10/11/2025
Quand ça bloque et que ça te met en souffrance, c'est l'indication d'une âme qui est déjà en transformation et qui cherche un nouveau sens, mais rencontre des résistances.
Alors, si tu sens que quelque chose en toi appelle à changement que tu n'arrives pas à opérer et que tu restes encore coincé dans le flou, lis ceci attentivement.
Parce que ce que tu vis en ce moment n’est pas un hasard :
ce n’est pas un blocage, c’est un appel à une transition, à passer à une nouvelle V.O.I.E de réalisation.
Depuis quelques mois, je vois la même dynamique partout que ce soit en consultations, en conférences, dans les échanges personnels…
Beaucoup vivent une période étrange, comme une zone grise.
Pas totalement perdus, ni totalement alignés non plus.
Juste… entre deux mondes.
Ce que j’observe, c’est :
Professionnellement tu sens que ton activité stagne.
Moins de clients, moins de résultats, moins d’élan et plus d'éfforts et de doutes.
Tu te demandes si tu es toujours sur la bonne voie, si tu dois persévérer ou pivoter.
Ou alors tu sais exactement ce que tu veux, mais le syndrome de l’imposteur te souffle que ce n’est “pas le moment”, “pas assez sûr”, “pas assez fort”.
Amoureusement tu es invité(e) à arrêter de te diminuer, de t’adapter à l'insatisfaction, d’oublier ce qui est important pour toi.
À retrouver ta souveraineté et choisir des liens qui t’élèvent.
Mais pour ça, il faut du courage, de la clarté, de la foi.
Et ça demande d’arrêter de tricher avec toi-même.
Et soyons honnêtes :
Quand tu essaies de régler tout ça… seul(e)… tu tournes en rond.
Parce qu’on finit toujours avec le nez collé sur notre propre problématique.
On analyse trop pour se rassurer avant d’oser avancer.
On cherche “la bonne décision”, “le bon moment”, “le bon choix” et ça se révèle, ça se reçoit, ça ne se force pas.
Mais plus le mental s’active, plus tu t’éloignes de ta vérité.
La clarté ne vient pas d'une tête obstuée avec un mental farcie de contradictions.
Elle vient du corps, du souffle.
De l’espace intérieur qui sait avant toi.
Et tant que tu restes dans l’analyse, rien ne bouge.
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