Formation - Développement personnel, Rêves lucides-éveillés et Chamanique

08/11/2025

« Le monde sans empathie, c’est celui des pervers. » – une phrase choc, mais profondément vraie.

Un monde sans empathie est un monde froid. Là où l’autre devient un obstacle, un outil ou une simple donnée, la manipulation prend racine. La dureté remplace la douceur, et l’indifférence devient la norme.

L’empathie est notre boussole émotionnelle. Elle nous permet de comprendre sans juger, d’aider sans dominer, d’aimer sans posséder. Elle se cultive dès l’enfance, dans le regard que l’on porte à l’autre, dans les mots que l’on choisit, dans la manière d’accueillir les émotions.

Mais attention : sans modèles et sans éducation du cœur, on forme des adultes déconnectés de leurs ressentis, incapables de se mettre à la place de l’autre. Et c’est ainsi que se créent, sans le vouloir, des générations blessées, parfois destructrices.
Et si nous réapprenions à ressentir avant de réagir ? À écouter avant de répondre ? À comprendre avant de condamner ? L’avenir ne se construit pas avec des machines, mais avec des cœurs.

Et vous, que faites-vous chaque jour pour cultiver l’empathie autour de vous ?

06/11/2025

29/07/2025

Je sais que je ne vais pas faire l’unanimité en disant cela : pour moi, notre société n’est pas individualiste, elle est tout le contraire !

On dit partout que notre société est de plus en plus individualiste. Pourtant, ce que j’observe, c’est que nous sommes de moins en moins autonomes et capables de penser par nous-mêmes...
.. de plus en plus manipulés, soumis à des diktats, à des normes et à des phénomènes de masse.

C’est tout le contraire de l’individualisme.

C’était en réponse à ce constat déchirant que j’ai écrit mon livre Devenez narcissique et sauvez votre peau.

Devenir narcissique, c’était une invitation à sentir qu’on a le droit de se rencontrer, de s’accepter et de s’aimer tels
que nous sommes.

Là où le discours habituel nous martèle que, comme nous sommes, ça ne va pas, qu’on est toujours trop ceci ou trop peu cela, et qu’il faut impérativement nous conformer, sous peine d’être mis au ban.

Ce n’est qu’en cultivant son narcissisme qu’on ose parler en son nom propre, poser des limites, mais aussi se donner le droit de désirer et de s’engager pour ce qui compte pour nous.

On est aussi moins dépendant du regard d’autrui et moins susceptible de se faire manipuler.

Tout cela porte une dimension politique très forte !

On souffre collectivement de ne pas se rencontrer,
de ne pas savoir qui nous sommes,
de ne pas savoir ce que nous désirons,
de ne pas oser dire non,
de devoir se sacrifier pour être acceptés.

Eh bien, je dis : ça suffit !

On nous a fait croire qu’être narcissique, c’était être un monstre.

Mais pourquoi les anciens auraient-ils donné le nom d’un monstre à la première fleur du printemps, alors ?

Non, être narcissique, ce n’est pas être un monstre.

Être narcissique, ce n’est pas être égoïste.
Être narcissique, c’est se reconnaître, c’est faire preuve de compassion et de bienveillance envers soi.

On peut être narcissique et avoir du respect pour les autres.
On peut être narcissique et faire preuve d’altruisme.
On peut être narcissique et se donner pour les autres !