Stéphanie Godard Coaching

Stéphanie Godard Coaching Accompagnement de support en cancérologie - Confiance et Estime de soi - Pendant et post traitement.

🎄 Quand on traverse un cancer ou un après-cancer, les fêtes sont souvent idéalisées… mais rarement adaptées à ce que le ...
08/12/2025

🎄 Quand on traverse un cancer ou un après-cancer, les fêtes sont souvent idéalisées… mais rarement adaptées à ce que le corps et la tête vivent réellement.

Dans mon cabinet, je vois chaque année les mêmes difficultés :
● la fatigue silencieuse mais écrasante,
● l’hypersensibilité,
● les injonctions à “profiter”,
● le besoin de calme,
● la pression de sourire,
● et la culpabilité qui revient trop vite.

Ce carrousel rassemble mes conseils d’oncothérapeute, basés sur le terrain :
des permissions essentielles pour passer les fêtes sans vous faire violence — que vous soyez en plein traitement ou en après-cancer.

💬 Quelle permission vous avez le plus de mal à vous accorder aujourd’hui ?
Votre partage peut vraiment aider quelqu’un d’autre. 🤍

🌙 Je traverse les fêtes… mais à mon rythme.Il y a une chose dont on ne parle jamais :👉 l’après-cancer au milieu des fête...
03/12/2025

🌙 Je traverse les fêtes… mais à mon rythme.

Il y a une chose dont on ne parle jamais :
👉 l’après-cancer au milieu des fêtes.
Pas la version “carte postale”, pas la version “ça va mieux maintenant”.
La vraie. Celle qu’on tait pour “ne pas plomber l’ambiance”.

Pendant que les autres s’agitent, vous calculez vos forces.
🎁 Eux pensent aux cadeaux.
🧠 Vous pensez à votre énergie.
🍽️ Ils préparent la table.
🫀 Vous préparez votre corps encore marqué, en espérant qu’il tienne jusqu’au dessert.

Ce n’est pas de la tristesse.
Ce n’est pas un manque de gratitude.
➡️C’est le décalage silencieux de l’après-cancer :
🌸être là… mais différemment.
🌸être vivant… mais encore en reconstruction.
🌸être entouré… tout en se sentant légèrement en retrait.

Les fêtes réveillent ce que la maladie a déplacé :
♻️les limites du corps
🥺les émotions imprévues
😤l’hypersensibilité au bruit, aux odeurs, aux sollicitations
😴la fatigue que personne ne voit
🤦🏻‍♀️l’injonction de “faire comme avant”

Et il faut le redire clairement :
Les traitements s’arrêtent, mais l’après-cancer commence.
Le corps va plus lentement.
Le mental reste en vigilance.
Le cœur… avance à son propre tempo. 💛

Alors peut-être que votre vrai courage sera là cette année :
✅dans un “non”,
✅dans un départ plus tôt,
✅dans une pause dans une pièce calme,
✅dans l’art de vous protéger sans culpabiliser.

Les fêtes ne guérissent rien.
Elles révèlent ce que vous portez encore.
Et si personne ne le voit, moi je l’entends :
Vous traversez décembre mais à votre rythme.
Et ça, c’est de la force — pas un échec. ✨

👉Et vous… comment traversez-vous cette période 🎄 ?
Dites-moi en commentaire ce qui vous aide — ou ce qui vous pèse. Votre réalité compte, ici.

🎄 Les fêtes ne racontent jamais toute l’histoire.Derrière les lumières, les tables pleines et les sourires… il existe un...
02/12/2025

🎄 Les fêtes ne racontent jamais toute l’histoire.
Derrière les lumières, les tables pleines et les sourires… il existe une autre réalité.
Celle des personnes en traitement, en après-cancer, ou en plein retour à la vie.
Une réalité silencieuse, mais bien là : l’invisible.

👉 Ce carrousel, c’est ce que personne ne voit.
👉 Ce que beaucoup vivent.
👉 Ce que peu arrivent à dire.

Parce qu’en accompagnant des patient·es et des proches aidants, je vois chaque jour :
💥les décalages,
💥les efforts,
💥les peurs discrètes,
💥la fatigue sociale,
💥la charge mentale,
💥le rapport au corps,
💥la vulnérabilité qui revient,
💥et cette force incroyable qu’il faut pour “faire bonne figure” pendant les fêtes.

Ce que vous traversez est réel. Ce que vous portez compte. Et non, vous n’êtes pas “à côté” : vous êtes en train de vivre quelque chose que le monde ne sait pas toujours regarder.

🧡 Dites-moi en commentaire : quel est l’invisible qui prend le plus de place pour vous cette année ?
Votre vécu peut aider quelqu’un d’autre à se sentir moins seul.

01/12/2025

🎄🦀Vivre les fêtes pendant un cancer : ce que personne ne voit vraiment.

Les fêtes de fin d’année sont souvent présentées comme un moment joyeux, léger, chaleureux. Mais quand on est en plein traitement (chimio, radiothérapie, immunothérapie — la réalité est souvent beaucoup plus complexe.
Pas parce que vous manquez d’envie.
Pas parce que vous êtes “fragile”.
Mais parce que votre corps et votre système nerveux sont mobilisés ailleurs : guérir, supporter, récupérer, tenir.

👉 Pendant que les autres pensent aux cadeaux, vous pensez à :
❗️la fatigue qui tombe d’un coup
❗️la gestion des effets secondaires
❗️le risque infectieux
❗️la présence d’enfants enrhumés
❗️la nécessité de calculer votre énergie
❗️et cette pression invisible de “faire bonne figure” pour ne pas inquiéter.

Et puis il y a l’image de soi.
Cette envie légitime de se sentir un peu “soi”, malgré le corps transformé par les traitements : la perruque qu’on ajuste, le foulard, le maquillage pour effacer la pâleur, le choix d’une tenue qui dissimule.
Un effort immense pour retrouver un peu de contrôle… qui, paradoxalement, fait croire à l’entourage que “ça va mieux”.

🎗️ En oncothérapie et en psycho-oncologie, on le sait : ce que vous vivez pendant les fêtes n’a rien d’anormal.
Cela s’explique. Cela se comprend. Et surtout : cela mérite d’être respecté.

✨ Vous avez le droit :
✅de faire différemment
✅de choisir des moments courts
✅de vous isoler si nécessaire
✅de refuser certaines invitations
✅de préserver votre énergie vitale
✅de dire NON sans justification
✅de poser vos limites pour éviter l’épuisement

Les fêtes ne sont pas un test de courage. Elles ne mesurent ni votre “positivité”, ni votre “motivation”. Elles révèlent simplement la charge que vous portez déjà…
et que vous continuez à porter en silence.

💬 Et vous ?
Qu’est-ce qui est le plus difficile pour vous en ce moment dans les fêtes pendant les traitements du cancer ?
Votre retour aidera d’autres personnes à se sentir moins seules. 💛

« Je ne suis plus celle d’avant. Et c’est peut-être ça, la guérison. »Il y a un moment, souvent en silence, sans témoin ...
28/11/2025

« Je ne suis plus celle d’avant. Et c’est peut-être ça, la guérison. »

Il y a un moment, souvent en silence, sans témoin où une femme qui sort d’un cancer réalise que quelque chose en elle a basculé. Pas dans la grande révélation. Dans les détails.
Dans la façon dont elle ne tolère plus certains discours.
Dans la manière dont elle protège son énergie comme si sa vie en dépendait.
Dans ce réflexe nouveau de s’écouter avant de dire oui.

L’après-cancer, ce n’est pas “reprendre”.
✅C’est comprendre que l’ancienne version de soi ne reviendra pas, et que ce n’est pas un échec.
✅C’est sentir que le corps a changé… mais que l’intérieur aussi.
✅Une lucidité qui dérange parfois l’entourage :
« Tu n’es plus la même. »
Non.
❓Et comment le pourrait-on après un tel séisme ?

Ce que je vois chaque jour dans mon cabinet, c’est ça :
✅Des femmes qui ne veulent plus faire semblant.
✅Qui n’ont plus la patience pour les relations à sens unique.
✅Qui se surprennent à dire “non”, vraiment.
✅Qui portent une fatigue tenace, mais aussi une vérité neuve.

Il y a une forme de guérison là-dedans : pas celle des images parfaites, mais celle qui remet les choses à leur juste place.
Celle qui apprend à vivre avec un corps traversé, une identité réajustée, des émotions qui prennent enfin de la place.

🤔Peut-être que guérir, ce n’est pas redevenir.
Peut-être que guérir, c’est accepter que quelque chose en vous a grandi pendant que le monde s’imaginait que tout était fini.

🩷 Et vous… qu’est-ce qui a changé en vous, vraiment, depuis la maladie ?
Je vous lis.

26/11/2025

Une journée pensée pour prendre soin de soi, se recentrer et s’offrir une pause bien méritée.

Un immense merci à Lee De Coco pour cette belle initiative et pour toute l’énergie transformée en douceur au service des patientes.

Nous avons hâte de partager ce moment privilégié au Domaine De La Grange Aux Ormes.

Pendant un cancer, on n’apprend pas des “leçons de vie”.On découvre des réalités que personne n’explique.Des vérités qu’...
26/11/2025

Pendant un cancer, on n’apprend pas des “leçons de vie”.
On découvre des réalités que personne n’explique.
Des vérités qu’on ne voit que quand on traverse les traitements, la fatigue profonde, les allers-retours en oncologie, les silences qui pèsent… et ceux qui soutiennent.

Ce carrousel n’est pas là pour enjoliver.
C’est du terrain, du vécu, du vrai.
Ce qu’on comprend quand on est en chimiothérapie, en radiothérapie, en immunothérapie, ou dans cette zone floue de l’après-cancer où tout le monde pense que “c’est fini”, alors que tout commence à peine.

Parce que le cancer, ce n’est pas seulement des soins.
C’est aussi :
✅une identité qui bouge,
✅un corps qui impose son rythme,
✅une peur qui s’installe en arrière-plan,
✅des proches qui font comme ils peuvent,
✅et une reconstruction qui n’a rien d’automatique.

Si vous êtes patient(e) en rémission, ou proche aidant, vous savez que ce parcours modifie tout : la place qu’on se donne, ce qu’on tolère encore, ce qu’on ne tolère plus du tout.
Et ce n’est pas “négatif” : c’est humain.

✨ Et vous : qu’est-ce que cette épreuve vous a appris ?
Votre réalité peut vraiment aider quelqu’un à se sentir moins seul.

On applaudit la force, mais rarement l’usure. On admire le courage, mais jamais la fatigue qui va avec. Ce que vous ne v...
21/11/2025

On applaudit la force, mais rarement l’usure. On admire le courage, mais jamais la fatigue qui va avec. Ce que vous ne voyez pas… c’est ce qui se joue à l’intérieur.

Il y a une phrase que j’entends souvent en séance. Pas au début. Pas pendant les traitements.
Elle arrive quand la poussière retombe. Quand l’entourage pense que “tout est derrière”.
Quand le corps ralentit d’un coup et que la tête n’a plus la force de jouer à la personne “forte”.
Cette phrase, c’est celle-là : « Je ne veux plus survivre. Je veux vivre autrement. »
Et ce n’est jamais dit avec colère. C’est dit avec une fatigue qui ne se voit pas sur les photos.
Avec une lucidité qu’on acquiert après avoir traversé un cancer, une chimio, une hormonothérapie, une mastectomie, une reconstruction…
Avec ce mélange de peur et de courage que l’après-cancer impose.

Parce que survivre, ce n’est pas seulement “rester en vie”. C’est :
➡️ fonctionner en mode automatique.
➡️ serrer les dents.
➡️ encaisser pour avancer.
➡️ mettre le corps en arrière-plan.
➡️ jouer le rôle parce que tout le monde veut que ça aille.
➡️ porter une fatigue émotionnelle qui ne ressemble à rien d’autre
Et un jour, ça craque à l’intérieur. Juste assez pour comprendre que continuer “comme avant” n’est plus possible.
Que ce corps transformé réclame autre chose. Que cette identité bousculée ne rentrera plus jamais dans l’ancienne version de soi.
Que la peur de la rechute, le stress invisible, les montagnes russes émotionnelles ne peuvent plus être niés.

🦋Alors “vivre autrement” devient une nécessité. Pas un caprice. Pas une fuite.

C’est le vrai début de la reconstruction, de l’après-cancer, du retour à soi. C’est souvent la première fois où vous cessez d’être “patiente”, “guérie”, “courageuse”…pour redevenir VOUS.
Et ce moment-là mérite d’être nommé. Il mérite d’être respecté. Il mérite d’être accompagné.
Parce qu’on ne revient jamais indemne d’un cancer.
Mais on peut apprendre à vivre autrement, profondément, honnêtement, sans s’oublier.
👉🏻Et vous… est-ce qu’il y a un moment où vous avez senti que “survivre” ne suffisait plus ?

On ne le dit jamais assez : l’après-cancer n’a rien d’un “retour à la vie”.C’est un moment où tout se bouscule : la fati...
19/11/2025

On ne le dit jamais assez : l’après-cancer n’a rien d’un “retour à la vie”.
C’est un moment où tout se bouscule : la fatigue chronique 😮‍💨, les peurs silencieuses, la perte de repères, l’hypersensibilité, la colère qui surgit sans prévenir…
Et cette pression de “reprendre sa vie en main” alors que votre corps, votre énergie et votre tête ne suivent pas.

Beaucoup de personnes en post-cancer me confient qu’elles ne reconnaissent plus leur propre quotidien.
Les priorités changent.
Certaines relations deviennent trop lourdes.
Les obligations d’avant deviennent intenables.
Le rythme d’avant est impossible à tenir 🧱.
Et ça n’a rien à voir avec un manque de volonté :
c’est le fonctionnement neuro-émotionnel après un cancer.
C’est le réel, pas un caprice.

Redéfinir sa vie, ce n’est pas tout quitter.
C’est comprendre que l’“avant” n’est plus une référence possible.
C’est accepter que votre énergie est différente ⚡️, que vos besoins ont évolué, que votre seuil de tolérance n’est plus le même.
C’est assumer un réalignement identitaire, même si votre entourage ne comprend pas toujours.

C’est normal d’être fatigué(e). C’est normal de ne plus avoir envie des mêmes choses. C’est normal de réagir différemment.Vous êtes en reconstruction physique, émotionnelle, identitaire 🧩.

Et si on arrêtait de vous demander de “reprendre votre vie”… pour enfin vous laisser redéfinir la vôtre, à votre rythme, avec vos nouvelles limites, vos nouveaux besoins, vos nouveaux repères ?

👉 Qu’a changé cette épreuve dans votre façon de vivre ?
Votre partage peut vraiment aider quelqu’un qui traverse ce même décalage.

🩷 Mon corps n’est pas le même, mais il est encore mien.Il y a une réalité dont on parle très peu en consultation :👉 la s...
14/11/2025

🩷 Mon corps n’est pas le même, mais il est encore mien.

Il y a une réalité dont on parle très peu en consultation :
👉 la sensation d’étrangeté corporelle après un cancer.

Pas la “perte d’estime de soi”, pas la “réconciliation”, pas la “positivité”.
Juste ce fait clinique : votre corps change et votre cerveau met beaucoup plus de temps à l’intégrer.

Ce décalage a un impact énorme sur l’image de soi, le rapport au toucher, à la mobilité, à la fatigue, au regard de l’autre… et pourtant, il reste sous-estimé.

Voici ce que mes patientes me disent le plus souvent et que personne ne leur avait expliqué :

1️⃣ On peut être en rémission et ne plus comprendre son propre corps.
Le corps réagit différemment, parfois de façon imprévisible : douleurs, tensions, modifications sensorielles, fatigue neuromusculaire.
Ce n’est pas “dans la tête”.
👉🏻C’est un phénomène d’incongruence corporelle : le cerveau a du re**rd sur la transformation physique.

2️⃣ Se regarder dans le miroir peut devenir un moment technique, pas émotionnel.
Beaucoup me disent : “Je me regarde pour vérifier, pas pour me reconnaître.”
👉🏻C’est un signe que le cerveau est encore en mode monitoring, pas en mode identité.

3️⃣ On peut se sentir fonctionnelle… mais pas “habiter” vraiment son corps.
Faire les gestes, tenir le quotidien, reprendre les activités… Et malgré ça, avoir la sensation que le corps est “en prêt”, “en transition”, “en mode surveillance”.
👉🏻Cette dissociation n’est pas un échec :
c’est un mécanisme d’adaptation après un choc corporel majeur.

4️⃣ La réappropriation corporelle n’est pas un objectif esthétique.
C’est un enjeu de sécurité intérieure. Ce n’est pas une question d’aimer son corps. Mais de retrouver un sentiment d’ancrage, de cohérence, de fiabilité même minimale.

Parce que pour se sentir en paix, il est nécessaire d’abord se sentir “dedans”.

👉 Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans votre corps aujourd’hui ?

Adresse

10 Rue Des Walcourt
Kanfen
57330

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