Joelle Honikman PSY

Joelle Honikman PSY Activités et centres d'intérêt professionnels en tant que psychologue clinicienne - psychothérapeute et chercheur.

SPECIFICITES :
- Problématiques de l’immigration, de l’exil et de l’intégration ;
- Accompagnement des mourants et de leurs proches ;
- Psychothérapies des traumatismes, des deuils traumatiques (guerres, terrorisme, agressions) ;
- Des survivants de l'extermination nazie et de leurs descendants ;
- Des enfants et adolescents ;
- Des victimes de harcèlement, perversion narcissique, maltraitances ;
- Clinique des expériences inhabituelles ou dites paranormales. METHODES :
- Consultations ;
- Psychothérapies (dynamique, ethnopsychiatrie, hypnose, EMDR, IADC-Therapy) ;
- Groupes de parole ;
- Méditation thérapeutique.

08/11/2025
08/11/2025

With the war over, Nova survivors say they never truly left Oct. 7. Clinicians report a surge in pleas for help, and a landmark study finds 55% meet severe PTSD criteria as psychedelics’ early protection fades. Experts warn this is the riskiest stage yet

https://bit.ly/494laHx

08/11/2025

« Le monde sans empathie, c’est celui des pervers. » – une phrase choc, mais profondément vraie.

Un monde sans empathie est un monde froid. Là où l’autre devient un obstacle, un outil ou une simple donnée, la manipulation prend racine. La dureté remplace la douceur, et l’indifférence devient la norme.

L’empathie est notre boussole émotionnelle. Elle nous permet de comprendre sans juger, d’aider sans dominer, d’aimer sans posséder. Elle se cultive dès l’enfance, dans le regard que l’on porte à l’autre, dans les mots que l’on choisit, dans la manière d’accueillir les émotions.

Mais attention : sans modèles et sans éducation du cœur, on forme des adultes déconnectés de leurs ressentis, incapables de se mettre à la place de l’autre. Et c’est ainsi que se créent, sans le vouloir, des générations blessées, parfois destructrices.
Et si nous réapprenions à ressentir avant de réagir ? À écouter avant de répondre ? À comprendre avant de condamner ? L’avenir ne se construit pas avec des machines, mais avec des cœurs.

Et vous, que faites-vous chaque jour pour cultiver l’empathie autour de vous ?

23/10/2025
23/10/2025

🇫🇷 À une large majorité par 155 voix contre 31, l'Assemblée nationale a voté l'intégration de la notion du non-consentement dans la définition pénale du viol

➡️ https://go.france24.com/T63

22/10/2025

🎯 Addictions : on ne traite pas un symptôme, on traite une histoire

👉 L’addiction n’est pas seulement une question de produit, mais une question de racines – psychiques, sociales, familiales, traumatiques.

💬 « Tant qu’on ne s’attaque pas aux racines, on ne résout rien. »
Ce message vaut bien au-delà du champ médical : toute conduite à risque, tout épuisement, tout comportement compulsif est souvent une tentative de gérer un mal-être plus profond.

🔍 Ce que cela implique pour les politiques publiques et les institutions :
• Arrêter de répondre uniquement par l’interdit, la sanction ou la morale.
• Investir dans le soin, le repérage précoce, le soutien psychologique et social.
• Former les acteurs de terrain à détecter les signaux faibles, bien avant la rupture ou la dépendance installée.
• Parler de santé mentale autant que l’on parle de substances.

👥 on ne “corrige” pas une addiction, on accompagne une reconstruction.
Cela demande du temps, des moyens, une vision. Et surtout : changer notre regard.

Adresse

3, Rue Marcel Carné
Joinville-le-Pont
94340

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Joelle Honikman PSY publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Joelle Honikman PSY:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram

Parcours et Spécialités

Née à Paris en 1963, Joëlle Honikman commence très tôt une carrière de danseuse contemporaine, en France et en Amérique Centrale, qu’elle suspend finalement pour se consacrer entièrement à ses études et à la recherche en psychologie clinique et psychopathologie. Elle s’intéresse alors particulièrement aux traumatismes intentionnels et à la torture.

Eprouvant rapidement les limites des théories et du cadre psychanalytiques, elle sollicite, dès 1989, une rencontre avec le Pr Tobie Nathan, et participe à ses consultations d’ethnopsychiatrie à l’hôpital Avicenne de Bobigny et à la PMI de Villetaneuse (Seine-Saint-Denis). Cette période d’initiation donnera lieu à une longue collaboration ultérieure au sein du Centre Georges Devereux que T. Nathan fondera en 1993. Il s’agit d’un centre universitaire de consultations d’ethnopsychiatrie et de recherche en ce domaine. En deux mots, l’ethnopsychiatrie[1]conçoit les personnes à partir des objets auxquels elles sont reliées, attachées, et qui les ont fabriquées en tant que telles. C’est à ces objets et à ces attachements[2], ainsi qu’aux techniques liées à leur utilisation, que l’ethnopsychiatrie s’intéresse, pour identifier, comprendre et traiter le(s) désordre(s) présenté(s) par les humains qui y sont reliés.

Joëlle Honikman a occupé, au sein du centre Georges Devereux, les fonctions de psychothérapeute et de chercheuse. Coordinatrice d’une consultation, elle en est également devenue co-responsable. Elle y a aussi co-animé un groupe de recherche sur les adolescents de la migration « à risque » et/ou en danger, et la justice des mineurs. C’est dans ce contexte qu’elle développé sa recherche sur les apports de l’ethnopsychiatrie à l’expertise psychologique, laquelle a donné lieu à deux publications scientifiques[3].