Valérie ÈCRE Réflexo

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04/12/2025

✨Les addictions et ce qu’elles nous révèlent✨

Les addictions sont des chemins détournés vers nous-mêmes.
Elles parlent notre langage intérieur lorsque nous n’arrivons plus à nous entendre.

✔️Addictions aux substances

✨• Alcool
Elle vient nous dire que nous cherchons à anesthésier une douleur ou une pression trop grande.
Elle murmure qu’il y a une tristesse ou une fatigue que nous n’arrivons plus à porter seul.

✨• Drogues (douces, dures, psychédéliques)
Elles disent que la réalité est devenue trop étroite, trop lourde ou trop vide.
Qu’une part de nous cherche l’extase, l’évasion, une autre dimension pour respirer.

✨• Médicaments / anxiolytiques / somnifères
Elles parlent d’un besoin urgent d’apaisement.
D’un système nerveux épuisé qui réclame de la douceur, du repos, de la sécurité.

✨• Tabac
Il dit souvent : “Je n’arrive pas à ralentir.”
Il est une respiration artificielle lorsqu’on ne trouve plus la vraie.

✔️Addictions comportementales

✨• Nourriture (compulsion, sucre, excès, restriction)
Elle montre un trou affectif ou émotionnel.
L’aliment devient un pansement, un doudou, un refuge.
Elle dit qu’on cherche à se remplir de l’extérieur faute de se sentir nourri à l’intérieur.

✨• Sport à outrance
Elle révèle une quête de contrôle, de performance, ou l’envie de fuir l’immobilité où les émotions nous rattrapent.
Elle dit : “Si je m’arrête, quelque chose fera surface.”

✨• Travail (workaholisme)
Elle dit que nous avons peur de ne pas être assez.
Qu’on se définit par ce qu’on fait, pas par ce qu’on est.
Qu’on cherche la reconnaissance que l’on n’a jamais vraiment reçue.

✨• Sexualité / pornographie
Elles parlent d’un besoin profond de connexion, de contact, d’intensité, mais aussi parfois d’une difficulté à gérer l’intimité authentique.
Elles disent qu’on tente de combler une solitude ou une blessure d’abandon.

✨• Amour et relations (dépendance affective)
Elle dit qu’on a peur de ne pas mériter l’amour sans se sacrifier.
Qu’on a vécu le manque, l’instabilité, l’insécurité émotionnelle.
Qu’on cherche dans l’autre une maison qu’on n’a jamais eue.

✨• Téléphone / réseaux sociaux
Elles montrent une peur du vide, de la solitude, du silence intérieur.
Une addiction à la stimulation, à la validation, à l’illusion de connexion.

✨• Jeux d’argent / jeux vidéo
Elles disent que la vie réelle manque de sens, de contrôle ou de gratification.
Le jeu remplace l’incertitude de la vie par une excitation immédiate.

✨• Shopping / consommation
Elle parle d’une quête de valeur personnelle à travers l’objet.
Le “je possède donc j’existe”.
Elle dit qu’on cherche à combler un manque d’estime ou d’identité.

✨• Perfectionnisme
C’est une addiction cachée.
Elle dit : “J’ai peur du jugement”, “J’ai peur de décevoir”.
Un mécanisme de survie face à l’imperfection humaine.

✨• Contrôle
Elle révèle la peur du chaos, de l’imprévu, de l’abandon.
Elle dit qu’on n’a pas appris à faire confiance à la vie.

✔️Ce que toutes les addictions disent au fond

➡️Si elles devaient parler d’une seule voix, elles diraient :

“Regarde-moi. Je suis le signe que quelque chose en toi souffre encore.”
“Je ne suis pas ton ennemi. Je suis ton appel à l’aide.”
“Derrière moi se cache une émotion, un manque, une peur, un traumatisme.”

➡️Une addiction n’est jamais “le problème”.
Elle est le symptôme, la conséquence, la tentative.

✔️Elles nous montrent :
• là où nous avons été blessés,
• là où nous avons manqué d’amour,
• là où nous nous abandonnons encore,
• là où un soin, une écoute, une reconnexion est nécessaire.

Charlotte Cellier

04/10/2025

J'étais dans ma voiture, arrêté au feu rouge, quand ça m'a submergé. Une vague de tristesse, venue de nulle part. Pas de raison apparente. Juste cette boule dans la gorge et les yeux qui piquent.

Mon premier réflexe ? "Ressaisis-toi, t'es ridicule." Mon deuxième ? Chercher une explication rationnelle. Mon troisième ? Allumer la radio pour noyer tout ça.

C'est ça qu'on nous a appris, non ? Les émotions, c'est suspect.

La colère ? "Calme-toi." La tristesse ? "Sois fort." La peur ? "N'aie pas peur." Même la joie, parfois : "Ne t'emballe pas trop." Comme si ressentir était une faiblesse. Comme si être humain était un défaut à corriger.

Pendant des années, j'ai été un champion du contrôle émotionnel. Je pouvais sourire en réunion alors que la rage bouillonnait. Je pouvais dire "ça va" alors que tout s'écroulait. J'étais devenu expert dans l'art de mettre mes émotions dans des boîtes, de les étiqueter "appropriées" ou "inappropriées", de les ranger au fond pour ne plus les voir.

Sauf que les émotions, c'est comme l'eau. Tu peux construire des barrages, mais la pression monte. Et un jour, ça cède.

Pour moi, ça a été un matin banal, devant mon café. Ma fille m'a dit "Papa, tu souris jamais vraiment." Boom. Le barrage a explosé. Des mois, des années d'émotions refoulées qui remontaient d'un coup.

C'est là que j'ai compris : on ne peut pas sélectionner. Quand tu t'anesthésies à la tristesse, tu t'anesthésies aussi à la joie. Quand tu refuses la colère, tu refuses aussi la passion. Quand tu fuis la peur, tu fuis aussi l'excitation. On devient des zombies émotionnels, ni vraiment malheureux, ni vraiment heureux. Juste... éteints.

La révélation est venue d'une échange avec une vielle chamane mexicaine qui m'a dit : "Les émotions sont comme des enfants. Plus tu les ignores, plus ils crient fort. Mais si tu t'assieds avec eux, si tu les écoutes vraiment, ils te disent ce dont ils ont besoin et se calment."

J'ai commencé petit. Quand une émotion montait, au lieu de la fuir ou de la juger, je me posais. "OK, qu'est-ce qui est là ?" Pas pour analyser. Pas pour comprendre. Juste pour reconnaître. "Ah, de la colère. Bonjour colère. Où es-tu dans mon corps ? Dans mes mâchoires ? Mon ventre ?"

Au début, c'était inconfortable. Très. Mon mental hurlait : "Qu'est-ce que tu fous ? Reprends-toi !" Mais petit à petit, quelque chose s'est adouci. Les émotions, quand on les accueille, ne restent pas. Elles passent. Comme des vagues. Elles montent, culminent, redescendent. Mais seulement si on les laisse faire leur travail.

J'ai découvert que chaque émotion est une messagère :
* La colère dit : "Une limite a été franchie"
* La tristesse dit : "Quelque chose d'important a été perdu"
* La peur dit : "Attention, prépare-toi"
* La joie dit : "C'est aligné avec qui tu es"

Quand on écoute le message au lieu de tirer sur le messager, tout change.

La pleine conscience m'a appris une pratique simple qu'on appelle RAIN :
* Reconnaître : "Qu'est-ce qui est là ?"
* Autoriser : "C'est OK que ce soit là"
* Investiguer : "Où est-ce dans mon corps ?"
* Non-identification : "Je ne suis pas cette émotion"

Pas besoin d'une heure. Parfois, 30 secondes suffisent. Tu sens la moutarde monter ? RAIN. La gorge qui se serre ? RAIN. Cette joie qui pétille ? RAIN aussi. Parce qu'accueillir, ce n'est pas que pour les émotions "désagréables". C'est pour tout le spectre de l'expérience humaine.

Ce qui m'a le plus surpris, c'est l'effet sur les autres. Quand tu arrêtes de juger tes propres émotions, tu arrêtes de juger celles des autres. Ta femme pleure ? Tu n'essayes plus de "réparer". Tu es juste là. Ton collègue est en colère ? Tu n'essayes plus de le calmer. Tu écoutes ce que sa colère essaye de dire.

L'accueil des émotions, ce n'est pas devenir une éponge émotionnelle. C'est devenir un océan. Les vagues passent, mais l'océan reste.

Un participant m'a dit un jour : "Depuis que j'accueille mes émotions, je me sens paradoxalement plus stable. Comme si en acceptant le mouvement, j'avais trouvé mon centre." C'est exactement ça. La stabilité ne vient pas du contrôle. Elle vient de la capacité à danser avec ce qui est.

Cette capacité d'accueil, elle se cultive. Elle s'apprend. Elle se pratique dans des espaces sécurisés, avec d'autres qui explorent le même chemin. Il existe des lieux où l'on peut déposer les masques, où les émotions sont bienvenues, où l'on apprend ensemble à naviguer les vagues intérieures sans se noyer.

Bien sûr, ce n'est pas toujours facile. Certaines émotions sont plus coriaces. Certains patterns plus ancrés. C'est un chemin, pas une destination. Mais chaque fois que tu choisis d'accueillir plutôt que de fuir, de ressentir plutôt que de contrôler, tu reprends un peu de ton humanité.

Et toi, là, maintenant... qu'est-ce qui est vivant en toi ? Peux-tu juste le reconnaître, sans jugement, comme on reconnaîtrait un vieil ami à la porte ?

C'est le début de la réconciliation. Avec tes émotions. Avec toi-même. Avec la magnifique complexité d'être humain. Parce que tes émotions ne sont pas tes ennemies. Elles sont la preuve que tu es vivant.

Et peut-être qu'un jour, dans un cadre bienveillant, tu pourras explorer cette voie plus profondément, apprendre à naviguer tes émotions avec grâce, et même accompagner d'autres dans cette traversée.

Texte transféré de Jean Marc Terrel

09/01/2025
06/11/2024

🌿✨ Découvrez la réflexologie plantaire au Salon du Bien-être de Sérent ! ✨🌿

Le 10 novembre 2024, venez explorer la méthode Ingham, la version moderne de la réflexologie plantaire, développée dans les années 1930 aux États-Unis. Cette technique repose sur un principe fascinant : chaque partie du corps humain est représentée sur les pieds ! 🦶✨

En appliquant des pressions modérées sur ces zones réflexes, on active le flux d’énergie vitale, favorisant une relaxation profonde et relançant les processus d’auto-guérison naturels du corps. 🌌💆‍♀️

📅 Rendez-vous le 10 novembre à la salle des fêtes de Sérent pour découvrir cette méthode unique et ressentir ses bienfaits. Venez nombreux et nombreuses pour en apprendre plus sur la réflexologie plantaire !

Et pour prendre rendez-vous : 06 74 75 44 03

Au plaisir de vous rencontrer           📅 le Dimanche 10 Novembre            📍 au Salon du bien être à Sérent ou j’aurai...
03/11/2024

Au plaisir de vous rencontrer

📅 le Dimanche 10 Novembre

📍 au Salon du bien être à Sérent

ou j’aurais l’occasion de vous présenter mon activité de réflexologie plantaire que je pratique à mon cabinet à domicile à Lizio 👣

28/04/2024

Nouveau chantier pour notre équipe avec cette enseigne atypique et moderne fabriquée et posée pour Valérie ÈCRE Réflexo. Découpe laser d'une plaque d'aluminium laquée sur fond de châtaignier.
Un projet (petit ou grand) ? Une envie ? Pensez Fer'U d'Art 😉

Adresse

121, La Ville Stéphant
Lizio
56460

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