Joelle Honikman PSY
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Activités et centres d'intérêt professionnels en tant que psychologue clinicienne - psychothérapeute et chercheur.
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Joinville-le-Pont
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Parcours et Spécialités
Née à Paris en 1963, Joëlle Honikman commence très tôt une carrière de danseuse contemporaine, en France et en Amérique Centrale, qu’elle suspend finalement pour se consacrer entièrement à ses études et à la recherche en psychologie clinique et psychopathologie. Elle s’intéresse alors particulièrement aux traumatismes intentionnels et à la torture.
Eprouvant rapidement les limites des théories et du cadre psychanalytiques, elle sollicite, dès 1989, une rencontre avec le Pr Tobie Nathan, et participe à ses consultations d’ethnopsychiatrie à l’hôpital Avicenne de Bobigny et à la PMI de Villetaneuse (Seine-Saint-Denis). Cette période d’initiation donnera lieu à une longue collaboration ultérieure au sein du Centre Georges Devereux que T. Nathan fondera en 1993. Il s’agit d’un centre universitaire de consultations d’ethnopsychiatrie et de recherche en ce domaine. En deux mots, l’ethnopsychiatrie[1]conçoit les personnes à partir des objets auxquels elles sont reliées, attachées, et qui les ont fabriquées en tant que telles. C’est à ces objets et à ces attachements[2], ainsi qu’aux techniques liées à leur utilisation, que l’ethnopsychiatrie s’intéresse, pour identifier, comprendre et traiter le(s) désordre(s) présenté(s) par les humains qui y sont reliés.
Joëlle Honikman a occupé, au sein du centre Georges Devereux, les fonctions de psychothérapeute et de chercheuse. Coordinatrice d’une consultation, elle en est également devenue co-responsable. Elle y a aussi co-animé un groupe de recherche sur les adolescents de la migration « à risque » et/ou en danger, et la justice des mineurs. C’est dans ce contexte qu’elle développé sa recherche sur les apports de l’ethnopsychiatrie à l’expertise psychologique, laquelle a donné lieu à deux publications scientifiques[3].