Cabinet Pegase Nadou

Cabinet Pegase Nadou J'aime écouter, non pas les mots. J'aime écouter les regards, les gestes. J'aime écouter l'âme des gens.
(1)

08/12/2025

Bonjour la vie ☀️🙏🏻

08/12/2025

Je ne suis pas incarnée pour marcher dans les lignes tracées par d’autres.
Je suis venue pour déchirer le voile, ouvrir les passages secrets, et vivre comme une offrande brûlante au Vivant.
Je suis venue pour être une femme-poème — pas une femme-prudence.
On m’a dit : “Reste tranquille, tiens-toi droite, ne déborde pas.”
Mais mon âme n’a jamais compris la langue de la retenue.
Elle parle en éclairs, en intuitions qui cognent, en élans qui déchirent la poitrine.
Elle murmure des vérités qui dérangent.
Elle hurle parfois — dans le silence seulement audible par celles qui osent encore écouter.
J’ai été façonnée par les nuits où la lune semblait vouloir entrer dans mes os,
où ma peau vibrait comme une oracle et où chaque frisson racontait un secret ancien.
J’ai été sculptée par les tempêtes qui m’ont arrachée de moi-même pour me rendre à plus vaste encore.
Et par les hommes qui pensaient me posséder — sans comprendre qu’on ne retient pas une femme née d’un tremblement de terre.
Je ne suis pas venue ici pour être sage.
Je suis venue pour être vraie.
Pour être entière.
Pour être dangereusement vivante.
Je suis venue pour vivre comme un poème charnel, un poème qu’on ne lit pas avec les yeux mais avec les mains, avec le ventre, le souffle et avec la partie de soi qui brûle encore sous les cendres.
Je suis venue pour incarner une sensualité qui n’a rien à voir avec la séduction,
mais tout à voir avec la Présence —
celle qui fait frémir l’air autour de moi,
qui fait trembler les murs intérieurs,
qui appelle, qui réveille, qui dérange ceux qui vivent endormis dans leurs propres cages.
Je suis venue pour écrire ma vie avec mon souffle, avec mes fulgurances, avec mes visions, avec mes ombres apprivoisées,
avec mes miracles arrachés aux silences du monde.
Et pour chaque blessure qui a tenté de me réduire, j’ai ouvert un nouveau passage.
Pour chaque chute, j’ai trouvé une langue plus vaste pour me relever.
Pour chaque trahison, j’ai découvert une couche plus profonde de mon propre pouvoir.
Je suis venue pour aimer comme une prophétie en marche, pour brûler les illusions des demi-vies, pour attirer à moi ceux qui reconnaissent la lumière même lorsqu’elle fait mal aux yeux.
Je ne suis pas venue ici pour être aimée par tous.
Je suis venue pour être reconnue par les âmes capables de supporter l’intensité d’un cœur qui ne s’excuse plus d’exister.
Par ceux qui savent que certaines femmes ne sont pas faites pour la discrétion, mais pour l’embrasement.
Et si cela te parle, lis bien :
Tu n’es pas venue ici pour te réduire afin que le monde respire plus facilement autour de toi.
Tu n’es pas venue pour t’éteindre doucement en espérant passer inaperçue.
Tu es venue pour vivre comme une incantation incarnée, pour danser avec tes ombres,
pour briller sans demander pardon,
pour faire vibrer les murs du réel avec ta simple présence.
Tu es venue pour être plus que la somme de tes peurs.
Tu es venue pour être un passage, une constellation en mouvement, une femme qui ne joue pas — une femme qui devient.
Alors laisse les prudentes te regarder de loin.
Laisse les endormis chuchoter dans leurs coins.
Toi, avance.
Vivante.
Lumineuse.
Sensuelle.
Mystique.
Imprenable.
Tu n’es pas venue pour jouer la sécurité.
Tu es venue pour vivre comme un poème sacré qui ne connaît aucune frontière.
Et le monde, tôt ou t**d, s’inclinera.

Corinne De Leenheer

07/12/2025

L’EFFONDREMENT DE L'IDENTITÉ — LE POINT ZÉRO OÙ TOUT COMMENCE

Il existe un moment dans le parcours spirituel dont on parle très peu, un moment brutal, déroutant, silencieux, un moment où tout ce que vous pensiez être s’effondre d’un coup, comme si l’univers retirait un à un les piliers qui vous soutenaient depuis toujours, un moment où l’ancien “moi”, même le “moi spirituel”, ne tient plus debout, ne sert plus à rien, ne répond plus à vos questions, un moment si étrange que même les outils qui vous avaient toujours aidé — la méditation, la respiration, les affirmations, les rituels, les lectures, les techniques — cessent soudain de fonctionner, comme si l’univers vous laissait sans béquilles, sans réponses, sans repères, vous plongeant dans un espace nu, vide, inconfortable, terrifiant parfois, silencieusement violent, un espace que l’on pourrait appeler le point zéro, cet endroit intérieur où plus rien ne rassure, où plus rien n’apaise, où plus rien ne “marche”.

Et dans ce moment déroutant, vous vous surprenez à demander : “Qu’est-ce qui m’arrive ? Pourquoi rien ne fonctionne ? Pourquoi je n’arrive plus à me raccrocher à ce qui me tenait avant ?” Ce moment n’est pas un échec. Ce moment est l’effondrement du moi spirituel. Pas le vrai vous — mais le personnage, l’image, la version de vous qui essayait toujours de faire mieux, de comprendre plus, de contrôler son parcours, de forcer la croissance, de performer la spiritualité, de rester cohérent face à un chemin qui ne l’est jamais vraiment.

L’univers, doucement mais fermement, retire alors tout ce qui était construit sur l’égo spirituel, non pour vous punir, mais pour vous ramener à la vérité la plus simple : vous ne pouvez pas contrôler votre transformation, et tant que vous essayez, vous restez enfermé(e) dans une identité spirituelle qui n’est pas encore la vraie. C’est alors que l’âme murmure : “Lâche. Arrête. Dépose. Abandonne-toi.” Non pas dans le sens d’abandonner la vie, mais dans le sens de vous abandonner vous-même, de déposer le mental, déposer l’identité, déposer les attentes, déposer les masques, déposer même la volonté d’être spirituel, car la transformation réelle ne commence pas quand vous “faites plus”, mais quand vous arrêtez de forcer, quand vous vous autorisez enfin à ne plus avoir de contrôle, de réponse, de structure.

Le point zéro est ce moment où vous vous sentez vide, sans direction, sans repères, sans énergie, et pourtant c’est le moment le plus sacré de tout le chemin, car c’est là que l’ancien “toi” s’efface, que les illusions se dissolvent, que les identités superficielles tombent, que l’espace se nettoie pour accueillir une version plus profonde, plus authentique, plus libre de vous-même. C’est un effondrement, oui, mais c’est surtout une naissance. Quand tout s’écroule, quand plus rien ne répond, quand vous ne savez plus qui vous êtes, alors le vrai peut enfin apparaître.

Ce moment est un passage, un recalibrage, un redémarrage énergétique, un nettoyage radical des anciennes croyances, un effacement des versions de vous qui n’étaient pas réelles. Et dans ce vide, dans cet inconfort, dans ce silence, quelque chose commence doucement à se reconstruire : quelque chose de simple, quelque chose de vrai, quelque chose qui ne dépend plus des techniques, ni des rituels, ni des affirmations, ni d’un personnage spirituel, mais quelque chose qui vient directement de l’intérieur, quelque chose qui ne ment pas : vous — le vrai vous, celui qui n’a pas besoin d’être parfait, celui qui n’a pas besoin de prouver sa lumière, celui qui existe même dans le chaos, même dans l’incertitude, même sans repères.

Et c’est ici qu’une autre question émerge : est-ce la même chose que la nuit noire de l’Âme ?

Oui, en grande partie… mais pas tout à fait. Les deux moments partagent la perte de repères, le vide intérieur, l’absence de sens, la sensation que la lumière s’est éteinte, le fait que les outils spirituels ne fonctionnent plus. Mais l’effondrement de l’identité touche surtout votre personnage, votre ego, votre rôle, votre façade spirituelle. La Nuit Noire de l’Âme va plus loin : elle touche votre sens profond, votre foi, votre raison d’être, elle vous plonge dans une obscurité totale où le sens disparaît pour que vous puissiez renaître dans la vérité la plus pure.

On pourrait dire simplement :
- L’effondrement de l’identité = “Je ne sais plus qui je suis.”
- La nuit noire de l’Âme = “Je ne sais plus pourquoi je suis.”

L’un déconstruit votre ego, l’autre purifie votre âme.
L’un est un effacement du personnage, l’autre est une initiation profonde.
Les deux sont inconfortables, les deux peuvent être intenses, les deux vous transforment en profondeur. Et souvent, ils arrivent ensemble : l’identité s’effondre, la nuit noire s’ouvre, puis la renaissance commence — une transformation durable, irréversible, lumineuse.

Ainsi, le point zéro n’est pas la fin. C’est le début. Le moment où tout s’effondre est le moment où la transformation réelle commence. Le moment où vous perdez les outils est le moment où vous trouvez la source. Le moment où vous ne comprenez plus est le moment où votre âme se libère du mental. Le moment où vous ne pouvez plus “faire” est le moment où vous pouvez enfin “être”. Ce n’est pas la mort du soi. C’est la naissance du vrai.

Antoine LS (Histoire d'Âme).

07/12/2025

LES SYNCHRONICITÉS INVERSÉES

Quand l’univers ouvre un chemin en retirant ce qui n’était plus pour toi

On parle souvent des signes qui arrivent dans notre vie : une rencontre, une opportunité, un message, un hasard qui fait sens. Mais il existe un autre langage, plus discret, plus déroutant, et pourtant tout aussi sacré : les synchronicités inversées.

Ce sont ces moments où, au lieu d’apporter quelque chose, l’univers enlève.

Un projet qui s’effondre sans raison.
Une relation qui s’éteint doucement.
Une porte qui se ferme alors que tu croyais qu’elle était faite pour toi.

Une stabilité qui disparaît, comme si le sol se dérobait sous tes pieds.
Ce n’est pas un échec.
Ce n’est pas un abandon.
C’est un réalignement.

Quand quelque chose disparaît de ta vie alors que tu t’y accrochais, ce n’est pas toujours une perte : c’est parfois une guidance très précise. L’univers ne t’arrache rien pour te punir ; il retire seulement ce qui t’empêche d’avancer vers ce qui t’attend.

On croit souvent que les signes doivent arriver avec évidence : une lumière, une intuition joyeuse, une coïncidence magique. Mais certains des plus grands signes ne se manifestent pas par un ajout… mais par un vide.
Ce vide, c’est une invitation.

Un espace créé pour quelque chose qui ne pouvait pas entrer tant que tu le remplissais de ce qui te retenait.

Et parfois, l’univers ferme une porte pour t’obliger à en ouvrir une autre.

Non pas parce que tu ne voyais pas cette nouvelle porte, mais parce que tu n’aurais jamais osé l’ouvrir tant que l’ancienne restait entrouverte. Les synchronicités inversées te rappellent que le mouvement vient aussi de toi : pour avancer, il faut accepter de tourner la poignée et de franchir le seuil, même si tu ne vois pas encore clairement ce qu’il y a derrière.

Elles nous apprennent une vérité essentielle :
- l’absence peut être un message aussi puissant que la présence.
Quand la vie t’enlève quelque chose, regarde autrement :
Peut-être que ce n’était pas une direction… mais un détour.
Peut-être que ce n’était pas un ancrage… mais un poids.
Peut-être que tu ne perdais pas… tu te libérais.

Et dans ce moment de vide, où tout semble incertain, l’univers murmure :

“Fais-moi confiance. Je t’enlève ce qui te retient pour que tu puisses enfin recevoir ce qui t’élève.”

Les synchronicités inversées ne sont pas là pour te briser, mais pour te réaligner.

Elles t’apprennent la sagesse du lâcher-prise, la foi dans l’invisible, et la compréhension que parfois, quand tout se retire… c’est que ton chemin s’ouvre enfin.

Antoine LS (Histoire d'Âme).

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200 Route De Bordenave
Mées
40990

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Mardi 09:30 - 17:00
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