31/12/2024
; Je tenais à vous écrire quelques heures avant le début d’une nouvelle année, avant la fin d’une autre.
Profitez en pour tourner des pages, clôturer certain chapitre, voire même déchirer des bouquins.
Laisser s’en aller avec cette année les gens et les choses qui ne méritent pas de débuter la prochaine à vos cotés.
Je ne suis personne pour faire une quelconque sorte de morale. Je tenais simplement à vous dire certaines choses qui moi, m’ont aidé. Premièrement de pardonner. Pardonner à ceux qui vous ont offensé. Ils ne savent pas réellement ce qu’ils font. En vous blessant c’est eux mêmes qu’ils cherchent à blesser bien souvent. Profitez de lire ces quelques lignes et de vous rendre compte à cet instant précis que vous êtes heureux. Et libre. Que vous êtes, tout simplement. Si on vous a blessé, que vous avez déjà eu l’impression que votre monde s’écroulait, dites vous bien que vous êtes l’unique personne capable de vous réparer. On ne peut pas demander à quelqu’un de réparer une chose qu’il n’a pas brisé. Il peut tout au mieux, y mettre un pansement. Un pansement sur une jambe de bois. Voilà ce que le temps, l’introspection, la solitude, la recherche intense de la douleur m’a apporté. La volonté d’évoluer. De prendre conscience. De pardonner. Et une envie incroyable de faire de mon mieux pour vivre intensément et avec le moins de douleur possible. Je suis une fleur poussant au milieu du macadam. Et j’ai appris à aimer le goudron autant que la verdure.
Merci encore. Je vous terrasse de liberté. Je vous enlace de bienveillance. Tout est une question de perception, j’ai une tête de con, mais au fond y a du bon.
Bastien