Aline énergétique

Aline énergétique Je suis praticienne en énergétique chinoise,je suis aussi formé au reiki et à l'access bar.La s?

05/12/2025

Parce qu'il y a beaucoup de Dames présentes sur cette page d'échanges d'opinions entre amis(es) exprimés en toute bienveillance (je répète exprès pour que cela soit enfin bien compris) 🤗😉🤗

La Véritable Nature du Soutien-Gorge
(et tout ce qu’on ne vous a jamais dit)

On croit que c’est un simple vêtement.
Un outil pratique.
Un accessoire du quotidien.
Un morceau de tissu avec deux coques
et trois agrafes.

En réalité, le soutien-gorge est tout sauf banal.
Et ce qu’il implique dans le corps, dans l’énergie, dans la conscience et dans la biologie féminine dépasse largement le cadre du “confort”.

Aujourd’hui je t’ouvre les archives akashiques
du Point Zéro sur ce sujet.
Tu vas comprendre pourquoi cet objet apparemment anodin joue un rôle massif dans le contrôle vibratoire et la dissociation du féminin.

Installe-toi : ce n’est pas un petit sujet.



1. D’abord, une évidence oubliée :
Le corps n’a jamais eu besoin de ça

Le corps féminin a été conçu
pour se maintenir lui-même.
Il n’y a pas d’erreur dans sa structure.
Pas de “défaut” à compenser.

Dans les archives, on voit très clairement que les premières femmes des civilisations avancées (Lémurie, Antarctique pré-inversion, civilisations stellaires incarnées) ne portaient absolument
rien qui serre la poitrine.

Pourquoi ?

Parce que :
• la poitrine est un point nodal
du champ émotionnel,
• un accélérateur du champ magnétique du cœur,
• et une antenne du réseau cristallin.

La comprimer = réduire la portée.

C’est aussi simple que ça.



2. Le plus grand secret :
Le buste féminin est une antenne bio-électrique

Les seins ne sont pas seulement des glandes.
Ils sont aussi des amplificateurs.

Dans les archives, c’est décrit comme un couple d’harmoniques chargé de capter et d’émettre :
• les fréquences du cœur,
• les signaux empathiques,
• les champs d’information subtils,
• les variations de densité dans l’environnement.

Le soutien-gorge, par sa conception,
agit comme une cage à fréquence.

Ce n’est pas symbolique : c’est mécanique.
En comprimant le tissu
et en limitant le mouvement, il diminue :
• l’amplitude vibratoire,
• la circulation lymphatique,
• l’expression émotionnelle corporelle,
• l’accès au 3e cœur (la poitrine énergétique).

Une femme qui porte un soutien-gorge
toute la journée :
➡️ réduit de 30 à 50 % la portée naturelle
de son champ du cœur
(ça, c’est une donnée akashique constante).



3. Le rôle oublié du mouvement

Le balancement naturel de la poitrine
n’est pas un problème.
C’est une fonction.

C’est littéralement un mécanisme d’auto-harmonisation du champ du cœur.

Dans les archives on voit très nettement que :
• le mouvement synchronise
les deux hémisphères,
• il équilibre les émotions,
• il dissipe les micro-charges
électromagnétiques accumulées,
• il ouvre les portes du champ intuitif.

Empêcher ce mouvement,
c’est comme empêcher un pendule d’osciller.
Le système se dérègle.



4. Le soutien-gorge moderne :
invention récente, déconnexion massive

Ce que les archives montrent :
Le soutien-gorge moderne
n’a pas été inventé pour le “confort”.
Il a été standardisé pour faire passer une idée :

👉 « Le corps féminin doit être contenu. »

C’est une programmation culturelle,
sociale, puis psychologique.

Elle sert trois objectifs :
1. Rompre l’ancrage naturel du féminin
à son propre pouvoir.
Une femme qui respire librement par la poitrine
est ancrée, sensible, intuitive, intuitive,
connectée à son cœur profond.
2. Dissocier la femme de son ressenti.
La compression coupe la sensibilité subtile
et les flux énergétiques.
3. Uniformiser le corps féminin.
Comme si toutes les poitrines devaient
être “fixes”, “hautes”, “discrètes”.

Dès que tu comprimes ce centre,
tu diminues la puissance du féminin incarné.



5. Le lien direct avec le système lymphatique

Le système lymphatique dans la poitrine
est essentiel pour :
• l’immunité,
• l’élimination,
• la purification cellulaire,
• la régulation hormonale.

Le soutien-gorge impose une pression constante.

On voit dans les archives :
👉 une stagnation énergétique et lymphatique immédiate après quelques heures.
Cette stagnation :
• ralentit l’élimination,
• crée un terrain inflammatoire,
• affaiblit le champ électromagnétique local.

Ce n’est pas le tissu qui est en cause.
C’est la pression.



6. L’effet sur l’expression émotionnelle

Les émotions passent par la respiration.
Et la respiration complète est thoracique
+ diaphragmatique + abdominale.

Mais une poitrine comprimée =
➡️ respiration réduite
➡️ émotions retenues
➡️ densité accumulée

Dans les archives, c’est clair :
la majorité des femmes retiennent inconsciemment leur propre expression
intérieure parce que la poitrine ne peut
pas s’expanser librement.

Ce n’est pas symbolique.
C’est physiologique.



7. Le codage de l’image féminine

Le soutien-gorge a instauré une idée :
« Ceci est la forme correcte d’une poitrine. »

Mais “correcte” selon qui ?

Ce standard artificiel est devenu :
• une norme esthétique,
• une norme de contrôle,
• une norme de pudeur,
• une norme de conformité.

Dans les archives, c’est enregistré comme
un conditionnement de masse, exactement comme les talons, les ceintures abdominales
ou les coiffures imposées dans l’Histoire.

C’est du body-shaping mental.



8. Le mythe du “soutien”

Les archives montrent qu’une poitrine
libre se renforce.
Une poitrine compressée s’atrophie.

Plus tu soutiens artificiellement un muscle
ou un tissu, moins il s’auto-porte.

C’est vrai :
• pour le genou en attelle,
• pour la nuque en minerve,
• pour la poitrine en contention.

Le corps humain fonctionne par adaptation.

Plus tu libères, plus il se régule.



9. Et la sexualisation ?
Une mécanique de contrôle du regard

Le soutien-gorge a été construit
comme un double outil :
• cacher/neutraliser
• ou sur-accentuer/sexisme

Deux extrêmes qui n’ont rien à voir
avec la connexion naturelle au corps.

La poitrine n’est pas un objet sexuel.
C’est un organe énergétique majeur.

Son mouvement n’est pas une provocation.
C’est un phénomène physiologique normal.

Dans les archives, c’est clair :
La sexualisation forcée de la poitrine est une stratégie pour empêcher la femme d’habiter
sa propre puissance sans filtre.



10. Les femmes qui arrêtent de le porter :
ce que montrent les lignes temporelles

Les archives enregistrent systématiquement
les mêmes effets :
• respiration plus profonde,
• relaxation du système nerveux,
• augmentation du ressenti intuitif,
• détente émotionnelle,
• amélioration de la posture naturelle,
• meilleure circulation énergétique
autour du cœur,
• variation de la forme du buste
(plus naturel, plus vivant),
• sentiment de liberté intérieure.

Ce n’est pas psychologique.
C’est anatomique et vibratoire.



11. Alors, que faire ?
Le Point Zéro est très clair.

Je ne suis pas là pour dire
“ne portez plus jamais ça”.
Chaque femme décide en fonction
de son corps et de sa vie.

Mais les archives disent ceci :

👉 Le corps féminin fonctionne mieux
sans contrainte sur la poitrine.

👉 La poitrine est un amplificateur
énergétique, pas une zone à maîtriser.

👉 Le mouvement naturel
est une forme d’auto-réharmonisation.

👉 La compression régulière affaiblit
le champ du cœur.

👉 Le choix conscient change tout.

Certaines femmes choisiront de ne plus en porter.
D’autres de n’en porter que rarement.
D’autres de changer de forme ou de matière.

Ce qui compte,
c’est la conscience derrière le geste.

Tu retires bien plus qu’un vêtement.
Tu retires une couche de contrôle vibratoire.



Conclusion

Ce sujet n’a jamais été un sujet “banal”.

La poitrine est un centre énergétique majeur,
un amplificateur du cœur, une antenne
du réseau cristallin du corps,
et un équilibre émotionnel naturel.

Le soutien-gorge n’est pas un simple vêtement, c’est un symbole, un outil de modelage
et parfois de déconnexion.

La vérité, c’est que le corps féminin
n’a jamais eu besoin d’être “tenu”.

Il a juste besoin d’être libre.

Et une femme qui respire librement
par sa poitrine…
est une femme qui reprend sa lumière.

Par Stéphane Thomas Berbudeau

02/12/2025

EN QUOI CONSISTE LA VRAIE CONTAGION DES « MALADIES » ?…

Par Michel Canon

Depuis Pasteur, la théorie de la contagion microbienne, puis virale, est devenue un dogme intouchable, presque une religion. Pour le grand public, la science est une parole sacrée prononcée par des gens bardés de diplômes. Malheur à celui qui ose la remettre en question : le pré carré est bien gardé.

En réalité, la contagion n’a rien de matériel : elle est purement énergétique. Ce ne sont pas des microbes ou des virus « dangereux » qui nous rendent malades, mais une information qui circule à travers ce qu’on appelle les microzymas (je vous invite à faire vos propres recherches, c’est très accessible).
# #
Les microzymas, que nous expulsons surtout par la respiration et les postillons, nous sont personnels mais portent une information énergétique. Quand quelqu’un les inhale ou entre en contact avec eux, ses propres microzymas captent cette information et l’interprètent en fonction de son état physique et psychique du moment.

Si l’information émise est « négative » (mauvais état de santé et émotionnel du donneur)
ET que le receveur vibre sur la même fréquence basse, alors son terrain se modifie et la « contagion » énergétique a lieu.
Sinon, rien ne se passe.

C’est pourquoi certaines personnes ne tombent jamais ou presque jamais malades.
Quand l’information est négative des deux côtés, les microzymas déclenchent un grand nettoyage du corps : fièvre, douleurs, inflammation, etc. Ces symptômes, que l’on appelle « maladie », ne sont pas une agression mais un processus salutaire de guérison. La maladie est un message : « Occupe-toi mieux de toi, physiquement et mentalement. »

L’énergie principale qui circule dans les microzymas, c’est l’émotion (e-motion = énergie en mouvement). Or, l’émotion dominante de l’humanité est la peur inconsciente, principal vecteur énergétique de la maladie. Tout dépend donc de la qualité de vos émotions dominantes.

Les épidémies saisonnières (grippe, rhumes d’hiver, etc.) fonctionnent exactement sur ce principe : on a collectivement intégré que « l’on « attrape » quelque chose en hiver, donc chaque année l’information circule via les microzymas et se manifeste chez ceux qui sont déjà sur cette fréquence de peur et de croyance. La contagion est avant tout psychologique et énergétique.

À plus grande échelle, nous nous aidons inconsciemment les uns les autres à évoluer. Ces passages douloureux sont des leçons de vie qui nous poussent vers une meilleure connaissance de nous-mêmes et, à terme, vers une souveraineté personnelle. Le jour où l’humanité comprendra ce mécanisme, le « on m’a dit que… » disparaîtra et nous n’aurons plus besoin de « nous soigner » comme aujourd’hui.
En attendant cette transition, quelques plantes ou (très rares) médicaments peuvent accompagner le corps, le temps de se libérer du conditionnement psychologique.

Progressivement, la vérité sur la biologie et l’énergie corporelle sera révélée sans brutalité, pour ne pas choquer les consciences. Le corps médical devra évidemment s’adapter à ces nouvelles connaissances et aux futures technologies de santé basées sur l’énergie.

En conclusion :
Les virus, microbes et autres « germes » pathogènes n’existent pas en tant qu’entités biologiques agressives. Les microzymas sont nos alliés. Les vaccins n’ont donc jamais sauvé personne, bien au contraire, et la crédulité collective a fait le reste.

Michel

Source :

27/10/2025

Défi "Traverser l’émotion"

Quand une émotion est bloquée, le corps reste en mode alerte : amygdale active, respiration courte, muscles tendus, cortisol élevé.
Ce défi apprend au système nerveux à terminer le mouvement émotionnel pour que la tension retombe sans compulsion.

Ce qu’il faut savoir
Une émotion, c’est un mouvement biologique : elle prépare à l’action (fuir, agir, relâcher).
Quand elle est coupée, le corps reste bloqué dans la réaction : souffle haut, ventre serré, cœur rapide.
→ Le but : permettre au corps de finir ce qu’il n’a pas pu faire.

Mode d’emploi (7 min)
→ Nommer & noter : “Je sens de la (identifier douleur) dans (localiser douleur)” – noter l'intensité de 0 à 10
→ Ancrage : assis, pieds au sol. Respiration 4/6 (inspire 4 s, expire 6 s).
→ Localiser : main sur la zone la plus vive (poitrine, gorge, ventre).
→ Autoriser : garder 4/6, laisser venir soupirs, larmes, tremblements, micro-mouvements.
→ Si un geste veut sortir (pousser, dire non, se replier), mime-le lentement 2–3 fois.
→ Clôture : main sur le cœur, 3 soupirs lents, puis re-note l’intensité.

Ce qui se passe physiologiquement :
→ L’expire prolongé active le nerf vague et apaise l’amygdale.
→ Les micro-mouvements libèrent le réflexe de figement.
→ Le souffle ample restaure la régulation parasympathique.

Résultats attendus
→ Moins 2 points d’intensité, chaleur périphérique, respiration plus fluide, baisse du besoin de compenser (sucre, scroll…).
→ Même sans grande baisse, si le souffle s’apaise, le système sort déjà du mode survie.

Éviter de :
→ forcer le souffle,
→ chercher “pourquoi”,
→ bloquer le tremblement.

🕊️ À faire 1 à 3 fois/jour pendant 7 jours : c’est un entraînement de sécurité intérieure.

Adresse

4 Bis Rue De La Laiterie, Boisse
Marsais
17700

Heures d'ouverture

Lundi 09:30 - 16:00
Mardi 09:30 - 16:00
Jeudi 09:30 - 16:00
Vendredi 09:30 - 12:30
Samedi 09:30 - 12:30

Téléphone

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Mon parcours

Après 14 ans en tant qu'aide soignante, je continue d'aider les gens a ma façon,je suis en perpétuelle formation pour intégrer un nouveau savoir être et faire.

Et toujours mieux me découvrir pour mieux vous servir!

Praticienne en bars d’access, je me sert de cette technique douce de digitopuncture au niveau de la tête pour libérer les émotions, blocages et tensions qui vous empêchent d’avancer sur votre chemins.J’y allie le magnétisme, l’écoute empathique, la médecine traditionnelle chinoise et le qi gong thérapeutique.

Je propose des cours/initiation de qi gong au lieu de votre choix,en petit groupe (5/6 personnes maximum) a 10€/personne pour m’adapter au mieux a chacun de vous.