13/11/2025
L’ostéoporose implique une perte de la trame protéique des os qui deviennent poreux.
Elle implique une perte dans l’intention du désir « d’être », une perte d’intérêt et de motivation à être « ici » au plus profond niveau de soi. « Je ne suis plus ce que j’étais ». Je vis du découragement. Je suis seul et las de toujours avoir à me battre contre l’autorité ou contre les lois de l’être humain.
L’ostéoporose apparaît habituellement chez la femme après la ménopause. Il y a plein de choses que je n’ose plus faire, pensant que « ce n’est plus de mon âge ». Je dois donc surmonter cette tendance à me dévaloriser, me pensant inutile, « bonne à rien ». Je perds mon identité féminine, je me vois moins désirable qu’avant.
Un sentiment de désolation m’envahit parfois. J’ai l’impression que ma vie est en décomposition. Je ne sais pas comment organiser ma vie qui change rapidement, le courage me manque. J’ai l’impression que ma mort approche ; mes pensées négatives vont anéantir mon énergie créative.
N’hésitez pas à prendre contact avec moi. Je peux vous aider à comprendre les mots (maux) de votre corps.
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07 85 90 52 99
“Si tu écoutes ton corps lorsqu’il chuchote, tu n’auras pas à l’entendre crier” Sagesse Tibétaine.
Vos symptômes peuvent aussi avoir une origine mécanique ou être dus à une maladie, mais ils peuvent donner de bonnes indications sur les choses qui vous pèsent au quotidien.
Vos émotions et votre manière d'appréhender certaines choses de la vie en disent long sur votre quotient émotionnel.
Une approche corps-esprit nous permet d’adopter une attitude différente face à la maladie, aux douleurs et aux tensions au lieu de simplement mettre un « pansement » sur ce qui ne va pas.
Je ne prétends pas donner de conseil médical directement ou indirectement. Je ne prétends pas non plus poser de diagnostic directement ou indirectement.
ET VOUS, COMMENT GÉREZ-VOUS VOS ÉMOTIONS ? EST-CE QU’ELLES CONTRÔLENT VOTRE VIE ?
Sources :
Le grand dictionnaire des malaises et maladie des Jacques Martel
Ton corps dit « Aime – toi » de Lise Bourbeau