15/11/2025
Et si c’était ça, vraiment, être riche ?
Pas des chiffres sur un compte en banque
pas une course de plus de sa to-do,
pas un agenda si serré que plus un rayon de soleil ne passe.
Mais…plutôt…
Avoir auto-construit sa yourte 🛖 il y a 4 ans maintenant et vivre chaque jour en Dordogne, au cœur des forêts. Loin de la consommation, loin du bruit effréné de la ville.
La vie, la nature, le calme, mon potager à portée de main.
Mais aussi, Semer, Planter et enrichir de centaines de variété de légumes et fruits cette prairie où nous avons posé la yourte.
Observer mon potager grandir chaque jour et comprendre un peu mieux mes rythmes au fil des saisons. Savoir que chaque légume cueilli porte un morceau l’énergie d’une graine plante il y a quelques mois.
Marcher chaque jour avec mon chien,
dans le silence des forêts
et n’avoir rien d’autre à faire que respirer, écouter, regarder.
Être présente.
Cuisiner des repas qui nourrissent vraiment,
Avoir écouté mon cœur et choisi la naturopathie comme métier d’amour. Accompagner des personnes avec ma méthode,
à mon rythme, avec une grande qualité et du sur-mesure, en mettant ton cœur dans chaque étape,
pas dans la performance.
M’accorder du repos sans culpabiliser (ça parfois… j’avoue j’y travaille encore 🥲 c’est pas toujours fluide)
Mais je sais ma vie n’a plus besoin d’être en survie.
Parce que j’ai appris que ralentir n’est pas perdre,
mais s’enrichir autrement et retrouver toute mon âme, mon énergie, ma pleine présence et de l’espace créatif.
Et si c’était ça, vraiment,
être riche : une vie qui te ressemble. Avec tout ce qui te fais rêver. Avec plus de calme, de prendre soin de toi, d’arrêter la performance et de vouloir toujours prouver, montrer qu’on « fait nos heures » « qu’on a encore travailler jusqu’à… » et en oublier nos besoins profonds.
Pas une vie où l’on possède beaucoup,
mais une vie où l’on se connait soi-même, où l’on VIT vraiment.
On se retrouver mardi pour un épisode de podcast sur mon histoire 🫶🤍 et mes choix de vie 🥹 Un épisode profond et où j’ai fais preuve d’une vulnérabilité immense !
Avec amour,
Margaux