Alors, pourquoi ne comprends-tu pas que moi, le symptôme, je ne peux pas être « subtil » et « tout doux » lorsque je dois te transmettre le message ? Tu me frappes, tu me détestes, tu te plains de moi à tout le monde, de ma présence dans ton corps, mais tu ne prends pas une seconde pour raisonner et essayer de comprendre la raison de ma présence dans ton corps.

Je ne t'entends que me dire : « Tais-toi », « va-t'en », « je te hais », « maudite soit l'heure où tu es apparu », et mille phrases qui me rendent impuissant à te faire comprendre. Mais je dois rester ferme et constant, car je dois te faire comprendre le message.

Que fais-tu ? Tu m'envoies dormir avec des médicaments. Tu me fais taire avec des tranquillisants, tu me supplies de disparaître avec des anti-inflammatoires, tu veux m'effacer avec des chimiothérapies. Tu essaies, jour après jour, de me couvrir, de me sceller, de me faire taire. Et je suis surpris de voir que parfois, tu préfères même consulter des sorcières et des devins pour que je quitte ton corps de manière « magique ».

Et moi, dont la seule intention est de te donner un message, je suis totalement ignoré.

Imagine que je suis cette alarme avec sirène sur le Titanic, celle qui essaie de mille façons de te dire qu'en face se trouve un iceberg avec lequel tu vas t'écraser et couler. Je sonne et je sonne pendant des heures, des jours, des semaines, des mois, des années, essayant de te sauver la vie, et tu te plains parce que je ne te laisse pas dormir, parce que je ne te laisse pas marcher, parce que je ne te laisse pas travailler, mais tu refuses toujours de m'écouter...

Est-ce que tu commences à comprendre ?

Pour toi, moi, le symptôme, je suis « La Maladie ». Quelle chose absurde. Ne confonds pas les choses.

Tu vas chez le médecin, et tu paies pour des douzaines de consultations médicales. Tu dépenses de l'argent que tu n'as pas en médicaments après médicaments. Et tout cela juste pour me faire taire. Je ne suis pas la maladie, je suis le symptôme. Pourquoi me fais-tu taire, alors que je suis la seule alarme qui essaie de te sauver ? La maladie, « c'est toi », « c'est ton style de vie », « ce sont tes émotions contenues », ça, c'est la maladie. Et aucun médecin ici sur la planète Terre ne sait comment combattre les maladies. La seule chose qu'ils font, c'est me combattre, combattre le symptôme. Me faire taire, me réduire au silence, me faire disparaître. Me mettre un maquillage invisible pour que tu ne me voies pas.

Et oui, ce n'est pas grave si, en lisant ceci, tu te sens un peu agacé. Cela doit être quelque chose comme un « coup dur pour ton intelligence ». Ce n'est pas grave si pour l'instant tu te sens un peu contrarié ou frustré. Mais je peux très bien gérer tes processus et je les comprends. En fait, cela fait partie de mon travail, ne t'inquiète pas. La bonne nouvelle est que ne plus avoir besoin de moi dépend de toi. Cela dépend totalement de toi d'analyser ce que j'essaie de te dire, ce que j'essaie de prévenir.

Lorsque moi, « le symptôme », j'apparais dans ta vie, ce n'est pas pour te saluer, non. C'est pour te signaler qu'une émotion que tu as contenue dans ton corps doit être analysée et résolue pour ne pas te rendre malade. Tu devrais te donner l'occasion de te demander : « pourquoi ce symptôme est-il apparu dans ma vie ? », « que veut-il me dire ? ». « Pourquoi ce symptôme apparaît-il maintenant ? », « Que dois-je changer en moi pour ne plus avoir besoin de ce symptôme ? ».

Si tu laisses ce travail d'investigation uniquement à ton mental, la réponse ne t'emmènera pas plus loin que ce que tu as fait les années passées. Tu dois aussi consulter ton inconscient, ton cœur, tes émotions.

S'il te plaît, quand j'apparais dans ton corps, avant de courir chez le médecin pour qu'il m'endorme, analyse ce que j'essaie de te dire. Vraiment, pour une fois dans la vie, j'aimerais être reconnu pour mon travail, pour mon excellent travail. Et plus vite tu prendras conscience de la raison de mon apparition dans ton corps, plus vite je m'en irai.

Peu à peu, tu découvriras que plus tu es un bon chercheur, moins souvent je viendrai te rendre visite. Et je t'assure qu'un jour viendra où tu ne me verras ni ne me sentiras plus jamais. Au moment où tu atteindras cet équilibre et cette perfection en tant qu'« analyseur » de ta vie, de tes émotions, de tes réactions, de ta cohérence, je te garantis que tu ne consulteras plus jamais un médecin ni n'achèteras de médicaments.

S'il te plaît, laisse-moi sans travail. Ou penses-tu vraiment que j'apprécie ce que je fais ?

Je t'invite à réfléchir, chaque fois que tu me vois apparaître, à la raison de ma visite. Je t'invite à arrêter de t'en vanter auprès de tes amis et de ta famille, comme si j'étais un trophée. Je suis fatigué que tu dises : « Ah, eh bien, j'en suis toujours à mon diabète, tu vois, je suis diabétique. » « Ah, eh bien, je ne supporte plus la douleur dans mes genoux, je ne peux plus marcher. » « Toujours moi avec mes migraines. »

Tu te vantes de moi comme si j'étais un trésor dont tu n'as pas l'intention de te séparer. Mon travail est honteux. Et tu devrais avoir honte de t'en vanter devant les autres. Chaque fois que tu te vantes de moi, tu dis réellement : « Regardez comme je suis faible, je ne suis pas capable d'analyser ni de comprendre mon propre corps et mes propres émotions, je ne vis pas en cohérence, regardez-moi, regardez-moi ! »

S'il te plaît, prends conscience, réfléchis et agis. Plus vite tu le feras, plus vite je quitterai ta vie !

Sincèrement... Ton Symptôme

Tu peux être une bonne personne… et devenir toxique à force d’avoir aimé quelqu’un qui l’est.Et c’est là que ça fait mal...
03/11/2025

Tu peux être une bonne personne… et devenir toxique à force d’avoir aimé quelqu’un qui l’est.

Et c’est là que ça fait mal. Parce que tu ne t’en rends pas compte tout de suite. Ça ne commence pas avec une claque ou une insulte.

Ça commence avec une tension dans l’air. Un regard qui juge. Une remarque qui pique. Un malaise qui revient. Des nuits où tu ne peut dormir …
Et toi, tu rationalises. Tu pardonnes. Tu ajustes. Tu veux que ça marche.

Alors tu changes un peu ta façon de parler. Tu retiens ce que t’as vraiment envie de dire. Tu fais attention à ne pas « trop » déranger. À ne pas trop exister…

Tu deviens une version atténuée de toi-même. Plus douce. Plus prudente. Plus silencieuse.

Pas parce que c’est toi, mais parce que tu marches sur des œufs. Parce que tu sais que si tu montres trop de lumière, ça va déclencher quelque chose chez l’autre. Alors tu réduis ta lumière. Tu réduis ta voix. Tu réduis ton feu.

Et lentement, sans même t’en apercevoir, tu laisses l’autre contaminer les parties les plus belles de toi. Ta joie devient nerveuse. Ta générosité se transforme en sacrifice. Ton intuition est étouffée par la peur de blesser. Et à force d’aimer quelqu’un qui ne sait pas aimer sainement, tu finis par ne plus t’aimer toi-même.

Ce n’est pas que tu t’es laissé faire. C’est que tu pensais que c’était ça, l’amour.
Endurer. Sauver. Tenir bon.

Même quand ça te détruit de l’intérieur. Même quand tu dors mal. Même quand tu ne ris plus comme avant. Même quand tu sais que t’es plus vraiment heureux, mais que t’espères encore un déclic…

Mais voilà la vérité crue : certains liens ne méritent pas d’être entretenus. Parce qu’ils ne t’élèvent pas. Ils te bouffent. Ils s’appuient sur toi au point de te faire plier. Et si tu restes trop longtemps, tu finiras par devenir l’ombre de toi-même… pour quelqu’un qui ne verra même pas ce que t’as sacrifié.

Tu ne peux pas guérir dans un endroit qui te rend malade.
Tu ne peux pas t’épanouir dans une relation où tu dois t’éteindre.
Tu ne peux pas construire du solide sur une fondation qui te fait douter de ta propre valeur.

Alors protège-toi. Pas par vengeance. Pas par peur.
Mais par amour pour ce que tu portes en toi.

Refuse de rester dans un environnement qui déforme ton âme.
Parce que oui, l’amour peut guérir.

Mais le mauvais amour, lui… il pourrit tout. Lentement. Sûrement.

Jusqu’à ce que tu ne reconnaisses plus ce que t’étais avant.

Les conséquences des blessures non guéries 𝙚𝙣 𝙘𝙤𝙪𝙥𝙡𝙚. Dans une relation de couple, chacun arrive avec son passé : rejets...
03/11/2025

Les conséquences des blessures non guéries 𝙚𝙣 𝙘𝙤𝙪𝙥𝙡𝙚.

Dans une relation de couple, chacun arrive avec son passé : rejets, trahisons, blessures d’enfance ou manque d’amour. Si ces douleurs ne sont pas reconnues et guéries, elles influencent inconsciemment la relation et peuvent la détruire à petit feu.

Conséquences principales :

1. Hypersensibilité → Réactions excessives à des remarques anodines.

2. Méfiance constante → Soupçons, jalousie, contrôle.

3. Besoin de tout contrôler → Pour éviter l’abandon ou la souffrance.

4. Auto-sabotage → On détruit la relation par peur d’être blessé.

5. Malentendus fréquents → Chaque mot est mal interprété.

6. Épuisement émotionnel du partenaire → L’autre se sent impuissant ou étouffé.

7. Répétition de schémas toxiques → On attire toujours les mêmes situations.

8. Blocage de l’intimité → Difficulté à se livrer, se confier, aimer pleinement.

9. Risque de rupture → Quand les blessures prennent le dessus sur l’amour.

Clé essentielle :

Ton/ta partenaire n’est pas responsable de tes blessures passées.
Prends la responsabilité de ta guérison pour construire une relation plus saine et apaisée

Bonne explication du Triangle de Karpman...Le triangle dramatique de Karpman, est un modèle psychologique très puissant ...
03/11/2025

Bonne explication du Triangle de Karpman...

Le triangle dramatique de Karpman, est un modèle psychologique très puissant pour comprendre les relations toxiques, les incompréhensions émotionnelles, et les jeux de rôle inconscients.

Le triangle dramatique : une mécanique relationnelle inconsciente

Inventé par Stephen Karpman (psychologue américain), ce triangle montre que dans certains échanges humains
– surtout conflictuels ou déséquilibrés émotionnellement
– les personnes peuvent entrer dans un jeu de rôle inconscient, basé sur trois pôles :

Les 3 rôles du triangle :

Rôle Position de départ Dynamique principale Exemple typique

La Victime "Pauvre de moi..."
Recherche un sauveur ou accuse un bourreau "Pourquoi ça n'arrive qu’à moi ?"

Le Sauveur "Je dois t’aider…" Aide l’autre sans qu’on lui ait demandé "Laisse, je vais m’en occuper."

Le Bourreau "C’est ta faute…" Juge, critique, punit "Tu n’as encore rien fait correctement !"

Ces rôles sont interdépendants : l’existence de l’un appelle les deux autres. Par exemple, une victime cherche un sauveur, ou dénonce un bourreau. Un sauveur finit par être perçu comme envahissant (bourreau), ou frustré de ne pas être reconnu (victime), etc.

Les glissements de rôle : pourquoi le sauveur devient bourreau ou victime

Souvent le sauveur de la victime passe pour un bourreau et devient lui-même victime

Et tu as parfaitement résumé ce que beaucoup vivent sans le comprendre.

Pourquoi le sauveur devient bourreau ?

Il donne sans compter, parfois sans qu'on lui ait demandé.
Il attend de la reconnaissance, mais n’en reçoit pas forcément.
Il intervient à la place de l’autre, l’empêche de grandir.

Quand la personne aidée rejette ou résiste, le sauveur peut :

se fâcher,
se montrer dur,
ou poser des limites (perçues comme de la cruauté).

Il est alors vu comme le "méchant", alors qu’il pensait bien faire.

Pourquoi le sauveur devient victime ensuite ?

Parce qu’il se sent incompris, rejeté, accusé à tort.
Il peut dire : « Après tout ce que j’ai fait pour toi… »
Il ressent un sentiment d’injustice, voire de trahison.
Il s'effondre émotionnellement, ou culpabilise.

Ainsi, il passe par les 3 rôles du triangle :
Sauveur ➜ Bourreau (dans les yeux de l’autre) ➜ Victime (dans sa propre souffrance).

Les causes profondes : pourquoi on entre dans ces rôles

Ces rôles ne sortent pas de nulle part. Ils sont souvent le fruit :

D’un conditionnement personnel :

Le sauveur vient souvent d’un besoin d’être aimé, reconnu, utile.
Il a appris (enfant, souvent) que s’occuper des autres est la seule façon d’être accepté.
Il a pu vivre dans une famille où il fallait « réparer » les choses ou les gens.

D’un manque d’estime de soi :

Aider donne au sauveur une valeur extérieure.
Mais au fond, il ne se sent pas digne sans cette mission.

De blessures d’enfance :

Abandon, rejet, humiliation, injustice…

Ces blessures nous font porter des masques relationnels, comme celui du sauveur, du persécuteur ou de la victime.

Les dangers du triangle dramatique

Le triangle devient toxique quand il se répète de manière chronique dans une relation.

Pour le sauveur :

Épuisement émotionnel
Sentiment d’être utilisé
Colère refoulée

Perte de son identité hors du rôle d’aidant

Pour la victime :

Dépendance affective
Infantilisation
Incapacité à se responsabiliser

Pour le bourreau :

Isolement
Culpabilité refoulée
Rigidité émotionnelle

Comment sortir du triangle

La clé pour sortir de ce schéma est de devenir conscient du rôle qu’on joue et de le remplacer par une posture saine.

Rôle toxique Rôle sain à adopter

Victime
Responsable "J’ai du pouvoir sur ma vie."

Sauveur
Coach / Supporter "Je t’aide si tu le veux, mais tu es acteur."

Bourreau
Confrontant bienveillant "Je pose mes limites sans agresser."

Pratiques :

1. Observer ses automatismes relationnels (sans jugement).

2. Dire non sans culpabilité.

3. Laisser l’autre vivre ses expériences sans vouloir tout contrôler.

4. Exprimer ses besoins clairement, pas par la manipulation ou le sacrifice.

5. Se reconnecter à soi : Qui suis-je en dehors de mes rôles ?

Un dernier mot : transformer les rôles

Chaque rôle contient une lumière cachée :

Le sauveur a un cœur généreux, il doit apprendre à aider sans se nier.

Le bourreau a une force de structure, il doit apprendre à exprimer ses limites sans dominer.

La victime a une sensibilité profonde, elle doit apprendre à se relever.

La transformation, ce n’est pas de rejeter ces rôles, mais de les faire évoluer vers la maturité.

J’ai le plaisir de vous rappeler que je propose au sein de mon cabinet des constellations familiales. N’hésitez pas à me...
07/09/2025

J’ai le plaisir de vous rappeler que je propose au sein de mon cabinet des constellations familiales.

N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez avoir des informations.

Marie LOPES
www.ameconscience.fr
06.69.92.23.48

Le triangle dramatique de Karpman, est un modèle psychologique très puissant pour comprendre les relations toxiques, les...
06/08/2025

Le triangle dramatique de Karpman, est un modèle psychologique très puissant pour comprendre les relations toxiques, les incompréhensions émotionnelles, et les jeux de rôle inconscients.

Le triangle dramatique : une mécanique relationnelle inconsciente

Inventé par Stephen Karpman (psychologue américain), ce triangle montre que dans certains échanges humains
– surtout conflictuels ou déséquilibrés émotionnellement
– les personnes peuvent entrer dans un jeu de rôle inconscient, basé sur trois pôles :

Les 3 rôles du triangle :

Rôle Position de départ Dynamique principale Exemple typique

La Victime "Pauvre de moi..."
Recherche un sauveur ou accuse un bourreau "Pourquoi ça n'arrive qu’à moi ?"

Le Sauveur "Je dois t’aider…" Aide l’autre sans qu’on lui ait demandé "Laisse, je vais m’en occuper."

Le Bourreau "C’est ta faute…" Juge, critique, punit "Tu n’as encore rien fait correctement !"

Ces rôles sont interdépendants : l’existence de l’un appelle les deux autres. Par exemple, une victime cherche un sauveur, ou dénonce un bourreau. Un sauveur finit par être perçu comme envahissant (bourreau), ou frustré de ne pas être reconnu (victime), etc.

Les glissements de rôle : pourquoi le sauveur devient bourreau ou victime

Souvent le sauveur de la victime passe pour un bourreau et devient lui-même victime

Et tu as parfaitement résumé ce que beaucoup vivent sans le comprendre.

Pourquoi le sauveur devient bourreau ?

Il donne sans compter, parfois sans qu'on lui ait demandé.
Il attend de la reconnaissance, mais n’en reçoit pas forcément.
Il intervient à la place de l’autre, l’empêche de grandir.

Quand la personne aidée rejette ou résiste, le sauveur peut :

se fâcher,
se montrer dur,
ou poser des limites (perçues comme de la cruauté).

Il est alors vu comme le "méchant", alors qu’il pensait bien faire.

Pourquoi le sauveur devient victime ensuite ?

Parce qu’il se sent incompris, rejeté, accusé à tort.
Il peut dire : « Après tout ce que j’ai fait pour toi… »
Il ressent un sentiment d’injustice, voire de trahison.
Il s'effondre émotionnellement, ou culpabilise.

Ainsi, il passe par les 3 rôles du triangle :
Sauveur ➜ Bourreau (dans les yeux de l’autre) ➜ Victime (dans sa propre souffrance).

Les causes profondes : pourquoi on entre dans ces rôles

Ces rôles ne sortent pas de nulle part. Ils sont souvent le fruit :

D’un conditionnement personnel :

Le sauveur vient souvent d’un besoin d’être aimé, reconnu, utile.
Il a appris (enfant, souvent) que s’occuper des autres est la seule façon d’être accepté.
Il a pu vivre dans une famille où il fallait « réparer » les choses ou les gens.

D’un manque d’estime de soi :

Aider donne au sauveur une valeur extérieure.
Mais au fond, il ne se sent pas digne sans cette mission.

De blessures d’enfance :

Abandon, rejet, humiliation, injustice…

Ces blessures nous font porter des masques relationnels, comme celui du sauveur, du persécuteur ou de la victime.

Les dangers du triangle dramatique

Le triangle devient toxique quand il se répète de manière chronique dans une relation.

Pour le sauveur :

Épuisement émotionnel
Sentiment d’être utilisé
Colère refoulée

Perte de son identité hors du rôle d’aidant

Pour la victime :

Dépendance affective
Infantilisation
Incapacité à se responsabiliser

Pour le bourreau :

Isolement
Culpabilité refoulée
Rigidité émotionnelle

Comment sortir du triangle

La clé pour sortir de ce schéma est de devenir conscient du rôle qu’on joue et de le remplacer par une posture saine.

Rôle toxique Rôle sain à adopter

Victime
Responsable "J’ai du pouvoir sur ma vie."

Sauveur
Coach / Supporter "Je t’aide si tu le veux, mais tu es acteur."

Bourreau
Confrontant bienveillant "Je pose mes limites sans agresser."

Pratiques :

1. Observer ses automatismes relationnels (sans jugement).

2. Dire non sans culpabilité.

3. Laisser l’autre vivre ses expériences sans vouloir tout contrôler.

4. Exprimer ses besoins clairement, pas par la manipulation ou le sacrifice.

5. Se reconnecter à soi : Qui suis-je en dehors de mes rôles ?

Un dernier mot : transformer les rôles

Chaque rôle contient une lumière cachée :

Le sauveur a un cœur généreux, il doit apprendre à aider sans se nier.

Le bourreau a une force de structure, il doit apprendre à exprimer ses limites sans dominer.

La victime a une sensibilité profonde, elle doit apprendre à se relever.

La transformation, ce n’est pas de rejeter ces rôles, mais de les faire évoluer vers la maturité.

Marie LOPES
Transformez votre vie 🗝️
www.ameconscience.fr
06.69.92.23.48

Adresse

Conflans-Sainte-Honorine
78700

Heures d'ouverture

Lundi 08:30 - 13:00
14:00 - 21:00
Mardi 08:30 - 13:00
14:00 - 21:00
Mercredi 08:30 - 13:00
14:00 - 21:00
Jeudi 08:30 - 13:00
14:00 - 21:00
Vendredi 08:30 - 13:00
14:00 - 21:00
Samedi 08:30 - 12:00
13:00 - 17:00

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Marie LOPES Âme & Conscience - Thérapie Holistique- publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Marie LOPES Âme & Conscience - Thérapie Holistique-:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram

Our Story

Thérapeute Psycho-Corporel & Thérapeute en hypnose PNL spécialisée en psychotraumatologie & victimologie. J’utilise plusieurs piliers pour vous accompagner le plus humblement possible vers la réalisation de soi.

S’autoriser à être soi-même, harmoniser son corps et son esprit permet de se sentir bien dans tout son être. Apprendre à se détacher du regard de l’autre pour oser être soi-même.

Se détacher de cette dépendance affective pour pouvoir ainsi vivre selon ses envies et ses besoins sans ressentir le besoin que l’autre vienne combler ce vide en soi. Ce besoin d’être aimé et de faire ce qui pourrait faire plaisir pour être aimé.

Se libérer de ses traumatismes pour avancer serein(e) vers un désir de pouvoir enfin atteindre ses objectifs.