Shaman’Art de Vivre

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01/12/2025
26/11/2025

L’épuisement émotionnel n’apparaît jamais d’un coup : il s’installe progressivement, souvent lorsque l’on a trop longtemps ignoré ses propres limites. C’est un état dans lequel les ressources internes , mentales, affectives, nerveuses ,sont épuisées. Et lorsque l’esprit n’arrive plus à gérer la charge émotionnelle, c’est le corps qui se met à parler.

✨Pourquoi le corps réagit ?

Les émotions ne sont pas abstraites : ce sont des réactions biochimiques qui mobilisent le système nerveux, les hormones, la respiration, le rythme cardiaque.
Quand une émotion est intense mais ponctuelle, le corps peut récupérer.
Quand elle devient répétée, non exprimée ou mal gérée, elle se transforme en tension chronique.

✨Alors :
• le stress non évacué contracte les muscles et crée douleurs cervicales, dorsales ou maxillaires ;
• la peur ou le contrôle permanent dérègle la respiration et provoque palpitations, oppression, fatigue ;
• l’anxiété perturbe le système digestif, créant maux de ventre ou troubles alimentaires ;
• les émotions étouffées deviennent migraines, tensions, lourdeurs.

Le corps n’est jamais “contre nous”. Il compense. Il protège. Et à force de compenser, il fatigue.

L’épuisement émotionnel : un signal, pas une faiblesse

Dans le développement personnel, on rappelle souvent que le corps parle quand nous n’écoutons plus notre esprit.
L’épuisement émotionnel est donc un message clair :

“Ce que tu demandes à ton être dépasse ce qu’il peut soutenir.”

✨Ce n’est pas un échec.
C’est une invitation à se recalibrer :
• redéfinir ses priorités,
• revoir son rapport aux autres,
• apprendre à dire non,
• remettre du repos là où l’on a mis trop d’exigence.

✨Les étapes pour comprendre et sortir de cet état
1. Reconnaître : accepter que l’on est épuisé, sans minimiser, sans culpabiliser.
2. Identifier : d’où vient la surcharge ? Trop de responsabilités ? Trop de contrôle ? Trop de pression intérieure ?
3. Relâcher : réduire, déléguer, demander de l’aide, créer de l’espace mental.
4. Écouter son corps : sommeil, respiration, tensions… Ce sont des indicateurs précieux.
5. Reconstruire : réapprendre le calme, la lenteur, la présence à soi.

✨Ce que cet état peut t’apprendre

L’épuisement émotionnel, aussi douloureux soit-il, a souvent une dimension initiatique dans un parcours de développement personnel.
Il révèle :
• ce que tu supportes trop,
• ce que tu n’exprimes pas,
• ce que tu refuses d’abandonner par peur de décevoir,
• et ce dont tu as réellement besoin pour te sentir bien.

Il t’apprend à mettre des limites, à respecter ton rythme, à choisir ce qui te nourrit plutôt que ce qui t’épuise.

Charlotte Cellier

20/11/2025

Il existe un véritable fléau dans le monde de la spiritualité et du développement personnel. C'est celui qui consiste à encourager les victimes à théoriser leurs traumatismes plutôt qu’à les ressentir.

C’est ainsi que des milliers de personnes s’entendent dire, après avoir vécu un traumatisme grave où quelqu’un a cherché à les détruire, que cette épreuve était là pour les faire grandir.

Or, lorsque quelqu’un a cherché volontairement à nous détruire, s’entendre dire « c’est une “leçon”, ou « c’est une opportunité de croissance”, ou « c’est un cadeau déguisé”, est une nouvelle violence.

C’est un discours qui, trop souvent, sert à minimiser l’abus et à éviter de regarder la réalité en face.

Et cette réaction n’est ni saine, ni juste. Lorsque quelqu’un sort d’un tel cauchemar, la première chose à faire est de l’écouter et de reconnaître sa souffrance.

À ce moment-là, il n’est absolument pas opportun de lui faire remarquer que tout ceci est là pour la faire grandir. La seule chose à dire est : « Oui, cette personne a cherché à te détruire, elle t’a fait souffrir et elle n’en avait absolument pas le droit ».

Rappelons ici qu’il existe véritablement des individus qui jouissent de détruire volontairement et consciemment l’autre. Bien souvent, ce qu’ils cherchent à détruire, c’est l’innocence et la pureté qui résident en l’autre, et qu’ils n’auront jamais.

Face à de tels abus, encourager la victime à reconnaître sa colère est salutaire. La colère est une façon de reprendre notre pouvoir et de protéger le sensible et le vulnérable qui vit en nous.

On ne guérit pas en sautant directement à la sagesse, la gratitude ou la spiritualité lumineuse. On guérit en passant par la colère, et en reconnaissant que ce que nous avons vécu était profondément injuste.

Grâce à la colère, nous pouvons même poser les actions nécessaires. Une colère forte peut entraîner des actions vitales pour nous.

On ne tire pas de leçons pendant qu’on saigne et spiritualiser immédiatement un traumatisme est un déni de la réalité.

Dans un véritable chemin de guérison, on ne cache pas ses émotions sous un tapis. On les écoute, on en prend acte, on se positionne, on s’affirme.

La paix viendra plus t**d car elle n’est pas un bouton que l’on peut enclencher immédiatement, contrairement à ce que certains voudraient nous faire croire ; Elle est un processus.

Diana Becker

16/11/2025

« Celles qu’on appelle exigeantes… sont en réalité les femmes qui se sont réveillées. »

Parole oraculaire pour les femmes qui refusent de s’éteindre pour être aimées.

On dit que les femmes qui ne se bradent plus,
celles qui tiennent leur axe comme on tiendrait un sceptre oublié,
sont “trop exigeantes”.
On dit qu’elles finiront seules,
comme si la solitude était une malédiction
et non le sanctuaire où elles ont appris à renaître.

Mais ce que le monde appelle “exigence”,
toi tu sais que c’est un autre mot pour désigner
la mémoire ancestrale du respect.

Car il n’y a rien d’exigeant à demander
qu’on te parle avec le cœur,
qu’on te regarde avec présence,
qu’on te traite sans incohérences,
qu’on te rencontre sans te consommer.

Il n’y a rien d’exigeant à refuser les amours bâclées, les loyautés bancales,
les demi-promesses qui ne tiennent pas jusqu’au matin.

Les seules personnes qui trouvent cela “trop”…
sont celles qui n’ont jamais appris à se tenir au même niveau que toi.

Ce monde s’irrite des femmes exigeantes parce que les femmes ramollies lui étaient plus utiles.

Il préfère celles qui disent oui en tremblant,
celles qui s’excusent d’exister,
celles qui acceptent les miettes avec courage,
celles qu’on félicite pour leur gentillesse
alors qu’elles meurent silencieusement à l’intérieur.

Mais toi ?
Tu es sortie du sortilège.

Tu as appris que :
– pardonner n’est pas se sacrifier,
– comprendre n’est pas tout supporter,
– aimer n’est pas s’oublier,
– espérer n’est pas se trahir,
– rester n’est pas être loyale
quand la relation est un autel où l’on brûle ton âme.

Tu es devenue cette femme qui ne se négocie plus.
Et cela les dérange.
Parce que ta clarté oblige à la vérité.
Parce que ta cohérence met à nu leurs incohérences.
Parce que ta présence est un miroir que certains ne veulent pas regarder.

Être “exigeante” n’est pas une posture.

C’est une conséquence.

La conséquence d’avoir trop aimé.
D’avoir trop donné.
D’avoir cru trop longtemps que tu serais “assez”
si tu étais douce comme l’eau, patiente comme la Terre, tolérante comme le ciel.

La conséquence d’avoir été trahie,
d’avoir été rejetée,
humiliée,
invisibilisée,
d’avoir été brutalisée par des mots,
par des silences,
par des promesses qui se dissolvaient au soleil.

La conséquence d’avoir ressenti ta colère monter comme une vague rouge,
ton impulsivité claquer comme la vérité brute,
ton cœur dire STOP avec la force d’une porte qui refuse de se rouvrir.

Alors tu as changé la donne.
Tu as cessé de “comprendre” ce qui ne te respectait pas.
Tu as cessé de “sauver” ce qui ne se guérissait pas.
Tu as cessé de prétendre que tout allait bien
pour ne pas déranger.

Tu as quitté la version de toi
qui demandait en chuchotant.
Tu as laissé mourir la femme qui se contentait du minimum.
Et tu as laissé naître celle qui exige la hauteur
parce qu’elle incarne déjà cette hauteur.

Être exigeante, c’est reconnaître la dimension sacrée de ta vie.

C’est savoir que ton amour n’est pas un divertissement.
Que ton temps n’est pas un jouet.
Que ta tendresse n’est pas un passe-droit.
Que ton corps n’est pas un refuge pour les âmes perdues.
Que ton énergie n’est pas un buffet en libre-service.

C’est savoir que tu n’es pas née pour tolérer
les relations sans profondeur,
les partenaires sans courage,
les promesses sans racines.

Ce n’est pas demander trop.
C’est demander juste.

C’est refuser ce qui abîme.
C’est dire NON comme on scelle une porte.
C’est dire OUI comme on ouvre un royaume.
C’est choisir des présences qui savent aimer
sans détruire, sans fuir, sans rabaisser,
sans se cacher derrière leurs blessures pour t’écraser.

Et qu’on en finisse avec cette menace ridicule :

« Tu vas finir seule. »

Seule où ?
Dans une maison qui respire ton calme ?
Avec des plantes qui poussent à ton rythme ?
Avec des livres qui nourrissent ton âme ?
Avec du vin qui ne t’insulte pas ?
Avec des silences qui te respectent ?
Avec des rires qui viennent pour vrai ?
Avec des nuits sans manipulation ?

Cette solitude-là n’est pas une tragédie.
C’est un luxe.
Un privilège.
Un royaume.

La vraie tragédie, c’est de finir entourée
et pourtant jamais vraiment choisie.
C’est de partager sa vie avec quelqu’un
qui ne te voit pas.
C’est de t’éteindre pour garder quelqu’un
qui n’a jamais su t’aimer juste.

Tu ne veux pas “quelqu’un”.
Tu veux quelqu’un capable.
Capable de hauteur.
Capable de vérité.
Capable de constance.
Capable de ne pas s’effondrer
devant la puissance tranquille que tu es devenue.

-Alors oui.

Si être exigeante veut dire se choisir,
reste exigeante.

Sois exigeante comme une porte sacrée.
Comme une prêtresse qui ne laisse entrer que ceux qui savent honorer le temple.

Sois exigeante comme une femme qui n’a plus peur d’être seule parce qu’elle n’est plus jamais en manque d’elle-même.

Sois exigeante comme une prophétie vivante.
Comme une force qui rappelle au monde
que la valeur ne se marchande pas.

Et toi — quand t’a-t-on dit que tu étais “trop exigeante” pour la première fois ?
Et quel morceau de toi se réveillait ce jour-là ?

Corinne De Leenheer

28/08/2025

Adresse

Lisieux
27300

Téléphone

+33604182398

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