Céline Sayegh - Kinésiologue

07/12/2025

07/12/2025

✨️✨️ L'ABANDON dans le TRANSGENERATIONNEL✨️✨️

L’abandon transgénérationnel, c’est un peu comme découvrir que tu trimballes un vieux dossier émotionnel poussiéreux… que tu n’as jamais demandé, mais que ta famille t’a transmis en mode :

> “Tiens, garde ça au cas où.”
Merci hein. 😭✨

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❓️ C’est quoi, “l’abandon transgénérationnel” ?

C’est quand :

Dans ton arbre, quelqu’un est parti, s’est perdu, s’est évaporé ou s’est dissocié (volontairement ou non).

Personne n’a vraiment digéré le truc.

Et toi, tu te retrouves avec la blessure de l’abandon en DLC familial.

Ça ne passe pas par un sort de sorcière : ça passe par l’éducation, les silences gênés, les regards en coin, ou le fameux “On n’en parle pas, c’est du passé”.
Spoiler : le passé n’était pas au courant.

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❓️ Comment l’abandon a pu se vivre avant toi ?

🔹️Abandon version “téléfilm dramatique”

Parent qui part chercher du pain et ne revient jamais (classique).

Parent qui décède tôt.

Enfants confiés à tante, grand-mère, voisine ou orphelinat (“T’occupes, on improvisera”).

🔹️Abandon version “glace émotionnelle”

Parent physiquement là, mais émotionnellement… en mode avion.

Dépression, trauma, surmenage : le combo “je suis là mais pas vraiment”.

Enfant toléré mais pas vraiment accueilli.
Ah, la chaleur familiale.

🔹️Abandon version “symbolique mystère & boule de gomme”

Enfant caché, renié, oublié dans le placard des secrets.

Migration, guerre, exil : familles éclatées façon puzzle sentimental 2000 pièces.

Bref : des trous dans l’histoire plus gros que des trous noirs.

Et comme personne ne voulait remuer ces casseroles…
devine qui récupère la facture émotionnelle ?
Oui. Toi.

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❓️Comment ça se transmet ?

Par magie ? Non, mieux : par ambiance familiale.

🔹️Style d’attachement façon montagnes russes

Un parent qui a vécu l’abandon peut devenir :

Super distant (“Je m’attache pas, ça fait mal ”)

Ou super fusionnel (“Ne pars pas sinon je me liquéfie ”)

Ou les deux selon l’heure et la météo.

Toi, t’apprends que l’amour, c’est… instable comme une connexion Wi-Fi dans un tunnel.

🔹️Les non-dits : les fantômes officiels de la famille

On cache un parent ? Un enfant ? Un drame ?
Résultat : tu sens un trou énergétique dans l’air, comme un courant d’air émotionnel :

> “Il manque quelqu’un, mais chuuut.”

Parfait pour créer de l’insécurité en mode premium.

🔹️Peurs parentales héritées

Un parent abandonné peut :

Trop protéger (mode “garde du corps affectif”)

Trop se protéger (mode “mur de glace”)
Tu reçois le message : "L’amour c’est compliqué mon petit."

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❓️ Comment ça se manifeste chez toi ?

🔹️Émotionnellement

>Peur du rejet plus rapide que la 4G.

>Sentiment de ne jamais être “assez”.

>Hypersensibilité au moindre changement de ton :
“Tu m’as dit bonjour différemment, tu m’aimes plus ?”

🔹️En relation

>Attraction pour les personnes émotionnellement indisponibles (ton super talent).

>S’accrocher à des relations toxiques comme du scotch.

>Ou fuir dès que ça devient sérieux : “Je préfère partir avant que tu partes.”

🔹️Dans tes choix

>Auto-sabotage professionnel : “Ça marche ? Vite, détruis-le.”

>Difficulté à demander de l’aide : “Non merci, je gère (je ne gère pas).”

🔹️Dans ton ressenti interne

>Vide intérieur version grand canyon.

>Impression d’être toujours “en trop” ou “pas assez”.

>Sentiment d’être à la porte de ta propre vie.
Classique, mais pas fun.

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✨️Le rôle de “l’enfant abandonné” du clan

Dans certaines familles, quelqu’un devient l’antenne Wi-Fi émotionnelle :

>Il ressent tout trop fort.

>Il se sent à part.

>Il vit des abandons répétés… comme par hasard.

Ce n’est pas qu’il est maudit :
c’est qu’il a téléchargé la mission de réparer ce que personne n’a voulu ouvrir.

Bravo, élu(e) du système familial.

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✨️ Les stratégies de survie développées

Parce qu’on ne laisse pas une blessure se balader seule, on adopte des modes ninja :

>Hyper-indépendance : “J’ai besoin de personne… j’espère.”

>Hyper-contrôle : Tout prévoir pour ne jamais être surpris par la perte.

>Fusion : “Par pitié, reste 😭”

>Sauveur : Si je rends les autres heureux, ils ne me quitteront pas.

>Effacement total : “Si je ne prends pas de place, on ne peut pas me rejeter.”

Efficace un temps, mais épuisant comme courir après son mental.

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❓️Pourquoi ça explose dans NOTRE génération ?

Parce que nous :

avons des mots,

avons des thérapeutes,

avons des cristaux (évidemment 😏),

et avons décidé que le drama en héritage, c’est NON.

Du coup, tout remonte :

> “Bonjour, voici les émotions refoulées de 1934, on peut discuter ?”

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❓️Comment on guérit ça (sans invoquer un lama tibétain) ?

Mettre des mots : reconstituer l’arbre, poser des questions, briser les tabous.

Honorer les anciens :
“Vous avez vécu des trucs hardcore, je le vois.”

Trier ce qui t’appartient de ce qui vient d’eux :
“Ah non, ce n’est pas mon émotion, c’est celle de mémé.”

Construire la sécurité intérieure : devenir ton propre parent fiable.

Choisir des relations stables :
Bye bye les relations éclatées façon puzzle.

Guérir, c’est dire :

> “Le passé, tu restes dans le passé. Moi, j’avance.”

Le Renard Chic

(Tout contenu de cette publication est soumis à des droits d’auteurs et.... partager c’est respecter. 🦊)

06/12/2025

✨Les maux du corps : côté gauche, côté droit✨

Le corps parle un langage subtil.
Quand un malaise, une tension ou une douleur apparaît, il ne s’agit pas seulement d’un inconfort physique : c’est parfois un message, une invitation à écouter ce qui, en soi, cherche à s’exprimer.

✔️Le côté gauche : le féminin, le passé, l’intérieur

Le côté gauche du corps est souvent associé :
✨• au féminin intérieur, que l’on soit homme ou femme
✨• à la réceptivité, l’écoute, l’émotion
✨• au passé, aux mémoires anciennes
✨• au lien avec la mère, la lignée féminine, la douceur ou les blessures liées au manque de celle-ci
✨• à ce que l’on garde, ce que l’on retient, ce que l’on porte en silence

➡️Lorsque les maux touchent le côté gauche, ils peuvent indiquer :
✨• une émotion non exprimée
✨• une difficulté à recevoir (amour, aide, soutien)
✨• un besoin de douceur ou de protection
✨• un attachement au passé, ou une situation que l’on n’arrive pas encore à lâcher
✨• un conflit intérieur lié à l’affectif ou à la sensibilité

C’est le côté de l’intime, du cœur, du refuge intérieur : il murmure lorsque l’on s’est oublié soi-même.

✔️Le côté droit : le masculin, l’avenir, l’action

Le côté droit du corps est associé :
✨• au masculin intérieur
✨• à l’action, les décisions, le passage à l’acte
✨• à l’avenir, à ce vers quoi l’on avance
✨• au lien avec le père, la lignée masculine, l’autorité, la protection
✨• aux responsabilités, à la direction que l’on donne à sa vie

➡️Les maux du côté droit peuvent signifier :
✨• une hésitation à avancer ou à agir
✨• une difficulté à s’affirmer, à poser des limites
✨• une peur de prendre sa place
✨• un conflit lié à l’autorité ou à un modèle masculin
✨• une fatigue de “trop faire”, de trop porter

C’est le côté qui pousse, qui dynamise, qui ouvre le chemin. Quand il fait mal, il appelle souvent à réajuster ses choix ou son rythme.

Le corps ne juge pas, il indique.
Chaque douleur est un signal bienveillant qui dit :
“Ici, quelque chose cherche à être entendu.”
✨• Si le gauche parle, écoute ton cœur.
✨• Si le droit parle, interroge ton chemin.

Dans tous les cas, chaque malaise est un pont entre le physique et l’émotion, entre ce qui se vit à l’intérieur et ce qui se manifeste à l’extérieur.

Charlotte Cellier

20/11/2025

✨️✨️✨️Stabiliser sa Vie Sans Devenir un Caillou Émotionnel✨️✨️✨️

Stabiliser, ce n’est pas devenir un caillou sans émotions

Quand on est sensible, on croit souvent que :

Stabilité = “Je ne ressens plus rien, je flotte au-dessus de tout comme un moine qui a cheaté la vie.”

Alors que pas du tout.
La vraie stabilité, c’est : “Je ressens toujours beaucoup… mais je ne me fais plus écraser par la moindre micro-vague émotionnelle.”

Donc stabiliser ta vie, ce n’est PAS :

se transformer en robot zéro émotions,

traverser les dramas avec un sourire figé façon statue,

devenir imperméable à tout (tu resterais une éponge magique adorée du cosmos, désolé).

C’est plutôt :

comprendre pourquoi ton cœur te fait parfois du théâtre,

avoir des outils quand tout part en freestyle,

savoir revenir à toi sans passer par un épisode complet de “Renard en panique”.

👉 Version renard :
Tu ne deviens pas un renard blindé en titane.
Tu deviens un renard qui connaît tous ses raccourcis dans la forêt, son terrier secret, et son stock de copeaux anti-stress.

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⚫️Concrètement, “Créer des Bases Solides”, ça veut dire quoi ?

Tu vas voir, c’est plus simple qu’un rituel lunaire de minuit.

>>>Base n°1 : la sécurité du corps (le système nerveux qui fait souvent n’importe quoi)

Ton système nerveux, c’est ce pote hyper-sensible : un bruit, un regard, une pensée… et HOP, alarme nucléaire.

Stabiliser, ici, ça veut dire :

manger à des heures normales (pas café → néant → crise existentielle),

dormir suffisamment (même si ton cerveau te dit “allez encore une vidéo”),

t’offrir de vraies pauses (pas juste scroller TikTok allongé),

faire des trucs de base : respirer, marcher, do**he chaude, plaid, câlin à ton propre bras.

🦊 Pourquoi c’est une base solide ?
Parce qu’un renard crevé voit un danger dans un caillou.
Un renard reposé distingue enfin :
“Ça c’est une branche. Ça c’est mon ombre. Ça c’est un vrai problème.”

>>> Base n°2 : la sécurité émotionnelle (ton cœur qui fait des updates sans prévenir)

Stabiliser émotionnellement, ce n’est pas :
“Je ne craque plus jamais, je suis invincible.”

C’est plutôt :
“Quand je craque, j’ai un plan. Pas un meltdown en freestyle.”

Ça peut vouloir dire :

avoir une ou deux personnes-refuges (pas 15, on n’est pas dans une sitcom),

vider ta tête dans un carnet avant qu’elle implose,

une pratique qui te rassure (cartes, thés, musiques, dessins, incantation au renard cosmique),

des phrases ressources (“Respire.” “Ça passe.” “On ne va pas mourir de ça.”).

👉 Stabilité émotionnelle =
Tu arrêtes de te noyer dans chaque vague.
Tu surfes. Ou tu fais l’étoile. Ou tu attends dans un coin, mais avec dignité.

>>>Base n°3 : la clarté intérieure (savoir ce que TOI tu veux, pas ta mère, ton ex, ton anxiété et ton hamster)

Beaucoup de chaos vient d’ici :
tu ressens tout… sauf ta propre direction.

Stabiliser, c’est :

connaître ce qui compte vraiment pour toi,

identifier tes besoins (repos, espace, câlins, solitude, ordre, magie),

reconnaître tes limites (tu n’es pas un chargeur 100W),

oser dire “non” sans te sentir une personne atroce.

Parce que sans clarté :

tu dis oui quand ton âme hurle “non mais t’es f***e ?”,

tu t’épuises dans des relations qui grignotent ton énergie,

tu ne captes plus que tu tires sur ta propre prise depuis 3 semaines.

🦊 Version renard :
Tu sais à qui tu laisses entrer dans ton terrier,
qui reste à la lisière,
et qui, franchement, doit rester à 2 km avec les sangliers.

>>> Base n°4 : les repères du quotidien (traduction : rituels anti-chaos)

Ton système nerveux ADORE savoir qu’il existe au moins 2 choses prévisibles dans ta journée.

Stabiliser, ça peut être :

se lever à peu près à la même heure,

un rituel du matin (café → 3 minutes pour toi → tirage de carte → “ok j’existe”),

un rituel du soir (vider ton cerveau avant qu’il te joue un replay de tout ce que tu as dit depuis 2013),

des moments “sacrés” pour toi (même 10 minutes, mais intouchables).

Ce n’est pas de la rigidité. C’est éviter le mode “le chaos me contrôle”.

🦊 Version renard :
Tu sais où tu vas quand il pleut,
où tu dors,
où tu ranges ton cœur,
et surtout : où tu mets ton calme.

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⚫️ Et mon intuition alors ? Elle n’aime pas la structure, non ?

Si, si. Elle adore.
C’est ton stress qui fait croire le contraire.

Quand tu es :

reposé·e,

nourri·e,

moins en vrac,

un poil organisé·e…

ton intuition devient une diva lumineuse :

> “Là c’est un oui.”
“Là c’est un non.”
“Là, ma belle, respire 10 minutes.”

Fin des messages cryptés façon esprit frappeur.

Stabiliser = booster ton Wi-Fi intuitif.

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⚫️ Comment savoir si tu es en train de créer des bases solides ?

Checklist renard sensible :

Tu ressens toujours intensément (normal)…
mais ça ne t’envoie plus au sol dès que quelqu’un éternue.

Tu as encore des peurs…
mais maintenant tu as un mode d’emploi pour les gérer.

Tu restes intuitif·ive…
mais tu vérifies avant de démolir toute ta vie sur un flash émotionnel.

Tu arrêtes d’attendre une solution magique extérieure…
tu construis doucement, version “petits cailloux magiques qui s’assemblent”.

Créer des bases solides, c’est poser un sol sous ton âme,
sans perdre ton côté mignon, hypersensible et légèrement dramatique.

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🦊Résumé version mini-renard

Stabiliser, pour un renard émotionnel, c’est :

Nourrir ton corps (sinon il déclenche les sirènes pour rien).

Te créer des refuges émotionnels (humains, carnets, thés, rituels, Chocolat avec un grand C).

Savoir ce que tu veux, ce que tu ne veux plus, et ce que tu ne peux PAS porter.

Te donner des petits repères quotidiens pour calmer ton chaos intérieur.

Laisser ton intuition briller… pas hurler.

Tu ne deviens pas froid.
Tu deviens un renard ancré, organisé,
et toujours aussi magique — mais moins en PLS pour un oui ou un non. 😏🦊✨

Le Renard Chic

(Tous droits réservés. 🦊)

20/11/2025

✨️✨ Le DROIT d’ÊTRE FRAGILE ✨✨️

On t’a souvent vendu l’idée que pour être fort, il fallait être une sorte de statue grecque émotionnelle :
solide, stable, zéro fissure, zéro larme, zéro clignement d'œil suspect.
Comme si flancher c’était réservé aux plantes vertes déshydratées.

Alors que la réalité, c’est que la fragilité…
c’est littéralement ton mode humain activé, pas ton mode “faible”.

La fragilité, ce n’est pas “être cassé”.
C’est être vivant, sensible, et parfois un peu mou du genou — et c’est très bien.

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⭐️La fragilité : la preuve que ton cœur n’est pas en carton

Être fragile, c’est sentir.
C’est réagir, vibrer, se laisser toucher.
C’est le signe que ton cœur n’est pas passé en mode avion.

La fragilité montre :

que tu tiens à ce qui compte,

que tu as encore de l’espoir,

que ton cœur n’a pas demandé sa retraite,

et que tu n’es pas devenu un mur en béton émotionnel.

Bref : tu respires, tu ressens, tu existes.
C’est plutôt bon signe.

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⭐️ La vulnérabilité : l’endroit où les vraies relations se fabriquent (pas dans un Ikea émotionnel)

Si tu veux une relation profonde — amicale, amoureuse, familiale — il faut accepter de poser ton armure au sol (doucement, hein, c’est lourd ces trucs).

La vulnérabilité, c’est :

dire franchement ce que tu ressens,

avouer que tu n’es pas un robot premium,

reconnaître tes besoins sans malaise,

montrer tes émotions sans t’excuser 42 fois.

C’est le terrain de jeu de l’amour vrai, pas des discussions météo.
Sans vulnérabilité, tout reste superficiel comme un sourire forcé sur une photo de classe.

La fragilité crée des ponts.
La force seule crée des murs en briques (et personne n’a demandé un château fort).

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⭐️ Ta fragilité te pointe ton super-pouvoir secret (oui, oui)

Le truc que tu appelles “faiblesse”, en vrai, c’est souvent ton GPS intérieur.

Quand tu touches une zone sensible :

tu comprends tes besoins,

tu vois ce qui t’a blessé,

tu découvres ce qui demande réparation,

tu accèdes à une partie précieuse de toi.

Ok, ça pique un peu.
Mais comme un masque à l’argile cosmique : ça tire, ça chauffe, puis boom — révélation.

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⭐️ Être fragile, c’est avoir le courage de dire la vérité (pas de jouer au héros)

Il faut beaucoup plus de courage pour dire :

> « Je suis au bout du rouleau, là. »

que pour raconter :

> « Non mais tout va ultra bien. J’adore pleurer sous la do**he, c’est relaxant. »

La fragilité, c’est l’honnêteté nue.
La force “je-gère-tout” c’est juste du cosplay émotionnel.

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⭐️ La fragilité ouvre la porte à la guérison (et ferme celle du surmenage)

Ce que tu refuses de ressentir… s’accumule comme un panier de linge qui déborde.
Ce que tu acceptes de ressentir… se libère (et sent bon la paix intérieure).

La fragilité te force à :

respirer,

ralentir,

écouter ton corps,

poser des limites,

ne plus dire oui par politesse quand ton âme crie “NON”.

C’est là que la guérison commence : dans la permission, pas dans la performance.

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⭐️La fragilité : la petite alerte que ton âme t’envoie (“Coucou, on peut parler ?”)

Énergétiquement, être fragile c’est ton âme qui tapote ton épaule.
Pas une attaque, une notification.

Elle dit :

“Heeeeey… tu vas un peu vite là.”

“Tu t’oublies.”

“Tu me fais quoi, là ?”

“Une petite pause, stp ? Merci.”

La vulnérabilité, ce n’est pas un crash.
C’est une mise à jour du système.
(Version 3.4.7 de toi-même : plus douce, plus vraie, moins en mode survie.)

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⭐️Le droit d’être fragile : la permission la plus révolutionnaire de ton existence

Tu as le droit :

d’être épuisé,

de pleurer pour aucune raison valable,

d’avoir besoin d’aide,

de poser des limites,

de ne pas jouer au super-héros,

d’être en rénovation intérieure.

Tu as littéralement le droit d’être humain.
Même le droit d’être un humain un peu chiffonné certains jours.

La véritable force n’est pas dans le béton émotionnel.
Elle est dans la capacité à rester ouvert, même quand ça secoue.

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🦊Conclusion renardesque

Quand tu t’autorises à être agile :

tu deviens plus vrai,

tu deviens plus fort,

tu guéris,

tu te connectes mieux aux autres,

tu te reconnectes surtout à toi.

La fragilité, c’est l’endroit où tu redeviens toi — sans filtre, sans rôle, sans façade.
Et là, dans cette honnêteté nue… il y a une puissance incroyable.

Ce n’est pas un échec.
C’est la preuve que tu es vivant, vibrant, sensible — et incroyablement courageux.

Le Renard Chic

(Tous droits réservés. 🦊)

22/10/2025

Chaque jour cette grossophobie est subie dans toutes les sphères et c'est inadmissible. Le jugement tue, c'est du harcèlement pur et simple, que ce soit pour le poids ou autre chose, gardez vos jugements on a vraiment pas besoin de ça en plus de tout le reste, l'empathie et la bienveillance c'est gratuit aussi et ca ne fait de mal à personne. Alors n'hésitez pas à aller signer cette pétition, il est temps que les choses changent 🌀

22/10/2025

❤️🙏

22/10/2025

Prends soin de tes rêves…

- -
Je suis Angélique Leseigneur, illustratrice créatrice de moments créatifs mêlant Cours de dessin & Réflexion personnelle.

PROCHAIN RDV
La parenthèse d’ALi
Samedi 25 Octobre - 10h
Lien d’inscription en commentaire

11/09/2025

🌿 Les mémoires héritées : quand l’épigénétique rejoint les Constellations Familiales

On croit souvent que nous sommes uniquement façonnés par notre éducation, notre caractère, nos choix. Mais la science et l’expérience nous montrent aujourd’hui que nous portons bien plus que cela : des traces profondes venues de notre histoire familiale.

🔬 Ce que dit l’épigénétique

L’épigénétique, cette discipline qui étudie l’influence de l’environnement sur l’expression de nos gènes, révèle que certains traumatismes peuvent se transmettre de génération en génération.
Des chercheurs ont observé que des enfants et petits-enfants de personnes ayant vécu la guerre, la famine ou des persécutions portent encore, dans leur biologie, les marques de ces blessures. Sans avoir jamais traversé ces épreuves, leur corps et leur psychisme en gardent l’empreinte.

🌳 La mémoire invisible des familles

Sur un autre plan, nous savons aussi que nous héritons de “mémoires invisibles” : des loyautés inconscientes qui nous poussent à répéter des schémas familiaux.
Un échec amoureux qui fait écho à celui d’une grand-mère.
Une peur qui semble démesurée mais qui prend sens en regardant l’histoire d’un ancêtre.
Un blocage dans la vie professionnelle qui résonne avec une faillite ou une exclusion vécue dans la lignée.

Ces héritages sont comme des fils invisibles qui nous relient aux générations passées. Tant que nous n’en prenons pas conscience, nous les rejouons, malgré nous.

✨ Les Constellations Familiales : un chemin de guérison

Les Constellations Familiales permettent de mettre en lumière ces mémoires héritées.
Elles créent un espace où ce qui était caché devient visible, où la douleur transmise peut être reconnue, honorée et libérée.
En retrouvant notre juste place dans le système familial, nous offrons à nos ancêtres la possibilité d’être en paix et nous reprenons notre liberté de choix.

C’est une rencontre entre la science moderne et la sagesse des pratiques thérapeutiques : ce que l’épigénétique décrit, les Constellations le mettent en mouvement. Là où la biologie nous dit “oui, ça se transmet”, les Constellations offrent une expérience vivante pour transformer et guérir ces héritages.

🌟 Et si vous veniez l’expérimenter ?

Je vous propose de vivre cette expérience lors de l’atelier de Constellations Familiales du samedi 20 septembre à Maule (78).
Un temps pour vous, pour libérer ce qui ne vous appartient pas et avancer plus léger, plus libre, plus aligné.

📌 Infos pratiques :
📅 Samedi 20 septembre
📍 Maule (78)
⏰ De 10h à 17h
✨ Sur inscription au 06 76 92 54 41 (places limitées)

01/09/2025

Ces dernières semaines, j’ai l’impression que mes accompagnements tournent en boucle autour de la même phrase. Peu importe la famille, ça ressort toujours à un moment :
"Et si je pleure le jour de la rentrée ? On dit que les enfants sont des éponges… Je vais le traumatiser !"

Alors… oui, mais non. On respire. Parce que derrière cette inquiétude, ce sont toutes les injonctions absurdes qu’on se traîne qui ressortent :
un parent parfait devrait rester de marbre, contrôler chaque émotion, sourire quoi qu’il arrive… bref, se transformer en mascotte Disney sous Lexomil. Et surtout, surtout, ne jamais laisser transparaître qu’il est humain.

Sauf que, soyons honnêtes : à côté de ça, on répète sans cesse aux enfants que leurs émotions sont légitimes, qu’ils peuvent pleurer, qu’ils peuvent se mettre en colère. On les accompagne même pour ça. Mais nous ? On devrait avaler nos larmes en douce derrière un buisson pour ne pas "les perturber" ? Sérieusement ? 🤨

L’apprentissage par imitation, ça vous parle ? Si votre enfant vous voit pleurer sans comprendre pourquoi, ça le déstabilise, c’est vrai. Mais si vous mettez des mots – "je pleure parce que je suis émue, parce que je suis fière de toi, parce que je ne t’ai pas vu grandir et que c’est une grande étape" – alors là, c’est complètement différent. Ça devient un message clair, sécurisant, et même beau.

Ce qui abîme, ce n’est pas la larme. C’est le discours anxiogène qui peut l’accompagner : "mon pauvre chéri, ta maîtresse va sûrement te détester, tu seras la victime de tes camarades et tu ne comprendras rien aux consignes". Ça, oui, ça plante une petite graine d’angoisse...😅
Mais une larme assumée, expliquée, ce n’est pas un traumatisme, c’est une leçon d’humanité.

Alors arrêtons d’empiler les pierres de culpabilité. On en porte déjà assez sur nos épaules pour se tordre le dos. Une larme de rentrée n’est pas une catastrophe, c’est juste… une larme. Et parfois, c’est même le plus beau cadeau qu’on puisse offrir à son enfant : lui montrer qu’on a le droit de ressentir 💝

Et si malgré tout ça vous sentez que la rentrée vous file déjà des sueurs froides, sachez que j’ai rouvert quelques créneaux cette semaine pour une préparation parentale expresse.
Histoire d’arriver au portail de l’école avec vos émotions prêtes… et vos mouchoirs assumés.

Parce qu’entre nous, vaut mieux un parent qui pleure un bon coup qu’un parent qui fait semblant et finit à l’apéro dès 9h du matin !🍷