11/12/2025
𝐄𝐏𝐈-𝐏𝐇𝐀𝐑𝐄 : 𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐚𝐮𝐛𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 ?😉
💉 On sait que les études scientifiques ne sont pas toujours objectives. Elles sont malheureusement, aujourd'hui, souvent biaisées pour des intérêts économiques, faut-il encore le préciser.
💉 𝐋𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐦𝐚𝐢𝐧𝐬𝐭𝐫𝐞𝐚𝐦 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐮𝐧 𝐬𝐞𝐮𝐥 𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐬'𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧𝐟𝐥𝐚𝐦𝐦𝐞́𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥'𝐞́𝐭𝐮𝐝𝐞 𝐄𝐩𝐢𝐏𝐡𝐚𝐫𝐞, 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞́𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐉𝐀𝐌𝐀 𝐍𝐞𝐭𝐰𝐨𝐫𝐤 𝐎𝐩𝐞𝐧, 𝐪𝐮𝐢 𝐚𝐟𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐚𝐜𝐜𝐢𝐧𝐬 𝐚̀ 𝐀𝐑𝐍𝐦 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐂𝐨𝐯𝐢𝐝-𝟏𝟗 𝐧’𝐚𝐮𝐠𝐦𝐞𝐧𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐫𝐭𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐚̀ 𝐥𝐨𝐧𝐠 𝐭𝐞𝐫𝐦𝐞.
💉 S’appuyant sur les données de près de 28 millions de Français, cette étude observationnelle est présentée comme l’ultime preuve de l’innocuité et des bienfaits des vaccins ARNm.
💉 Et pourtant, selon l'analyse de 𝐉𝐞𝐚𝐧-𝐌𝐚𝐫𝐜 𝐒𝐚𝐛𝐚𝐭𝐢𝐞𝐫, 𝐝𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐞𝐫𝐜𝐡𝐞 𝐚𝐮 𝐂𝐍𝐑𝐒 𝐞𝐭 𝐝𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐞𝐧 𝐛𝐢𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞 𝐜𝐞𝐥𝐥𝐮𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞, elle ne peut pas démontrer que la vaccination ARNm réduit la mortalité toutes causes, car elle souffre de biais méthodologiques majeurs,
1) Le principal biais est le healthy-vaccinee bias : les vaccinés sont en moyenne en meilleure santé, mieux suivis médicalement et plus favorisés socialement. Les premiers à se faire injecter un produit nouveau sont rarement les plus fragiles. Même avec 41 comorbidités ajustées, ce biais persiste et suffit à créer artificiellement une surmortalité chez les non-vaccinés.
2) L'étude a exclu toutes les personnes vaccinées avant mai 2021 : soit toutes les personnes « fragiles » et tous les soignants.
3) L'étude ne commence à regarder les décès que six mois après la vaccination : donc cela exclut toute mortalité post-injection survenue lors des premières campagnes vaccinales (janvier-juillet 2021). Cette période, pourtant cruciale pour observer d’éventuels effets secondaires aigus comme les myocardites, est purement et simplement évacuée. Pire, les individus décédant dans les deux semaines suivant la vaccination sont comptabilisés parmi les non-vaccinés. Ainsi, les risques immédiats sont occultés, permettant d’embellir artificiellement le bilan à long terme.
4) L’étude se cantonne aux 18-59 ans, éliminant d’un revers de la main les enfants, les adolescents et les personnes âgées. Ces dernières, pourtant principales cibles de la campagne et majoritaires dans la mortalité, sont absentes du tableau. Cette exclusion commode interdit toute extrapolation à la population réelle. De même, aucune analyse fine par sexe ou par tranche d’âge n’est proposée, masquant par exemple les risques spécifiques pour les jeunes hommes.
5) L’étude ne distingue ni type de vaccin, ni nombre de doses, ni délais entre doses, ni périodes à risque post-injection. Cette absence de granularité empêche de détecter des signaux même s’ils existent. De plus, aucune donnée socio-économique ou comportementale fine n’est mesurée, alors que ce sont des déterminants majeurs de mortalité et qu’ils diffèrent fortement entre vaccinés et non vaccinés.
6) L'étude montre qu'il y a une diminution d'environ 25 % de la mortalité toutes causes chez les vaccinés , même hors COVID,: y compris les morts par accident, morts par noyade, morts par su***de... 😉 C'est une potion magique 😉 car évidemment il est impossible que le vaccin protège de la noyade 😉. Sauf à considérer qu'en fait, ces 25 % de diminution de mots par accidents, su***de, noyade sont dûs au fait que les vaccinés ont eu des AVC qui les immobilisent et les rendent incapables de sortir de chez eux / de nager / de se su***der...
7) Enfin, les données administratives utilisées ne permettent ni validation clinique des causes de décès, ni identification de phénomènes rares.
💉 En cumulant ces biais (sélection sociale, exclusion des décès précoces, manque de données essentielles et résultat biologiquement improbable), l’étude ne peut pas être interprétée comme une preuve de réduction de mortalité, ni comme une démonstration de sécurité à long terme.
💉 La confidentialité des données brutes et l’absence de publication du code source interdisent toute vérification extérieure, confinant le débat à une confiance aveugle en des organismes dont la crédibilité est désormais un enjeu de pouvoir.
💉 EPI-PHARE n’est pas un laboratoire universitaire indépendant, mais un consortium liant l’Agence du médicament (ANSM) et l’Assurance maladie (CNAM). Ces institutions, pilotes de la campagne vaccinale et du passe sanitaire, peuvent-elles produire une analyse neutre sur leur propre politique ?
𝐋𝐚 𝐯𝐞́𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐭𝐢𝐟𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐭𝐞 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮’𝐮𝐧𝐞 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞́𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞 𝐝’𝐮𝐧 𝐧𝐚𝐫𝐫𝐚𝐭𝐢𝐟 𝐨𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥. 🙏
𝐒𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 :
https://ansm.sante.fr/actualites/vaccins-a-arnm-contre-le-covid-19-ils-naugmentent-pas-le-risque-de-mortalite-a-long-terme
https://bam.news/bam-detox/etude-epi-phare-le-pr-rentier-nous-eclaire
https://lemediaen442.fr/biais-exclusions-et-opacite-les-dessous-de-letude-epi-phare-qui-celebre-les-vaccins-arnm/
https://www.ellipsis-avocats.com/2025/11/30/vaccins-a-arnm-ce-que-le-dr-jean%E2%80%91marc-sabatier-revele-sur-les-risques-caches-et-les-enjeux-pour-notre-sante/
Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, directeur de recherche au CNRS et expert en conception de médicaments à base de peptides, discute dans cette vidéo de 19 minutes et 40 secondes publiée le 28 juin 2025 des liens entre peptides, systèmes biologiques complexes e...