AREG animalcare

13/11/2025

L’étude clinique 002 AREG TeC bat son plein !
Merci pour vos très nombreuses candidatures et pour l’intérêt que vous portez à notre projet. Nous sommes ravis de compter des vétérinaires parmis les retenus, témoignant l’utilité de la démarche et de l’outil.

Pour les personnes sélectionnées, vous avez probablement déjà échangé avec mon papa, mais vous ne connaissez peut-être pas encore (l’étendue de) son parcours.
Il me semblait donc important de vous présenter les membres de notre équipe, à commencer par lui.

Bernard Walther

Chief Scientific Officer – Expert en pharmacocinétique, toxicologie et innovation en santé animale
📍 Orléans, Centre-Val de Loire, France
🌐 areg-animalcare.com/areg-tec

Profil ResearchGate : https://www.researchgate.net/profile/Bernard-Walther

Chercheur et dirigeant scientifique expérimenté, fort de plus de 30 ans d’expérience dans l’industrie pharmaceutique humaine et vétérinaire.
Spécialisé en pharmacocinétique, sécurité médicamenteuse et médecine translationnelle, il met aujourd’hui son expertise au service de l’innovation numérique en santé animale, tout en accompagnant le développement de jeunes start-ups.

En fin de carrière chez Servier, il a également orienté ses travaux vers l’étude du microbiote intestinal, de son impact sur la pharmacocinétique des médicaments et de son rôle dans la régulation de l’inflammation chronique des thématiques qu’il poursuit aujourd’hui à travers les projets de recherche d’AREG TeC.

Expérience professionnelle :

Chief Scientific Officer – Consultant
AREG TeC · areg-animalcare.com/areg-tec

📆 2023 – Présent · Orléans, France

Développement d’outils digitaux de suivi de la santé du chien (inflammation, microbiote, mobilité)

Conception de l’application AREG Motion, destinée aux ostéopathes animaliers pour une évaluation fonctionnelle objective

Collaboration avec AREG Animalcare sur l’intégration des données physiologiques dans la rééducation fonctionnelle canine et la création d’un carnet de santé numérique

Servier – Groupe pharmaceutique international
📆 1989 – 2023 · 33 ans

Chief of Staff – Translational Medicine (2019 – 2023)
Supervision de projets reliant recherche préclinique et clinique.
Coordination d’équipes pluridisciplinaires (toxicologie, pharmacocinétique, sécurité médicamenteuse).

Director – Drug Safety and Pharmacokinetics (2017 – 2019)
Pilotage des programmes de sécurité non clinique et de pharmacocinétique.
Interface entre les laboratoires et les autorités de santé.

Director – DMPK Laboratories & PK (1995 – 2019)
Direction des laboratoires DMPK (Drug Metabolism and Pharmacokinetics).
Développement de modèles pour l’évaluation de la biodisponibilité et du métabolisme des candidats médicaments.

Director – DMPK Laboratories, Servier UK (1990 – 1995)
Création et encadrement du pôle de pharmacocinétique au sein du site britannique de Servier.
Mise en place des protocoles expérimentaux et développement des capacités analytiques locales.

Formation

PhD en Pharmacologie Biochimique – Université de Nancy (1982 – 1986)

Postdoctorat en Modélisation Moléculaire – Université de Lausanne (UNIL) (1986 – 1988)

Domaines d’expertise :

Pharmacocinétique & métabolisme (DMPK)

Sécurité médicamenteuse & toxicologie

Médecine translationnelle

Innovation en santé numérique animale

Biomarqueurs d’inflammation & microbiote

Encadrement de projets R&D

12/11/2025

Complètement sous l’eau niveau travail, je n’ai pas encore pris le temps de faire un débrief, mais nous avons passé trois jours de concours (du samedi au lundi) organisés avec grand brio à Saint-Antoine, près de Bordeaux, par une équipe aussi chaleureuse qu’efficace !

C’était ma première participation à ce concours, et j’ai été ravie de retrouver les Sudistes que je ne vois pas souvent.
Une super organisation, des repas extras et un temps plutôt agréable… que demander de plus ?

On notera que je reste un boulet d’exception, réussissant à coincer mes bottes dans la portière de ma voiture (la condamnant au passage…).
Heureusement, je côtoie des McGyver en puissance merci Daniel et Alex, je vous aime !

Côté résultats :

Splash a réalisé trois très beaux tours avec 89, 92 et 101 points, et une troisième place ex æquo le lundi !

Zik a également été top, même si j’ai eu un peu de mal à maitriser l'impact de la bête (plus à l'aise sur troupeau de 300...), pourtant très à l’écoute et disponible.
La légèreté des brebis reste difficile à gérer pour moi avec elle: j’ai toujours un peu le pied sur le frein, mais laisser trop d’espace rend aussi la conduite complexe et je n'ai pas su m'y adapter efficacement !
Néanmoins, je suis très satisfaite de l’attitude de la chienne, des chiennes, elles ont été exemplaires !

Une Zoomette toujours aussi adorable, qui a réussi à salir un nombre incalculable de manteaux, mangé quelques mentons, grogné après les vilains mâles impolis et qui a très hâte d’arrêter son rôle de pom-pom girl ! 2026 arrive… et on a hâte !

Merci encore à toutes et à tous pour cette très jolie saison ! On se retrouve l'année prochaine !

Photographie de la team AREG, de gauche à droite : AREG Splash, AREG Zik et AREG Zoom, qui se demande bien quand elle pourra enfin passer ce fichu filet !

12/11/2025

Vous avez 48h pour profiter de mes deux conférences !
Chien sénior comment le préserver et l’accompagner mais également l’anatomie du chien vue par une osteo !
C’est gratuit alors FONCEZ !!!

Congrès virtuel dédié exclusivement aux amoureux des Chiens du 10 au 14 Novembre 2025 - 5 jours d'exception, en compagnie de 23 experts canins et passionnés du chien pour : Mieux comprendre le comportement, les besoins de votre chien Améliorer sa vie et son bien-être Renforcer votre lien avec ...

11/11/2025

Rédaction d'un article pour l'alliance pastorale ce mois de novembre via la French sheep dog society !
Merci pour ces belles opportunités !

Le Bulletin de l’Alliance arrive bientôt dans vos boîtes aux lettres ! 📬

Ce mois-ci, on s’intéresse à un sujet d’actualité :
🌦️ l’impact du changement climatique sur la santé des troupeaux ovins.

Découvrez aussi nos articles consacrés aux chiens de travail, à la préparation hivernale et à plusieurs races rustiques comme la Barrée, la Poudrée, la Brégniée ou encore la Ferrandaise.

💡 Des conseils, des retours d’expérience et des infos techniques pour accompagner les éleveurs au quotidien.

📖 Si vous ne recevez pas encore le Bulletin, vous pouvez le lire gratuitement en ligne ici 👉https://www.alliance-elevage.com/informations/magazine-bulletin-de-l-alliance

11/11/2025

Le Congrès du Chien 2025 a deja débuté ! Mes deux conférences sont les 12 novembre mais il y a des intervenants tout au long de la semaine.

Il suffit de s’inscrire pour y avoir accès ! Les thématiques sont variées il y en a pour tous les goûts !

-> https://www.congres-du-chien.com/inscription-congres-chien-2025/?aff=h7hgtd&cpg=ot8mq4go

07/11/2025

Pourquoi je ne propose pas d’exercices hors cadre du Bilan Structural après une séance ?

Inutiles ? Certainement pas.
Dangereux ? Oui.
Car sans encadrement précis et sans respect d’un cahier des charges rigoureux, les effets peuvent être délétères.

Je suis toujours étonnée (le mot est faible) que des « programmes en ligne » soient proposés sans même avoir vu le chien parfois sur des animaux présentant des antécédents ou des pathologies importantes.

Dernier cas en date : un chien opéré d’OCD bilatérale.
Il arrive après plusieurs mois d’un programme de renforcement « à distance ». Toujours boiteux.
J’examine : douleur nette sur les deux coudes, déséquilibres musculaires majeurs, restrictions multiples.
Après imagerie (bon pour le coup je n'avais aucun doute) : fragmentation des coronoïdes (c'est dans la catégorie dysplasie du coude).

C’est exactement le type de situation que je cherche à éviter.

-Alors, c’est quoi la Prestation Bilan Structural Optimisation ?-

-Une séance d’ostéopathie en présentiel (base indispensable).
-Une semaine d’apprentissage du cahier des charges : positions, points fixes, tempo, amplitudes.
-Trois semaines de programme construit sur mesure, avec suivi en ligne — et relecture de ma part — deux à trois fois par semaine.
-Une réévaluation en fin de programme.

Pourquoi ne pas vous laisser en autonomie, puisque tout est expliqué, documenté et illustré ?

Parce que ce n’est pas l’exercice qui compte, mais la manière dont il est exécuté, en fonction des spécificités individuelles du chien.

Et vous le savez bien : l’interprétation des consignes varie énormément d’un individu à l’autre.
Un exercice pourtant clair et détaillé peut être réalisé de façon complètement différente d’une personne à l’autre et parfois de manière catastrophique s’il n’y a pas un professionnel derrière pour corriger, ajuster et recadrer.

Un seul point fixe mal placé, une amplitude mal choisie, une vitesse trop rapide, une compensation non détectée… et on fragilise au lieu de renforcer.

Vous n’êtes pas formé(e)s pour analyser cela seul(e).
C’est mon métier.

« Mais moi, je fais du fitness canin depuis 10 ans. »

Justement.
La grande majorité des pratiques de “fitness canin” reposent sur la vitesse, l’explosivité, de l'instabilité...
Le mouvement global prime, alors que vous le savez : ce sont les détails qui font la différence.

La revalidation, elle, exige lenteur, contrôle, charge progressive, stabilité et précision, appuyée sur une méthodologie et un regard professionnel (de santé) capable de s’adapter instantanément au binôme qu’il suit.

Voilà pourquoi je ne donne pas d’exercices hors cadre Bilan Structural.

Ce n’est ni pour retenir l’information, ni pour « empêcher de faire », ni pour m’enrichir.
C’est une question de sécurité, de qualité de mouvement, de récupération fonctionnelle réelle et, surtout, d’éthique.

Quand des exercices sont prescrits, c’est parce qu’ils s’inscrivent dans une vision globale :
celle du chien que j’ai sous les mains, de ses antécédents, de mon raisonnement clinique, de ce que je vois, ce que je sens, ce que je teste.
C’est parce que cette combinaison précise d’exercices est pertinente pour ce chien, à cet instant T.

06/11/2025

Les premières inscriptions ont débuté pour le module I du bilan structural.

Merci de vous inscrire par mail ou via le formulaire d'inscription sur le site.
Attention, la place n’est confirmée qu’à la réception du paiement par chèque.

Très belle journée,

F***y Walther

06/11/2025

Connaissez-vous la règle de la main ?
Elle est simple : chaque jour d’immobilisation = environ 4 jours de revalidation pour retrouver une fonctionnalité normale des tissus.

Oui, l’immobilisation peut être indispensable dans certains cas : chirurgie avec nécessité de consolidation osseuse, phase inflammatoire précoce ou cicatrisation où une surcharge serait délétère.
Mais dans de nombreux autres cas, l’immobilisation stricte la fameuse « cagothérapie » est appliquée sans justification et entraîne des conséquences tissulaires majeures.

Ce que l’on sait aujourd’hui sur les tissus musculaires après immobilisation :
Dès 48 heures sans mouvement, les fibres musculaires commencent à :

-Perdre du volume (atrophie)
-Se désorganiser
-Perdre leur capacité à produire de la force
-Perdre leur proprioception (capacité à « sentir » le mouvement)

Et ce n’est pas tout :
la cicatrisation d’un muscle ne se fait pas en régénération pure, elle se fait en réparation, c’est-à-dire avec formation de tissu cicatriciel qui :

-Est moins élastique
-Se rétracte
-Diminue la capacité d’allongement et d’absorption des contraintes

Le mouvement précoce mais encadré permet justement :

-La bonne orientation des fibres en régénération
-La réduction de la taille et de la densité de la cicatrice
-Le retour de la vascularisation
-Le maintien de la force et de la proprioception
Ainsi :
→ Trop d’immobilisation = cicatrisation désorganisée + tissus fragiles + risque de rechute.

Ce que montre la recherche
( dont L’étude Järvinen et al. sur les lésions musculaires)

Quelques jours de repos sont utiles uniquement pour permettre au tissu cicatriciel de se former.

Au-delà, si le mouvement n’est pas repris :

les fibres se régénèrent mal, la cicatrice devient trop dense, et la fonction musculaire ne revient pas correctement.

Ils montrent même :
Immobilisation 5–7 jours = cicatrice stable + mouvement contrôlé = récupération optimale
Immobilisation > 10–14 jours = perte de force prolongée, raideurs, compensations, risque élevé de re-blessure

Et prenons un exemple concret, parce que vous allez certainement vous y reconnaître.

Votre chien se fait une entorse.
Vous ne consultez pas tout de suite un ostéopathe pour réduire la lésion. Vous observez qu’il boite, vous donnez des anti-inflammatoires (souvent sans avis vétérinaire), et au bout de 5 jours, ça va déjà mieux. La boiterie est moins visible, le chien pose mieux. Vous vous dites donc : « Bon, c’était pas si grave. On va juste le laisser au repos. »

Vous instaurez alors un repos strict, sorties p**i en laisse, rien d’autre. Au bout de 8 à 10 jours, il n’est pas totalement carré, mais il ne souffre plus. À 14 jours, la boiterie a disparu.
Vous reprenez donc les activités habituelles entre 15 et 20 jours après le début de la blessure.

Et c’est là que tout se joue.
Parce que pendant ces 2 semaines de repos strict, les tissus ont :

-perdu en élasticité
-perdu en force
-cicatrisé de manière désorganisée

Vous avez l’impression qu’il « va mieux » parce que vous ne voyez plus la boiterie. Mais fonctionnellement, le muscle, les tendons, les tissus conjonctifs ne sont plus prêts à reprendre l’activité.

Alors oui, vous reprenez…
Et les conséquences arrivent :

→ Boiterie qui réapparaît sur terrain irrégulier au début puis partout, rien juste quelques foulées au démarrage ...
→ Raideurs au lever
→ Fatigue plus rapide sur le site de la blessure
→ Puis, à terme, douleurs chroniques et compensations

Pas parce que la blessure était grave à la base.
Mais parce qu’elle n’a pas été accompagnée, et que la reprise a été faite sur des tissus fragilisés.

C’est cela, la conséquence d’une gestion classique « anti-inflammatoires + repos strict + reprise directe » :
On laisse les tissus cicatriser seuls, mais mal.

Alors par pitié, faites vous accompagner ...
Et pour illustrer cela des muscles avant et après 9 jours d'immobilisation ... impressionnant n'est il pas ?
(Image extraite d'une conférence C.Zink).

04/11/2025

Présentation AREG TeC avec toute l’équipe au module 2.

04/11/2025

Merci à Osteo4pattes-SDO pour cet article !

Un livre qui va changer votre regard sur le chien ! Dans un univers encore dominé par des approches standardisées ou centrées sur la performance brute, Anatomie du succès propose un changement de paradigme. Ce n’est pas un simple manuel d’anatomie. Ce n’est pas un énième guide de sport c...

03/11/2025

Un cas intéressant en bilan structural « soft » : Border Collie d’agility de 4 ans.
David a fait la route depuis Niort pour me présenter le cas.

Historique rapide :

OCD bilatérale des épaules, opérées par arthroscopie en 2021 puis tendinopathie bicipitale sur le membre thoracique gauche en 2022 depuis boiteries récurrentes malgré des périodes de repos.

Examens réalisés : Scan, arthroscopie, échographie, radio.

Examen clinique

On observe un avant-main sous-développé et une instabilité d’épaule déjà visible, à mon sens, sur la première radio réalisée à ses 10 mois.
La mobilisation confirme cette impression.

L’amyotrophie, le non-développement de toute la myologie du « tonneau » et les aplombs panards expliquent les blessures régulières surtout vu l’intensité de la bête sur les parcours.

Prise en charge

Rien de « magique » : on a simplement déstructuré tout ce que le binôme avait appris (ils étaient RAVIS, hein David ?).
Lenteur, cahier des charges précis, et restructuration complète du quotidien.

Depuis 3 semaines, la reprise progressive de l’agility est enclenchée, atelier par atelier, avec :

un bon échauffement,

une récupération adaptée,

une analyse à chaud puis à froid,

et des exercices quotidiens (6 jours sur 7).

Évolution

Voici Soft lors de notre première rencontre, puis lors de la deuxième visite.
Une dernière visite est prévue en novembre pour clôturer ce bilan structural et la phase de revalidation.

Mesures musculaires

Lors de notre première rencontre :

Avant-main gauche : 31 cm / droite : 35 cm. Pour Vous donner une idée Zoom ma petite dernière qui n'a pas terminé sa croissance a un tour d'épaule de 40cm.

Sur des chiens mésomorphes comme Soft on peut avoir une différence de 8-10 cm en moyenne avant main/arrière main, là on comprend que c'est très problématique.

Postérieurs : 45 cm des deux côtés

Lors de la deuxième visite :

Après manipulation : 39 cm / 39 cm — 48 cm / 48 cm

Rien de magique, juste un encadrement structuré et beaucoup de remises en question.
Bravo les garçons !

01/11/2025

Les deux conférences gratuites et 100 % en ligne que je donnerai lors du Congrès du Chien 2025, qui se tiendra du 10 au 14 novembre 2025.

Il suffit de s’inscrire pour y avoir accès ! Les thématiques sont variées il y en a pour tous les goûts !

-> https://www.congres-du-chien.com/inscription-congres-chien-2025/?aff=h7hgtd&cpg=ot8mq4go