21/02/2017
Les chercheurs ont analysé le potentiel électrique mesuré par des électrodes implantées dans le cerveau de patients épileptiques (l’objectif de tels implants étant de localiser les zones à l’origine des crises). Ils ont découvert une influence multiple de la respiration. Par exemple, l’amplitude moyenne de ce potentiel oscille au rythme du souffle dans le cortex olfactif, tandis que des ondes à plus haute fréquence, dites thêta, surviennent à chaque inspiration dans l’hippocampe et l’amygdale.
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Une étude américaine révèle à quel point le rythme de la respiration influe sur le fonctionnement du cerveau.