26/11/2025
Le mal-être, le stress, les tensions envoient un message d'alerte au cerveau, qui cherchera à apaiser cette alerte. La nourriture "consolation" apportera un soulagement provisoire, vite remplacé par un nouveau mal-être, éventuellement aggravé par le sentiment de culpabilité, donc de nouvelles émotions négatives émergeront, qu'il faudra à nouveau compenser...
Vouloir limiter sa consommation revient à renforcer les émotions négatives, en y ajoutant de la frustration, d'où le faible succès des régimes restrictifs. La solution est ailleurs : en retrouvant un équilibre physique, mental et émotionnel, naturellement le cerveau réclamera moins de compensations, d'où une réduction des compulsions alimentaires.