Quelles sont les heures d'ouverture ?

Lundi 09:00 - 12:30 14:00 - 19:00 Mardi 09:00 - 12:30 14:00 - 19:00 Mercredi 09:00 - 12:30 14:00 - 19:00 Jeudi 09:00 - 12:30 14:00 - 19:00 Vendredi 09:00 - 12:30 14:00 - 19:00 Samedi 09:00 - 12:30

Quel est le site Web ?

https://www.pharmacie-tikaol.fr/

Pharmacie Ti Kaol, 21 Avenue Kesler Devillers, Lanester (2025)

17/12/2025

🤒❄️ Grippe ou simple Etat Grippal : comment faire la différence ?

Chaque hiver, les mêmes symptômes reviennent hanter le quotidien de beaucoup d'entre nous : fièvre, courbatures, fatigue intense, maux de tête, frissons…

Dans le langage courant, on parle volontiers de « grippe ». Pourtant, toutes les maladies qui ressemblent à la grippe n’en sont pas.

Derrière des symptômes parfois similaires se cachent en réalité deux situations très différentes :
👉 la véritable, infection virale bien définie, potentiellement grave chez les personnes fragiles
👉 le syndrome grippal, terme générique regroupant de nombreuses infections respiratoires bénignes

Savoir les différencier permet de réagir correctement, de limiter la contagion et d’éviter des complications inutiles.

🦠🔬 La grippe : une maladie virale bien identifiée

La grippe est une infection respiratoire aiguë causée par les virus (A ou B).

Elle survient généralement sous forme d’épidémies hivernales, surveillées chaque année par les autorités sanitaires.

📌 Ce qui caractérise la grippe :
1️⃣ début brutal, souvent en quelques heures
2️⃣ fièvre élevée (souvent > 39 °C)
3️⃣ fatigue intense, parfois invalidante
4️⃣ douleurs musculaires et articulaires marquées
5️⃣ maux de tête importants
6️⃣ frissons, sensation de froid
7️⃣ toux sèche

➡️ La personne grippée se sent souvent clouée au lit, incapable de poursuivre ses activités quotidiennes.

🤧🩺 Le syndrome grippal : un tableau plus large et souvent plus bénin

Le terme « syndrome grippal » ne désigne pas une maladie précise.

Il regroupe plusieurs infections respiratoires virales (rhinovirus, coronavirus saisonniers, virus respiratoire syncytial, adénovirus…).

📌 Les symptômes sont généralement :
👉 plus progressifs
👉 moins intenses
👉 fièvre modérée ou absente
👉 fatigue présente mais supportable
👉 nez qui coule ou bouché
👉 maux de gorge fréquents
👉 toux parfois productive

➡️ Le patient continue souvent à fonctionner, malgré un inconfort certain.

🧠📊 Grippe ou syndrome grippal : les grandes différences à connaître

⏱️ Début des symptômes
✔️ Grippe : brutal
✔️ Syndrome grippal : progressif

🌡️ Fièvre
✔️ Grippe : élevée et prolongée
✔️ Syndrome grippal : modérée ou absente

😴 Fatigue
✔️ Grippe : intense, écrasante
✔️ Syndrome grippal : modérée

🤕 Douleurs
✔️ Grippe : musculaires et articulaires marquées
✔️ Syndrome grippal : douleurs plus diffuses

🛌 Retentissement
✔️ Grippe : arrêt quasi obligatoire des activités
✔️ Syndrome grippal : gêne compatible avec le quotidien

❌🧠 Attention aux raccourcis...

❌ « Sans fièvre, ce n’est pas grave »
➡️ FAUX. Certaines infections peuvent évoluer sans fièvre mais nécessiter une surveillance.

❌ « Une grippe, ça se soigne avec des antibiotiques »
➡️ FAUX. Les antibiotiques sont inefficaces contre les virus.

❌ « La grippe est une grosse rhinopharyngite »
➡️ FAUX. La grippe est une maladie spécifique, parfois sévère.

⚠️👵 Pourquoi la grippe ne doit jamais être banalisée

Chez certaines personnes, la grippe peut entraîner des complications graves :
👴🏻 personnes âgées
🤰 femmes enceintes
🍼 nourrissons
🤒 personnes atteintes de maladies chroniques
😷 patients immunodéprimés

Complications possibles :
‼️ pneumonie
‼️ décompensation de maladies chroniques
‼️ hospitalisation

💉🛡️ La vaccination : un outil clé contre la grippe

La vaccination reste le moyen le plus efficace de prévention contre les formes graves de la grippe.

Elle est recommandée chaque année pour les personnes à risque et leur entourage.

➡️ Elle ne protège pas contre tous les virus respiratoires, mais réduit significativement la gravité et les complications liées à la grippe.

🏠🌿 Que faire en cas de symptômes ?

✅ Mesures générales
1️⃣ repos
2️⃣ hydratation abondante
3️⃣ alimentation adaptée
4️⃣ aération régulière du logement

💊 Traitements symptomatiques
🤒 antipyrétiques en cas de fièvre
🤧 solutions contre la toux ou le nez encombré
⚠️ Toujours respecter les doses et éviter les associations inadaptées.

🚨📍 Quand consulter un médecin ?
‼️ fièvre élevée persistante
‼️ essoufflement
‼️ douleurs thoraciques
‼️ aggravation rapide
‼️ symptômes chez une personne fragile

❄️✨ Tous les états fébriles de l’hiver ne sont donc pas des grippes, mais tous méritent attention et vigilance.

Identifier les différences permet de mieux se soigner, de protéger les plus fragiles et de limiter la propagation des .

En cas de doute, demandez conseil à votre .

💡+ d'infos : urlr.me/7NCfXc

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14/12/2025

🔥🍽️ Brûlures d’estomac, reflux acide : comment les éviter pendant les fêtes... et après ?

Les fêtes de fin d’année sont synonymes de convivialité, de plaisirs culinaires… mais aussi, pour beaucoup, de brûlures d’estomac, de gastro-œsophagien et d’une sensation d’inconfort digestif parfois intense.

Ballonnements, remontées acides, douleurs rétro-sternales, toux nocturne ou gêne après les repas : ces symptômes sont fréquents, mais ils ne sont pas une fatalité.

Mieux comprendre les mécanismes du reflux et adopter les bons réflexes permet de préserver le plaisir de manger sans sacrifier son confort digestif.

🧠🔬 Comprendre le reflux gastro-œsophagien : ce qui se passe vraiment

Le reflux gastro-œsophagien ( ) correspond à la remontée du contenu acide de l’estomac vers l’œsophage.

Contrairement à l’estomac, l’œsophage n’est pas conçu pour résister à l’acidité.

🔍 Le coupable principal : le sphincter œsophagien inférieur

Ce muscle agit comme une valve entre l’estomac et l’œsophage. Lorsqu’il se relâche de façon inappropriée, l’acide gastrique remonte, provoquant brûlures et irritation.

Pendant les fêtes, plusieurs facteurs favorisent ce phénomène :
👉 repas copieux et riches
👉 alcool
👉 repas tardifs
👉 positions allongées précoces
👉 stress et fatigue
👉 vêtements serrés à table

🍷🧀🍰 Pourquoi les repas festifs aggravent-ils les brûlures d’estomac ?

Les menus de fête réunissent malheureusement tous les ingrédients du reflux :

🍖 Repas riches et gras
Les aliments gras ralentissent la vidange gastrique.
👉 L’estomac reste plein plus longtemps → pression accrue → reflux facilité.

🍷 Alcool
Il stimule la sécrétion acide et relâche le sphincter œsophagien.

🍫 Chocolat, café, menthe
Souvent présents en fin de repas, ils diminuent le tonus du sphincter.

🕰️ Repas tardifs
Se coucher peu après un repas empêche la gravité de jouer son rôle protecteur.

⚠️ Symptômes à ne pas sous-estimer

Le reflux ne se limite pas à une simple brûlure :
🔥 sensation de feu derrière le sternum
🔥 remontées acides ou amères
🔥 éructations fréquentes
🔥 toux chronique ou enrouement
🔥 gêne à la déglutition
🔥 troubles du sommeil
➡️ Lorsqu’ils sont fréquents ou persistants, ces symptômes doivent être pris au sérieux.

🧩❌ Stop aux dées reçues

❌ « Les brûlures d’estomac sont normales après un bon repas »
➡️ FAUX. Elles sont fréquentes, mais pas normales.

❌ « Il suffit de boire un verre de lait »
➡️ FAUX. Le soulagement est parfois temporaire et peut aggraver l’acidité ensuite.

❌ « Seuls les excès provoquent le reflux »
➡️ FAUX. Le stress, la posture et certains médicaments jouent aussi un rôle.

🥗🎄 Comment se faire plaisir à table sans déclencher de reflux ?

🍽️ Adapter les quantités sans renoncer au plaisir
✅ préférer plusieurs petites portions
✅ manger lentement
✅ bien mastiquer

🥦 Composer une assiette plus digeste
👍 légumes cuits
👍 viandes maigres
👍 poissons
👍 féculents simples

🍷 Limiter l’alcool
👉 alterner avec de l’eau
👉 éviter les cocktails sucrés

🪑🛌 Les bons gestes après le repas
✔️ attendre au moins 2 à 3 heures avant de se coucher
✔️ rester en position assise ou debout
✔️ éviter de se pencher en avant
✔️ surélever la tête du lit si nécessaire

💊🌿 Soulager efficacement les brûlures : les solutions disponibles

1️⃣ Mesures non médicamenteuses
🎯 ajustement alimentaire
🎯 perte de poids si nécessaire
🎯 arrêt du tabac
🎯 réduction du stress

2️⃣ Traitements disponibles en pharmacie
💊 pansements gastriques
💊 antiacides
💊 alginates (barrière anti-reflux)

➡️ Le choix dépend de la fréquence, de l’intensité et du profil de chacun.

🩺📍 Quand consulter un médecin ?
🚨 douleurs persistantes malgré les mesures
🚨 symptômes nocturnes fréquents
🚨 difficulté à avaler
🚨 perte de poids involontaire
🚨 vomissements ou douleurs thoraciques inhabituelles

🎁✨ Les fêtes peuvent rester un moment de plaisir, sans brûlures ni inconfort.

Avec des choix éclairés, des gestes simples et un accompagnement adapté, il est possible de profiter pleinement des repas festifs tout en prenant soin de sa digestion.

N’hésitez pas à demander conseil à votre .

+ d'infos : urlr.me/w3MnZs

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12/12/2025

⚠️💊 Interactions médicamenteuses : un risque invisible… que votre pharmacien peut vous éviter !

Les médicaments nous soignent, nous soulagent, améliorent notre qualité de vie. Pourtant, derrière ces alliés précieux se cache un risque souvent méconnu, parfois grave : l’interaction médicamenteuse.

Un phénomène discret, silencieux, mais aux conséquences potentiellement sévères s’il n’est pas anticipé.

Parce qu’il ne s’agit pas d’inquiéter mais d’informer, voici un tour d’horizon complet, clair et utile pour comprendre ce phénomène, l’éviter… et saisir pourquoi le joue un rôle essentiel dans la sécurité de chaque traitement.

🔍✨ Une médicamenteuse, c’est quoi ?

On parle d’interaction lorsque deux médicaments (ou un et une plante, un complément, un aliment) se rencontrent dans l’organisme… et modifient mutuellement leurs effets.

Cela peut entraîner :
👉 une baisse d’efficacité d’un traitement
👉 une majoration importante des effets secondaires
👉 une toxicité imprévisible
👉 des complications parfois graves (cardiaques, hépatiques, neurologiques, hémorragiques…)

➡️ 70 % des interactions dangereuses sont évitables lorsqu’elles sont détectées à temps.

🧪🧬 Comment surviennent-elles ?

Une interaction peut agir sur :

1️⃣ 🧬 L’absorption :
Un médicament empêche un autre d’être absorbé correctement (ex : antiacides + certains antibiotiques).

2️⃣ 🩸 La distribution :
Deux substances se disputent les mêmes “transporteurs” dans le sang → surcharge et toxicité.

3️⃣ 🍃 Le métabolisme (foie, enzymes CYP450) :
Le foie est un “carrefour chimique”.
Certains médicaments “accélèrent” sa capacité à dégrader un traitement → efficacité réduite.
D’autres la “ralentissent” → accumulation et risques.

4️⃣ 💧 L’élimination (reins) :
Les reins filtrent le sang ; certaines molécules ralentissent ce processus → surdosage.

⚠️💥 Les interactions les plus fréquentes… et celles que l’on sous-estime

💊 Médicaments sur ordonnance + médicaments en libre accès
Exemples :
⚠️ Ibuprofène + anticoagulants → risque hémorragique
⚠️ Antihistaminiques + somnifères → sédation excessive
⚠️ Décongestionnants + hypertension → poussées tensionnelles

🌿 Médicaments + plantes
⚠️ Millepertuis : diminue fortement l’efficacité d’antidépresseurs, pilule contraceptive, anticoagulants, anti-rejet…
⚠️ Ginkgo biloba : augmente le risque de saignement associé à l’aspirine.

💊 + 🍊 Médicaments + aliments
⚠️ Jus de pamplemousse → augmente dangereusement l’effet de plusieurs médicaments cardiovasculaires.
⚠️ Réglisse → risque d’hypertension sévère.

💊 + 🍷 Médicaments + alcool
⚠️ Antalgiques, anxiolytiques, antidépresseurs → sédation, coma, dépression respiratoire.

❗📉 Certaines personnes y sont particulièrement vulnérables :
👉 personnes polytraitées (≥ 5 médicaments)
👉 personnes de plus de 65 ans
👉 maladies chroniques : reins, foie, cœur
👉 femmes enceintes
👉 enfants
👉 personnes se soignant en automédication

🧩💬 Attention aux mythes...
❌ “Si c’est naturel, c’est sans danger.”
FAUX : certaines plantes interagissent plus que des médicaments.
❌ “Je connais ce médicament, je l’ai déjà pris.”
FAUX : c’est le contexte (nouveaux traitements, âge, état de santé) qui change le risque.
❌ “Les médicaments en vente libre ne posent pas de problème.”
FAUX : ce sont souvent eux qui déclenchent des interactions accidentelles… Demandez toujours conseil.

🧑‍⚕️💙 Le rôle essentiel du pharmacien : votre “vigie” contre les interactions

Le pharmacien est le seul professionnel de santé à avoir une vision complète de vos traitements, prescrits + automédication.

Il sécurise votre santé grâce à :

1️⃣ 🔎 La vérification systématique des interactions
Grâce à des logiciels d’analyse, mais aussi à son expertise clinique.

2️⃣ 📜 L’analyse de l’historique
Il repère :
✔️ doublons
✔️ associations dangereuses
✔️ traitements inefficaces
✔️ ordonnances incohérentes

3️⃣ 🗣️ Le conseil personnalisés
Il ajuste vos prises selon l’heure, l’alimentation, les autres traitements.

4️⃣ 🤝 La coordination avec médecins et infirmiers
En cas de risque, il contacte directement le prescripteur pour adapter la posologie ou proposer un remplacement.

5️⃣ 🛑 La prévention de l’automédication dangereuse
Il rappelle les règles essentielles :
✅ pas de nouveau médicament sans lui demander conseil
✅ attention aux mélanges “festifs” (alcool + médication)
✅ vigilance plantes/complements

🛡️📚 Comment réduire vous-même le risque d’interactions ?

1️⃣ Toujours apporter votre liste de traitements
Ordonnances, médicaments en vente libre, vitamines, huiles essentielles, plantes.

2️⃣ Prévenir tout changement de dose ou d’horaire
Une simple modification peut créer un déséquilibre.

3️⃣ Ne jamais partager ou reprendre un ancien médicament
Le contexte a changé → le risque aussi.

4️⃣ Éviter le jus de pamplemousse avec un traitement sans avis

5️⃣ Consulter votre pharmacien AVANT toute automédication

6️⃣ Signaler tout symptôme inhabituel
‼️ vertiges
‼️ fatigue extrême
‼️ confusion
‼️ saignements
‼️ douleurs musculaires
‼️ palpitations

💬🔚 En conclusion : une interaction, ça ne se voit pas… mais votre pharmacien, SI.

Les interactions médicamenteuses ne doivent pas être source d’angoisse, car elles sont très majoritairement évitables.

Le pharmacien est votre meilleur allié pour garantir que chaque traitement soit :
✔️ efficace
✔️ adapté
✔️ sans danger

Le réflexe gagnant est simple : un doute = votre pharmacien.

+ d'infos : urlr.me/P3vaSZ

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Source Vidéo : Télé Matin - France Télévisions

08/12/2025

🎅✨ Repas de Noël : comment se faire plaisir… sans excès ?

Parce que manger mieux ne doit jamais rimer avec manger triste 🎄🍽️... Chaque année, à l’approche des fêtes, la même question revient : comment profiter pleinement d’un repas de Noël savoureux, chaleureux et généreux… sans pour autant sortir de table épuisé, ballonné ou coupable d’avoir abusé ?

La bonne nouvelle : il n’existe aucune fatalité du “trop-plein” de Noël. Il est possible d’allier plaisir gastronomique, bien-être digestif, santé métabolique et sobriété joyeuse, simplement en ajustant quelques habitudes souvent plus simples qu’il n’y paraît.

Dans cet article, nous allons vous accompagner étape par étape :
🍽️ comment composer un menu équilibré et festif
🥂 comment gérer l’alcool intelligemment
🧠 comment déjouer les “pièges” biologiques de la faim et de la satiété
🍰 comment savourer les desserts sans exploser le compteur calorique
🧘 comment préserver digestion, énergie et sommeil
🎁 …et comment faire tout cela en se faisant plaisir, car la frustration totale est l’ennemie numéro 1 de l’équilibre alimentaire.

🎄 1. Le premier secret d’un repas équilibré : tout commence… avant le repas !

Contrairement à une idée reçue, il n’est pas conseillé de jeûner ou de “sauter un repas” avant un grand dîner de fête. Cela provoque :
1️⃣ une augmentation de la ghréline, hormone de la faim
2️⃣ un ralentissement temporaire du métabolisme
3️⃣ une arrivée à table en état de “famine”, qui pousse à manger vite et gras

👉 Mieux vaut prendre un repas léger mais complet à midi : légumes, protéines maigres, féculents, fruits.
Ainsi, l’organisme aborde le dîner dans un état hormonal stable, propice à des choix raisonnés.

🥗 2. Entrées : comment rester léger sans renoncer au plaisir ?

Les traditionnelles entrées de Noël peuvent être délicieuses et légères, pour peu qu’on sache les choisir.

⭐ Les meilleurs alliés :
👉 Fruits de mer (huîtres, crevettes, langoustines) : riches en protéines et pauvres en calories
👉 Saumon fumé en quantités raisonnables
👉 Veloutés maison : potimarron, châtaigne légère, topinambour
👉 Bouchées végétales raffinées : tartares de légumes, carpaccios de betterave, verrines légères

❗À limiter :
👉 feuilletés apéritifs très gras
👉 mini pizzas
👉 charcuteries
👉 sauces riches

🔎 Astuce scientifique :
Un apport précoce de fibres (crudités, légumes) facilite la satiété grâce au ralentissement de la vidange gastrique. Cette stratégie réduit souvent l’apport calorique du repas sans effort conscient.

🍗 3. Plats principaux : plaisir gastronomique oui, lourdeur digestive non !

Noël est la fête des viandes mijotées, des farces, des purées riches... Plutôt que de renoncer : ajustons l’équilibre.

🌟 Les bonnes pratiques :
1️⃣ Opter pour des cuissons douces (rôtis, vapeur, papillotes) plutôt que fritures.
2️⃣ Privilégier les volailles : dinde, chapon, pintade → riches en protéines maigres.
3️⃣ Servir des accompagnements végétaux gourmands : légumes rôtis au four, purées maison non crémées, marrons, butternut caramélisé.
4️⃣ Réduire légèrement les proportions de farces ou sauces (sans les supprimer).

🍽️ L’astuce du chef :
Présenter des plats déjà portionnés. Cela réduit inconsciemment la quantité consommée de 10 à 20 % selon les études en psychologie alimentaire.

🥂 4. Alcool : comment profiter… tout en limitant les effets sur la santé et la digestion ?

L’alcool est souvent l’élément le plus “piégeux” du repas, car :
👉 il apporte beaucoup de calories “vides”
👉 il stimule l’appétit
👉 il déshydrate et perturbe la digestion

⭐ Les bonnes pratiques :
✅ Toujours accompagner chaque verre d’un grand verre d’eau 💧
✅ Privilégier : champagne dosé brut nature, vin blanc sec, vin rouge léger
✅ Éviter : cocktails sucrés, alcool fort en digestif
✅ Limiter à 2 verres chez la femme, 3 chez l’homme, espacés.

👉 Bonus :
L’alcool consommé en mangeant provoque un pic d’alcoolémie moins brutal.

🍰 5. Desserts : comment se faire plaisir sans regret ?

Le dessert est un moment clé du repas. Hors de question de le supprimer : il suffit de mieux l’aborder.

⭐ Stratégies simples :
✅ Opter pour une bûche glacée aux fruits plutôt qu’une bûche au beurre
✅ Favoriser le partage : une demi-part suffit souvent
✅ Ajouter un fruit frais (clémentine, poire pochée) pour augmenter la satiété.

🧪 La science derrière la gourmandise
Le cerveau associe le sucré à la récompense via la dopamine.
→ C’est pourquoi supprimer totalement le dessert est souvent contre-productif : la frustration mène aux excès ultérieurs.

🧘 6. Digestion : comment éviter ballonnements et fatigue post-fêtes ?

⭐ Conseils simples :
👍 Manger lentement : la satiété apparaît après 20 minutes.
👍 Faire quelques pas après le repas (10 minutes suffisent).
👍 Éviter de se coucher dans les 2h suivant un dîner très riche.
👍 Infusions utiles : menthe poivrée, verveine, fenouil.

❗Erreur classique :
Prendre des digestifs alcoolisés → faux ami : cela alourdit la digestion.

🎁 7. L’essentiel : se faire plaisir en conscience

L’objectif n’est pas de vivre Noël comme un contrôle alimentaire.

L’objectif est :
✨ d’honorer le plaisir
✨ de préserver la convivialité
✨ de respecter son corps
✨ d’éviter les excès sans s’en priver
✨ de savourer chaque bouchée plutôt que de les enchaîner

En résumé : ce qui compte n’est pas ce que l’on mange à Noël, mais la façon dont on le mange.

Joyeuses fêtes gourmandes, lumineuses et sereines 🎄💫

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06/12/2025

🚨 ⚠️ Protoxyde d'Azote : le "Gaz Hilarant" qui ne fait plus rire...

Le protoxyde d’azote, plus connu sous le nom de “gaz hilarant”, ou “proto” dans le langage courant, s’est tristement imposé comme l’un des produits psychoactifs les plus consommés par les adolescents et jeunes adultes.

Ce gaz, pourtant utilisé depuis longtemps dans le domaine médical ou alimentaire, connaît depuis quelques années une explosion de son usage détourné, notamment dans le cadre festif.

Aujourd’hui, il constitue un enjeu majeur de santé publique, tant les risques immédiats et à long terme sont graves… et encore largement méconnus.

🔎 Qu’est-ce que le protoxyde d’azote ?

Le protoxyde d’azote (N₂O) est un gaz incolore, légèrement sucré, utilisé :
1️⃣ 👩‍⚕️ En médecine
Comme anesthésique ou analgésique, en mélange contrôlé avec de l’oxygène.
2️⃣ 🍰 En alimentation
Dans les siphons culinaires, pour “pousser” les mousses ou chantilly.
3️⃣ 🎈 Dans la rue…
Le gaz est détourné pour produire une brève euphorie.
La consommation se fait presque toujours via un ballon, dans lequel le gaz est relâché avant d’être inhalé.

📈 Une consommation en forte hausse chez les jeunes

Selon les dernières observations des centres d’addictologie, le protoxyde d’azote est devenu la 2e substance la plus consommée par les jeunes, après le cannabis.

L’usage est particulièrement fréquent chez les 15–24 ans.

La consommation est facilitée par :
✓ sa légalité partielle,
✓ son accès très simple (supermarchés, internet…),
✓ son prix très bas,
✓ la croyance erronée selon laquelle il serait “sans danger”.

➡️ En réalité, les risques sont majeurs, parfois irréversibles.

⚠️ Les effets recherchés… et la réalité physiologique

Les consommateurs recherchent :
👉 euphorie rapide 😄
👉 sensation d’ivresse légère
👉 distorsion des sons / perceptions
👉 “déconnexion”, fou rire

Mais derrière cette apparente innocuité, le protoxyde agit comme un véritable asphyxiant : en remplaçant l’oxygène dans les poumons, il provoque une hypoxie aiguë.

🚑 Les risques immédiats : souvent sous-estimés

Les complications peuvent survenir dès la première inhalation !!!

❌ 1️⃣ Manque d’oxygène (hypoxie)
→ malaise, perte de connaissance, convulsions, arrêt respiratoire.

❌ 2️⃣ Chutes, accidents, traumatismes
Le provoque vertiges, désorientation, pertes d’équilibre.

❌ 3️⃣ Brûlures graves
Le gaz sort à très basse température : risque de brûlures de la bouche, du nez, des doigts.

❌ 4️⃣ Risque de fausse route
La suppression du réflexe de toux expose à l’étouffement.

❌ 5️⃣ Troubles du comportement
Désinhibition → comportements dangereux (conduite, fenêtres, hauteurs…).

➡️ De nombreux accidents graves ont été recensés ces dernières années.

🧠 Les risques à long terme : un danger silencieux mais redoutable

La répétition des consommations entraîne des atteintes neurologiques pouvant être durables, parfois irréversibles.

🔥 Carence sévère en vitamine B12
Le protoxyde inhibe la vitamine B12, essentielle au fonctionnement des neurones.
Conséquences :
• fourmillements
• pertes de sensibilité
• fatigue intense
• anémie
• troubles de la marche

🔥 Atteinte de la moelle épinière ( )
Les fibres nerveuses perdent leur gaine de myéline →
➡️ difficulté à marcher, paralysies partielles, troubles moteurs.

🔥 Troubles psychiques
• anxiété
• irritabilité
• troubles de la mémoire
• dépression
• dépendance psychologique

🔥 Risques majorés en cas d’association avec alcool ou drogues → effet multiplicateur du manque d’oxygène.

🛑 Stop aux Idées reçues

❌ “C’est légal, donc c’est safe.”
➡️ Non : l’alcool aussi est légal… et pourtant dangereux.
La loi n’évalue pas les risques physiologiques.

❌ “C’est juste un ballon, rien de grave.”
➡️ Hypoxie, paralysies, brûlures : les hôpitaux voient une nette hausse des cas graves.

❌ “On peut arrêter quand on veut.”
➡️ Le côté euphorisant peut entraîner une consommation répétée, surtout en groupe.

⚖️ Ce que dit la loi :

🚫 Interdiction de vendre du protoxyde d’azote aux mineurs.
🚫 Interdiction d’en offrir en soirée ou lors d’évènements festifs.
🚫 Possibilité de verbalisation en cas d’usage dans l’espace public.
Mais la disponibilité reste élevée via internet ou certains commerces.

🧑‍⚕️ Quand consulter ?

Consulter en urgence en cas de :
‼️ perte de sensibilité des jambes
‼️ fourmillements persistants
‼️ difficulté à marcher
‼️ troubles de la vision
‼️ malaise ou perte de connaissance
‼️ douleur ou brûlure après inhalation

Une prise de sang (dosage B12) et une IRM médullaire permettent d’évaluer les dégâts.

🎯 Comment prévenir et protéger les jeunes ?

👨‍👩‍👧 Dialoguer sans dramatiser
Favoriser une conversation ouverte, sans jugement.

📚 Expliquer les risques réels
Les jeunes minimisent car les effets semblent "soft".

⚠️ Aborder les risques neurologiques
Ce sont ceux qui les surprennent le plus… et marquent davantage.

👥 Encourager l’entraide entre pairs
Un jeune averti peut protéger son groupe.

🧑‍⚕️ Rappeler que la est un espace d’écoute
Nos équipes accompagnent sans jugement, en toute confidentialité.

⭐ Le protoxyde d’azote n’est pas un gadget festif. C’est un gaz dangereux, aux effets immédiats et à long terme parfois dramatiques.

Mieux comprendre ses mécanismes, c’est mieux protéger nos jeunes.

+ d'infos : urlr.me/R67ZfV

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02/12/2025

🧂⚖️ Sel : trouver le bon équilibre pour mieux protéger sa santé

Le fait partie de notre quotidien : dans nos assiettes, dans les produits transformés ou dans le pain. Il sublime les saveurs, joue un rôle physiologique essentiel… mais devient un risque réel pour la santé lorsqu’il est consommé en excès.

Pourquoi est-il à la fois vital et problématique ? Comment trouver le bon équilibre ?👇

🧂 Le sel, un élément vital pour le corps humain

Le sel, ou chlorure de sodium (NaCl), n’est pas un simple exhausteur de goût... il participe à des fonctions physiologiques essentielles :

• ⚡ Équilibre hydrique et pression artérielle
Le sodium régule les échanges entre les milieux intracellulaires et extracellulaires.
Une variation trop importante entraîne une perturbation de la artérielle.

• 🧠 Transmission de l’influx nerveux
Les signaux nerveux reposent sur des échanges sodium/potassium.
Sans sodium, impossible de contracter un muscle, penser ou réagir.

• 💪 Fonction musculaire
Le sodium permet la contraction musculaire, y compris du muscle cardiaque.

• 🍽️ Absorption de certains nutriments
Il intervient notamment dans l’absorption intestinale du glucose et de certains acides aminés.

➡️ Oui, le sel est indispensable. Mais l’excès, invisible, est un vrai danger.

🚨 Pourquoi consommons-nous trop de sel ?

On consomme en moyenne 9 à 12 g/jour, alors que l’OMS recommande maximum 5 g/jour.

Les principales sources ne sont pas celles qu’on croit :

• 🥖 Le pain et les produits de boulangerie
→ 20 à 25 % des apports quotidiens.

• 🍽️ Les plats préparés / conserves / soupes industrielles
→ souvent très riches en sodium “caché”.

• 🧀 Fromages et charcuteries
→ très contributeurs, même à petites portions.

• 🍿 Snacks, biscuits salés, chips
→ salage direct + sodium ajouté via additifs.

• 🍔 Restauration rapide et plats traiteurs
→ sel utilisé pour relever les saveurs et améliorer la conservation.

❤️ Trop de sel : quels risques réels pour la santé ?

Les effets sont bien documentés par des décennies d’études épidémiologiques :

▶️ 1. artérielle (HTA)
Le lien est direct : plus l’apport en sodium est élevé, plus la pression artérielle augmente.

▶️ 2. Risque cardiovasculaire
• AVC
• Infarctus
• Insuffisance cardiaque

▶️ 3. Maladies rénales
Le rein filtre le sodium : surconsommation → surcharge → altération progressive.

▶️ 4. Ostéoporose
Le sodium favorise l’élimination du calcium dans les urines.

▶️ 5. Œdèmes & rétention d’eau
Excès de sodium → augmentation de la quantité de liquide extracellulaire.

▶️ 6. Risque accru de cancer de l’estomac
lié à l’inflammation chronique et à Helicobacter pylori.

🧩 Idées reçues et réalité scientifique

❌ “Le sel de mer / sel rose / sel bio est meilleur que le sel raffiné.”
➡️ Réalité : le corps ne distingue pas la provenance du sodium.
Oligo-éléments présents → quantités trop faibles pour un bénéfice réel.

❌ “Je ne sale jamais mes plats, donc je ne mange pas trop de sel.”
➡️ Réalité : 70 à 80 % du sel consommé est caché dans les aliments transformés.

❌ “J’ai une tension normale, je peux manger salé.”
➡️ Réalité : la surcharge en sodium crée aussi des risques rénaux, digestifs et osseux.

🧪 Le sel : une affaire de sensibilité individuelle

Certaines personnes sont plus “sensibles au sel” :
👉 personnes âgées
👉 personnes hypertendues
👉 personnes ayant une maladie rénale
👉 diabétiques

➡️ Chez elles, même une petite augmentation du sodium impacte la tension.

🍽️ Comment réduire sa consommation de sel SANS perdre le plaisir ?

L’objectif n’est pas de supprimer le sel mais de retrouver le juste équilibre :

🌿 1️⃣ Remplacer le sel par des alternatives naturelles
👉 herbes aromatiques (thym, basilic, persil)
👉 épices (curcuma, paprika, curry)
👉 aromates (ail, oignon, échalote)
👉 citron, vinaigre → rehaussent le goût sans sodium

🥕 2️⃣ Cuisiner davantage soi-même
On contrôle ce que l’on met dans l’assiette.

📦 3️⃣ Lire les étiquettes : un réflexe clé
Le sodium peut être indiqué sous forme de :
👉 “NaCl”
👉 “sodium”
👉 “sel”
👉 additifs (E…), levures chimiques…

🥖 4️⃣ Choisir un pain moins salé
Certaines boulangeries proposent des pains “réduits en sel”.

🧀 5️⃣ Limiter les aliments riches en sodium
👉 charcuteries
👉 fromages vieillis
👉 plats préparés
👉 conserves salées

🚰 6️⃣ Augmenter l’hydratation
L’eau aide à éliminer le sodium en excès.

⚙️ Combien de sel au quotidien ?
Recommandations officielles :
✅ 5 g/jour maximum (soit une cuillère à café rase).
✅ Chez l’enfant : moins de 3 g.
✅ Chez la personne hypertendue : moins de 4 g.

🧑‍⚕️ Les équipes de la peuvent accompagner les patients hypertendus et vous conseiller sur les bons réflexes du quotidien.

⭐ Le sel est indispensable, mais est consommé en excès par une grande partie de la population.

De simples ajustements permettent de réduire drastiquement les risques tout en gardant le plaisir de manger.

Votre santé se construit chaque jour, dans votre assiette…
Et nous sommes là pour vous accompagner. 💙

💡 + d'infos : urlr.me/hmkUJe

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