Psychologue clinicienne Psychothérapeute Olivia Revechon

Psychologue clinicienne Psychothérapeute Olivia Revechon INSCRITE AUPRES de l'ARS (Adeli)
Thérapie adulte/enfant
Passation test QI
Surdouance, échec scolaire
Souffrance psychique (dépression, burn out )

INSCRITE AUPRES de l'ARS (Adeli)
Thérapie adulte/enfant
Passation test QI
Surdouance, échec scolaire
Souffrance psychique (victime de manipulateur)

28/10/2025

Un peu d'humour, pour une fois...

26/10/2025
15/10/2025

Elle s'appelle Sara et elle a 9 ans.

9 ans. L'âge merveilleux où l'on croit encore que tout est possible.
L'âge, où normalement notre seule préoccupation est de sauter pieds joints sur une marelle dessinée à la craie.
Un âge qui court, qui rit, qui rêve et qui dessine des licornes multicolores ou des chevaux au galop sur des feuilles blanches.

L'âge des arcs-en-ciel dans le cœur, des gâteaux d'anniversaire partagés avec les copines, des "quand je serai grande"...

Mais Sara ne deviendra jamais grande.

Parce qu'elle n'avait pas la même taille de pantalon que toutes les autres, parce que son ventre n'était pas aussi plat, parce qu'elle n'avait pas les jambes aussi fines ou la taille marquée que les autres gamines de l'école.

Parce que Sara était plus lourde que les autres filles de sa classe, elle deviendra aussi légère qu'une bulle de savon qui s'élève vers le ciel.

Sara aurait pu s'appeler Aurélie. Ou Lola, Julie, Marie, Fatima, Antoine, Johan, Cindy...

Ça pourrait être votre fille, votre neveu, votre meilleure amie, votre sœur, votre mère...

Le poids des mots est plus destructeur qu'une gifle. Plus dévastateur qu'un tsunami, plus violent qu'un coup de poing en plein milieu du bide.

Parce qu'ils l'ont humiliée, insultée, moquée.

Parce que son corps a été la cible de toute une cour de récréation...

Parce qu'on lui a répété tous les jours qu'elle était grosse, Sara aura 9 ans pour toujours. ⭐️

💪🩵

15/10/2025

"Je n'en peux plus, mais tant que j'ai mal, alors Grégoire est avec moi. Je ne veux pas tourner la page".
Grégoire s'est suicidé à 22 ans. À la demande de sa mère, Bénédicte, la documentariste Sophie Simonot part sur ses traces. En sept épisodes, elle recueille les témoignages de ses proches pour comprendre qui il était, ce qui a conduit à sa mort, et comment survivre à une telle perte.
➡️ https://l.franceculture.fr/1LG

📞 31 14 numéro national de prévention du su***de, gratuit, confidentiel, 24h/24, pour offrir écoute et assistance.

05/10/2025
04/10/2025

L’affaire Miller crée une confusion lourde de conséquences : on parle d’un psychanalyste accusé d’abus, mais les faits supposés se seraient produits dans des séances d’hypnose, et non dans une cure psychanalytique.
En insistant sur son statut de psychanalyste, les médias entretiennent un amalgame entre deux pratiques qui n’ont rien à voir.

Freud a commencé par l’hypnose, mais il l’a abandonnée : trop de suggestion, trop de dépendance au praticien. C’est de ce dépassement qu’est née la psychanalyse, où la règle est simple : ce n’est pas le thérapeute qui parle, mais le patient.

Lacan a précisé cette différence dans plusieurs de ses séminaires :

1. Suggestion vs parole libre
• Hypnose : c’est le praticien qui induit, qui parle pour suggérer (« vos paupières s’alourdissent », « vous dormez », etc.).
• Psychanalyse : c’est le patient qui parle. L’analyste se retire de la position de maîtrise pour laisser surgir la parole.

2. Fascination imaginaire vs ouverture symbolique
• Hypnose : elle fonctionne souvent par le regard, la voix, la captation. Le patient est saisi dans une relation imaginaire de fascination.
• Psychanalyse : elle ouvre à un autre registre, celui du langage et du symbolique, où l’inconscient se déploie.

3. Transfert utilisé vs transfert interprété
• Hypnose : le transfert (la confiance, la dépendance envers le praticien) est utilisé comme levier. Le thérapeute s’en sert pour orienter, influencer, produire un effet.
• Psychanalyse : le transfert est analysé et traversé, jamais instrumentalisé. Il devient un moteur du travail, non un outil de manipulation.

4. Position de pouvoir vs responsabilité éthique
• Hypnose : le praticien est en position de pouvoir, puisqu’il induit, suggère, guide. Cela peut avoir un sens en médecine (douleur, anesthésie), mais c’est une asymétrie de pouvoir assumée.
• Psychanalyse : l’analyste a une position radicalement différente : il doit se garder de toute emprise. Comme le disait Lacan (Séminaire XI) :

« La psychanalyse s’est séparée de l’hypnose pour ne pas faire de l’analyste un maître, mais pour ouvrir la voie au sujet de l’inconscient. »

L’hypnose a sa place dans certains champs médicaux précis. Mais elle n’est pas la psychanalyse. Confondre les deux, c’est trahir l’histoire et l’éthique de la pratique analytique, qui s’est construite dès l’origine pour refuser l’abus de pouvoir et faire place à la parole du sujet.

LE GHOSTINGLe ghosting, souvent vécu dans les relations amoureuses, est une disparition soudaine et brutale du ou de la ...
02/10/2025

LE GHOSTING

Le ghosting, souvent vécu dans les relations amoureuses, est une disparition soudaine et brutale du ou de la partenaire.
Cette absence d'explications plonge les victimes dans des doutes existentiels et un profond mal-être.
Des solutions psychologiques permettent de retrouver confiance et équilibre émotionnel.

Le ghosting est le fait de disparaître du jour au lendemain. S'il existe aussi dans les sphères amicales et professionnelles, il sévit surtout dans les relations amoureuses. Un ghosting est brutal parce qu'inattendu. Avant que l'autre déserte, la connexion était fluide, la communication ouverte et puis, plus rien. Le ou la partenaire disparaît sans crier gare, rompt tout lien et ne donne aucune explication. Pour le médecin sexologue Gilbert Bou Jaoudé, interrogé par RTS, ce phénomène est devenu plus visible et plus banal, "c'est beaucoup plus présent et c'est presque un mode de vie chez certaines personnes".

Un abîme d'angoisse
Lorsque le ghosting intervient, il n'y a pas d'explication. Or, cette absence de fermeture et de clarté fait naître un tas de questions et le cerveau a horreur du vide, de l'imprécision. Sophie Cadalen : "On est dans un premier temps anéanti, on n'est plus rien, on est renvoyé à notre néant. S'il n'y a pas d'interlocuteur, il n'y a pas d'explication et ça n'est jamais agréable", souligne la psychanalyste, spécialiste du couple, Sophie Cadalen, à France Inter. Résultat : il va chercher à trouver une réponse, quitte à tourner en boucle. Malheureusement, "derrière ce pourquoi, on ne se pose pas des questions sur l'autre, mais des questions sur soi", déplore le sexologue. La personne ghostée se demande alors ce qui ne va pas chez elle pour repousser l'autre. Elle ne remet pas en question le comportement de l'ex-partenaire, éprouve de la honte, a l'impression de n'avoir aucune valeur et culpabilise. Le ghosting peut faire plonger "dans l’absurdité de notre existence, comme si la relation et l’autre n’avaient pas existé",
"Tout devient flou, on ne sait plus ce qui est réel et ce qui ne l’est pas". Cette situation peut mener la personne ghostée "dans un abîme d’angoisse".

Pour Gilbert Bou Jaoudé, les victimes de cette attitude peuvent être "détruites" et s'en vouloir de n'avoir rien "détecté du tout". "Sur le plan affectif, ce sont des personnes qui peuvent, pendant deux ou trois ans, se bloquer complètement. Ça peut aller jusqu'à ne plus faire confiance dans les amis proches, dans la famille, au boulot. Ça peut vraiment avoir de grosses conséquences". Le ghosting peut engendrer un sentiment d'isolement et de repli sur soi.

Sortir du cercle vicieux
Sortir de la spirale des ruminations, de l'impuissance et des remises en question n'est pas une mince affaire. Les psychologues soulignent qu'il est important de se rappeler que le ghosting en dit plus sur l'autre que sur soi. "Considérez le ghosting comme une opportunité de réévaluer vos valeurs personnelles, de vous rappeler votre estime de soi et d'être reconnaissant de ne pas perdre de temps ou d'investir émotionnellement dans quelqu'un avec qui cela n'aurait pas fonctionné de toute façon". Certaines actions sont également préconisées par les spécialistes de la santé mentale pour reprendre la main: Parler à des proches et ne pas hésiter à se faire accompagner par un professionnel, surtout quand tourner la page est trop difficile. Dans Santé Magazine, petit rappel : "Un suivi psychologique et un accompagnement thérapeutique pourront permettre d’accélérer ce processus de sortie de ce cercle vicieux pour la victime et surtout de retrouver une liberté d’action, et un équilibre émotionnel".

27/09/2025

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106 Rue De Malabry
Le Plessis-Robinson
92350

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+33631561795

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