28/10/2025
Il y a des rencontres qui ne se mesurent pas en temps. Avec Guen Kelsang Dragpa, chaque coin de parole, chaque méditation, chaque regard a été un tremblement de terre intérieur. Il n’a rien demandé, mais il a tout donné. Il ne sait pas jusqu’où j’ai grimpé grâce à lui. Parfois, un seul moment en sa présence suffisait à faire sauter un verrou.
1. Le bonheur ne vient jamais de l’extérieur. Jamais.
Dragpa m’a dit un jour, pour me mettre face à mon mal-être intérieur:
« Si tu continues à chercher dehors ce que tu refuses de cultiver dedans, tu connaîtras toujours la faim. »
Ce n’est pas une jolie idée. C’est une loi intérieure.
Les enseignements du Lamrim expliquent que tant que notre esprit est perturbé par l’attachement, la colère ou l’ignorance, aucune condition extérieure ne peut créer un bonheur stable.
2. L’attachement n’est pas de l’amour.
Durant cette période ou j’allais à ces cours je venais de me séparer il a encré en moi le concept de dépendant affectif, il m’a dit:
« L’amour pur rend libre. L’attachement emprisonne. Lequel choisis-tu ? »
Ça m’a frappé comme un koan. Et le texte de Guéshé Kelsang Gyatso me l’a confirmé mille fois :
“L’attachement projette des qualités sur l’autre et les saisit comme s’il les possédait réellement. Puis, il souffre de ne pas les posséder.”
🪷 Compréhension : L’amour Kadampa est altruiste. Il cherche le bonheur de l’autre, sans posséder, sans attendre.
3. Les problèmes ne viennent jamais des situations. Ils viennent de l’esprit.
« Ce ne sont pas les circonstances qui créent ta souffrance. C’est la façon dont ton esprit y réagit. »
C’est l’un des piliers du bouddhisme Kadampa. Tout est apparence à l’esprit.
Et cet esprit, on peut l’entraîner, l’ouvrir, le purifier.
🪷 Compréhension : “Si nous répondons aux difficultés avec un esprit positif, elles ne sont plus des problèmes, mais des occasions de croissance.”
SUITE EN COMMENTAIRE CAR J’AI TROP DE CHOSE À DIRE.
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