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Joyeux noël à toutes et tous
24/12/2025

Joyeux noël à toutes et tous

En ces fêtes de fin d'année puissions-nous réaliser que ce qui est, en apparence, sans intérêt est le plus grand cadeau qui soit.

Il est courant de participer à des repas de famille qui nous semblent sans intérêt. D'assister à des discussions sans intérêt. De faire des cadeaux sans intérêt. D'avoir l'impression de juste répondre à des conventions sociales que nous jugeons sans intérêt. De célébrer des Noëls sans intérêt parce qu'ils sont totalement déconnectés du sacré ou parce que nous n'avons pas le coeur à la magie cette année.

A toutes les personnes dont le coeur pèse si lourd à l'approche des fêtes de fin d'année et qui font parfois le choix de rester seules plutôt que d'être mal accompagnées, ce message est pour vous.

Ce qui est sans intérêt est par nature désintéressé. Une action désintéressée est toujours l'expression d'un coeur à l'ouvrage. Le véritable Amour est désintéressé.

L'intention de notre incarnation n'est pas d'apprendre à aimer ce qui nous convient, nous satisfait, nous parle, nous intéresse, nous profite, mais de réaliser le grand Amour, celui qui aime de façon inconditionnelle par delà les formes, les discussions, les conventions, les histoires, la souffrance, le passé...

Le véritable Amour ne juge pas, il embrasse la totalité. L'Amour a ce pouvoir de nous ouvrir les yeux en direction de la seule Vérité qui soit : l'Amour en tout être, en toute forme de création et en tout temps. Voilà le cadeau que nous offre les célébrations de fin d'année si nous osons faire ce choix de l'Amour.

Qu'il en faut du courage pour faire le choix de cet Amour avec un grand A plutôt que de choisir la satisfaction de nos désirs personnels, de nos croyances, de notre confort, de notre bien être et de nos visions de la vie. Aimer, au sens noble du terme est un véritable acte de Foi. C'est le seul acte qui fait trembler le monde. Car dans le fond, celui qui Aime est libre à tout jamais.

En ces célébrations de fin d'année, c'est cela que je nous souhaite à tous du plus profond de mon cœur en se rappelant que l'Amour s'exprime sous mile et une forme. Il n'y a pas une forme, un comportement, une action qui est meilleur qu'un autre depuis le siège de l'Amour car l'Amour rayonne depuis l'intérieur des êtres ♥️

Puisse l'Amour rayonner pour toujours dans votre coeur ♥️

Puissions-nous faire des fêtes de fin d'année une célébration de l'Amour peu importe la configuration proposée. Car l'Amour est comme le soleil qui nous eclaire tous de la même manière sans faire aucune distinction. En cela, il n'y a pas une forme de célébration plus propice à l'Amour qu'une autre ♥️

💫♥️
22/12/2025

💫♥️

✨️✨️HONORER les ABSENTS pendant les FÊTES de fin d’année✨️✨️

(sans transformer le repas en téléfilm dramatique de 22h50)

Honorer les absents pendant les fêtes de fin d’année, c’est un équilibre délicat :
ton cœur veut faire une place à ceux qui manquent…
et le repas veut aussi rester un moment vivant, pas une descente émotionnelle en luge sans freins ni casque.

Bonne nouvelle : on peut faire les deux.
Penser à eux et manger sans pleurer dans la farce.

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❓️ Pourquoi c’est plus intense à Noël et au Nouvel An

Les fêtes appuient sur des boutons très précis (et pas toujours ceux qu’on avait demandés) :

>Les rituels (repas, musique, déco, traditions) réveillent la mémoire. Merci Mariah Carey.

>Les “premières fois sans” amplifient tout : premier Noël sans X, premier Nouvel An sans Y… émotion x1000.

>Les places vides deviennent soudain très visibles autour de la table.

>Le contraste joie / manque est brutal : tu ris… puis bim, vague émotionnelle sortie de nulle part.

Résultat : tu peux te sentir triste même en passant une bonne soirée.

Et non, ça ne veut pas dire que tu gâches tout.
Ça veut dire que tu as un cœur fonctionnel.

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⚫️ La confusion qui fait dérailler : honorer vs s’effondrer

On mélange souvent deux actions très différentes :

>Honorer = reconnaître l’amour, faire une place symbolique, dire “tu comptes”.

>S’effondrer = tout sortir d’un coup, tout raconter, tout revivre, avec flashbacks depuis 2009 inclus.

👉 L’objectif reste le même : reconnaître sans se noyer.

Un hommage. Pas un tsunami émotionnel en plein apéritif.

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⭐️La règle d’or : “une place, pas un tombeau”

Pour éviter que l’émotion prenne toute la pièce (et le dessert avec) :
✅ un geste simple
✅ un moment choisi
✅ une phrase courte
✅ une fin claire (“et on garde aussi la joie”)

Parce que si c’est flou…
ça s’étire…
et toute la soirée se met à flotter dans une ambiance “silence gêné + regards fuyants”.

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🔷️ Le bon timing (le détail qui change tout)

Le moment choisi peut sauver ou plomber l’ambiance :

◆Avant le repas
Idéal pour poser les choses calmement, avant que la dinde n’entre en scène.

◆Pendant, mais très court
Une phrase, un toast, 20–30 secondes max.
On honore. On respire. On mâche.

◆Après le repas
Souvent le top : tout le monde est nourri, détendu, moins prêt à pleurer sur une serviette.

👉 Évite absolument le combo
“dinde découpée + silence solennel + émotion non préparée”.

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✨️ Trois façons d’honorer sans alourdir

◆ Le toast “mini-lumière” (30 secondes)
“On a une pensée pour X ce soir. Il/elle compte pour nous.
Et on garde aussi la joie, parce que clairement… X n’aurait pas voulu qu’on mange froid.”
Simple. Classe. Digestible.

◆Le signe discret (sans annonce)
une bougie,
une photo,
un objet symbolique,
une chanson souvenir (UNE seule, pas toute la playlist dépressive).
Message implicite :
“Tu es là.
Sans obligation de pleurer en chœur.”

◆ Le “souvenir vivant” (le plus efficace)
Raconter un souvenir drôle ou lumineux :
“Tu te rappelles quand X avait fait ça… ?”
Là, tu honores vraiment.
Parce que tu fais vivre la personne dans la joie, pas seulement dans le manque.

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⚫️Gérer la culpabilité : “si je ris, je trahis”

Classique des fêtes.

Mais la réalité, c’est :
>rire n’efface pas l’absence,
>être triste n’interdit pas la joie,
>l’amour peut très bien contenir les deux sans bug système.

Tu n’as pas à “payer” ton bonheur par une dose obligatoire de tristesse.
La joie peut aussi être un hommage.

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⚠️Si quelqu’un craque (sans “chut” ni chaos)

Quand une vague émotionnelle arrive :

>Valider
“Oui… il/elle nous manque.”

>Donner un cadre
“On se prend un petit moment… et après on revient à la soirée.”

>Proposer un espace plus t**d
“Si tu veux, on en parle vraiment après / demain.”

>Résultat :
pas de silence ultra-gênant,
pas de déballage émotionnel intégral entre le fromage et le dessert.

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✨️Version spirituelle simple (sans effrayer la famille)

Mini-rituel discret et socialement acceptable :
une bougie,
une intention,
une phrase.

Ex :
“Je t’envoie de l’amour.
Tu fais partie de nous.
Et je m’autorise aussi à vivre.”
Puis tu reviens à table.
Le rituel est un pont, pas un trou noir émotionnel.

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⭐️ Le plan “soirée safe” en 4 points

✅ 1 geste symbolique
✅ 1 phrase courte
✅ 1 souvenir lumineux possible
✅ 1 espace à part plus t**d si besoin
❌ pas de discours interminable
❌ pas de débat familial “qui a le plus souffert”
❌ pas de culpabilité de rire

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🦊Conclusion renardesque

Honorer les absents pendant les fêtes,
ce n’est pas effacer la joie, ni organiser un moment solennel entre deux plats.

C’est leur faire une place vivante,
où l’amour circule encore — parfois avec une larme, souvent avec un sourire.

On allume une bougie, on pense à eux,
et puis on rit, on partage, on vit.

Parce que la joie n’efface pas l’absence :
elle montre simplement que le lien est toujours là.

Honorer les absents, finalement,
c’est continuer à avancer avec eux dans le cœur…
en mouvement, pas en pause.

Le Renard Chic

(Tout contenu de cette publication est soumis à des droits d’auteurs. )

19/12/2025

✨️✨️🎄 Les blessures qui ressortent à Noël✨️✨️

(ou : pourquoi tu pleures devant une clémentine sans savoir pourquoi)

Noël, c’est ce moment magique où :

les guirlandes brillent,

les familles sourient (en théorie),

et tes blessures émotionnelles sortent en tenue de soirée.

Personne ne les a invitées.
Elles viennent quand même.

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⚫️ La blessure d’abandon

Alias : “Pourquoi tout le monde a quelqu’un sauf moi ?”

Elle se manifeste quand :

tu es seul(e),

séparé(e),

ou entouré(e) mais avec l’impression d’être un meuble décoratif.

Symptômes :

tristesse sournoise,

envie d’adopter un chat à 23h,

larmes devant une pub de jouets.

Noël appuie sur le bouton “famille soudée” pendant que ton cœur fait :

> « Allô ? Y a quelqu’un pour moi ? »

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⚫️ La blessure de rejet

Version dîner de famille.

Déclencheurs classiques :

“Tu travailles toujours là-dedans ?”

“T’as pas encore trouvé quelqu’un ?”

“Oh… t’as encore changé de style.”

Effets secondaires :

envie de disparaître dans la salle de bain,

silence suspect,

réponses passives-agressives avec le sourire.

À Noël, tu réalises que certaines personnes savent très bien appuyer là où ça pique, emballé dans du papier cadeau.

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⚫️ La blessure de non-reconnaissance

“J’ai tout fait et personne n’a remarqué.”

Tu as :

cuisiné,

organisé,

pensé aux cadeaux,

sauvé Noël trois fois.

Récompense : 👉 “Ah… ok.”

Résultat :

fatigue cosmique,

frustration intérieure,

envie de balancer la dinde par la fenêtre (symboliquement… ou pas).

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⚫️ La blessure du sauveur / responsable officiel de Noël

Chef d’orchestre émotionnel non rémunéré.

Tu veux que :

tout le monde s’entende,

personne ne se dispute,

l’ambiance soit “chaleureuse”.

Donc tu :

encaisses,

souris,

fais tampon humain.

À la fin de la soirée :
🎁 cadeau bonus → épuisement + migraine + envie de fuir dans une grotte.

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⚫️ La blessure de déception

“Cette année, ce sera différent.”
(Spoiler : non.)

Tu espérais :

plus d’amour,

plus de douceur,

plus de vrai.

Tu obtiens :

les mêmes non-dits,

les mêmes comportements,

les mêmes déceptions, édition spéciale Noël.

Et ton cœur soupire :

> « Pourquoi j’y crois encore ? »

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⚫️ La blessure de l’enfant intérieur

Petit toi ressort. En pyjama émotionnel.

Noël réveille :

le besoin d’être aimé sans condition,

la soif de sécurité,

l’envie d’être juste accueilli(e).

Donc parfois :

tu pleures sans raison,

tu es hyper susceptible,

tu te sens “trop”.

Ce n’est pas toi qui débloques.
C’est ton enfant intérieur qui dit :

> « Moi aussi, j’aimerais un peu de magie. »

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⚫️ La blessure de solitude intérieure

Entouré(e)… mais seul(e) quand même.

Tout le monde parle. Tu souris. Mais à l’intérieur :

tu te sens décalé(e),

pas vraiment vu(e),

pas vraiment compris(e).

C’est la solitude la plus traîtresse :
celle qui arrive au milieu des rires.

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🎄 Conclusion renardesque

Si Noël te remue plus que prévu :

tu n’es pas faible,

tu n’es pas ingrat(e),

tu n’es pas “trop”.

Tu es juste humain(e), avec un cœur qui n’a pas toujours reçu ce qu’on promet dans les chansons de Noël.

👉 Et non, ce n’est pas grave de ne pas “adorer” cette période.

Parfois, le plus beau cadeau de Noël, c’est d’arrêter de faire semblant que tout va bien…
et de t’offrir un peu de douceur à toi. 🦊✨

Le Renard Chic

(Tout contenu de cette publication est soumis à des droits d’auteurs et... partager c’est respecter. 🦊)

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15/12/2025
15/12/2025
29/11/2025

La thyroïde = ton thermostat interne

27/11/2025

Un jour, Alejandro Jodorowsky a partagé avec ses élèves trois principes pour ne pas se perdre dans la vie. Il ne s’agissait ni de mysticisme ni de poésie, mais d’orientations concrètes, simples et puissantes.

Le premier fut un élan déguisé en conseil :
« Bougez. N’attendez pas de vous sentir prêts. »
Il expliquait que l’on regrette davantage ce que l’on n’a pas tenté que ce que l’on a essayé et manqué. L’action, même maladroite, ouvre des chemins que le doute laisse fermés. Avancer, même d’un demi-pas, vaut toujours mieux que rester figé dans l’imaginaire des possibles.

Le deuxième ressemblait à un avertissement bienveillant :
« Veillez à ce que vos désirs ne vous rapetissent pas. »
Quand on ne pense qu’à soi, la vie se rétrécit, comme une pièce sans fenêtres. Les désirs devraient, d’une manière ou d’une autre, contribuer à élargir et embellir ce qui vous entoure : les personnes, les liens, les projets. Le bon chemin est celui où personne n’a besoin de perdre pour que vous puissiez gagner.

Le troisième fut celui qui touche le plus profondément :
« Ne vivez pas selon le personnage que les autres vous ont assigné. »
Chacun porte des attentes venues d’ailleurs : de la famille, des partenaires, du travail, des anciennes versions de soi. Sans vigilance, on finit par jouer un rôle qui n’est pas le nôtre.
« Trouvez votre ton, votre rythme, votre vérité, disait-il. Et que la pression du monde ne vous en détourne pas. »

Ces trois principes sont des boussoles : avancer, partager, et demeurer authentiques. Des gestes simples, mais capables de redresser une vie entière.

Cette homme est un phare dans la nuit.
Gracias a ti Maestro

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Jaillon

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